loana21

Non merci, je sais conduire, et je pense que je conduis même plutôt bien ! J'ai une conduite assez dynamique sans être bourrine ou dangereuse vis à vis des autres conducteurs. si j'avais fait une queue de poisson je l'aurais vue et aucun doute ce n'était pas le cas ! je ne suis pas passée "juste" devant lui. Sinon je ne serais pas ici à me demander pourquoi j'ai eu des appels de phares... M'enfin ! Pour ce qui est de prévenir les autres, moi je trouve que c'est le jeu... :) ps : roger a le droit de fantasmer, mais pas sur moi, et surtout en silence !!!!!!!

Justement le mythe du camionneur et son calendrier à l'arrière de la cabine n'est pas franchement reluisant... :cool:

non, ceux que je double... le dernier c'était sur l'autoroute, au moins 30 km/h de différence, distance de sécu respectée... l'autre c'était au péage, je suis passée devant sans forcer le passage car j'avais de l'avance : j'ai eu droit à 6 ou 7 appels de phares à peine insistants...

Ce n'est pas franchement dans ce genre de situation que l'on me fait des appels de phares en fait. Je n'ai pas tellement ce problème du point de vue de ma conduite, généralement je les sème assez vite... et non il n'y a vraiment rien ensuite (j'ouvre vraiment l'oeil ensuite en cherchant danger, flics & co, sans oublier l'inspection en règle de la voiture en descendant) mais jamais rien. C'est après qq recherches sur le net et en discutant avec une amie que j'ai conclu qu'il s'agissait bel et bien de ce genre de "manifestations" ...

Les appels de phares de certains camionneurs... une méthode de drague ? y'a que moi qui trouve ça lourd et loin d'être glam' ? A vrai dire je n'ai commencé à comprendre qu'au bout de la 5e ou 6e fois après m'être rendue compte que les appels de phares ne correspondaient à rien et qu'à chaque fois je flippais pour rien ! que je m'arrêtais sur une aire d'autoroute pour vérifier ma bagnole et mieux repartir en vitesse.. Et c'était pire quand j'avais un A... Le code de la route n'est pas un jeu... Amis camionneurs, vous faites flipper les nanas : choppez vous vraiment ainsi ? :gurp:

Je sais pas ce que vous appelez élites mais à mon avis elle a pris un coup dans l'aile...

Oui c'est possible, je ne fais pas de toutes les filières une généralité ! Mais je trouve ça dommage car après coup on se rend compte que le bac est une formalité et qu'avec un peu de travail et de volonté on peut tout faire et rattraper si on en a vraiment envie.

Je suis en faculté de médecine depuis 6 ans et je peux vous assurer qu'on peut s'inscrire avec n'importe quel bac, STI compris qui ont beau être scientifique, ne font plus de biologie passé la seconde. Combien j'en ai vu qui pensaient avoir un retard monstre (bac SMS/ES entre autre) et se dire que par rapport aux S ils n'y arriveraient jamais... sauf qu'il faut savoir que le rythme est tellement rapide que la filière choisie n'a plus tellement d'importance au bout de deux semaines... la filière permet simplement d'appréhender les choses différemment et d'y aller quelque part plus serein (on se sent plus à sa place, les autres ayant -l'impression- d'avoir du retard), d'avoir une méthodologie à la limite, mais c'est bien tout ! mes cours de lycée m'ont donné peut être une avance de 4 heures à 6 heures vis à vis des autres sur ma 1ère année tout au plus ! dans cette filière là en tout cas. Mais je veux bien croire qu'une CPGE MPSI ou que certaines filières de fac scientifiques assez demandées n'acceptent pas un L... De plus certaines filières scientifiques proposent des cours de rattrapages en parallèle à l'inscription, le cas s'est avéré pour un ami.

