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Tout ce qui a été posté par Mowgli
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Pourquoi cette merveilleuse invention n'est pas vendu en masse alors qu'on crève tous de chaud. https://www.sony.co.uk/electronics/reonpocket5
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C'est l'alcool, ca fait transpirer, ca sort que par la transpi.
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je n'arrive pas à tomber amoureuse
Mowgli a répondu à un(e) sujet de nonam62 dans Amour et Séduction
Peut-etre faut juste penser à faire boom boom, et l'amour viendra ensuite -
Les bombardements de l’OTAN qui ont déclenché une nouvelle ère de guerres https://www.bbc.com/afrique/articles/c3gkj87ekgpo Alexandre Miladinovic, Service serbe de la BBC 28 mars 2024 Il s’agissait à l’époque de la plus grande opération militaire sur le sol européen après la Seconde Guerre mondiale. Il s’agissait également de la première intervention internationale sans l’approbation préalable du Conseil de sécurité de l’ONU, créant un précédent pour l’invasion américaine de l’Irak quatre ans plus tard et une décision souvent utilisée par le président russe Vladimir Poutine pour justifier ses invasions de l’Ukraine et de la Géorgie. Le 24 mars 1999, il y a maintenant 25 ans, l'OTAN a lancé une campagne aérienne de 78 jours contre ce qui était alors la Yougoslavie, après l'échec de nombreuses tentatives politiques visant à mettre fin à la répression violente et aux meurtres d'Albanais de souche au Kosovo. Les opérations de l’OTAN avaient des objectifs essentiellement militaires en Serbie, au Kosovo et au Monténégro, tout en affectant des infrastructures civiles cruciales. Les autorités de Belgrade ont déclaré qu'au moins 2 500 personnes avaient été tuées et 12 500 blessées, mais le bilan exact des morts reste incertain. Human Rights Watch et Amnesty International affirment qu'environ 500 civils ont été tués dans les frappes aériennes. Plus de 300 000 Albanais ont fui le Kosovo lors des bombardements et ont trouvé refuge en Macédoine du Nord et en Albanie voisines. Les bombardements ont pris fin en juin 1999, lorsque le dirigeant serbe Slobodan Milosevic a accepté un accord de paix appelant au retrait de ses forces du Kosovo et à leur remplacement par des soldats de maintien de la paix de l'OTAN. Vingt-cinq ans plus tard, l'Otan est toujours présente au Kosovo , avec près de 5 000 soldats sur le terrain, souvent pris dans des affrontements sporadiques entre les forces de sécurité du Kosovo et la minorité serbe. Absence d'approbation de l'ONU Des années d' échec diplomatique pour parvenir à une solution politique à la crise du Kosovo ont abouti à un autre échec en 1999. Les tentatives des alliés occidentaux de négocier une majorité favorable à une action militaire à l’Assemblée générale de l’ONU et d’éviter un veto russe ou chinois au Conseil de sécurité de l’ONU ont échoué. Jamie Shea, porte-parole de l'OTAN à l'époque, affirmait que la grande majorité des membres de l'Assemblée générale et du Conseil de sécurité de l'ONU soutenaient effectivement l'intervention de l'OTAN. "Ce n'est pas qu'il n'y a pas eu d'approbation de l'ONU, ni de la Russie ", a déclaré Shea à la BBC Serbie. "La campagne était une intervention humanitaire", a-t-il déclaré. "Il a été conçu pour mettre un terme aux violations des droits de l'homme et à la violence contre les civils et pour permettre à la population albanaise du Kosovo de rester au Kosovo." Bien qu'elle ait bloqué tous les efforts de l'ONU visant à adopter une position commune, la Russie a rapidement adopté le soi-disant « précédent du Kosovo » pour justifier ses propres interventions militaires ."En février 2008, la Russie a envahi la Géorgie, sous prétexte de protéger les russophones de la province séparatiste d'Ossétie du Sud de l'armée géorgienne", a déclaré Kenneth Morrison, professeur d'histoire à l'université De Montfort de Leicester.Morrison a ajouté que le même prétexte avait été utilisé lorsque la Russie a envahi l’Ukraine en 2022, même si certains événements immédiatement après la dissolution de l’URSS allaient dans une direction similaire."La Russie a justifié ses actions militaires en 1992 et 1993 en Moldavie et en Géorgie par la protection des civils contre les crimes de guerre", a déclaré Aleksandar Djokic, analyste politique."Nous pourrions dire que l'OTAN a également tiré des leçons de la Russie, et non l'inverse , même si Poutine rappelle constamment le 'précédent du Kosovo'", a-t-il soutenu. Tony Blair considère la campagne du Kosovo comme la preuve que la force militaire peut être utilisée pour « libérer » les peuples des régimes autoritaires, a déclaré Kenneth Morrison. Sur la carte du monde, le bombardement de la Yougoslavie par l’OTAN a eu des conséquences considérables, bien au-delà du continent. "Les architectes de cette campagne, dont le Premier ministre britannique Tony Blair, considéraient la campagne du Kosovo comme un succès sans réserve et la preuve que la force militaire pouvait être utilisée pour "libérer" les peuples des régimes autoritaires ou de la violence d'État", a déclaré Kenneth Morrison. "Sa conviction que la force pouvait être utilisée pour atteindre des objectifs humanitaires et affronter des régimes autoritaires, aussi nobles soient-ils en principe, a déclenché un désastre en Irak", a-t-il soutenu. Des objectifs controversés Le 24 avril 1999, des missiles de l'OTAN ont touché le bâtiment abritant la chaîne de télévision publique RTS, tuant 16 de ses employés et en blessant 18. L'alliance a ensuite affirmé que l'attaque était justifiée parce que la RTS faisait partie d'une « machine de propagande » du gouvernement de Milosevic, tandis que Belgrade l'a qualifiée d'« acte criminel ». Le 7 mai, lorsque le ministère de l'Intérieur et l'état-major de l'armée serbe ont été bombardés, plusieurs missiles ont touché l'ambassade de Chine à Belgrade, tuant trois journalistes chinois et blessant plus d'une douzaine de ses collaborateurs.Les bombardements ont pris fin le 10 juin 1999 , après qu'un accord ait été conclu pour retirer toutes les forces de sécurité sous Belgrade du Kosovo et permettre l'arrivée de 36 000 soldats de maintien de la paix dirigés par l'OTAN. Slobodan Milosevic a été renversé lors d'un soulèvement populaire en 2000. Deux ans plus tard, son procès débutait devant le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, où il faisait face à 66 chefs d'accusation de crimes contre l'humanité, de génocide et de crimes de guerre . Il est décédé en détention en 2006, avant que la sentence ne soit prononcée.
