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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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Si tu veux aborder rationnellement l'étude du 7, il faut en premier que tu élimines tous les cas où le chiffre 7 a été utilisé symboliquement par des gens (qui comme toi) voulaient qu'il soit présent. Les 7 jours de la semaine par exemple, le chandelier à 7 branches le 7 plaies d'Egypte... etc. Tout cela a été imaginé par des hommes. Qui voulaient rendre ce chiffre 7 sacré. Non, il faut que tu démontres MATHEMATHIQUEMENT l'importance du 7 par rapport aux autres chiffres. Et donc aussi pourquoi le nombre d'or n'est pas le 7. Pas plus que Pi pour la circonférence du cercle. Ou que le carré de l'hypoténuse vaut toujours 7 ; puis que tu étudies les raisons psychologiques qui poussent ceux qui mettent ce chiffre 7 en avant (comme toi) à agir de la sorte. POURQUOI 7 ? D'où vient OBJECTIVEMENT cette fascination (assez fréquente) pour le 7 ? Qu'a le 7 que n'ont ni le 6 ni le 8 ?
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Je ne veux rien discréditer du tout ! Je suis prêt à entendre toutes les explications. Mais pourquoi le 7 et pas le 3, le 5, le 8 ou le 9 ? Qu'est-ce que le 7 a de particulier ? C'est ça que je voudrais savoir. Pourquoi le 7 aurait été choisi par Dieu et pas un autre chiffre ? Si le 7 est plus important, il doit y avoir des raisons objectives inhérentes au 7 : Si Dieu existe, il ne peut pas être capricieux et avoir choisi ce chiffre juste pour l'amusement, par pure fantaisie !
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Plus tu écris gros, plus ça veut dire que tu doutes ! C'est bien ! (C'est pour te rassurer) Et pourquoi ses 7 organes vitaux ? Pour "alimenter" le service 3 pièces ! Parfaitement ! Le but, la seule raison de la vie c'est la reproduction. Travaille un peu sur le chiffre 3, maintenant : tu vas voir tout ce que tu vas trouver. En fait le 7 est important parce qu'il se divise symétriquement (par rapport au 4) en deux ensembles de 3 ! 123 4 567 On met le 7 en avant pour camoufler sa vrai nature qui est de deux 3 symétriques par rapport à l'axe du 4. 4 étant le principe de symétrie, le chiffre de la féminité. De la mère. 7 signifie donc que la virilité (le 3) est distribué par la féminité, le 4... Vous me suivez ? Puisque tu y tiens tant : POURQUOI le 7 ? EXPLIQUE ! Qu'est-ce que le 7 a de particulier ?
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Essaie de ne plus perdre ton temps avec ces balivernes. Amicalement.
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En fait le vrai problème à résoudre c'est : Pourquoi BM7 (et bien d'autres) voudrait que le chiffre 7 soit sacré ? (Ou très important voire essentiel.) C'est ça qu'il faut élucider. Parce qu'en vérité on sait tous que c'est faux. 7, c'est juste un chiffre. Avant, il y a 1,2,3,4,5,et 6. Et après il y en a plein d'autres. Et chacun a son importance. Une importance égale. Pourquoi un seul chiffre serait plus important que les autres ? Parce que des chiffres (ou plutôt des nombres) il y en a une infinité. Alors, si on n'en prend qu'un, CA SIMPLIFIE ENORMEMENT ! Tout (ou pratiquement tout), réduire à un seul chiffre, ça simplifie le monde. Je comprends pas ceci ou cela ? No prolémo : tout est 7 ! Parce que c'est vrai que c'est fatigant toute cette complexité. Le monde est trop divers, trop compliqué On ne s'y retrouve plus. Alors si tout se résumait à 7, on pourrait enfin s'endormir sur nos 7 oreilles... Zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz...... Z'avez vu ? Le "z" c'est pratiquement un 7 ! 7 c'est le chiffre du sommeil ! Oh pardon : du zommeil ! Tout se tient ! Et moi, je lâche prise...
