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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. C'est bien possible ! Il y a des gens qui aiment suivre, c'est à peu près certain. C'est la gens des fidèles. Le besoin d'avoir un chef... (les religions en font leur fond de commerce !) Mais pour autant que je te connaisse (si peu !) tu ne corresponds pas bien à ce genre ! Il y a encore de l'espoir ! En ce qui ME concerne, je pourrais dire que je ne suis pas si loin de ça, moi même ! J'aurais souvent tendance à ne pas me rebeller par fainéantise (plus que pas faiblesse, mais où est la limite ? ). C'est aussi un cas dont on n'a pas à s'enorgueillir ! N'y a-t-il pas d'un côté les manipulateurs et de l'autre TOUS les autres ? (Si l'on ne cherche pas à se donner le beau rôle !)
  2. Oui ! Dès lors que tu t'en rends compte tu est déjà à moitié guéri ! Mais j'essaie de comprendre psychologiquement ou psychanalytiquement parlant le mécanisme... Si l'amour passion est bien l'effondrement de soi pour se réinventer chez l'Autre, alors on pourrait dire que c'est quand cet autre est ressenti comme le contraire de soi qu'il nous fascine le plus et qu'on se rêve comme lui (ou elle)... mais c'est l'inconscient qui est aux manettes ! Alors, difficile à contrer... On arrive à la même conclusion !
  3. "un sérieux réglage à faire dans le cerveau" Je pense que tu as raison. Et c'est peut-être une constance (quasi systématique) chez certaines personnalités que de tomber systématiquement sur des compagnons (ou des compagnes) Chtarbes... Ca ne peut pas être le hasard !... Est-ce qu'il y a un remède, une correction possible... difficile à dire...
  4. Tu dois en faire un roman ! (Si c'est pas déjà fait !)
  5. Et moi 53 ans ! Mais comme disait Brassens : "Qu'on se pende ici, qu'on se pende ailleurs, s'il faut se pendre..."
  6. Boudiou dé boudiou ! j'en reste patois !
  7. Parce que faire pipi pour une petite chienne c'est pas de la poésie peut-être ?!
  8. Blaquière

    Dieu et la morale

    Je comprends ce que tu veux dire. Mais ce n'est même pas être hermétique à l'idée de dieu. C'est quand on est sorti de cette "spirale" religieuse de cette spirale de la croyance qu'elle a perdu tout sens. Je pourrais comparer à un autre domaine du vivant. Les saumons qui remontent leur rivière ou les oiseaux migrateurs... Je comprends bien qu'ils le fassent et pourquoi, mais ce n'est pas mon problème ! Ce n'est pas méprisant je peux prendre une activité humaine comme le football (qui ressemble bien à la religion) ou gagner une course : ça ne m'intéresse pas et je suis fasciné par le fait que cela ait de l'importance pour certains quand pour moi ça n'en a aucune... Dieu c'est un peu comme une force centripète ! Une attraction. Quand on a décroché de l'orbite on file n'importe où mais tout droit ! Et on reste tout autant en apesanteur que sur orbite ! c'est ainsi qu'on peut rester prisonnier de l'attraction divine en toute légèreté ! Et ce qui est marrant c'est qu'un individu sur "orbite divine" est persuadé et d'aller tout droit et de tomber vers Dieu en même temps ! C'est l'inertie de nos esprits ! Soit on tourne autour de Dieu comme prisonniers mais sans le savoir persuadés de filocher tout droit, soit on va n'importe où aux hasards de l'espace. A la merci d'autres attractions ou de pas d'attraction du tout ! Oh je suis tout content de mon allégorie ! Soit on reste prisonnier de notre dieu d'une terre au centre de l'univers, soit on part en vadrouille possiblement vers d'autres dieux ! Mars, Vénus, Cérès (les moissons) ! JUPITER ! (ça c'est du lourd !) SATURNE (idem) Uranus, Neptune (glou, glou, glou !)... SIRIUS ! Plus loin, Altaïr : (serait-ce quelque dieu musulman ?) Et, et... Aldébaran : Bon débarras !
  9. Blaquière

