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deja-utilise

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Tout ce qui a été posté par deja-utilise

  1. Je suis également d'accord, y compris sur la motivation que tu avais précédemment soulevée! Il existe très certainement des gens qui aurait un fort QI, mais qui vivent simplement, quand d'autres ont moins, mais avec une détermination sans faille, ils arriveront à faire des choses d'extraordinaires. ****************** D'ailleurs, il serait bon de se demander pourquoi les ricains ont plus de milliardaires et de supers cerveaux affichés, alors qu'on peut subodorer sans risque, que dans les autres pays, ou au sein de l'Europe, nous avons également des esprits très brillants, mais moins de réussites ( financières ) individuelles, médiatisées ou pas. Je pense tout simplement que c'est l'état d'esprit de ce grand pays, qui de plus a trouvé la recette qui permet à celui qui le souhaite ardemment de réussir, ce qui a été vrai aussi en France à une autre époque, celle allant des lumières à l'époque moderne, avant que justement la politique économiste agressive américaine ne change la donne! ( sans rentrer dans des explications plus détaillées, plus nuancées )
  2. ( http://www.reseaupsychologues.eu/Des-psychologues-s-interrogent-sur-le-QI-et-certains-de-ses-usages_a570.html ) " On observe, en effet, une attente sociale de plus en plus forte visant à faire évaluer et caractériser par les psychologues les capacités mentales d’un être humain (et particulièrement celles d’un enfant) uniquement par un chiffre. Ces demandes et leurs réponses raccourcies reposent sur une croyance qu’elles renforcent : le Q.I. serait une « mesure » aussi élémentaire qu’un poids de naissance ou qu’un taux de glycémie sanguine. Or, le QI est l’expression d’un classement par rang à différentes épreuves. Un sujet moyen idéal se classe avec un QI égal à 100. Il serait absurde de dire qu’avec un QI de 120, on est « deux fois plus » intelligent qu’avec un QI de 60. De même dans une course, la durée de course du 50ème n’est pas la moitié de celle du 100ème, ni le double de celle du premier. Avec la conviction qu’un QI est une mesure simple, un public fragilisé tente de trouver des principes explicatifs aux difficultés et obstacles qu’il rencontre. Un Q.I. bas ou élevé devient alors la cause unique de difficultés pourtant complexes. Cet indice dirige des parents en désarroi vers des solutions inappropriées et caricaturales, alors que des analyses psychologiques approfondies pourraient fournir une aide pertinente et efficace. De telles demandes, émanant la plupart du temps des familles elles-mêmes, mais aussi d’organismes comme d’institutions publiques ou privées qui imposent des évaluations intellectuelles, s’appuient le plus souvent sur une conception réductrice et dépassée de l’intelligence, considérée comme unidimensionnelle, statique et facilement mesurable. Avec parallèlement l’idée fausse que cette « intelligence » est seule déterminante dans les difficultés qu’un enfant peut présenter à un moment de son histoire. Un Q.I. n’est ni une fatalité, ni un destin. 1. La représentation sociale du Q.I. dans la société (c’est-à-dire la connaissance relative que l’opinion publique a de la notion de quotient d’intelligence) repose sur une conception qui a maintenant près d’un siècle. Elle ne prend pas en compte les nombreuses recherches qui ont considérablement enrichi le domaine de la mesure en psychologie - et principalement celui de l’évaluation de l’intelligence. Plusieurs indices permettent aujourd’hui d’apprécier les expressions et le fonctionnement de l’intelligence et de la pensée. Les observations cliniques et les travaux les plus récents témoignent ainsi d’une intelligence propre à chacun, qui prend des formes diverses et porte en elle des possibilités d’évolution. Il est connu que le chiffre de Q.I. est indissociable du test et du modèle théorique qui servent à son élaboration et à son calcul. Certains sujets peuvent ainsi montrer de grands écarts dans les compétences intellectuelles selon la démarche évaluative utilisée. De bonnes valeurs de corrélation entre des épreuves n’impliquent pas automatiquement à l’échelle individuelle des résultats identiques ou similaires et les résultats d’une évaluation intellectuelle sont susceptibles de varier chez une même personne selon le test utilisé. On constate un écart considérable entre la règle générale concernant le groupe ou l’échantillon de référence et son application au sujet toujours singulier. Dans certains cas, il est même nécessaire de pratiquer deux épreuves globales de développement intellectuel pour apprécier finement, dans des modalités différentes, le fonctionnement mental d’un enfant. Si la grande majorité des psychologues accède aujourd’hui à ces connaissances fondamentales, il en est tout autrement des autres professionnels de la santé, de l’éducation ou du social, et a fortiori, du grand public. 2. Les données chiffrées tirées d’un test, qu’il s’agisse de Q.I. ou du rang obtenu par le sujet dans un échantillon de référence, ne sont pas un but en soi. Elles représentent le point de départ d’hypothèses et d’investigations et doivent être confrontées aux autres informations fournies par l’examen psychologique approfondi (observations qualitatives et cliniques, conditions de vie familiale, culturelle et éducative de l’enfant, investigations complémentaires, fonctionnement de la personnalité, etc.). Elles permettent de rendre compte de la présence et de la qualité de processus de pensée propres à chacun, d’en dégager les forces et les faiblesses. Seule la mise en relation des différentes données psychologiques aident à construire une interprétation cohérente et dynamique du fonctionnement mental. C’est la convergence des signes et des indices qui donne ensuite du sens à la démarche d’examen. Le psychologue peut alors en communiquer la synthèse sous la forme appropriée à ceux qui le consultent. L’énoncé isolé d’un chiffre quelconque, voire d’une série d’indices ou de moyennes, n’a, à lui seul, aucune signification. Le Q.I. est une écriture condensée et signifiante dont l’interprétation nécessite une formation clinique solide et une connaissance experte de la méthode utilisée. Chaque psychologue est personnellement touché dans son identité professionnelle quand il est confronté à des utilisations simplificatrices et restrictives de ces notions. 