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Et les 7 doigts de la mains ! Les 7 points cardinaux ! Les 7 planètes Les 7 mois de l'année, Et la journée de 7x7 = 24 heures ! Et les 7 continents ! Le 7 cavaliers de l'apocalypse ! La liste serait trop longue... Tu as parfaitement raison, le 7 c'est le chiffre de Dieu. Et moi qui en plus suis né le 7 décembre ! 1947 = 1+9+4+7 = 21 = 3 x 7 ! Emmanuel : le Seigneur est avec moi ! C'est pas une preuve ça ? A genoux, mécréants ! Le texte de la Bible est idiot ? Aussi, je me disais... C'est donc ça ? Tout s'explique.
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33 Et Je pissa partout... Avec une envie pareille, on ne va pas au cinéma de la Canebière à Marseille : on va pisser d’abord ! C’était le cas de Je. Et il le dit à Elle avec qui il faisait la queue depuis pas mal de temps devant le guichet. Qu’elle continue un peu seule, un moment, histoire de garder la place dans la file, il la rejoindrait plus tard ! LE CHŒUR : Je sait aussi être mesquin. Or il advint que les toilettes libres dans un rayon d’au moins, se trouvissent dans une chambre d’hôtel le plus proche... —Peu importe le flacon ! se dit Je se mettant à pisser. Mais à pisser... à flots ! Tiens? Décidément, ces toilettes étaient curieuses ! Au lieu d’accéder directement à la cuvette traditionnelle, il convenait ici, de pisser sur une tôle la recouvrant. (La cuvette était donc par le fait invisible d’en haut.) —Soit ! ébaucha Je... Et tout en pissant à fond et sans plus de façon, Je imaginait, confiant, un système complexe d’écoulement permettant de rassembler dans la cuvette hypothétique, ce qui tombait en vrac musical sur la tôle... LE CHŒUR : Et plus Je, pisse, plus ça le soulage. Et plus aussi ça éclabousse... Mais plus enfin, s’accroît son inquiétude Quant à l ’écoulement. D’où que quand Je eut fini, il se pencha par acquis de conscience et regarda dessous, là où eût dû se trouver la cuvette logique. Catastrophe ! Au lieu de la cuvette escomptée, s’ouvrait en contrebas, jusque là dissimulée par la tôle, une autre chambre ! Une chambre où Je, intrigué, à croupetons se faufila... Oh ! là ! là ! La pisse avait coulé partout, dans cette chambre-là ! L’était un lit, avec ses draps, ses couvertures, belles, blanches, brodées, peut-être même un édredon, et le tout, tout blanc. Mais le tout, sans conteste, tout éclaboussé ! Les gouttelettes cependant n’avaient pas humecté les tissus : elles perlaient à leur surface, comme d’une toile cirée... Que voulez-vous qu’il fît (Je) ? Qu’il courût ? Tournât le dos, payât sa chambre, et s’en allât comme si de rien ne fût ? Il connaissait la musique : 60 euro pour pisser, ça faisait un peu cher ! Il eût pu essuyer ?... ce qui peu le tenta. Il entendit alors le bruit serpillant de la femme d’étage qui s’affairait dans la chambre voisine. Il s’approcha... décidé à tout lui expliquer, tout. Projetant même infâmiquement de la soudoyer de 15 euro tout comptants (soit la moitié de la moitié), afin qu’elle épongeât ses dégâts dégoulins... LE CHŒUR : Sordide mais substantielle économie... Las ! le reçut fraîchement, la chambrière qui s’empourpra-porta sans lui laisser le temps de s’expliquer. Pour elle, l’Humanité se divisait en deux camps bien distincts : celui de ceux qui pissaient tout partout, et celui de celles... qui essuyaient ! Et elle en avait mare, elle ! LA FEMME DE CHAMBRE : Oui! N’étant pas d’humeur à supplier, Je Humble renonça (on a sa dignité quand même). Mais il se retrouvait dès lors dans la chambre urinaire, cochon comme devant. La chambre d’où émanaient maintenant, envahissant peu à peu les couloirs cossus capitonnés de lourdes tentures fleuries sombres, les senteurs muscades et sucrées de la pisse croupie. « Je vais partir en douce résolut-il, puisque finalement, je ne saurais m’y retrouver moi-même : qui me retrouvera ? » Non ! Un nouveau dilemme le ralentissémait : la clé ! Valait-il mieux carrément la laisser sur la porte ou devait-il plutôt la remettre en sortant au