    Dieu et la morale

    Bien sûr ! Avoir besoin d'aide et la trouver nulle part... "croire" en ce sens reste acceptable, respectable. On pourrait dire que c'est triste. Mais parler en "Son" nom, c'est moins innocent... Sauf pour les illuminés...
  10. J'adore cette situation quand on essaye de s'en sortir et qu'on s'enlise encore plus ! Quand malgré la meilleure des bonnes volontés c'est de pire en pire. (Là c'est pas le cas : c'est joué !)
  11. Non, il avait juste à ferrailleur !
  12. @Enchantant Alors, moi, ENCHANTANT IL M'A TUER et à toi il te fait rien ?!
  13. C'est une bonne question à se poser : est-ce qu'on est vraiment capable de rire de tout et de soi, ou est-ce qu'on se garde un territoire (en pensée) sur lequel on ne veut absolument pas, n'est pas capable de transiger ?...
  14. Là tu viens de m'apprendre à quoi servait le bouton "signaler"... (je me demandais !) Deux ou trois fois j'ai répondu des "je t'emmerde" dont au moins une fois presque pour rigoler... C'était mes énervements ! Non mais elle est si petite que je me dois de l'encourager et qu'elle se sente sur un autre plan ! Je blague !
  15. Oui et quand on croise des animaux, je lui dis : " toi t'es pas un animal comme eux, tu es un "gens" comme nous !" Et... et... ELLE EST BIEN D'ACCORD !
  16. Du tout ! J'adore ! La meute... la horde... Freud... "le père de la horde primitive" !... Quand je vois la Titinette (notre minuscule chienne, 2 kg !) sauter de joie quand on part promener, je pense : "elle est heureuse de faire partie de 'l'équipe", de la "horde !" De la MEUTE ! C'est un aspect non négligeable de notre identité à tous !
  17. l' Étymologie et des exemples ! Quiconque Du latin quicumque (« toute personne qui ») Pronom relatif [modifier le wikicode] quiconque \ki.kɔ̃k\ singulier Toute personne qui, qui que ce soit qui. — Note : Il est utilisé sans antécédent. Mais je conseille peu l’Islande aux malades, aux invalides et à quiconque est habitué au confort des hôtels et des wagons-lits. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 19) Très curieux de son naturel, il était toujours informé avant quiconque des menus potins du pays et n’avait pas son pareil pour les répandre et les amplifier. — (Louis Pergaud, Un petit logement, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921) Ces braves gens pratiquaient l’hospitalité ; quiconque avait tâté de leur pot ou fait un whist avec eux, devenait leur intime : […]. — (Nicolas Gogol, Les âmes mortes, 1842, traduction de Henri Mongault, 1949) Ce qui les angoisse vraiment, ce sont les cousins maléfiques des selfies : les sextos. Nous mettons nos filles en garde : « N'envoie jamais, au grand jamais, de messages sexuellement explicites à quiconque, […]. » — (Peggy Orenstein, Girls & Sex : une étude américaine, traduit de l'anglais (États-Unis) par Claire Richard, 2018) Notes Il est quelquefois féminin : Mesdames, quiconque de vous sera assez hardie pour médire de moi, je l’en ferai repentir. Ce pronom peut aussi s'employer de façon absolue en position de complément, malgré les réserves des puristes, comme pronom indéfini de qui que ce soit, de personne ou de n'importe qui. Il connaît ses dossiers mieux que quiconque ou bien il connaît ses dossiers mieux que personne.
  18. Semi HS ! Quand on dispose de deux langues certaines choses deviennent plus compréhensibles. Je pense au français qui (moins "pire" que l'anglais tout de même !) est une langue... "simplifiée". Qui va vers une simplification. un exemple : "Je regarde jouer des enfants" et "les jouets des enfants" Au coup d'œil, ces deux "des" sont un seul et même mots, en fait non ! Si je le disais en langue d'oc, je ne pourrais pas confondre : "régardi jougar d'ènfants" et " lei jouguets deis enfants" le premier est un partitif le second un possessif (je crois ! )
  19. Si j'ai dit une personne précise je me suis mal exprimé : ce serait plutôt "précisément une seule personne". Mais une personne "hypothétique" ! Et donc en un sens pas précise !... Pas spécifiée.
  20. Oui ! La meilleure façon de comprendre, de "sentir" l'emploi d'un mot, d'un pronom, c'est de multiplier les exemples...
  21. Blaquière

    Dieu et la morale

    oui ! Mais je pense que c'est le cas de tous les croyants. On est croyant qu'autant que l'on veut (que l'on désire) que dieu existe. Que l'on en a besoin d'une manière ou d'une autre.
  22. Blaquière

    Dieu et la morale

    Je ne fais pas semblant ! Avec ces notions de faux dieu mais surtout de "vrai dieu", je suis totalement largué ! "Vrai dieu" est ... un oxymore, un paradoxe pour moi !... Mon point de départ est qu'il n'y a pas de dieu. Alors "vrai dieu" ne veut rien dire du tout. Faux dieu, quelqu'un qui voudrait se faire passer pour un dieu qu'il ne serait pas, ça a encore du sens, mais vrai dieu... Je ne sais pas de quoi on parle. Et je me demande si même ceux qui y croient le savent... Puisque chacun s'invente un peu son dieu à la carte. Si je croyais en dieu, Dieu ne serait pas autre chose que mon désir d'y croire. Comme une rétroprojection (une cristallisation) en moi de mon désir vers lui...
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