Aller au contenu

Blaquière

Membre
  • Compteur de contenus

    19 162
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    2

Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Blaquière

    La violence

    Pitié pas les santons : c'est mon horreur absolue ! Mais y'a pire que les santons... c'est "les santons habillés" ! Des nids à poussière ! Un jour j'ai eu l'idée de faire des santons... Déshabillés ! Autrement dit, "nus" ! A poils ! J'avais même trouvé la pub, la même que celle des yaourts aux fruits : LE VÉRITABLE SANTON A POIL DE PROVENCE AVEC DE VRAIS POILS ! Ca t'aurait eu une de ces classes pour la crèche ! La Saint Vierge ? A poil ! Nichons à l'air ! La poissonnière, idem ! St Joseph et le ravi ? Le "trois pièces" au vent ! Le tout AVEC DE VRAIS POILS ! J'étais même prêt à me raser pour ça ! A payer de ma pilosité... Je sais : je suis un créateur... (C'est pas donné à tout le monde !) Tu l'avais ressentie, celle-là ? La crèche à poil ?
  2. Blaquière

    La violence

    C'est Spinoza qui a dit ça ? c'est fou ce que c'est moderne comme approche... Il avait déjà pigé les instincts; les pulsions, l'inconscient... Et il s'est fait foutre dehors de sa religion (juive je crois --chez les cathos ou les musulmans on n'en aurait pas plus voulu !-- ) : tu m'étonnes !
  3. Blaquière

    La violence

    Certainement ! C'est pas lui qui a inventé d'être violent en réponse à certaines agressions. Ce sont ds "mécanismes" naturels. Mail l'homme n'est pas que de nature il est aussi un être de culture de morale et de raison. Il lui revient de se contrôler. Sans penser aux divinités puisque "l'homme est la mesure de toute chose" comme disait Protagoras, je crois, en jouant sur les mots mais pas que, il lui revient donc de se "mesurer" ! (Il ne s'agirait pas de se dédouaner de nos excès violents en disait que c'est la nature qui parle en nous... Ce serait un peu facile... Donc "de la mesure (en toute chose) !' J'ai dit ! Violent oui, mais un tout petit peu ! Bon, là, j'espère bien que @DroitDeRéponseva applaudir des deux mains !
  4. Blaquière

    La violence

    C'est pas faux, mais par principe ce qu'on appelle violence, a à voir avec une volonté d'être violent... Il y a l'agression violente infligée à autrui, et de l'autre côté ce qu l'on ressent comme un acte violent "reçu". t puis y'a la souffrance elle-même. Mais tu as raison de dire que dans tous les cas c'est progressif. Plus ou moins violent ou douloureux.... (à mon avis)
  5. Blaquière

    La violence

    Voilà ! c'est contre ce principe que je m'INSURGE ! Il y a un acte, un comportement, l'apparence, l'angoisse, la peur, la colère, la douleur, en un mot la vie banale, et soudain ... PAF ! LA VIOLENCE APPARAÎT ! D'un autre côté on peut dire que tu as raison !
  6. Blaquière

    La violence

    L'éducation des enfants ?! C'est ce qui était dit, je crois...
  7. Blaquière

    Voyage dans le temps

    Pff ! C'est à la porté de tout apprenti conducteur ! Le b, a, ba du code de la route : Le sens unique : oui ! Le sens interdit : non ! C'est comme l'eau ferrugineuse !...
  8. Blaquière

    La violence

    Ne jette pas tout DDM Avec l'eau du baptême ! (Ça rime !) Il te suffit de lire ; "Ce serait alors à nous, adultes qui devrions être bien au-dessus de ces choses... " au lieu de : "C'est alors à nous, adultes qui sommes bien au-dessus de ces choses... " Qui allie à la critique acerbe Une ébauche de solution ! Ça, ça rime pas mais c'est classe ! Moi, ce que j'en dis...
  9. Blaquière

    La violence

    Je pense quand @Dompteur de mots dit : "C'est alors à nous, adultes qui sommes bien au-dessus de ces choses " Pour le peu que je le connaisse, c'est de l'humour, un clin d'oeil ! Évidement que les adultes ne sont pas au dessus de ces choses : ils sont en plein dedans !
  10. Blaquière

