Aller au contenu

PASCOU

Banni
  • Compteur de contenus

    92 138
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    103

Tout ce qui a été posté par PASCOU

  1. Déjà dit que je me fiche de l' origine du sujet, seul le contenu m' intéresse et en l' occurence je le trouve plus positif que le collier de perles foireuses égrènées sur ce sujet.
  2. Et toi de lire ça te changera de ton. vieux radotage insipide. https://lepoing.net/paris-la-longue-marche-des-gilets-jaunes/
  3. La vie est curieuse, c'est parfois ce petit fil agaçant qui dépasse de la pelote que tu tires et qui n' en finit pas. La nuit est presque là en ce soir de janvier, je n' aime pas cette période entre chien et loup la nuit tombe vite, sur la route les bas cotés sont instables, dangereux, la visibilité réduite. Et puis m' extirpant de mes songes une ombre surgit sur le coté, un femme habillée en foncée, peu visible sur la route dangereuse. Je me gare sur l' entrée d'un chemin de ferme et baisse ma vitre. - ma voiture est enlisée, dit- elle j' ai voulu faire demi- tour sur l'herbe et je suis carrément bloquée. Je descends pour constater , en effet elle est bloquée, mais pas trop profond, je la dévisage un peu , elle aussi, elle a un accent léger qui me fait penser à ma vétérinaire qui est Belge. Je vois qu'elle a tenté de sortir de ce pétrin, des planches, des branches sous les roues, mais sans succès apparent.Après une brève discussion et la nuit étant quasiment là, on décide, moi je recule sur le champ laissant les roues avant de ma camionnette sur le bitume du chemin, et avec des sangles trouvées dans ma voiture on accroche sa voiture sur la boule de mon kangoo.Pour communiquer on baisse nos vitres, je tends la sangle en avançant un peu et lui crie d'avancer doucement comme moi pour ne pas faire patiner les roues, et c'est parti.La voiture suit et rapidement les roues avant se retrouvent sur le goudron du chemin, je l' entends crier sa joie, je mets sur l' angoisse de rester bloquée en rase campagne sans téléphone cette exubérance. Je descends pour la rejoindre et récupérer mon matériel : - merci pour le coup de main me lance- t- elle et moi je sors une banalité finament très protocolaire. - c'est mieux qu' un coup de pied c'est sûr, bon tout finit bien. On se salue et chacun reprend son chemin, enfin pas tout à fait, elle grifonne sur un papier son numero , son nom et prénom. La nuit est tombée, la pleine lune redessine les arbres .Et le petit bout de fil agaçant qui sort de la pelote est toujours là Il dépasse, presque arrogant, et même quand tu ne veux pas le tirer il s' accroche à un ongle et déroule sa pelote.C'est ainsi que quelques jours plus tard j' ai retrouvé mon enlisée. Enfin sa voiture, là j' étais sûr, au milieu d' un parking, le dessin sur le coté ne laissant aucun doute.J' ai attendu un peu mais personne que je reconnaisse ne fit son apparition. Je regrimpais dans ma camionnette et allais partir, mais baissant mon pare soleil je retrouvais le fil arrogant sous forme de papier, avec un nom, un prénom et un numéro de téléphone. Je composais les chiffres et mon léger accent belge me répondit : - Allo ? - c'est le coup de pied aux fesses, je suis sur le parking, j' ai reconnu la voiture. - un, j' arrive, sortant du coeur me perçait le tympan. Un jean's moulant lui allant bien, un ciré jaune, des bottes comme pour aller aux crabes, la tête sous la capuche , courbée sous le vent elle faisait un coucou à ma vitre en agitant sa main aux doigts écartés. - montez lui dis - je ! - oui. Le vent s' engouffra dans ma voiture sous forme de tornade jaune et bleue, pour les bottes là c'est une paire de manches, j' ai du mal à définir, un vieux