3. Les démarches évaluatives en Sciences humaines, et notamment en Psychologie, se basent sur des calculs de statistiques et de probabilités de plus en plus précis et performants. Le recours à des modèles mathématiques n’élimine pas l’approximation des mesures. Le calcul des marges d’erreurs et des intervalles de confiance, le recours de plus en plus fréquent à des fourchettes de valeurs, la mise en garde même et le rappel des éditeurs de tests psychologiques pour une utilisation réfléchie des données chiffrées, invitent tous les psychologues à l’usage prudent, raisonné et maîtrisé des résultats. La connaissance des principes de construction, des qualités métriques et des limites interprétatives des épreuves d’évaluation psychologique est une condition première à leur pratique éclairée. Les épreuves sont de remarquables outils de mesure et d’investigation si leur usage est conduit avec rigueur, sens clinique, réflexion critique et déontologie. Les résultats et conclusions qui en sont issus reflètent ces exigences et leur transmission aux personnes en tient nécessairement compte. 4. Plus directement, ces réserves et rappels de prudence amènent certains psychologues à ne pas communiquer un Q.I. Il peut s’agir de refus occasionnels car les conditions de l’examen psychologique ne leur paraissent pas satisfaisantes, ou d’une position permanente : un certain nombre de professionnels craint à juste titre la surinterprétation des résultats, les utilisations réductionnistes ou les exploitations administratives et sociales d’un Q.I. bas, élevé ou même dans la moyenne. Ces réserves éthiques sont respectables et doivent être reconnues, surtout si les destinataires ou les commanditaires ne présentent pas toutes les garanties d’une utilisation adaptée et appropriée des informations communiquées. La « révélation » du QI de leur enfant est, pour la plupart des parents, le début d’un malentendu ou d’une obnubilation qui masque durablement la démarche d’interrogation et d’analyse qui les a conduits à la consultation psychologique. Que penser de cet argument qui prend le prétexte de la transparence et du droit d’accès de chacun à son « dossier » pour délivrer sans réserve ni scrupule des informations chiffrées dont la signification complexe échappe au plus grand nombre ? L’annonce du Q.I. à l’enfant et aux parents a des implications profondes et pose une vraie question morale et déontologique dont les psychologues doivent absolument évaluer les conséquences. Il leur faut en débattre. 5. Au départ animés, on l’espère, d’un souci de clarification, certains médias se sont emparés de la notion de Q.I. (avec, il faut vivement le regretter, la participation maladroite ou même la complicité de quelques professionnels) et ont fait exprimer à des tests bien autre chose qu’ils ne le peuvent, bien plus qu’ils ne le permettent. L’illusion simplificatrice des nombres conduit à des malentendus majeurs dont les enfants peuvent parfois pâtir durablement. Trop largement assimilée à un exercice simple et banal, l’évaluation du développement et du fonctionnement intellectuels est pourtant un acte psychologique majeur qui prend toute sa valeur dans une démarche professionnelle d’ensemble, impliquant la demande initiale, la dynamique individuelle et familiale, les manifestations psychologiques et comportementales ainsi que la part subjective et intime du sujet. Les implications de cette investigation peuvent être importantes pour l’enfant et sa famille sur le plan personnel, narcissique et même identitaire. L’évaluation d’un QI et sa signification se situent bien au-delà des marges étroites dans lesquelles on tend à les confiner. "
  3. @Kyrilluk Je vois que tu n'as pas voulu répondre à mes objections, ce n'est pas grave, mais je voudrais rajouter une chose, dont je pense tu n'as peut-être pas fait le lien, certaines études montrent aussi des différences de QI entre hommes et femmes, mais aussi suivant l'ethnie/la couleur de peau, alors soit tu continues sur ta lancée en acceptant aussi les autres résultats corollaires, soit tu prends le QI pour ce qu'il est, un outil avant tout de diagnostic pour les gens avec des difficultés cognitives. Je vais même te dire que j'ai l'un de mes enfants qui a été évalué, par la maman, comme "surdoué"/précoce, et bien que je l'aime, il a quelques difficultés à comprendre des choses qui sont pour beaucoup naturelles/instinctives, il est très doué pour des "épreuves" de type scolaire/test/énigme, mais à coté/en décalage pour les choses de la vie réelle, qui pourtant font appel parfois aux mêmes raisonnements, sans compter son immaturité. Comme je lui dis souvent, il fonctionne comme un pépé au volant d'une Ferrari, avec son cerveau j'aurai pu faire de bien plus grandes choses, j'aurai su l'exploiter pleinement, alors qu'il n'en est pas capable ( pour l'instant ). Et je crois même que ce "don" l'handicape plus qu'il ne lui rend service, ce n'est donc pas un cadeau de la nature dans son cas. Peu importe le score qu'il a, ce que je vois c'est qu'il n'arrive pas à s'adapter correctement au quotidien, et ça risque de lui pourrir la vie un moment, car ce qui compte vraiment, c'est d'être le plus épanoui possible dans la vie, pas d'être "intelligent"! Je me considère comme n'étant pas intelligent, je fais avec les moyens en ma possession, une réflexion lente mais poussée et une mémoire faiblarde, et j'ai la vague impression que c'est souvent mieux que ceux qui sont soit-disant intelligents, la fable du lièvre et de la tortue, version cognitive!