    La violence

    Et puis quoi encore ? C'était quand même la concurrence ! (C'était son mauvais côté "Jésus du Sentier" ! )
  11. Blaquière

    La violence

    Encore qu'avec l'âge on aurait plutôt tendance à s'empâter... @Dompteur de mots content de voir que tu m'as compris même si je ne suis pas toujours clair ! C'est une (ma) vision microscopique de la "violence". Une "violencitude" qui s'insinue partout, qui fait partie du vivant. (Il faudrait lui donner un autre nom ! Il y a des "morceaux" de violence plus ou moins grands plus ou moins forts un peu partout, et même dans les actes les moins violents)... Je crois que la nommer "Violence", LA VIOLENCE, la personnifier en quelque sorte comme on nommerait "Satan" (sans considérer qu'il y a "des violences" incontournables et génériques du vivant lui-même --en prenant garde de ne pas tout mettre sur le même plan =cynisme--) a pour fonction de la cristalliser de la chosifier... Et de penser qu'il serait possible et qu'il suffirait de l'éradiquer une bonne fois pour toutes (c'est un peu l'esprit religieux : le bien/ le mal) pour qu'elle disparaisse à jamais de notre horizon ! C'est sans compter qu'elle constitue (en partie) cet horizon même...
  12. Blaquière

    La violence

    La VI - O - LENCE... Elle est la vie Et je m'élance : En vie ? Aux lances ! Et mon envie Inassouvie Est insolence... Est-on ravi En vis-à-vis Des turbulences ? Je vous convie Sans prévis Et je sévis ! En virulence. Si je dévie En vrai nervi J'en suis ravi : Je m'en balance !
  13. Blaquière

    La violence

    Il y a le conscient et l'inconscient. Si ton père est un salaud, violent... c'est pas dans ton inconscient que tu veux le tuer, mais dans ton conscient. Ton inconscient sur c sujet n'a rien à t'apprendre et ne te cache rien... Si ton père est sympa et gentil (comme c'est apparemment ton cas et ça a été le mien), ton inconscient inclue un part inconscient de l'espèce, et des génération qui DOIVENT se succéder, t le père doit mourir. Comme tu l'as expliqué. Et l'espèce en toi veut qu'il meure. (Pour en rester à un niveau relativement logique et sans entrer dans le problème d’œdipe dont je sais qu'il ne passe définitivement pas. Moi j'essaie d'en rire... Mais Bon Dieu ! Si t'es un homme (et que) t'es attiré sexuellement par les femmes. Toutes les femmes.. Or jamais par ta mère ! (Ni par ta sœur : je le sais j'en ai une !) Vous trouvez ça normal ? Si'ou plé ne me la jouez pas "ma mère c'est la Vierge Marie"! Il y a donc forcément un "mécanisme" de rejet qui s'est mis en place inconsciemment... Pour éliminer ce désir qui est DONC devenu inconscient. (?) Ma mère et ma sieur, je les ai toujours considérées comme si c'étaient des hommes : aucun attirance sexuelle !... Et je suis bien conscient de ce que je dis ! Je dis que de mon conscient ! Le reste, j'y mets pas le nez !
  14. Blaquière

    La violence

    Vous pouvez répéter votre question ? (Vous m'avez dit de pas dire Hardy !)
  15. Blaquière

    La violence

    俄狄浦斯是,父亲,母亲,儿子 C'est plus clair comme ça ?
  16. Blaquière

    La violence

    Tu fais semblant de pas comprendre ce que je dis ? Que je t'explique pourquoi tu viens au monde pour remplacer tes parents ? Mais parce que Dieu l'a voulu ainsi ! Pour Sophocle, ça me paraît simple (j'ai pas fini c'est parti tout seul genre éjaculation précoce ! je reviens...) Donc, pour Sophocle, il s'agit d'une transposition. De même qu'on ne sait pas ce désir puisqu'il est inconscient vers la mère, de même Oedipe ne peut désirer consciemment "cette femme" que parce qu'il ne sait pas que c'est sa mère. C'est à mon avis très cohérent. Œdipe continue à ne pas vouloir désirer sa mère même quand il la désire. C'est la structure même ou le mode de l'inconscient qui sont exposés là. Menfin, je parle pas chinois, pourtant ?! Est-ce que je vais m'avancer jusqu'à dire que le propre de l'inconscient c'est de ne pas être conscient ?
  17. Blaquière