Moi je le vois pas comme ça. Je pense que le bac littéraire est beaucoup plus instinctif à mon sens par exemple qu'un bac S où pour être bon il faut un minimum travailler (je pense aux mathématiques qui sont une véritable gymnastique des neurones et qui étaient pour moi ma bête noire lors de mon bac S justement). Quelqu'un qui n'est pas capable de fournir un minimum aura sans doute plus de difficultés en S (à moins de facilités). En revanche, être bon en travaillant c'est largement faisable avec un peu de volonté, alors qu'être bon instinctivement, tu l'as dès le départ où tu l'as pas. Donc pour etre très bon et se démarquer, là effectivement c'est peut être un peu plus dur (surtout que la littérature quelque part c'est un art dont on atteint que très rarement la perfection...)

Ouais bon c'est relatif, avec n'importe quel bac tu peux t'inscrire dans une fac (un bac L peut faire médecine s'il a envie, c'est juste qu'il va un peu galérer !!)... c'est sans doute plus dans les écoles sur dossier où là ça pêche ! mais parfois ça peut aussi être un élément pour se démarquer s'il y a un dossier en béton et des notes au plafond d'un bac atypique dans une filière X ou Y...

Bac dur pas dur.... on s'en fout... L'intérêt est de voir à quoi il mène... mieux vaut faire un bac L mention TB qu'un bac S mention AB. mais un bac S mène à tout... alors qu'un bac L même brillant mènera à des cours de rattrapages ultérieurement s'il y a plus tard le choix d'une filière scientifique... Ce qui est moins vrai dans l'autre sens il faut l'avouer! Si je devais conseiller un bac à quelqu'un de totalement indécis et bon un peu partout, je lui conseillerais un bac ES ou S, selon moi ils restent les plus généraux et touche à tout.

Entre ceux qui font des généralités et ceux qui parlent sans savoir on est pas sorti... Les moralisateurs qui semblent croire avoir cerné la situation... voilà. Tista par exemple, j'ai trouvé ton message agressif avec tes "mais pour qui tu te prends", serieux, on peut te retourner la question ! Sait-on pourquoi elle a eu cette attitude ? Arnaques, sentiments, nécessité ?Arrive-t-on à le déceler au travers de ses messages ? Définitivement non, l'auteur n'en est même pas sur lui même. On ne sait pas si elle a fait ça par intérêt ou si véritablement elle avait des sentiments pour lui, donc vous semblez penser posséder la réponse mais je vous rappelle que vous ne l'avez pas. Ensuite essayer de nouer un couple fondamentalement différent dans la conception de la fidélité déjà, avant même d'avoir véritablement commencé une relation sérieuse... ce n'est que mon avis mais c'est à l'auteur de savoir s'il a envie de faire ce travail sur lui même et de se prendre la tête pour une femme étrangère et à qui il ne doit rien (Oui ça fait pas très altruiste dit comme ça, mais c'est la vie). Dans un couple(si couple ici il y a eu) les deux personnes sont souvent en tord, rien ne sert de chercher à qui la faute car elle est sans doute partagée. De mon point de vue personnel et de MA conception du couple, ce ne sont pas les convictions de cette femme, ses raisons pour garder son boulot ou quoi qu'il faut lui reprocher, c'est simplement que cette femme n'a pas été honnête. Dans un couple on avance à deux, on peut ne pas être d'accord, mais alors si on avance tout seul dans son coin là ça ne fonctionne plus.

C'est plus fréquent qu'on ne le croit... manque de courage aussi parfois?

Effectivement j'ai hésité à préciser un peu ma pensée, mais j'ai préféré être synthétique. Disons que pour moi la reconnaissance extérieure est quelque chose de --normal--, c'est un peu subtile ce que j'entends par la mais en gros : reconnaissance de l'agresseur (+1), reconnaissance des autres (0), pas de reconnaissance de la famille (-1). pas de reconnaissance extérieure la c'est carrément une épine dans le pied. La reconnaissance des autres est de mon point de vue surtout utile pour ce qui en découle : le soutien. Bref !