  4. Ce n'était pas une comparaison, mais une analogie, qui voulait qu'avec juste 2 valeurs/positions on pouvait faire une foultitude de choses, réciproquement avec quelques expressions figurées on peut largement faire passer ce que l'on ressent, nous n'avons pas non plus une palette infinie d'émotions, mais les smileys peuvent être nuancés pour s'adapter au mieux aux petites variantes, en y incorporant des gestes, ce qui allonge l'étendu des possibilités initiales. / / :smile2: / :bad: / :blush: / / :mef2: / / Je ne suis pas très doué avec ce genre de truc, mon sens créatif/artistique est très limité, mais je suis sûr que certains, plus inspirés, sauraient en faire une combinaison intéressante incrustée dans un texte. où ça? Tu l'auras remarqué, le langage non verbal est principalement inconscient, mais parfois il est volontaire, et c'est cette partie bien sûr que l'on cherche à reproduire, la spontanéité sur un texte écrit n'est pas possible, sauf parfois d'être guidé par ses émotions. Non, non, j'avais bien saisi le fond, mais c'est aussi ce que j'avais répondu à notre ami, nous n'avons pas tous le même sens de l'humour, ni l'humeur parfois, difficile dans ces conditions de faire consensus, et je l'orienterai plus volontiers comme une certaine maitrise psychologique lors de son usage, que d'une compétence ayant trait à l'esprit philosophique à proprement parler, et puis je te laisse juger de l'essence philosophique que tu sembles insinuer dans les propres mots de l'auteur dont il est question juste au-dessus! :smile2: Encore une fois, l'humour est un art périlleux!
  5. Mais je t'aime bien aussi mon petit Blaquière , il n'y a rien de méchant, je ne suis juste pas d'accord avec ta position aussi catégorique :p, que j'ai grandement nuancée! Ne sommes nous pas là, aussi pour cela ( " se disputer " ), décortiquer les a priori, les pensées toutes faites, les préjugés!? Euh...pas du tout, et tu l'avais très bien compris, tu joues sur les mots, plus que sur le fond, et je peux facilement te répondre que dans ce cas les mots sont aussi des succédanés de nos pensées/émotions!!! Quelle différence profonde existe t-il entre les divers protocoles de communications écrites, que ce soit les hiéroglyphes, les "coins" ( cunéiforme ), des logogrammes ( japonnais ), le binaire, des rébus, des graffitis, des sigles, les symboles divers ou des émoticônes? Ils ont tous en commun de faire passer un message, de représenter une chose qui se trouve dans une cervelle pour le rendre compréhensible dans un autre cerveau. Doit-on éradiquer toute autre forme de transfert écrit que celle que nous utilisons habituellement, de figer toute évolution? Celle là, elle est pour Leopardi, pour la profondeur philosophique humoristique, :smile2: ( je me sens d'humeur à tous vous titiller ) Ah je ne crois pas non, par contre qu'il soit "provocateur" pour la parturiente des idées chez l'autre, je n'en doute absolument pas.
  6. Si tu me permets DdM, je dirai qu'en fait nous sommes sur le débat, et que c'est de refaire le procès du débat philosophique qui constitue un sous-débat, car le sujet est " l'écriture sur les forums ", et les smileys font partis à présent de l'écriture sur les forums! ( c'est d'actualité )
  7. 1-En général oui, tout dépend de la connivence des intervenants. 2-C'est à dire que face à un interlocuteur physique, les expressions du visage ont un rôle reconnu par le récepteur, mais dans un échange écrit ces informations sont perdues, le rôle principal de ces visages simplissimes est de les redonner, mais elles sont majoritairement utiliser avec légèreté, ce qui ne les empêche pas de remplir leur rôle, parfois jusqu'à l'excès, au même titre que la personne qui rit à tout ce que l'on dit, ou conteste tout en bloc, ou encore hoche la tête mécaniquement en guise d'acquiescement mais n'écoute pas, etc... Elles ne révèlent pas, elles accompagnent le commentaire, c'est à dire qu'elles n'amplifient pas toujours quelque chose d'existant, mais peuvent apporter un plus qui ne transparaissait pas, ou éviter une ambiguïté, dédramatiser une situation ( en plus de l'emploi le plus courant/répandu: l'humour basique ).