gardien, derrière le comptoir (le vieux bonhomme maigre, grisonnant de cheveux, buriné de ses traits et à l’air pas commode qui avait exigé de Je qu’il remplît sa fiche d’hôtel, rien que pour aller pisser). À problème insoluble, Je ne se retint pas... plus que précédemment : il passerait directement à l’étape suivante ! Et il fallait s’y dépêcher, car Elle devait déjà être entrée au cinéma... Il ressortit de l’hôtel en courant, son sac à main en main et ses escarpins fins, vernis-noirs, hautement talonnés, enfilés à ses pieds... Dont il, soudain, se figea, telle une statue de sel : Où était l’erreur ? Je parcourut à rebrousse poil son histoire sans queue ni tête : Le vieux barbon ? les quinze euros ? les soixante ? la femme de chambre ?... C’était pas ça ! Toilettes ? toile (cirée) ? tôle ? l’hôtel ? Elle (Elle) ?... Mais oui ! Bon sang, mais c’était sûr, c’était elle, Elle qui s’en était ôtée... de la file d’attente, pour aller aux toilettes ! Je, lui, avait dû rester à l’attendre, à faire la queue... Je avait été victime d’une crise directe d’inversion des rôles ! Car une femme ne devrait jamais dire j’ai envie de pisser, mais de faire pipi... ou alors, elle se fait payer 60 euro. Sans compter qu’elle pisse (ac)croupie... JE HUMBLE : C’est pas une preuve, ça ?!! LE CHŒUR : De qui se moque-t-on ?
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Exact ! Non je ris : c'est pas du tout ce que j'ai dit ! J'ai dit que ne pas croire en Dieu est une chose en soi aussi positive qu'y croire. C'est seulement la mot d'athée qui a une forme négative. Et i'ai même expliqué pourquoi. La forme opposée au fond, bon sang, c'est le pont aux ânes de toute réflexion. J'ai l'impression que ça vous rend fous, insensés, cette discussion. Maintenant, on oppose celui qui ne croit pas en Dieu à l'athée. C'est un effet de mode. J'y suis réfractaire. Les religions tiennent en ce moment le haut du pavé. On se renvoie à la face les âneries de la Thora, des Evangiles et du Coran, Mais c'est tout des conneries quand même. (Excusez!) C'est tout des inventions, des délires insensés. Il n'y a pas de Dieu, pas de Diable, pas de vie après la mort; Et c'est comme ça. Qu'est-ce que vous voulez que j'y fasse. Bien sûr que ça serait plus sympa si à la fin les gentils (adjectif au sens commun) étaient récompensés, et les méchants punis, mais hélas, ça n'est et ne sera pas le cas. Je tiens à le redire : ne pas croire en Dieu c'est objectivement positif. Croire en Dieu étant une erreur, ne pas y croire, C'est nier une négation. c'est : moins par moins : Ca fait donc plus. Refuser une erreur, c'est sortir de cette erreur. C'est positif. Le reste c'est du baratin. Y'a pas de soucis et je suis pas borné le moins du monde. Montrez-moi Dieu et j'y crois. A l'instant même. Maintenant si vous me dites qu'il y en a un qui a dit qu'il a vu quelqu'un qui lui avait dit que... et qu'il faut le croire sur parole (ce qui est toujours le cas de vos prétendus textes sacrés), non : c'est trop léger comme argument.
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Vous vous disputez pour rien ! Vous ne parlez pas de la même chose, évidemment que vous ne pouvez pas vous entendre. Oui et non ! En fait (ça a été dit) ce n'est qu'une question de définition. Ce qui fait le mot d'athée, oui, c'est le fait de nier Dieu, c'est même sa définition. Mais l'athée, la personne qui se dit athée ne se définit pas elle-même, n'est pas que la négation de Dieu. C'est dans un milieu majoritairement croyant que celui qui n'est pas croyant est distingué comme a-thée ou non-croyant. qui sont des notions négatives. Il est défini en opposition à la tendance générale pour plus de facilité. Dans un milieu majoritairement athée, un croyant (mot "positif" pour un milieu croyant) sera considéré comme in-sensé ou dé-raisonnable. Notions négatives. Or l'athée en lui-même, (tout seul) est majoritairement athée, et... raisonnable à l'unanimité et donc, positivement sensé et athée, soit positivement... négatif ! (Je m'éblouis moi-même !)