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La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre contre les États-Unis. Une guerre permanente, économique, une guerre sans morts. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. Une guerre inconnue, une guerre permanente, sans morts apparemment, et pourtant une guerre à mort. François Mitterrand confie également à Benamou son opinion au sujet du futur de la France. Il dit qu'il pense qu'il sera « le dernier des grands présidents », « à cause de l'Europe… À cause de la mondialisation... À cause de l'évolution nécessaire des institutions… Dans le futur, ce régime pourra toujours s'appeler la Ve République… Mais rien ne sera pareil. Le président deviendra une sorte de super-Premier ministre, il sera fragile » François Mitterrand 1995 Après un rappel sur l'interdiction par l'ONU du recours à la guerre, il présente treize cas de conflits impliquant des pays membres de l'Otan, en dépit du droit international car sans mandat du Conseil de sécurité de l'ONU : en Iran en 1953, au Vietnam en 1964, ou encore en Irak en 2003. Noam Chomsky a écrit « qu'il y aurait des motifs sérieux pour inculper chaque Président des États-Unis depuis la Seconde Guerre mondiale. Ils ont tous été soit de véritables criminels de guerre, soit impliqués dans de graves crimes de guerre. » Les guerres illégales de l'OTAN : comment les pays membres de l'OTAN sapent l'ONU : une chronique de Cuba à la Syrie Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et la fondation de l'Organisation des Nations Unies, prévaut une interdiction de faire la guerre. Seules 2 exceptions permettent le recours à la force armée. D'une part subsiste le droit à l'autodéfense, et d'autre part une action guerrière contre un pays est autorisée en cas de mandat préalable et explicite du Conseil de Sécurité de l'ONU. Hormis ces deux cas précis, la guerre est, depuis plus de 70 ans, interdite en droit international. Cependant la réalité est toute autre. De nombreuses guerres dévastent le globe, et la fin des conflits militaires n'est pas en vue. Durant ces 7 dernières décennies, certains pays membres de l'OTAN ont trop souvent mené des guerres illégales, ce qui demeure encore aujourd'hui lourd de préjudices pour les populations des pays visés... mais sans conséquences pour les responsables. Ces chapitres vont décrire, à travers l'exemple de 13 pays, comment des guerres illégales furent menées dans le passé (Iran, Guatemala, Égypte, Cuba, Vietnam, Nicaragua, Serbie), et le sont encore dans le présent (Afghanistan, Irak, Libye, Ukraine, Yémen et Syrie). Il montre comment les fondements de l'organisation pacifique qu'est l'ONU, et en particulier l'interdiction de faire la guerre, furent clairement sapés. Une terrifiante description d'une angoissante actualité, un réquisitoire contre l'OTAN et un plaidoyer pour la paix.
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Le racisme a plusieurs branche : discrimination religieuse, discrimination raciale, discrimination culturel, discrimination sexuelle. De l'ethnodifférancialisme, l'homophobie ou le racisme culturel, c'est les mêmes processus, les mêmes mécanisme de l'ego Le fait de généraliser les religieux comme étant des personnes qui discriminent les autres parce qu'ils ne croient pas. C'est faux. Tu m'aurais dit l'homophobie j'aurais dit ouais... Mais la majorité des religieux suivent et essayent de croire, autrement dit les masses ne croient pas vraiment pour la plupart. On a pas la foi infuse. Ils suivent le groupe en tant que juif, bouddhiste, musulman, chrétien ou autres. Quelques illuminés, mais ils sont tous sceptique plus ou moins. La religion dans son essence explique que l'individu ne croit pas et il faut qu'il s'initie longtemps dans les pratiques religieuse pour arriver à être
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Le neoracisme si tu préfères. C'est interdit je crois http://assembly.coe.int/nw/xml/XRef/Xref-XML2HTML-fr.asp?fileid=21803&lang=fr
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Pas pour plus de 50% des êtres humain de la planète Terre. C'est pas ma faute si t'es raciste des religieux et tu ressens une envie haineuse et irrésitible de te moquer d'eux Baaa ils vous décrivent psychologiquement, les croyants peuvent ainsi mieux vous comprendre. Selon les textes c'est impossible que toi tu changes d'avis. C'est ton destin
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Comme il est écrit et relaté dans de nombreux texte biblique et coranique, les gens des enfers se moquent toujours de ceux qui croient en Dieu. "Leur coeur a été scéllé, un voile invisible et épais leur couvre cette vue et pour eux il y aura un grand chatiment" "Et ils prennent les croyants en dérision et pour des faibles d'esprit, alors que ce sont eux les véritables faible d'esprit, mais ils ne le savent pas"
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Harvard, Stanford et la NASA continuent de glorifier les nazis Comment les grandes institutions américaines d'aujourd'hui peuvent-elles honorer les nazis et blanchir leur histoire brutale ? Dans un article d'opinion choquant dans le New York Times, Lev Golinkin écrit sur la célébration de nazis de premier plan dont les noms ornent encore les programmes de Harvard et de Stanford, une partie du centre spatial Kennedy de la NASA et un poste de l'armée américaine. Alors que Harvard envisage l'histoire de l'université qui tire profit de l'esclavage, Golinkin exhorte ces institutions à compter les bourses et les bourses encore appelées par les noms d'hommes qui ont commis un génocide de masse et aidé Hitler dans leurs recherches scientifiques à exterminer la nation juive. Comment cela a-t-il commencé ? Les anciens nazis étaient nécessaires par les États-Unis après la guerre pour leur expertise et leur technologie. L'Allemagne était divisée