  8. Euh, non, il suffit de les combiner, et encore si tu cliques sur "afficher tout" ça fait bien plus qu'une douzaine! Avec l'informatique ont fait des tas de trucs formidables, et pourtant tout repose sur 2 valeurs uniquement, alors imagine avec toutes ces petites figures que l'on peut marier à volonté... vertigineux! Tout simplement, si on regarde d'un unique point de vue: la tolérance, on ne peut décemment pas d'un coté demander que la philosophie puisse inclure un brin d'humour, et de l'autre soutenir que dans les forums les émotîcons sont déplacées, comme je l'ai écrit tout est une question d'équilibre, qui dépend de la sensibilité de chacun, ainsi que du contexte, au même titre que je ne ris pas à un enterrement, ou que je fais grise mine à un mariage, entre les deux il y a toute une palette de nuance. ************ Personnellement quelques smileys ne me gêne pas, et sont même bien venus si il y a un doute sur l'intonation du propos, soit que j'écris ou qui m'est adressé, je suis plus perturbé par l'emploi de mots grossiers ou des tournures familières, que de punaiser ces petites frimousses à coté de nos écrits. D'ailleurs le langage symbolique que nous utilisons grâce aux mots n'est autre que des dessins ayant une signification indirecte par les sons qu'ils produisent en nous, alors qu'une figure nous parle directement, comme dans la vraie vie, où l'image arrive "avant" le son ( ce n'est pas de la physique ), il faut savoir que Irl, nous ce que nous retenons d'un échange est 90% non verbal, autant dire que les mots ne sont pas prioritaires, et pour redonner cette dimension perdue par l'usage exclusif des lettres qui s'alignent sur nos écrans, un peu de chaleur humaine est la bienvenue, au même titre que les mots ne remplaceront jamais une accolade par exemple!
  9. Admettons que mes liens n'étaient pas exempts de travers, mais à la lecture des tiens, je ne suis pas pleinement convaincu non plus, reprenons: Primo: Un QI de 160 ça veut dire quoi: "Steve Jobs likely had an IQ roughly 160 or above. In Walter Isaacson's biography, near the end of 4th grade Jobs was tested. Jobs said: 'I scored at the high school sophomore level.' This means he was a 4th grader performing at the 10th grade level. The average 4th grader is 9 or 10 years old and the average 10th grader is 15 or 16 years old. Using the standard mental age/chronological age x 100 = IQ formula, we can create rough boundaries. Lower bound: 15/10 x 100 = 150 IQ. Upper bound: 16/9 x 100 = 178 IQ. Average of the bounds is 164 IQ. Of course, if Jobs was a young 4th grader then his IQ would be even higher. Steve Jobs clearly had exceptional intelligence, regardless of what his exact IQ score was. This makes sense, considering that Bill Gates, the other wunderkind, said 'Software is an IQ business.'" Ça veut dire qu'à dix ans il était précoce et avait les connaissances d'un gamin de 16ans en ce qui concerne les performances typiques des tests de QI, c'est à dire logico-mathématique, uniquement. Le résultat est extrapolé/supposé ( alleged ) identique ou supérieur à son age adulte, mais de quel droit? Si on constate qu'un enfant de 10 ans a la force physique habituelle de ceux de 16ans, je ne vois pas comment on peut préjuger qu'une fois adulte cet écart important demeurera! Secundo: Lorsque tu dis, mais tu n'es pas le seul, que le " top 1% des super cerveaux " est corrélé avec le " top 1% des plus hommes les plus talentueux économiquement ", tu oublies que cela ne concerne principalement que le secteur particulier des technologies de pointes et les investissements ( et encore: " The financial rewards for brains are much higher today in various occupations up and down the ladder than they were in the past." ), qui demandent effectivement des compétences en rapport avec les mathématiques, alors que cela n'est pas nécessairement vrai, aussi pertinent avec d'autres secteurs d'activités: In the figure above (which includes data on 332 American billionaires), attendance at “Elite Schools” (blue) indicates top 1% in brains status. The designation of “Graduate” (red) indicates a graduate degree and likely top 1% in brains status. “Bachelors” (green) indicates college attendance. “No College” (purple) indicates no college attendance. Tertio: Je rappelle que les tests de QI fonctionnent relativement à une moyenne, entre autre ici Nord Américaine, c'est à dire que si la grande majorité des américains ne sont pas doués pour les mathématiques, ce qui semble être le cas ( " Yet ironically, America undervalues math and spatial skills—it is socially acceptable to be bad at math. (Not exactly the case when it comes to reading.) " ), la valeur moyenne définissant la référence risque fort d'être "basse" mais indexée à 100, comme n'importe quel autre pays! Alors que par exemple la France a autant si ce n'est plus de médailles FIELDS que les USA pourtant 5 fois plus nombreux, je n'irai pas jusqu'à dire que nous sommes 5 fois plus intelligents, mais il est fort à parier que leur niveau 100 dans les Test QI ne corresponde qu'à un niveau moindre dans les nôtres de 10 ou 20 points, ou plus? Ce qui implique qu'un individu américain avec un QI de 160 au USA, n'aurait sans doute pas le même résultat en France, très certainement moindre, le ramenant dans les "doués", quand bien même une même personne qui passe