C'est tout à fait ce que je pense aussi. Imaginons votre copine qui dans un moment de colère (successif à de nombreuses périodes d'énervements préalables) porte atteinte violemment à votre personne, Toi le charmant qui n'envisagerait pas le tiers du coup porté, amoureux de surcroit, va te dire à un moment ou à un autre qu'elle ne t'aime pas car elle te porte atteinte (violemment... et pourtant ce ne sont pas les coups en eux même que tu vois, c'est l'atteinte et la symbolique que ces coups, précisément, portent).

Je suis pas franchement d'accord, tu dis toi même Cassandre que la souffrance psychologique met du temps à se déclarer, donc non, on ne sait pas tout de suite qu'on est victime... dans la souffrance psychologique, on nait progressivement victime... à la différence des femmes qui se font battre ou dès lors qu'il y a geste violent on devient victime... D'autant plus qu'il faut être un saint ou vivre en ermite pour n'avoir jamais entendu des mots durs, certes parfois impulsif ou même n'en avoir jamais proféré soi même. Dans la souffrance psychologique, c'est la répétition qui fait la gravité je pense, pas une situation sur un moment précis qui ne se reproduira pas. Les engueulades ça existe et on est pas pour autant victime.... C'est progressif et donc on s'acclimate en quelque sorte à cette violence, et les gens extérieurs qui vont voir la souffrance qui en découlent vont pouvoir faire prendre conscience à la victime que la situation est anormale et qu'elle se fait littéralement marcher dessus dans son quotidien. Concernant le problème de reconnaissance, je suis plutôt d'accord qu'il est toujours bon d'avoir le soutien extérieur, mais leur reconnaissance en soi, n'est pas pour moi très important... je veux dire, ça nous fait une belle jambe que les autres nous voient comme une victime et nous prennent en pitié... la reconnaissance la plus importante reste celle de l'agresseur, qu'il reconnaisse qu'il nous a blessé. Vis à vis des autres (ce n'est que mon opinion et moi comment je peux ressentir ce genre de cas), la reconnaissance est "secondaire" mais ce qui est important c'est leur soutien.

Tu parles de la capacité à supporter la douleur physique là, pas celle à appréhender la souffrance morale et à minimiser les faits de son agresseur il me semble... ce sont 2 choses sensiblements différentes je pense... Le fait de minimiser les faits de son agresseur de mon point de vue c'est à cause de la proximité qu'on peut avoir avec lui... c'est progressif et on a ce sentiment de culpabilité qui est là mais qui n'est pas normal... ça n'est pas une élévation du seuil de tolérance à la souffrance à mon avis. D'accord donc pour toi la souffrance psychologique est plus difficile à supporter de part les retombées par la suite et par ce manque de reconnaissance plutôt qu'une souffrance du "sur le moment" ? Car, bon il y a des violences physiques qui ne laissent pas de marques (se faire tirer les cheveux, se faire plaquer contre un mur... par exemple), mais surtout je pense que la violence physique inclue une certaine violence psychologique (la crainte, le pourquoi moi, le ressentiment vis à vis du proche, le sentiment d'abandon de rejet...voire de culpabilité comme nous l'avons dit). Et ça c'est pareil ça ne se quantifie pas.

Je rejoins January, pour dire que chacun son ressenti et son vécu. Personne n'a le monopole des femmes battues, la plupart le cachent et ne s'en vantent pas voire même sont dans le déni de la violence (croissante qu'elles subissent de jours en jours). La reconnaissance de qui ? des autres ? de la famille ? de son "agresseur" ?