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Pourquoi il se cache derrière des lunettes noires et une capuche ? Il veut pas qu'on devine qu'il est norvégien ?
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Excusez-moi, mais ces raisonnements ne tiennent pas. Il sont faux. 1) Les athées peuvent chercher à définir la justice. Pas les croyants. Les athées cherchent à définir, (à connaître) ce qui est bien ou mal. Pas les croyants. La justice, le bien et le mal sont des notions humaines seulement. rien à voir avec un dieu hypothétique et en tout cas incompréhensible. Les croyants appliquent des conceptions prétendument divines quant à la justice, le bien et le mal. Or, il reconnaissent eux-mêmes que leur dieu est incompréhensible. ça n'a pas de sens. Leur compréhension de la justice, du bien et du mal ne sont que la projection, l'emprunt des inventions de religieux humains qui prétendent les tenir de Dieu. Un dieu qui reste toujours incompréhensible pour ces religieux-là, aussi. Dieu ne dit rien de la justice, du bien et du mal. Dieu ne dit rien sur aucun sujet. Croire c'est faire confiance à ceux qui prétendent connaître Dieu qui prétendent l'entendre parler.. Croire c'est simplement être crédule. Dieu ne dit rien mais les religieux le font parler. "Dieu a dit que ceci est juste, ceci injuste, ceci est bien, ceci est mal !" Où est la connaissance dans tout ça ? La prétendue connaissance du bien et du mal dans les religions n'est que le diktat de religieux humains. La preuve existe que Dieu ne parle pas et ne dit rien ni du bien ni du mal. C'est que dans la nature, sensée être l'oeuvre de Dieu hors de toute influence humaine, ces notions telles que nous les présentent les différentes religions, n'ont pas cours du tout. L'idée qu'Adam et Eve ont goûté au fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal réservé à Dieu ne tient pas. En fait Dieu ne peut rien savoir du bien et du mal. Il n'est qu'à examiner sa création. C'est Adam et Eve qui les ont inventés. 2) On en revient toujours à la même idée que personne ne peut vivre sans Dieu. C'est une idée de croyant. Les athées ne veulent pas être Dieu, eux-mêmes. Ils ne veulent pas le remplacer : ils ne veulent pas de Dieu du tout ! Il veulent se débarrasser de l'idée de Dieu qui à leur sens ne sert à rien. C'est pourtant simple ! Pour les athées, la science est un instrument pour connaître, pour les croyants, Dieu est une fin en soi. (Autrement dit un instrument pour ne pas connaître !) La science est la démarche de l'esprit, la religion en est l'assoupissement. Si Dieu existait il serait totalement impossible et à jamais d'accéder à un début de connaissance du bien et du mal ! Il nous incombe à nous, humains de décider, d'inventer, d'imaginer ce que sont le bien et le mal. (Dieu s'en fout !)
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Ouaip ! l'athéisme est une religion et la laïcité un dogme : parfaitement ! Mais comme on est largement majoritaire, ceux qui ne pensent pas pareil, s'écrasent. OK ? C'est ça que vous pouvez comprendre ? Plaignez-vous : notre dogme laïque nous interdit de vous persécuter pour vos croyances stupides. Priez donc pour que la laïcité n'évolue pas vers une interdiction totale des religions !....