des tests différents obtient aussi des scores différents jusqu'à 30%! ( j'ai perdu la citation et le lien ) D'ailleurs les Indiens ne sont pas en reste non plus: " Erik Hanushek, Paul Peterson, and Ludger Woessmann examined American students who scored in the top 6 percent on the mathematics section of the Program for International Student Assessment (PISA) and compared the percentages of students from other countries who also scored at this advanced level. Most European countries have two times the percentage at the advanced level; Taiwan's population boasts almost five times the percentage at the advanced level. " Quarto: Enfin, dans le "top 0.01% des supers intelligences" ont trouve essentiellement des personnes des sciences ou des mathématiciens, qui eux n'ont pas de réussite économique particulière, ne sont pas de brillants hommes d'affaires, que devons nous en conclure, que la corrélation souffre d'exceptions? " Those who score above 160 are primarily the very smartest mathematicians and physicists, whose success depends to a great deal on their raw mental processing power. " Sans compter d'autres facteurs, comme l'accès aux grandes écoles, où les parents sont prêts à tout pour que l'enfant suive un cursus noble/prestigieux, de plus il faudrait jeter un oeil à l'environnement familiale qui joue un rôle important de ces " scary smart " , tant dans la conception de la vie, que des voies déjà tracées. Et n'oublions pas le facteur chance qui intervient dans l'équation, mais qui sourira plus volontiers aux audacieux, dont le cadre de vie peut faciliter l'émergence! Il serait également bien venu de regarder de plus près la réussite de ces "grands" hommes, n'ont-ils tout simplement pas l'intelligence d'exploiter celles d'autres plus performantes/pointues que les leurs dans un domaine poussé, et en l'occurrence de la main d'oeuvre chinoise?: " Bill Gates applied the same logic to select Ph.D.-level scientists for Microsoft Research Asia in Beijing (Friedman,2007); by administering successively more difficult IQ, mathematics, and computer-science tests, he eventually selected 20 people out of an initial pool of 2,000! " ********************** Ne pouvant "démontrer" l'erreur commise et répandue, et qui est aussi problématique même chez les experts quant à la place véritable du QI dans la réussite ( Cf: le quotient émotionnel: QE ), j'espère au moins avoir montrer la bonne voie!
  10. Lorsque l'on est jeune, la mort est certes préoccupante, mais en général assez vite éludée, pour se consacrer à ce qui nous procure du bienêtre, en vieillissant, notre corps ou celui des autres montrent des limites, des défaillances, nous rappelant l'horreur de notre finalité, ces pensées deviennent à leur tour source de questionnement, d'interrogations, qui nous poussent à y prêter attention de façon plus soutenue, ce qui était ignoré ou délaissé auparavant, se faisant, ces nouvelles situations à risques engendrent une réflexion plus poussée, ce qui enclenche un cycle infernal, et plus on y pense, plus le spectre de cette fin inéluctable se fait pressante! Faut-il se forcer à ne pas y penser/songer pour notre propre bien, d'une certaine manière de redevenir insouciant, ou au contraire régler le problème à bras le corps, et regarder jusqu'où nos pensées nous entrainent, affronter et surmonter ses propres démons au risque d'en être obnubiler?
  11. Hérésie! D'une part, tu ne tiens pas compte de ce que je t'écris , qui relativise grandement ce que tu penses/exprimes, et secundo, comme tu n'échanges avec personne de particulier, j'ai plus le sentiment d'un monologue, d'un défouloir dans un journal intime , tu n'as pas de correspondant, pas d'échange avec un autre forumeur, donc pas de nécessité quelconque d'informer l'autre de tes intentions par une petite figure , ce qui semble corroborer ce que tu avances, sauf qu'il n'y a pas débat! D'une part, tu ne tiens pas compte de ce que je t'écris :bad:, qui relativise grandement ce que tu penses/exprimes, et secundo, comme tu n'échanges avec personne de particulier, j'ai plus le sentiment d'un monologue, d'un défouloir dans un journal intime , tu n'as pas de correspondant, pas d'échange avec un autre forumeur, donc pas de nécessité quelconque d'informer l'autre de tes intentions par une petite figure , ce qui semble corroborer ce que tu avances, sauf qu'il n'y a pas débat! D'une part, tu ne tiens pas compte de ce que je t'écris :cool:, qui relativise grandement ce que tu penses/exprimes, et secundo, comme tu n'échanges avec personne de particulier, j'ai plus le sentiment d'un monologue, d'un défouloir dans un journal intime :blush:, tu n'as pas de correspondant, pas d'échange avec un autre forumeur, donc pas de nécessité quelconque d'informer l'autre de tes intentions par une petite figure :smile2:, ce qui semble corroborer ce que tu avances, sauf qu'il n'y a pas débat! Vois tu des différences? 1- neutre 2- désagréable/mécontent/agressif 3- humour/dédramatisant/pacifiste De même à quoi peut bien servir des formules de politesse, c'est une pure perte de temps, de l'hypocrisie, non? Comment peut-on se demander si l'humour a sa place en philo, et en même temps s'insurger contre l'emploi de succédanés d'émotions/sentiments dans les textes? Soit on recherche à être puriste, soit on tolère aussi ce que les autres pratiquent?