entre l'est et l'ouest. L'Union soviétique est devenue le plus grand adversaire de l'Amérique. Washington a dû rivaliser avec le Kremlin et arrêter la propagation du communisme en Europe. De nombreux nazis sont devenus des cohortes avec les États-Unis dans leur combat de la guerre froide. Soudain, leur passé fut assainis, les taches de sang blanchies. Washington a même recruté d'anciens scientifiques nazis dans le cadre de leur tristement célèbre programme d'opération Paperclip. Rencontrez les nazis dont les noms sont toujours honorés : Alfred Krupp était un baron industriel qui a été reconnu coupable de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité lors des procès de Nuremberg. Krupp avait une entreprise qui a mis environ 100 000 personnes à travailler à Auschwitz, dans une usine de fabrication d'éto-asservis. Les ouvriers forcés comprenaient les enfants et les détenus des camps de concentration. En 1974, des millions de dollars de Krupp ont été utilisés pour créer le professeur d'études européennes de la Fondation Krupp ainsi que la bourse de recherche de la recherche de la Fondation Krupp à Harvard. Il n’est pas fait mention des crimes de Krupp contre l’humanité. Ceux qui portent son nom comme ils étudient, portent inconsciemment les ombres de ses atrocités. Ensuite, il y a von Braun et Kurt Debus, deux scientifiques qui ont remis Hitler le missile balistique V-2. Ce missile a été construit par des prisonniers des camps de concentration dans un complexe souterrain qui a crié la mort. Au moins 10 000 captifs réduits en esclavage ont été tués alors qu'ils fabriquaient ces roquettes. La terre était remplie de cadavres émaciés, découverts par les troupes américaines à la libération. Qui ne peut pas être ébranlé et stupé par un tel spectacle? Pourtant, ces deux scientifiques se sont vu offrir des emplois à Washington. Golinkin cite la section « À propos de nous » des États-Unis. Space and Rocket Center (musée affiliée au Smithsonian et accueill d'un programme Space Camp loue von Braun): «Dr. Werner von Braun et son équipe de scientifiques des fusées ont transformé Huntsville, en Alabama... en un centre de technologie qui abrite aujourd'hui le deuxième plus grand parc de recherche aux États-Unis ». Von Braun est honoré sur le site, son nom est apposé sur une salle de recherche de l'Université de l'Alabama, un centre d'arts du spectacle et un planétarium. Comment stupéfiant de célébrer l'art, la musique et l'espace avec le nom de quelqu'un qui a étouffé la vie des âmes les plus innocentes de cette planète. En effet, c'était le paradoxe cruel d'Hitler et de ses machines à tuer. Ils étaient les grands amateurs d'art, de musique et de culture, tout en assassinant des millions de personnes au son de leurs concertos préférés. Et en Floride, il y a le complexe de visiteurs du centre spatial Kennedy de la NASA où vous trouverez le Dr. Kurt H. Centre de conférence Debus. Sa biographie à couper est présentée comme ambigu, un court paragraphe sur le fait qu'il a vécu en Allemagne. Il est inconcevable que le 24 juinth, le directeur du Centre spatial Kennedy ait accepté le Dr. Kurt H. Prix Debus. Le scientifique qui a permis un meurtre de masse a été fêté sur la page web de la NASA. Enfin, l'arsenal de Redstone, un poste de l'armée américaine à côté de Huntsville, a un complexe nommé d'après von Braun. Des photos sont présentées et il est décrit comme le directeur technique du centre où le V-2 a été développé. Qui, aujourd'hui, a même une idée de ce qu'était le V-2 ? Ces institutions ont commodément blanchi les crimes percés, effacé la puanteur des actes meurtriers et effacé l'histoire sombre de ces criminels nazis https://aish.com/harvard-stanford-and-nasa-are-still-glorifying-nazis/
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C'est quoi ces troll qui arrive avec des arguments d'autorité comme s'il avait une chaire universitaire. Ces sectes influencent secrètement la politique d'aujourd'hui comme celle d'hier. Faut arrêter avec l'intox et les arguments d'autorité pierrot. Tu ne vas pas nous manipuler. A part mentir avec rien RIEN, même pas un seul argument. "ils sont dérangé et sans influence" Le groupe thulé, et d'autres groupes ont influencé le nazisme, les franc macon sur les politique de gauche, l'edelweiss vielle secte nazi est toujours présente par exemple https://www.lepoint.fr/societe/edelweiss-ces-neonazis-qui-font-dans-le-social-16-06-2017-2135864_23.php
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On se croirait dans one piece. Genre ce sera un Etat terroriste si l'etat palestinien existe, des visions raciste de ouf. L'église de satan ouais
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Pour que tu réfléchisses avant de balancer ton super virus sur des gens innocent. Fait pas ça landbourg stp En fait, plus sérieusement, hmm, je me dis que personne ne mérite l'enfer au départ. Mais si quelqu'un, de plus ancien que nous dans la création, un djin qui a un haut grade dans la hiérarchie, devient jaloux de nous. A eu de mauvaises attitude près des rapprochés de l'origine de la vie, quand le premier homme était là et qu'il était présenté... et qu'ensuite ce djin, satan, qui n'était pas de la race des anges, a dû partir de cet endroit unique... il était dégouté, et là encore il fait une erreur qui sera fatale... en disant à Dieu qu'il va se venger sur nous, Dieu leur dit que lui et ceux qui sont comme lui iront alors en enfer. Après le jour j.. Enfin, j'essaye de comprendre tu vois, mais j'en sais rien Au départ on aurait perdu un élement génétique jme dis avec ce fruit, et on a du aller sur Terre pour mourir afin de revenir au jour de la résurrection avec cet élément génétique. Ils disent que ça nous a rendu à poil et que du coup on devait aller sur la Terre
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Je parlais en fait de lunette spéciale. Une invention qui existe mais qui n'est pas vendu