rose, mais très vieux alors. - ceinture. - où va- t- on? - boire quelque chose de chaud, et en souriant, une objection? - non dit - t- elle en me fixant. Je garais la voiture devant le bar, - un grand café pour moi, prenez ce que vous voulez, je passe à la boulangerie et je suis là. Il restait deux pains aux raisins que la boulangère mis dans un sac en papier.Au café, mon enlisée attendait sagement, lui tendant le sac en papier: - servez vous. - merci j' adore , en ouvrant le sac. Puis elle se mis à parler en mangeant elle me racontait ce soir où elle était restée scotchée avec sa voiture, moi je décrochais un peu en fait je connaissais puisque j' étais là. Je regardais, ses lèvres, jolies, un grain de raisin au coin, tremblant un peu comme par peur de tomber. - là, lui dis je en portant mon doigt sur le coin de ma bouche et de l' autre lui tendant la serviette. Mais elle balayait d' un revers de main et repris de plus belle. Je regardais son cou fin, une petite chaine en or et un petit coeur pendant au milieu de ses clavicules visibles. Au moment où elle fit une pause pour reprendre sa respiration je criais presque. - améthyste, ayant retrouvé le mot que je cherchais. - what? - le petit coeur, c'est une améthyste polie. - vous connaissez les pierres? - oui, par obligation. -par obligation vous travaillez dans ce milieu? - non pas du tout, en fait c'est ma petite voisine qui connait bien, quand elle vient à la maison, elle prend ma tablette , m' explique les pierres, moi je lui fais ses devoirs on s' instruit mutuellement. - elle a qu' elle âge ? - huit ans et demi mais elle est grande, toujours selon elle évidemment. - sinon vous faites de la peinture? - oui, comment vous savez ça ? - vos doigts , il y a un peu de bleu et de jaune sur deux d' entre eux, je suppose que vous avez dépassé l' âge du coloriage et des feutres n' est ce pas? - en effet, je suis peintre et elle rit , vous êtes observateur ou alors je suis négligée. - non, pas du tout négligée puis le bleu et le jaune ne choquent pas avec votre jeans et le ciré , c'est bien assorti je trouve , au fait l' améthyste c' est la sérénité et la sagesse si j' ai bien suivi le cours, je pourrais vous décrire ainsi? Elle allait me répondre mais mon téléphone sonna : - désolé lui dis- je en raccrochant, mon vétérinaire sera là dans trente minutes, je dois vous laisser, désolé. - je comprends. - je vous dépose à la voiture et je file encore désolé de partir comme un voleur. Le magasin était fermé, le parking vide comme un quai de gare , désert. D' ailleurs ça ressemblait à ça, cette gêne de se séparer sans avoir jamais été vraiment proches. Je la vis encore un peu dans mon rétroviseur puis au premier rond- point elle disparue. La vétérinaire était là pour le vaccin de mon âne et de mon chien, j' enfilais mes bottes et la suivais dans un champ détrempé par les pluies terribles des derniers jours. Ce ne fut pas très long avec ce temps froid et pluvieux, et je me retrouvais devant la cheminée un café à la main, mon chien allongé sur le dos les quatre pattes en l' air me regardait en remuant sa queue, balayant le sol façon essuie-glace .Le reste de la journée me parue sombre et ma foi assez triste. Le temps avait changé subitement, je payais le pain et un café, j' adore ce lieu, café, épicerie, boulangerie. J' aime regarder les gens, leurs conversations, les plaisanteries aussi je m' assoie et pose ma tasse sur la table près de la fenêtre, une table plus loin le vieil homme, toujours là, même place, même jounal, comme un repère dans la vie routinière. Alors je lance la conversation : - bonjour, les nouvelles sont bonnes? - pas vraiment je regarde les décès. - ah! Je vois