  12. On verra! :smile2: Tiens toi prête à ce que je te le rappelle...
  13. Je ne trouve aucune confirmation de cette hypothèse, si ce n'est celle inverse: http://www.millionna...plus-eleve.html http://www.millionna...plus-eleve.html Ou de façon plus humoriste ( http://www.dorffer-p...i-42084055.html ): Tout le monde connaît le Théorème du Salaire qui établit que les ingénieurs et les scientifiques ne peuvent JAMAIS gagner autant que les hommes d'affaires et les commerciaux. Ce théorème peut enfin se démontrer par la résolution d'une équation mathématique simple :Notre équation s'appuie sur deux postulats très connus : Postulat N° 1 : La Connaissance c'est la Puissance Postulat N° 2 : Le Temps c'est de l'Argent Tout ingénieur sait que Puissance = Travail / Temps Puisque Connaissance = Puissance et que Temps = Argent, on a donc : Connaissance = Travail / Argent On obtient alors facilement : Argent = Travail / Connaissance Ainsi quand la Connaissance tend vers zéro, l'Argent tend vers l'infini Quelle que soit la valeur attribuée à Travail, cette valeur peut être très faible. A l'inverse quand la Connaissance tend vers l'infini, l'Argent tend alors vers zéro, même si la valeur Travail est élevée. D'où, la conclusion évidente suivante : Moins vous en connaissez, plus vous gagnez d'argent.
  14. Et les fils à papa! Car n'oublions pas le prix exorbitant pour faire une grande école. Comme toutes les bêtes de courses, lorsque l'on pousse trop loin la machine, au delà de son fonctionnement naturel, il apparait des troubles, comme chez les stars et autres célébrités, plus enclines a avoir des problèmes, alors qu'elles ne sont pas nécessairement précoces. Evariste Galois n'aura été que de passage sur cette Terre, il aura eu un trait de génie, mais ce sont ses re-découvreurs/continuateurs qui auront su développer ses travaux. Bien sûr qu'il y a eu des génies, mais je rappelle que certains ont tout de même raté leur vie en dehors de leur passion, ou raconté des absurdités: TURIN, EINSTEIN, NEWTON, DESCARTES, CUVIER. Et que dire de ces personnes " surdouées" dans un domaine autre que leur domaine de prédilection? Non les tests de QI sont né d'un besoin de caractriser des déficiences mentales, le système a été perverti pour l'utiliser chez des personnes saines. On sait également aujourd'hui que le facteur le plus déterminant dans la réussite est le QE, le QI n'y serait que subordonné dans le meilleur des cas: http://fr.wikipedia....3%A9motionnelle http://www.journaldu...tionnel/1.shtml http://le-manager-ur...de-la-reussite/ http://www.ufapec.be...e-emotionnelle/ http://www.atlantico...rps-359949.html http://r.search.yaho...gb8uvDvSJiZgUo- " L'intelligence émotionnelle est un concept nouveau ; son influence peut être importante voire supérieure à celle du QI dans le cours d'une vie. L'intelligence théorique n'est pas directement liée à la vie émotionnelle et un QI élevé ne met pas à l'abri des passions et des pulsions. Nombre de méfaits impulsifs et d'actes irrationnels commis par des êtres intelligents l'attestent. L'intelligence théorique ne prépare pas l'individu à affronter les épreuves de l'existence et à saisir les opportunités qui se présentent. Bien qu'un QI élevé ne garantisse ni prospérité, ni prestige, ni bonheur, nos écoles et notre culture en font pourtant leur panacée et ignorent l'importance de l'intelligence émotionnelle. L'aptitude émotionnelle est une méta-capacité qui détermine avec quel bonheur nous exploitons notre potentiel y compris notre intellect. Des habitudes de pensées qui stimulent notre propre productivité permettent de mener une vie plus satisfaisante et efficace. En revanche, les conflits intérieurs sabotent les facultés de concentration et la pensée claire. "
  15. Non, pas tout à fait, ce que mesure les tests, puisque c'est dans un temps imparti, ce sont des automatismes établis/effectifs, dit autrement et c'est un biais connu, plus on a la chance d'avoir un parcours initiatique plus on réussira au tests, que ce soit par l'école, l'environnement familial ou le plaisir de faire des épreuves psychotechniques: c'est un peu ce qui se passerait si l'on demandait de réagir en temps réel au volant virtuel d'un simulateur, un conducteur expérimenté et une personne n'ayant pas passé le permis, les réflexes priment sur la réflexion, et si intelligence il y a, c'est justement par l'art et la manière de trouver une réponse, ce qui demande une forte cogitation et donc du temps, et non point répondre du tac-o-tac ce que l'on sait, que l'on a intériorisé, sans forcément en comprendre les tenants et les aboutissants, mais juste par réponse mécanique, alors que notre novice si il avait le temps de composer son mouvement par la réflexion ferait montre certainement d'une réussite identique, la dextérité demande un entrainement qui en retour permet de réagir vite, mais ceci est indépendant des facultés intellectuelles à proprement parler. De plus, le poulpe est réputé très intelligent, et à ma connaissance aucun n'a réussi le moindre test de QI, ce qui tend à montrer également que le test de QI est inutile quand nous ne