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Malheureusement nous aussi on voit très tres tres tres bien que la position du tireur devant cette estrade au loin est a plus de 150 mètre. On le voit avec nos yeux qu'il est loin. Pas besoin de mentir. On le realise très bien qu'il est au bout, tout au fond, plus loin qu'un stade de foot... (un stadede foot fait 120 metre) impossible de toucher avec lunette x3 de vision. Ya pas moyen qu'il le touche la distance est trop loin pour etre sur de le toucher. Un mp15 ou un ar15 a cette distance. Du premier coup, allé, un film En fait vous pouvez voir que c'est un faux attentat par les réactions des gens qui sont derrière lui. Il se sont préparés à tout ça et sont là exprès pour le bon deroulement de l'operation. En fait si vous regardez bien, juste pour rire, le mec avec son chapeau derrière Trump il baisse ces yeux. Ils sont plusieurs complice autour et le type au centre coordine un peu, il fait semblant de pas le voir se baisser. Même l'enfant il sait, il regarde le gars au centre et son complice avec impatience... il se demande c'est quand que tu met du faux sang sur son oreille. Et au moment ou le type avec son chapeau baisse la tete pour faire son reglage trucage de faux sang en visant l'oreille. Le type du milieu qui savait que tout ca allait arriver fait le gars qui s'étonne de ouf... genre ouaaaw mauvais comédien... le seul à faire ça.. en regardant si le sang arrive bien à l'oreille... Regardez ceux qui font exprès de regarder tout droit et ceux qui ne peuvent s'empecher de savoir qu'il va se passer un truc
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Why Do Stanford, Harvard and NASA Still Honor a Nazi Past? Harvard n’est pas seule : de la NASA à Stanford en passant par l’armée américaine, les institutions américaines continuent de reconnaître – et parfois même de glorifier – d’anciens Nazis de premier plan. Les personnes mises à l’honneur ne sont pas d’obscurs gardes servant dans le cadre de l’Holocauste qui auraient réussi à se faufiler entre les mailles du filet des services de l’immigration – certains d’entre eux sont des personnages historiques dont la relation avec l’Amérique a été largement décrite, notamment dans les ouvrages bien documentés d’Eric Lichtblau et Annie Jacobsen. Les institutions qui blanchissent le passé nazi d’hommes dont les noms ornent les programmes de Harvard et de Stanford, une partie du Kennedy Space Center de la NASA et de nombreux sites à Huntsville, en Alabama, le font généralement par tromperie, par omission, c’est-à-dire en effaçant l’histoire, en omettant ou en mettant de côté les faits gênants. Comment les États-Unis sont-ils passés de la lutte contre le nazisme à l’éloge des ex-nazis ? Cela a commencé avec la fin de la lune de miel de temps de guerre entre Moscou et l’Occident. L’Allemagne étant divisée et vaincue, l’Union soviétique de Joseph Staline est rapidement devenue le principal ennemi de l’Amérique. Washington avait besoin de technologie pour rivaliser avec le Kremlin et d’une Allemagne de l’Ouest dissuasive qui pourrait servir de rempart contre la propagation du communisme en Europe. Les ex-nazis proposaient une expertise séduisante. Ainsi, alors qu’une poignée d’éminents représentants du Troisième Reich étaient pendus à Nuremberg, beaucoup d’autres voyaient leur passé délétère être effacé alors qu’ils devenaient des partenaires et des alliés dans la Guerre froide. Dés les années 1960, alors que la compétition spatiale était bien engagée, l’ancien officier SS Wernher von Braun rencontrait des présidents américains et était présenté par les médias comme un génie des mathématiques qui oeuvrait pour que les ÉtatsUnis aillent sur la Lune. En d’autres termes : nous ne l’avons pas seulement embauché, nous en avons fait un héros. Un peu moins de 30 ans après la guerre, l’annonce de l’octroi à Harvard de 2 millions de dollars (environ 12 millions de dollars aujourd’hui, corrigés de l’inflation) par la Fondation Alfried Krupp von Bohlen und Halbach n’a suscité qu’une très légère surprise. C’était en 1974, et les fonds ont été utilisés pour créer la chaire d’études européennes de la Fondation Krupp ainsi que la bourse de recherche en thèse de la fondation Krupp. Alfried Krupp, baron de l’industrie, a été condamné pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité à Nuremberg. Son entreprise possédait une usine construite par des esclaves à Auschwitz et faisait travailler environ 100 000 travailleurs forcés, dont des prisonniers de guerre, des détenus de camps de concentration et des enfants. Lorsque Harvard a accepté l’argent de Krupp, The Harvard Crimson a publié une lettre affirmant que « dans les annales du meurtre de masse et du génocide, peu de noms sont plus glorifiés que celui de Krupp. » (En 1951, la peine de Krupp a été commuée et il a été libéré de prison). Les pages web de la bourse Krupp de Harvard et de la chaire Krupp ne disent rien du fait que leur patronyme est celui d’un criminel de guerre condamné. La Fondation Krupp parraine également le programme de stages Krupp pour les étudiants de Stanford en Allemagne, présenté comme un « programme unique et prestigieux ». Le fait que Krupp ait été un criminel de guerre n’est mentionné qu’une seule fois sur la page web du programme. Mais la réhabilitation de Krupp fait pâle figure en comparaison du blanchiment manifeste par l’Amérique de von Braun et de Kurt Debus, deux des scientifiques du Troisième Reich chargés de fournir à Hitler le missile balistique meurtrier V-2. Le V-2 a été construit par des déportés de camps de concentration travaillant dans des conditions abominables dans le tristement célèbre complexe souterrain allemand près de Dora-Mittelbau. Au moins 10 000 personnes réduites en esclavage ont été tuées