bon déjà si vous ne voyez pas le vôtre, c'est positif. Et là son visage change je crois qu' il va se fâcher et non, il rit et plaisante, mais la cloche de la porte de l' épicerie retentit , d' où je suis je ne vois pas qui entre, j' entends juste deux voix de femmes qui parlent en riant, je devine aux bruits qu' elle prennent des articles, demandent du pain puis l' une d' entre elle : - tu veux un café ? - ah! oui tiens , et là je sais qu' elles vont venir coté bar, le vieil hommes lève la tête , lui peut les voir d'où il est ,son visage au dessus de son journal , ses yeux au dessus des lunettes. ○○○○○○○○○○○○○○○○○○○○○○○○○○○ Puis les deux jeunes femmes nous saluent avec un sourire et s' assoient . Je devine à leur façon de parler qu' elles sont amies, elles sont jolies, cheveux courts et cheveux longs, c'est cheveux courts qui parle , de la pluie et du beau temps, mais surtout de la pluie. Moi, j' ai fini mon café, ramasse mes clés , mon téléphone , vais partir quand cheveux longs dit baissant un peu la voix et d' un ton grave: - tu sais que semaine passée Juju est restée enlisée ? Et là je repose mes fesses, mon téléphone , mes clés, commande un autre café. - nooon! Réponds cheveux longs, raconte. - et bien, elle voulait faire demi- tour mais sur l' herbe gorgée d' eau avec ce temps" de m..de," elle est restée embourbée et la nuit qui tombait, heureusement un type est venue la sortir de là. - la chaannnce! enfin je veux dire que le type se soit arrêté pour sauver la princesse et elle rient , me jetant des petits regards en coin, moi je fais celui qui n' écoute pas , Alors elles continuent -tu connais Julia! depuis elle me parle de lui, elle aurait voulu le remercier dans les règles, mais ils se sont juste croisés et pas eu le temps de le faire comme elle aurait souhaité. En fait elle a son tel, mais peur de l' appeler, tu la connais. - oui, dommage et lui il n' appelle pas? - non, il est sûrement marié avec une harpie hyper jalouse et elles rient. Cette fois je prends mes clés, mon Samsung laisse la monnaie sur la table salue le vieil homme , les deux amies et quitte les lieux, la clochette retentit quand je pousse la porte, dehors un chien traîne. Je traverse la rue déserte , regagne la voiture, mais au moment de démarrer j' ai toujours à l' esprit la conversation des copines, Julia. Alors je regarde sous mon pare- soleil, pour vérifier le prenom, mais le papier n' y est plus, je retourne la cabine, mais rien je pense que sur le parking avec les portières ouvertes, le vent, il a du s' envoler. Et je me rends compte que je n' ai jamais prononcé son prénom et là je m' enlise de honte. Alors je reprends mon téléphone et dans mes appels sortants, je recherche le numéro et y inscris Julia et rajoute la princesse en souriant à mon rétro .
  4. Pour ce qui est de me battre , oui elle m' a déjà mise en échec et mât, c'est ça qui est le plus dur à concrétiser, pour avancer les pieces ça va vite. En fait je lui explique pourquoi je déplace une pièce, mon but ma stratégie, je lui explique aussi comment me contrer. Ça se passe très bien, je suis quelqu' un de très pédagogue. Pour moi l' intelligence nue, c'est la facon de remédier à un problème sans connaissance, simplement en se servant de sa tête. Pas besoin de culture, pas besoin d' être diplômé. Simplement une logique qui permette de trouver la clé du problème. C' est pour ça que même sans savoir parfaitement écrire , sachant lire sans connaître tous les mots elle peut avec sa logique et maitrisant l' avancée des pièces me battre. Il y a une stratégie et pas besoin de véritablement connaissances, les échecs est un jeu qui n' est pas de hasard, on ne gagne jamais par chance .