Je pense qu'une violence physique est à la fois physique et morale... il y a double coup... le "ça fait mal" physiquement parlant, et le "qu'ai-je pu bien lui faire pour qu'il m'en veuille à ce point" ou bien toutes les questions existentielles qui peuvent en découler ("il ne m'aime pas" par exemple tout simplement). Et là on peut s'enfoncer dans un sacré bourbier. J'ai lu que vous parliez de manipulation pour la violence psychique... Entendre quelqu'un de proche te dire que tu es nul en permanence pour te rabaisser volontairement et avoir le dessus est-il la même chose que quelqu'un qui te dit qu'il te trouve nul, trop ci ou trop ça, parce qu'il le pense sincèrement ? Parfois il n'y a pas que la manipulation qui blesse, il y a l'art de dire les choses et de faire même chez les gens droits qui se veulent (trop) honnêtes...

C'est la dictature ou quoi ce forum ? On peut savoir pourquoi t'es pas contente ? Faut prendre son cachet bleu avant de dormir hein.

Enfin arrêter de solliciter monsieur et lui laisser de l'air c'est un peu dans le même genre d'optique... ça montre qu'on est pas une glue. Si ça marche, c''est la bonne voie...!

Enfin si tu lui dis d'attendre et que ça se casse la gueule c'est un peu la même pour ton conseil non ? Et puis mon conseil n'est pas censé être décelé par celui qui est visé... le tout n'étant pas de l'ignorer bêtement, juste de faire mine d'avoir une vie bien remplie, j'espère que je me suis correctement fait comprendre... normalement ça n'est pas sujet à dispute ce genre de choses!

De ce que nous décrit sarah on a clairement à faire à un dominant 1. En même temps, pourquoi se soucierait-il de se retourner vers elle, il sait que de toute façon elle le suit encore et toujours ! Je pense qu'on pourrait être surpris mais ce genre de bonhomme est finalement peut être plus attiré vers des filles qui leur résistent un peu. Je ne pense pas que ce genre de couple se fassent par hasard. Ce sont des hommes indépendants mais qui aiment bien se sentir aimés, qu'on vienne les chercher et qui en jouent sans s'en rendre compte. Ils ne s'en soucieraient presque plus. Sauf que quand l'autre ne suit plus, ben des fois ils se retournent pour vérifier que l'autre est quand même bien là ! Et c'est le but de la manoeuvre que j'ai conseillée.

Je suis parfaitement d'accord. Eviter la 1, conseiller la 2... Mais ça n'empêche pas d'être stratég'. Prendre la vie comme elle vient est une très bonne philosophie qui coule de source pour certains, pour d'autres c'est un véritable travail sur soi... Je pense qu'il faut qu'elle prenne certes les choses comme elle vienne mais il faut aussi qu'elle marque un peu son territoire... Un couple c'est avant tout une relation de domination à différente échelles évidemment, mais là on peut dire qu'il la domine clairement. Malheureusement je pense que celui qui domine (sous entendu celui qui est suivi en permanence, suivi par sa compagne encore et encore qui elle attend, qui elle solicite bref, elle suit !) lui, le suivi, finit par se lasser plus vite de celle ci ! Et laisser couler en permanence est à mon avis loinnn d'être une bonne manière pour faire durer l'amour dans ce genre de couple (je parle du quotidien, pas de l'engagement envers elle). Avoir une éponge en permanence en face c'est lassant. Tout à fait ! ça n'a pas l'air d'être le cas de son côté... Elle fait le travail pour 2... peut être serait-il temps de changer de stratégie... !

J'ai bien compris que vous mourriez d'envie de le voir, je comprends parfaitement, je dis juste que c'est lui qui choisit j'imagine la plupart du temps quand vous vous voyez, et je te conseillais donc de rétablir la chose de façon à ce que toi aussi tu puisses dire "non" des fois de façon à montrer que toi aussi tu es là et tu contrôles un peu les choses... Tu dis être dépendante, c'est pas une position facile mais il faut veiller dans ce genre de personnalité à ne pas trop s'effacer dès le départ et à s'affirmer quand même un peu. L'amour est là c'est le principal... il faut savoir le garder ! Un médiateur, personnellement je pense que c'est une bonne idée si vous avez des difficultés à résoudre vos différents de vous même :)