pour fabriquer ces missiles. Les troupes américaines qui ont libéré le camp de concentration ont été atterrées lorsqu’elles ont découvert un effroyable terrain jonché de cadavres décharnés. Et l’appartenance de von Braun et de Debus au parti nazi ne les a pas empêchés de se voir proposer des emplois par le biais du tristement célèbre programme Operation Paperclip de Washington qui recrutait d’anciens scientifiques nazis pour travailler en Amérique. Von Braun a fini par s’installer à Huntsville, qui est devenu un centre pour l’industrie spatiale américaine naissante. Aujourd’hui, la ville et ses environs abritent un certain nombre de monuments à la mémoire de l’ancien Nazi : son nom est gravé au fronton d’un hall de recherche de l’université d’Alabama à Huntsville, d’un centre des arts du spectacle et d’un planétarium. « Wernher von Braun et son équipe de spécialistes des fusées ont transformé Huntsville, Alabama, connue dans les années 1950 comme la « capitale mondiale du cresson », en un centre technologique qui abrite aujourd’hui le deuxième plus grand pôle de recherche des États-Unis », peut-on lire dans la section « À propos de nous » de l’US Space and Rocket Center, un musée affilié au Smithsonian et siège du célèbre programme Space Camp. (Une porte-parole du centre a déclaré : « Nous sommes en train de redévelopper les pages du Space Camp affiliées au site web du centre de fusées », il a ajouté que le centre a l’intention de préciser le contexte). En attendant, on ne tarit pas d’éloges sur von Braun : sur le site web du Space Camp, sur la page relatant l’histoire de l’université d’Alabama à Huntsville, dans la description de la bourse d’études Dr. Wernher von Braun, et même dans un discours prononcé en 2019 par Robert Altenkirch, qui était alors le président de l’université – dont aucun ne mentionne les Nazis ou l’esclavage. (L’école a tout de même une page web sur la fusée et le travail des esclaves qui mentionne von Braun). Quant au centre des arts du spectacle von Braun, un porte-parole de la ville de Huntsville a déclaré qu’il y avait « un effort permanent en cours pour renforcer le contexte historique et améliorer les informations » sur le site web du centre. Mais combien de temps faut-il pour rectifier le registre ? L’impression qui se dégage de ces récits aseptisés est qu’il s’agissait d’un homme sorti de nulle part, sans passé connu, comme une sorte de Mary Poppins de l’astrophysique venue enseigner aux habitants de Huntsville à fabriquer des fusées. Il semble moins fréquent de faire état d’un passé nazi que de le passer sous silence. C’est le cas du complexe de visiteurs du Kennedy Space Center de la NASA, en Floride, qui abrite le centre de conférence Dr Kurt H. Debus. La biographie officielle de Debus par la NASA ne comporte qu’un court et vague paragraphe sur sa vie en Allemagne. Le 24 juin, la directrice du Centre spatial Kennedy, Janet Petro, a accepté le prix Dr. Kurt H. Debus décerné par le comité de Floride du National Space Club. La page Web de la NASA consacrée à l’événement fait référence aux réalisations de Debus dans le domaine de l’astronomie, sans rien dire de son appartenance aux SS et de sa participation étroite à la construction des V-2. L’exemple le plus étonnant de blanchiment nazi vient peut-être de l’arsenal de Redstone, une base de l’armée américaine près de Huntsville, qui possède un complexe de bâtiments portant le nom de von Braun. Dans la section historique de l’arsenal on trouve des dizaines de photos de von Braun, tandis que sa biographie indique qu’il était « employé par le département allemand du matériel militaire » et qu’il était directeur technique du centre où les V-2 étaient développés. Aucune mention quant à la façon dont les V-2 ont été utilisés par le Troisième Reich pour déchaîner l’enfer sur les civils. Même si notre armée se débarrasse peu à peu de ses nombreux hommages à la Confédération, elle n’a pas encore abordé comme il le faudrait la question de la glorification d’un homme qui a construit des armes pour Hitler. Il est ahurissant de constater que des institutions comme l’armée, la NASA et les grandes universités continuent d’insulter le sacrifice de milliers de soldats américains en mettant ouvertement à l’honneur des fabricants d’armes nazis. Cette année, Harvard a publié un rapport sur les bénéfices que l’université a tirés de l’esclavage. « Je crois que nous avons la responsabilité morale de faire ce que nous pouvons pour remédier aux effets corrosifs persistants de ces pratiques historiques sur les individus, sur Harvard et sur notre société », a écrit Lawrence Bacow, le président de l’université, dans une lettre ouverte à la communauté. Cette étude a été saluée comme une remise en question, attendue depuis longtemps, d’une institution d’élite au passé sombre. Mais s’attaquer au rôle de l’université dans la traite négrière américaine ne concerne qu’un aspect du passé de l’école. Harvard s’enorgueillit toujours d’une bourse et d’un poste de professeur portant le nom d’Alfried Krupp, un criminel de guerre nazi dont l’empire industriel a utilisé environ 100 000 travailleurs déportés. https://www.nytimes.com/2022/12/13/opinion/stanford-harvard-nasa-nazi-scientists.html