    La violence

    (J'avais répondu t'à l'heure et j'ai oublié de l'envoyer !) Non, que ta présence même, ton existence signifie à ton père qu'il doit disparaître. C'est un fait, c'est une... vérité ! Du coup, vus sous cet angle, toutes les élucubrations tombent dont l'immortalité de l'âme ! Puisqu'on remplace nos pères et mères, c'est bien que rien ne restera ni d'eux ni de nous à terme. Si l'âme était immortelles, les corps le seraient aussi... et avant elle. Ça simplifierait tout ! Pas de reproduction... Donc pas de vie... Pour Œdipe, évidemment qu'il ne sait pas qu'il se marie avec sa mère et qu'il tue son père : C'EST ÇA L'INCONSCIENT ! C'est l'inconscient de Sophocle qui a parlé ! C'est là qu'est le génie littéraire Transposer l'inconscience du désir en question, en ignorance de la réalité des faits...
  18. Blaquière

    La violence

    Dans ce cas il faut que la “belle” voiture le soit aux yeux de qui on veut plaire .... On en revient au désir mimétique , notre désir de cette belle voiture, vient du fait que l’on considère cette voiture désirable par autrui .... Nous ferions en sommes la guerre par amour ? Non car le jouet en question peut ne pas être à lui et pour autant susciter le désir . Ça marche tout aussi bien avec les jouets à l’école . Le GI joe appartient à l’ecole ou à un ami , il a le même à la maison , rien a faire , mais arrive chez l’ami , le même jouet devient désirable .... Tu ne vois qu'une face de la pièce. (Je ne dis pas ça pour te contredire mais pour enrichir et compléter ta réflexion.) Oui je trouve telle voiture belle quand je suppose qu'elle plairait à l'autre. Mais ça n'est pas que pour séduire cet autre que je veux ce que je crois qu'il voudrait, et même pas du tout c'est peut-être avant tout pour le "faire chier" ! (J'y reviens à cette belle expression !) C'est parce que je veux lui chiper son jouet. Le désir n'est pas que mimétique, je n'emprunte pas le désir de l'autre : je le lui vole ! C'est pas le tout d'être heureux, encore faut-il que l'autre soit malheureux... Et si elle était la la racine de la ... "violenceté" (à nouveau concept, néologisme ! La violence n'existant pas, je la remplace pas "le fait d'être violent" ! ) Ceci dit une vision trop idéaliste tourne facilement au bisounours. Puisqu'une idée n'est rien de concret, il suffirait de la rayer de la liste pour qu'elle n'existe plus ? Je vois la majeure partie des philosophes rayr d'un trait de plume l'oedipe de Freud. ça leur plaît pas ctte idée d'avoir voulu tuer le père et s'envoyer la mère. Moi, ça me fait rire ! Je me dis : là le Freud il a envoyé un coup de pied dans la fourmilière !" Façon Nietzsche Comme preuve que l'oedipe est un mythe, Girard fournit même la preuve qu'il est bien réel comme l'insulte américaine : "mother fucker" ! Pas besoin d'aller si loin : nous avons la même à la maison avec "nique ta mère" ! C'est bien ça refuser de voir ce ce qu'on a sous le nez... S'insurger devant l'idée qu'on veut (voudrait) tuer (éliminer) son père.;. je n'en reviens pas : Mais n'est-ce pas la fonction même des enfants que de remplacer les parents ?!! On n'a m pas besoin de le vouloir : c'est un fait !
  19. Blaquière