  5. Je te laisse puisque tu déformes mes propos. Fin pour moi sur ce sujet.
  6. Sauf que si tu avais les yeux ouverts ou autre chose, tu aurais vu que les gilets jaunes ne ressuscitent pas ils sont toujours présents. Et contrairement à ce que tu peux croire, présents aussi dans beaucoup d' esprits. Donc ça se concrétisera de nouveau, peut être sous une forme nouvelle. Je ne sais pas et veux rester objectif contrairement à beaucoup ici qui lancent une petite insulte sans intérêt sauf sans doute pour se rassurer.
  7. Pour ma part, je pense que la presse comme toujours a monté en épingle une information qui n' en était pas une pour ensuite montrer du doigt et dire vous voyez. Mais la réalité et même la presse idiote l' avoue en filigrane, le mouvement n' en finit pas de mourir, le moribond n' est pas mort car il.b...e encore comme dit la chanson des Carabins. https://www.francetvinfo.fr/economie/retraite/reforme-des-retraites/on-ne-se-demotive-pas-a-paris-les-gilets-jaunes-font-leur-retour-pour-denoncer-la-politique-d-emmanuel-macron_5588031.html Alors regardez et voyez.
  8. Je ne saisi pas vraiment le rapport entre mon lien avec elle et l' intelligence, mais comme on est dans l' interrogation, c'est quoi pour toi l' intelligence, comment tu pourrais la définir en quelques phrases?
  9. Mais ce sont tu veux dire les dégâts collatéraux de la mondialisation? A l' égal du covid sorti se balader d' un labo , de frelons asiatiques qui se répandent sournoisement comme les plantes invasives sur la planète ? Tu dis que finalement tout est normal? Et bien moi je pense que ce sont les mêmes personnes que ceux qui veulent cette mondialisation mortifère, égoïste et ne générant que des intérêts personnels de plus en plus dangereux dans ce monde. Qui font passer des lois en utilisant les pressions les plus immondes, amorales qui baisse toutes les barrières , toutes les protections pour gagner toujours à court terme de plus en plus de fric, de pouvoir,oui, qui? Lois amorales, tu sais celles qui non plus de morale, qui ont quitté l' humain et se rapprochent de plus en plus de celles de la nature, bestiales où le faible n' a pas sa place ou devient l' esclave ,ou sa vie n' a plus d' importance , pas plus que ses souffrances, seul l' intérêt primordial est en ligne de mire de son pouvoir grandissant, cette addiction qui pousse vers une fuite en avant sans tabou, sans humanité, ou tout est possible, tout est permis, l' utilisation du pire pour obtenir son "shut" quotidien. C'est ça le drone iranien, le symbole, le fer de lance de ce monde qui vacille pour la suprématie de quelques castes toutes corrompues et se détestant entre elles, mais le loup vit comme le rat en groupe c'est son angle d' attaque pour traquer et partager la proie il finit même par bouffer ses petits si il le faut.
  10. Ce n'est pas exact, le sujet c'est les drônes qui attaquent l' ukraine sont pour deux tiers du matériel américain.
  11. Non, mais je crois que parfois le mieux est de ne pus répondre.
  12. Ce n'est pas ce que je dis, quand deux personnes se battent vous pouvez essayer de calmer les intervenants, on appelle ça la diplomatie. Bien-sûr si on a un intérêt pour un des deux, ça devient difficile.
  13. Oui, quand je vois déjà les propos haineux sur ce sujet, je ne suis pas étonné qu' il y ait autant de guerres.
  14. Il ne s' agit pas de tendre l' autre joue, ni de minimiser les responsabilités, juste de comprendre que les peuples sont toujours pris dans un piège qui n' est pas le leur. Et moi je ne veut pas être complice du massacre des uns comme des autres.
  15. Quand deux personnes se battent vous vous rangez toujours d' un coté ? Moi je suis pour apaiser les tensions, libre à vous de jeter de l' huile sur le feu. Dans une guerre la stratégie primordiale est de mettre l' opinion au diapason de ses envies meurtrières et intéressées, vous devriez réfléchir sur cette phrase. Je trouve que vous suivez parfaitement la partition.