sommes pas face à un cas pathologique, nous ne savons pas très bien ce que nous mesurons, pas plus que les électro-encéphalogrammes n'indiquent quelque chose de précis lorsque l'on a deux patients sains. En fait dans la mesure où les test fonctionnent principalement sur un mode logico-mathématique, il n'y a rien d'étonnant que ceux qui les réussissent, s'épanouissent dans une branche qui utilise ce type de compétences, c'est comme si on faisait passer des épreuves de forces, puis que l'on constatait que les haltérophiles ou les types de la voirie réussissaient mieux que monsieur lambda dans leur tâche. Il y a des intelligences multiples! Le terme surdoué est presque impropre, il vaudrait mieux parler de précocité, car ne soyons pas dupe, dans l'apprentissage/la progression qui s'essouffle avec l'âge, à l'instar du sportif, ceux qui auront pris une longueur d'avance risque fort bien de la garder toute leur vie, surtout si on a favorisé leur développement, comme le judoka ou le rugbyman qui a commencé à 6ans, difficile de lui arriver à la cheville à ses 20ans si il n'a jamais arrêté, n'importe qui élevé comme une bête de course aura un avantage sur les autres, dans son domaine de prédilection, certes le raisonnement peut s'appliquer à bien des sujets, mais il faut malgré tout un minimum de bagages pour dégager des idées dessus, impossible même au plus grand génie, de dire quelque chose sur le comportement d'un système à trois corps newtonien si il ne connait aucune des lois de Newton y compris celle de l'attraction universelle, d'un autre coté, être trop intelligent peut parfois être handicapant lorsque l'on ait entouré de gens ordinaires, imparfaits, irrationnels et limités, comment dès lors cerner ceux qui ne se comportent pas logiquement? Sinon effectivement je pense aussi que l'hypersensibilité n'est pas spécifique aux QI élevés, car celle-ci est liée aux émotions qui peuvent être de touts sortes et suscitées par différents facteurs, tel l'apparence, le niveau social, les revenus, l'aisance, les habits, les biens matériels, un handicap, une malformation, un état de santé, etc... et sa façon d'appréhender le monde!
  16. L'intelligence est protéiforme et le QI ne mesure qu'une fraction de nos possibilités, et cette partie en elle même ne permet pas de présager de l'avenir, néanmoins nous ne sommes pas égaux, et d'aucuns fourniront peu pour obtenir beaucoup quand d'autre fournirons beaucoup pour obtenir peu, il en va de même avec le sport, c'est pour cela que souvent on parle volontiers de don pour cette réussite "facile", toutefois celui qui est doué au football n'est pas nécessairement mieux placé qu'un autre pour tout autre tâche. Ce qui compte c'est d'arriver où l'on souhaite, il est également notoire qu'un type par exemple sportif, à l'esprit vif et grand ne cherchera pas à devenir basketeur, peut-être que sa passion sera la pêche, mais que si il décidait d'aller dans ce sens, il aurait indéniablement un avantage sur d'autres prétendants moins bien pourvus à la base, mais dans une certaine mesure quand on veut, on peut surmonter les obstacles, comme ces personnes qui pratiquent un handi-sport et fonct mieux que des valides non/peu sportifs.
  17. La théorie des intelligences multiples suggère qu'il existe plusieurs types d'intelligence chez l'enfant d'âge scolaire et aussi, par extension, chez l'Homme. Cette théorie fut pour la première fois proposée par Howard Gardner en 1983. Sommaire 1 L'origine de la théorie 2 Les diverses catégories d'intelligence pour Howard Gardner 2.1 L’intelligence logico-mathématique 2.2 L’intelligence spatiale 2.3 L'intelligence interpersonnelle 2.4 L’intelligence corporelle-kinesthésique 2.5 L'intelligence verbo-linguistique 2.6 L’intelligence intra-personnelle 2.7 L’intelligence musicale-rythmique 2.8 L’intelligence naturaliste-écologiste 2.9 L’intelligence existentielle
  18. Illustration de l'excès?!:
  19. J'ai écrit une chose semblable également au-dessus. Mais rien n'empêche aussi d'apprendre de quelqu'un qui sait moins, car la réunion crée un état qui n'existait pas avant. Ah là, c'est beaucoup moins sûr, il y a un certain nombre de choses qui se conçoivent bien, mais avec lesquelles ont a les plus grandes peines à donner des explications: la Vie, le Temps, l'Amour, notre Finalité par exemples, où il m'aura fallu que de simples mots pour être compris de tous, mais dont chacun soulèvera d'innombrables difficultés pour l'appréhender que sommairement! Il est évident que nous ne venons pas avec les mêmes motivations, le lieu est commun, mais pas les objectifs nécessairement, du moins la conception de l'échange et ses résultantes. Mais il se passe ici, les mêmes choses que ce qui se passent Irl, ce n'est pas les feux de l'amour, car on n'a ni le son, ni les images, mais l'essence même y est! Tous les cas de figures sont possibles! Tout dépend des intentions du forumeur. Qui prétend le contraire? Mais en quoi cela justifie de restreindre son expression? Un geste, un regard, un mot, un son, un graffiti et/ou un smiley, qu'importe! Du moment qu'on ait l'ivresse, peu importe le flacon.