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Des lunettes qui font ressortir les couleurs, de toutes les choses de votre environnement et ces lunettes n'existent pas ? Embellir votre vision face à ce qui vous entoure et aussi une façon de protéger les yeux. Des techniques sensorielles, scientifiques, avec des verres, pas besoin d'ordinateur. Nous sommes déjà tous des cyborgs, d'une certaine manière, avec nos téléphones. Les avancées scientifique sensorielles sont au point mort. Je ne dis pas de greffer des choses à l'interieur des corps. La technologie peut servir de support à l'amélioration du corps humain par des moyens externes. Avec l'informatique les possibilités sont énorme pour améliorer nos sens. Prendre soin de nous aussi. Avec un savoir qui nous toucherait au sens thérapeutique. S'il existe des machines "chirurgien", il aurait été possible d'avoir son propre médecin ? Les avancés de la science me font me questionner sur une probable direction qu'elle a choisi d'emprunter. Pensez vous qu'un jour les humains auront accès à des techniques simples pour s'améliorer eux (leur façon de marcher, entendre, connaître, communiquer, voir) et la société ? De la scolarité au monde du travail. De leurs capacités à marcher, à penser, à voir, à apprendre. Ou alors pensez vous qu'on cherche à vous "détruire" avec la technologie ? Et que les intentions des fabricants étaient juste commerciale et inconsciente, ou pire, totalement malfaisante ? Lire aussi : https://www.revue-interrogations.org/Le-cyborg-contemporain-Quand-les
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La Géopolitik Karl Haushofer divulgue une science nouvelle, la Geopolitik, qui sera bientôt une des sept colonnes du national-socialisme. La Geopolitik suscite en Allemagne, et dans tous les pays d’Europe centrale, une curiosité sympathique et passionnée. C’est, avec des arrière-plans politiques, la doctrine à la mode. Une chaire est fondée à Munich. Haushofer en est le titulaire. Les étudiants s’y pressent en foule et, parmi eux, comme nous l’avons vu, Rudolf Hess. Karl Haushofer a pourprincipal collaborateur Albrecht, son fils aîné. Selon un comportement germanique dont nous avons déjà donné plusieurs exemples, cette organisation officielle, extérieure, servait de « couverture » à une organisation secrète couvrant non seulement l’Allemagne mais les pays avoisinants et même une partie du monde, grâce à des spécialistes « discrets » recueillant des renseignements qui étaient centralisés à Munich et qui agissaient en étroite collaboration avec le Weltdienst du colonel Winberg. Pour appeler les choses par leur nom, la Geopolitik Gesellschaft constituait un réseau d’espionnage, mais d’une forme très particulière, car y collaboraient, conjointement avec des habituels, des astrologues, des médiums, des dirigeants de sociétés, métapsychiques et des animateurs de ce mouvement qui allait Ŕ quelques années plus tard devenir la Synarchie internationale. Grâce à un bulletin d’information quotidien, nommé l’Index et communiqué seulement aux dirigeants du Parti, Hitler « prenait le pouls » du monde entier et préparait en conséquence ses décisions essentielles, celles qui frappèrent ses adversaires de stupeur et d’effroi. L’Index joua un rôle capital avant Munich comme durant les campagnes-éclairs de Pologne et de France. Dans les Mémoires rédigés, après les hostilités, par Heinz, fils cadet de Haushofer, il est affirmé que Hitler, en signant les accords de Munich, s’était conformé aux suggestions de l’Index. « Sur cet accord de Munich, nous allons édifier la politique internationale de l’Allemagne pour un siècle au moins », aurait prédit à son entourage le fondateur de la Geopolitik. Karl Haushofer mourut en 1945, subitement. Suicide ? C’est toujours ce qu’on dit dans des cas analogues. La personnalité du fondateur de la Geopolitik était autrement complexe qu’il n’y paraît au cours de quelques mornes audiences de Nuremberg. En fait, l’ancien général d’artillerie était, semble-t-il, un de ces êtres prédestinés qui, debout derrière le voile de leur vie ordinaire, tiennent les destinées du monde dans leur poigne de fer. Un des 72 signalés par Rathenau expirant. Un des animateurs des sociétés secrètes supérieures, selon la classification de Geoffroy de Charnay. Les conflits pour des territoires existent depuis des millénaires (et d’abord pour des territoires de chasse), entre des tribus, des cités, des empires, des peuples et des nations. Quelques-unes de ces guerres ont chacune fait l’objet de récits historiques écrits par des chefs de guerre victorieux (César, La guerre des Gaules) ou des témoins privilégiés (Thucydide et l’Histoire de la Guerre du Péloponnèse). Mais nous dirons qu’il faut attendre le XIXe siècle, pour que ces conflits pour du territoire ou des étendues marines commencent à faire l’objet d’études comparatives et systématiques qui prennent en compte non seulement les forces en présence, mais surtout les multiples caractéristiques géographiques des espaces disputés. Certes la géographie (étymologiquement, dessiner la terre et d’abord des cartes) est un des tout premiers savoirs scientifiques. Il a 2500 ans d’existence, depuis Hérodote et ses Enquêtes et il s’est étendu et précisé au cours des siècles au fur et à mesure des mesures et des observations faites par les conquérants, les navigateurs et les explorateurs. C’est seulement au début du XIXe siècle, après les guerres napoléoniennes, et tout d’abord en Prusse, que la géographie commence à faire l’objet d’un enseignement destiné non plus seulement aux chefs de guerre, mais aussi à des milieux sociaux de plus en plus larges (et même aux élèves des écoles) et qu’elle devient – d’abord à l’université de Berlin – discipline universitaire pour former des professeurs de lycée ; tout ceci n’est pas sans rapport avec le mouvement pour l’unité allemande. Cette géographie universitaire qui produit des classifications et des outillages intellectuels, se compose progressivement de secteurs de plus en plus nombreux : géographie des formes du relief, géographie des climats, de la végétation... de la population, géographie économique, géographie politique. C’est à partir de ce dernier secteur que va se constituer la géopolitique. Première phase : la géopolitique allemande, 1890-1945 En 1887, le grand géographe Friedrich Ratzel qui est déjà l’auteur d’une vaste Anthropogéographie (1882), publie en 1887 une Politische Geographie. C’est par la contraction de ces deux