    La violence

    Bon, mais mis à part que LA violence n'existe pas... () Tout combat ne participe-t-il pas d'une "certaine violence" ? Alors, si combattre est bien, (c'est ce qui se dit fréquemment et chacun se dit souvent fier de mener son combat, même si personne ne se glorifie d'être violent) il est donc de "bonnes violences" ?...
  20. Blaquière

    La violence

    Si tu continues à contrarier systématiquement tes interlocuteurs tu vas finir par dire le contraire de ce que tu veux dire : là par exemple, je vois se profiler une manière d'apologie du communisme... Tu nous promènes !. (Tu nous mets des vidéos avec Girard qui nous remplit la tête de christianisme, mais quand on te répond sur le christianisme tu nous demandes ce que ça vient faire là....) il serait peut-être bon que tu nous dises toi-même précisément ce que tu as a dire sur TON sujet, on te répondra (chacun) ce qui nous convient et ce qui nous convient pas. -- est-ce qu'il y a des "violences" (des Actes Violents) justes ou légitimes ?. -- Est-ce qu'un acte peut être plus ou moins violent ? Tiens dans un couple si l'un des deux fait vraiment trop chier l'autre, quelle est la bonne réponse : a) dire merci ? (Genre tendre l'autre joue) b) envoyer un coup de poing dans la porte? (Pour que ça fasse du bruit, genre avertissement.) c) un petite tape symbolique ? d) une bonne baffe ? e) un coup de poing ? f) un coup de couteau ? (!!!) --Un comportement violent est-il toujours ou non induit par une agression ? (réelle ou imaginaire voire parfois très antérieure ?) --Existe-t-il des personnalités plus violentes que d'autres et cela peut-il s'expliquer ? Et de quelles façons ? ...etc. PS : pour les mammifères, je reconnais que l'argument est adroit ! Mais si l'on peut dire de chaque mammifère qu'il est un mammifère réellement, on ne peut pas dire d'un acte violent qu'il est la violence réelle. Il ne peut l'être au mieux que symboliquement. Le pluriel "les" (mammifères) indique d'ailleurs un ensemble, dont chaque individu possède entièrement la qualité d'être mammifère tandis que le singulier "la" (violeence) signifie que la dite violence serait toujours la même, une et identique ce qui n'est pas le cas
  21. Blaquière

    La violence

    Analevine a bien dit : tu veux nous attirer dans ton monde en caricaturant et plus simplement en ne voulant pas comprendre ce que tes interlocuteurs te disent. Tu veux nous faire entrer dans ton jeu. J'ai dis sur le terrain moral, mais j'aurais dû dire sur le terrain affectif : tu "me" fais jouer le rôle du bourreau (de l'agresseur) ou de la victime symétriques de part et d'autre du concept absolu de violence. enlève cette notion et il ne restera que des actions plus ou moins violntes et des plus ou moins victimes. Je te le redis : tu fais de la violence un totem; un être en soi. Girard aussi se comporte comme ça : il critique avec raison Freud et Marx en disant "pour Freud tout est sexe, et pour Marx tout est économie". Lui, il fait pareil en nous disant "tout est violence et sacrifice !" C'est une grille de lecture comme une autre. Et du coup ((violence=totem), la violence devient un absolu : il y a violence ou pas. Si l'on veut aller plus loin, la violence est variable. Plus ou moins de violence. J'ai remarqué qu'à la question "y a-r-il une bonne violence", il n'y a pas de réponse. Enfin, je ne l'ai pas entendue si elle y était. Ainsi tu ne trouves pas de violence chez toi avec tes interlocuteurs. Il n'y a qu'une violence soft et donc pas d violence. Quand tu parles de "ma licorne", je le ressens comme une violence. Un peu. Je m'en remettrai ! Je dis "la violence n'existe pas !" et tu réponds : Il ne suffit pas que tu dises pour que ce soit vrai ... Mais je ne me suis pas seulement contenté de le dire : je l'ai démontré ou à tout le moins expliqué : tu n'as pas lu ? Je le redis : il existe des actes qu'on qualifie de violents mais la violence n'existe que comme idée générale qui les regroupe. De la même façon, LE MAL n'existe pas quand bien même existent des maux et des souffrances paticuliers. C'est à partir du moment où on enlève cette "essence absolue" à ces notions qu'on peut les comprendre. Il ne s'agit pas de donner un autre nom à "la violence" mais de comprendre "son" origine, sa formation, les différents modes et les applications selon lesquels les événements qualifiés de violents adviennent. j'avais commencé en les considérant du pt de vue psychologique neurologiques comme résolution de tensions.... De façon bien plus générale, considérer le christianisme comme la condition majeure sine qua non de notre monde occidental actuel me semble une "récupération" un peu dérisoire. Faut-il rappeler que c'est à partir de la renaissance; quand ce vrai christianisme "pur et dur" a perdu son hégémonie absolue sur les esprits pour que l'on revienne à un mode de pensée plus "antique" et pré-chrétien, qu'a vraiment pris son essor et s'est mise en place petit à petit notre "civilisation occidentale" actuelle qui a permis entre autre choses un progrès technique décisif/important ?
  22. Blaquière