  16. Au moins ça permet à une petite clique de cracher sa bile, c'est déjà très positif je trouve,
  17. C'est pourquoi je ne veux pas me ranger derrière l' un ou l' autre, tout ça est trop hypocrite pour moi. Je peux juste comprendre la douleur des peuples qui souffrent.
  18. Selon la police. https://www.lefigaro.fr/actualite-france/gilets-jaunes-4700-participants-en-france-selon-l-interieur-20230107 Faut multiplier par 4 pour les vrais chiffres.
  19. Je ne sais pas, je fais des réponses spontanées, je ne me suis pas penché sur le problème Mais je pense quand même que l' iran, comme la chine, la Russie sont dans le collimateur des USA depuis très longtemps c'est un secret de polichinelle, donc que l' Iran s'arme, je n' y vois rien d' illogique, precisant toutefois que je ne soutiens ni les uns ni les autres, ce en direction des aigris qui vont encore se " debiler" sur moi.
  20. Merci Versys, je ne sais pas si ce mouvement va reprendre, mais comme je le disais au départ, ce seront des vagues successives qui finiront en tsunami puisque rien n' est fait et que nos gestionnaires de crises en sont les géniteurs, le chien se mord la queue.
  21. Je suis tout à fait d' accord Gepetto mais qu' on avance les vraies raisons . Elles sont géopolitiques, elles sont la suprématie des USA sur cette région du monde, le reste n' est que mensonges.
  22. Certains ne savent pas voir. Au delà , et s' ils réglaient leurs culs de bouteilles médiatiques, ils verraient autre chose que du jaune parsemé façon boutons d' or sur les champs ou ailleurs, ils verraient le symbole d' un mouvement généré par le mépris d' un seul homme. Alors certains diront avec précipitation et en reprenant les termes, mot pour mot, image par image du ratelier ou de l' auge numérique où ils puisent ce qui leur sert de fourrage des petits points jaunes qui se promènent sur leur pupilles endormies, petites tâches indélébiles qui perturbent depuis 4 ans la vision idyllique qu' on leur présente chaque minute dans des journaux aussi frelatés qu' inutiles d' entreprises dîtes d' info mais qui en réalité sont les seules qui ne vendent absolument pas ce qui est normalement leur produit, ils vendent tres cher de la pub que vous payez , en insérant des mensonges qui vous tiennent en haleine pour vous chouter à la kro, aux chips, et autres produits , ils oublient ce dont pourquoi ils ont mis leur enseigne, l' info, la vérité sans jugement, neutre ou chacun peut en définir les contours selon ses propres sentiments, selon son propre vécu, son degré d' empathie aux autres. Ce que j' adorais le plus quand je regardais encore un peu c' était les débriefing et autres niaiseries où là si tu ne ressens pas jusqu' à cette odeur , sorte de puanteur qui te prend vraiment pour un con, deux trois personnes qui t' expliquent le tableau de maître, qui dépeignent, qui repeignent qui brossent sur l' original , sorte de peinture sans couleur, qui dégouline la transformant en une sorte de croute qu' ils vous fourrent dans la bouche comme on gaverait des canards pour les cirhoser et vendre leur foie. Bon, je m' égare en fait ce que je voulais dire c'est que la nature à ce don de mettre les couleurs où elle veut et comme elle veut. Les boutons d' or et bien si les premiers arrivent plus tôt, les autres suivront et c'est justement au moment où ils sont des petits points jaunes se battants sous le vent sur le vert du pré qu' ils sont le plus visibles. Et si tu les pietines, ils se redresseront et deviendront plus forts, plus robustes étendant là ou on ne le voit pas leurs racines, ils ont cette faculté de de ne pas abandonner. Et le désherbant médiatique ne pourra pas les éradiquer. Puis je déjeuner en.paix, merci!
×