termes, sous la plume de Rudolf Kjellen, un juriste suédois (germanophile) devenu géographe, qu’est apparu quelques temps plus tard le mot Geopolitik. Cette géopolitique allemande s’est abusivement réclamée des thèses biologiques de Darwin, en prétendant qu’entre les peuples, existait une sélection naturelle, facteur de progrès, comparable à celle qui existe entre les espèces animales. Ce discours pseudo-scientifique connut un succès d’autant plus grand en Allemagne qu’il fournissait une commode « justification » scientifique à l’expansion pangermaniste. Aussi le terme de géopolitique ne fut guère utilisé par l’École géographique française qui s’était développée fin XIXe, à l’exemple de l’École géographique allemande. Fort prisé dans les milieux dirigeants du Reich à la veille de la première guerre mondiale, le mot Geopolitik, après la défaite de 1918, trouva, par l’entremise des professeurs de lycée, un large écho dans l’opinion allemande pour la pousser à dénoncer les injustices du Traité de Versailles et préparer la revanche. La géopolitique fut célébrée par les nazis comme « la science allemande » et ceux-ci en firent la justification prétendument scientifique des besoins d’ espace vital du peuple allemand. La géopolitique fut aussi le grand argument du stupéfiant pacte germano-soviétique d’août 1939, Staline s’étant laissé séduire par l’idée d’un pacte continental, dont la première étape fut le partage de la Pologne. La gravité de cette erreur stratégique apparut aux Soviétiques en juin 1941, lorsque l’armée du Reich n’ayant alors plus rien à craindre à l’ouest (après la défaite française de juin 1940) se lança brusquement à la conquête de l’Union soviétique. Les SS entreprirent l’extermination des populations juives et slaves des territoires du futur Grand Reich, la génétique ayant été invoquée pour affirmer qu’il s’agissait de races inférieures ou impures. Le mot géopolitique frappé d’interdit et cependant banalisé, 1945-1980 Aussi dès la fin de la seconde guerre mondiale, toute allusion à la géopolitique, jugée alors théorie spécifiquement nazie, fut proscrite dans tous les pays européens et aux États-Unis. Ensuite, durant des décennies, il fut moralement interdit de parler de géopolitique à propos de toutes questions relatives à des territoires, qu’il s’agisse des accords de Yalta, de la division de l’Allemagne et de ses nouvelles frontières, ou celles de la Pologne, de la partition de l’Inde après l’indépendance, de la Corée ou du Vietnam en 1954, etc. En URSS comme dans d’autres États « socialistes », ce fut un crime grave durant des décennies que de parler de géopolitique et la géographie humaine y fut même interdite par crainte de dérive géopolitique. En France, le mot géopolitique resta moralement proscrit (notamment durant la guerre d’Algérie) sous l’effet d’une stricte vigilance idéologique de gauche dans les milieux intellectuels, sauf quand il servait à diaboliser l’impérialisme américain. Durant des décennies, les souvenirs les plus épouvantables du nazisme ont donc été associés au mot géopolitique, mais si quelques lecteurs en cherchaient alors la signification dans un dictionnaire, le Larousse ou le Robert, les définitions qu’ils y trouvaient, étaient d’une étonnante sérénité naturelle. Le Grand Larousse Universel (1962) définit la géopolitique comme « l’étude des rapports qui unissent les États, leurs politiques et les lois de la nature, ces dernières déterminant les autres ». Dans la dernière édition du Petit Larousse 2008, la géopolitique est « l’étude des rapports entre les données géographiques et la politique des États ». Pour le Robert, et c’est encore le cas aujourd’hui, la géopolitique « est l’étude des rapports entre les données naturelles de la géographie et la politique des États ». Pas la moindre allusion à l’implication de la géopolitique (ou plus exactement de discours géopolitiques d’un certain type) dans les plus grandes tragédies du XXe siècle. Est-ce l’effet d’une règle lexicographique qui serait d’éviter de mettre en cause une forme d’» étude » (sinon de discipline) considérée comme scientifique ? Le préfixe « géo » implique la géographie, mais dans ces dictionnaires celle-ci est réduite aux données naturelles, celles-ci étant jugées fondamentales, et ce en dépit des géographes eux-mêmes qui récusent le « déterminisme » des dites données naturelles sur les activités humaines. Ces prétendues définitions de la géopolitique qui perdurent dans de larges milieux intellectuels et qui proclament dans « la politique des États » la place déterminante des « données naturelles », font curieusement silence sur le rôle de l’histoire. Pourtant son importance est d’évidence considérable dans tout problème géopolitique, ne serait-ce que dans le tracé de toute frontière et plus encore de celles qui sont contestées. Les « données naturelles » sensées déterminer la politique des États, ne changeant que sur des milliers ou des millions d’années et les « lois de la nature » étant éternelles, on devrait être logiquement réduit, en matière de géopolitique, à des lieux communs du genre « l’Angleterre est une île », « le Japon est un archipel » ou l’immensité du territoire de la Russie. Ce ne sont évidemment pas ce genre de banalités géographiques qui explique le succès croissant du mot géopolitique depuis une vingtaine d’années en France. Succès d’autant plus étonnant que la géographie, réduite à une fastidieuse discipline scolaire, est – à la différence de l’histoire – assez mal vue des intellectuels. Le mot géopolitique est pourtant devenu aujourd’hui un terme à la mode. Il subit depuis peu une véritable inflation sémantique, à telle enseigne par exemple que des philosophes anglo-saxons « postmodernes » séduits par les discours de leurs confrères parisiens, dissertent sur « la géopolitique de la connaissance et de la différence coloniale ».