  20. Non tu ne peux pas! :smile2: Tout dépend où l'on se trouve, on ne peut pas écrire comme on veut, ni ce que l'on veut, où l'on veut! Pas plus que dans la vraie vie, on peut toujours le faire quand même, mais c'est déplacé. J'ai récemment fait une intervention dans la rubrique Science, pour remettre "bon ordre" à ce qui a été suggéré à propos de la "superlune "
  21. Malheureusement il ne peut pas toujours en aller ainsi, ce qui nous pose d'ailleurs de si épineux problèmes depuis des siècles, car contrairement à la mathématique, le discours ne peut pas suivre cette voie, les mots, les concepts et les idées ne sont pas aussi bien définis que les axiomes mathématiques! De plus l'induction, ne nous garantit rien du tout, si je reprends l'exemple du levée de soleil, il n'y a strictement rien qui nous assure qu'il en sera toujours ainsi, quand bien même aussi loin que l'on puisse remonter cela a toujours été vérifié, ( il suffit pour cela de changer de référentiel, et de se positionner sur la lune qui, dans des temps reculés, "voyait" des levées de Terre, avant de subir une synchronisation ), ou encore celui du tas de sable: à partir d'un tas de sable je retire un grain, c'est toujours un tas de sable, puis à nouveau un grain ( itération ), c'est encore un tas de sable, l'induction me conduit à penser qu'il en sera toujours ainsi, et sans doute pendant de nombreux essais, jusqu'à ce qu'arrive le moment fatidique où il ne restera qu'un seul grain, ce n'est plus un tas de sable! La feuille "bat" le puits, le puits "bat" le ciseau, mais le ciseau "bat" la feuille! La logique aristotélicienne est mise à mal. En fait nos seules certitudes sont celles dû à nos expériences répétées, la logique n'y échappe pas, c'est pour cela que la mécanique quantique est si impénétrable! La rationalité suit également les découvertes des lois de la nature, ce qui l'est ( semble l'être) à notre échelle, ne l'est plus à celle nanoscopique.
  22. Je tiens à préciser que j'ai lu toutes les interventions suivantes également. Pourquoi est ce un mal de faire une sorte de concaténation entre deux mots, nous l'avons fait pour courriers électroniques et qui donne courriel! Est-ce véritablement le vocable qui pose problème ou ce à quoi cela renvoie? D'un autre coté, personne n'a pensé à faire une approche psychologique de ces petites figures! Car lorsque nous sommes face à une personne, celle-ci s'exprime bien évidemment avec des mots agencés en phrases, mais nous sommes tout autant sensible, si ce n'est plus, à son comportement forcé ou instinctif, c'est à dire les gestes volontaires qui accompagnent le discours ou les expressions faciales non contrôlées, ce que l'on nomme le langage non verbal, et celui-ci vient soit renforcer, soit trahir une autre intention du locuteur, car les mots seuls peuvent prêter à confusion: Bravo, je vous remercie! :) Bravo, :bad:, je vous remercie! Je ne les trouve pas superfétatoires, au contraire, parfois ils sont nécessaires pour palier cet inconfort visuel absent, et je les utilise surtout pour que mon auditeur ne se méprenne pas sur mes intentions, c'est donc effectivement une démarche volontaire, sciemment orchestré. Je ne dirai pas qu'ils sont indispensables non plus, cela dépend aussi de la sensibilité des personnes, ce n'est pas vital, cela apporte une dimension plus "humaine" devant ces mots qui s'alignent froidement sur l'écran matériel/inanimé. Après c'est comme tout, il y a une marge d'utilisation qui peut vite tourner vers une "extrêmisation", mais surtout cela dépend de ce que l'on attend d'une discussion! D'où ma question première. Et parfois il faut aussi savoir s'adapter à son public!
  23. Oh mais les hommes politiques ont parfaitement compris cela! L'art d'employer des mots suffisamment lâches/flous pour que chacun puisse l'entendre comme il a envie que cela résonne dans sa tête! Alors que le scientifique passe pour un extraterrestre, un illuminé, un irréaliste, car incompris justement pour la finesse de son étude. Sur un seul jet, il est difficile d'en tirer quelque chose, mais à la longue, on finit par cerner la personne, non pas positivement, mais par ce qu'elle n'est pas, ce qui laisse toujours une marge de manoeuvre, et des surprises. C'est vrai, peut-on en vouloir à quelqu'un? Quand je vais à une réunion professionnelle, ou à un repas de famille, les gens s'agrègent en fonction des affinités/attirances, non? C'est un phénomène naturel.
  24. Le temps n'est pas un critère pertinent pour qualifier l'intelligence, ce qui compte c'est le cheminement d'où l'on part et où l'on est arrivé. Les automatismes et la motivation vont influer sur la durée, à ne pas confondre avec une vision instinctive d'un problème, où l'intelligence s'exprime sur un mode inconscient, plus performant en terme de vitesse, mais dont on ne voit pas la progression/l'avancement en général!
  25. Oui, et on continue à le faire quand on veut connaitre celle des autres animaux, car on les compare à notre propre savoir. C'est marrant, car c'est pratiquement ce que je dis à l'un de mes enfants, l'intelligence c'est comme une voiture de sport, ce qui compte c'est celui qui conduit, puisque un pépé dans une formule 1 face à un pilote chevronné dans une 4L, je pense que c'est le deuxième qui arrivera à s'en sortir correctement. ( Ou encore dernièrement avec la pub pour les paris: ce n'est pas les cartes que vous avez entre les mains qui comptent, c'est ce que vous en faites! ) Tout à fait, Cf mon intervention antérieure qui citait des commentaires passés sur l'Intelligence.
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