    La violence

    Je rajoute que cette neutralisation (production chimique par exemple) peut s'emballer d'elle-même et aller plus loin que la simple neutralisation... ce qui fait considérer la "violence" comme une chose en soi, "qualitative" ou le "mal absolu"... alors que ce n'est qu'un excès quantitatif inapproprié... Sans compter que dès le départ, il peut s'agir d'une réponse effective (réelle, chimique) à une "agression fausse" voire inexistante, fantasmée, maladivement ressentie...
  23. Blaquière

    La violence

    Bon, je parle en l'air ? ! Vous faites de la violence un totem Je vous ai bien dit qu'elle n'existait pas pourtant ?! exmple : DDR : Le seul emploi des mots "victime", "souffrir" est révélateur d'une dérive moralisante : La violence c'est mal ! Elle fait souffrir, fait des victimes, elle existe a priori, presque comme une action de... Satan ! Pour exagérer dans l'autre sens, je dirai qu'elle est seulement chimique et induite, donc, produite dans le système nerveux. (Une hormone, un enzyme, que sais-je ?) Elle est le résultat, la conséquence d'une surcharge.. Non je reprends ! 1) Il y a une agression psychologique de l'individu. Réelle ou imaginaire, c'est pas le problème 2) Formation d'une "angoisse chimique " en conséquence de l'agression 3) Pour éliminer cette "pollution chimique", Il faut la réinvestir dans une action -ou la contrer par une action qui va l'annuler... (je ne suis pas spécialiste des sécrétions neurologiques...) Le but est de neutraliser cette "pollution". Il est de coutume d'appeler cette action en réponse cette neutralisation, "violence".
  24. Blaquière

    La violence

    Le problème de la philo en général c'est qu'on se fourvoie dès l'entrée. On met des étiquettes, des mots, des concepts, des idées, et on entre ainsi dans un monde ou un mode fantasmatique.... On prend pratiquement à la lettre des vessies pour des lanternes et on ne pense plus qu'en termes de lanternes !... (L'esprit est lumineux!) Là pour commencer il faut saisir la première des "vérités" et dire simplement que la violence n'existe pas ! Bien sûr la "violence" existe, mais en tant qu'idée, qu'en tant que concept, mais pas dans le monde réel. Dans le monde réel, il y a des actes, des réactions, des sensations qu'on va pour plus de pratique qualifier de violents, mais on ne trouve jamais la violence. Le B, A, BA, en matière de violence c'est la fameuse expérience des rats : Le rat tout seul qui sait qu'il va recevoir une décharge électrique régulièrement, va finir par mourir d'angoisse. Deux rats dans les mêmes circonstances, vont survivre indéfiniment parce que leurs angoisses ils vont les décharger en se "castagnant".... Se castagner, c'est de la violence, mais peut-on parler de violence, là ?
  25. Blaquière

    La violence

    Tu réponds un peu à côté se tout ce que j'ai voulu dire... mais tu as le droit : c'est TON sujet ! L'important c'est la violence est-elle une réponse, une vengeance, ou existe-t-elle d'elle-même, spontanément ! Attention, ne te trompe pas il en va de notre salut à tous !
×