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Ouais des gens le filment avecl leur phone s'installer sur le toit tranquille, la distance entre lui et Trump est immense. Tu vois cette distance à vue d'oeil, impossible de toucher avec un fusil mitrailleur. Mais il a réussit à lui toucher l'oreille. Des agents l'ont signalé pendant je ne sais combien de minutes avant le drame. Ils l'observaient tranquille. C'est eux qui ont mis en scène ce false flag, c'est évident
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Ce sont des faits que ces organisations ont exister. AUTREMENT DIT L'INFORMATION EST RÉEL Si tu recherches les noms de tout les groupes existants que j'ai mis en avant ils existent donc t'es un menteur. Un groupe qui a existé historiquement, qui est relaté dans toutes les enxyclopédies, existe C'EST VRAI . Donc dire que c'est l'imagination de plusieurs auteur qui recense des informations réel sur des groupes qui ont existé, est un mensonge. Si tu vérifies les source de ce livre qu'on trouve sur internet. Toutes les informations, les noms de ces groupes sont recensés par des sources officiels. Tu te noyes dans la malhonnêteté et le mensonge sur le fait que ce sont des choses imaginatif. Tu veux juste essayé de paraître ambigu, et donc de mentir continuellement sur les informations que je donne. Le Perriniath, ouais vient plus parler, t'es grillé Tu racontes des mensonges sur le fait de dénigrer une oeuvre qui dénonce des groupes secret ou discret, peu importe c'est pareil. Ce qui qualife une organisation de secrete, se sont leurs activités ou leur noms qui ne sont pas divulgué. Ces groupes ont existés, ce sont des faits, c'est une preuve, c'est réel
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L'opposition contrôlée : au delà de l'entendement L'opposition est souvent un mouvement dirigé par les agents du gouvernement. Presque tout les gouvernements de l'histoire ont utilisés cette technique pour tromper et maîtriser leurs adversaires "La meilleure façon de contrôler l'opposition est de la diriger nous même" Lénine
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Ce sont des informations encyclopédique toutes recensés avec des sources qualifiés. Et que l'on ne trouve pas facilement sur internet. Entre toutes ces intox sur la toile, ces écrits et vidéos, qui parlent des sociétés secrètes. D'ailleurs, après ces quelques livres mis en avant, il y a eu beaucoup de livre qui ont fait semblant de parler du même sujet. Mais, ils ont presque tous pratiqué la langue de bois et une désinformation. En le liant par ailleurs à des choses complètement fantastique. Mais là ce n'est pas le cas, c'est ce qu'on cherche à noyer sous un tas d'information contraire. Ce que j'ai mis en avant vient du livre de Werner Gerson (Pierre Mariel) et celui dont il tire ces sources pour la synarchie et la classification des sociétés secrète politique dans ce 1er chapitre est de Raoul Husson, sous le pseudonyme de Geoffroy de Charnay. Qui avait écrit Synarchie : 25 années d'activité occulte. Ce qu'ils appelent magie tellurique ce sont les moyens scientifique utilisés par le nazisme pour le contrôle des masses. Mais les désinformateurs imposteurs, comme toi tmujin (un de mes anciens pseudo d'un forum qui a disparu, personne imitera un tel pseudo... impossible), doivent intoxiquer ces sujets pour les discréditer. En fait c'est toi qui fait des élacubrations sans prendre en compte la réalité des écrits. Les sociétés secrètes existent legalement sous la loi de 1901. La franc maconnerie existe bel et bien. La société théosophique existe. La rose croix existe. Le martinisme existe. Des groupes politiques qui diffusent des croyances populaires pour créer une clientèle dans une manipulation totale, existent. Les adeptes de la fleur de bach existent. Le groupe O.T.O existe. L'edelweiss, qui recutre encore aujourd'hui avec divers groupe politique d'extreme droite, existe. Et le cher MSE, mouvement synarchique d'empire qu'on essaye de dissimuler, existe. Ce livre parle aussi d'anciennes sociétés secrètes d'Allemagne qui ont existé. Et ce sont des preuves historique et non une histoire imaginaire. La sainte vehme a existé, les illuminés de bavières ont existés, the High Brotherhood a existé, le groupe Thulé a existé. Donc tèmoutajine, t'es un menteur rien de plus. Des mensonges grave pour dénigrer ce que je publie. C'est vraiment malsain et complètement ridicule