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Scénon : Je sens comme de l'ironie ! Je me trompe ? Bon, je ne vais pas tout de même défendre Jésus Christ !!! Autre chose Je déduis du fait que les philosophes dont vous parlez et qui veulent considérer (ou prétendre) comme matériel, leur "savoir" non matériel (au sens commun de matériel) que ces philosophes tiennent le matériel pour (plus) solide et comme pour preuve du réel. Aurait-on retenu le fameux "l'être est et le non être n'est pas" de Parménide s'il avait précisé sa pensée et dit par exemple : "Seul Dieu existe et le monde matériel n'existe pas (ou ne compte pas)". Lui aussi jouait déjà sur le non matériel plus matériel que le matériel ! Il s'agit encore là à mon avis de la confusion habituelle entre les niveaux symboliques et réels. Bien sûr que le symbolique existe et peut donc sous certains angles être considéré comme réel. Mais il est réel en tant que relation symbolique mais sans prouver pour autant la réalité matérielle du symbole en tant qu'objet. Cela correspond un peu à l'idée qu'on se fait du rêve. Il est sûr que le rêve existe réellement. Chacun peut en témoigner qui rêve chaque nuit. Mais peut-on pour autant conclure que l'on a vécu réellement ces rêves ? Il s'agit non seulement d'une confusion entre les niveaux symbolique/"spirituel" et réel/matériel, mais surtout quant à leur chronologie. Pour autant que les conceptions para-religieuses de ces philosophes situent le spirituel avant le matériel. Alors qu'(à mon avis) il lui est subordonné. (Sans pour autant le nier ni nier son importance ou sa valeur.) Bref, ne pas mettre la charrue avant les boeufs ne signifie pas qu'on refuse de labourer (en un seul mot !).
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Silène : Je l'aime d'autant mieux que je sais que le paganisme est en rapport avec les sources !
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Que paganus (qui a donné "païen") vienne de pêgê la source pour nommer les habitants groupés autour d'un même point d'eau, et donc les villageois, c'est toujours bon de le savoir ! Mais pourquoi ce nom signifiant à ce moment du christianisme naissant, "villageois" en est venu à désigner les non chrétiens ? N'était-ce pas une certaine façon de traiter de "ploucs" ceux qui n'avaient pas encore acceptée la nouvelle religion à la mode dans les villes ? Ou cette interprétation est-elle obvie ? (Je n'ai pas d'avis, je me pose la question simplement.)
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Méfions-nous quand même des sources, vu que Silène, au départ dieu des sources a adopté Dionysos, le dieu du vin...
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Y en a marre d'entendre Laïcité par-ci Laïcité par là !
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Pales dans Religion et Culte
Ben ça m'éclaire tout-à-fait . Quand un certain ancien Président qui aime passer ses vacances sur un yacht, parle de supprimer l'impôt sur la fortune, je comprends immédiatement pour quoi. Ou un autre qui le soutient ardemment dont l'essentiel (dans la vie) est de posséder telle montre de prix, je comprends encore pourquoi. Ceci dit, parfois c'est comme vous le dites : des gens prennent position contre l'idéologie dominante de leur clan. Et cela permet de se demander pourquoi leur avis est ce qu'il est. (Quand on se déclare l'ennemi de la finance et qu'on nomme à l'économie des gens issus des banques, ça me permet encore de comprendre la nature des gens en question...) Il y a des étiquettes et de fausses étiquettes. Et ces étiquettes (fausses ou vraies) sont souvent un bon outil pour dévoiler la nature humaine. Il suffit de ne pas s'y tenir benoîtement. -
Y en a marre d'entendre Laïcité par-ci Laïcité par là !
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Pales dans Religion et Culte
Je suis moyennement d'accord. C'est comme ça qu'on fait croire qu'on est Socialiste en venant de la Banque Rothschild Et Républicain en refusant le pacte républicain. ça risque d'aboutir à un manque de sincérité et au mélange des genres. et ça favorise les petits malins habiles à louvoyer. qui savent "faire croire que...". J'aime bien savoir à qui j'ai affaire. Ce qui n'empêche pas d'argumenter honnêtement mais en annonçant la couleur. ça ressemble un peu à la "bobo attitude" dont le but reste de s'en tirer soi-même au mieux. Mais c'est vrai qu'en soi ce serait un idéal. Si tout le monde était honnête. D'un autre côté il suffit le plus souvent d'entendre trois mots pour savoir à qui on a affaire. -
Y en a marre d'entendre Laïcité par-ci Laïcité par là !
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Pales dans Religion et Culte
Absolument ! Vivement le retour de l'inquisition ! -
J'ai l'impression qu'avec Serguei nous nous amusons beaucoup de notre échange et que nous restons l'un comme l'autre parfaitement calmes et sereins...
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Moi, je suis athée : je ne crois pas en Dieu. Autre chose ?
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Soyons clair : Les athées c'est comme les chasseurs. Y'a le mauvais athée, et le bon athée. Le mauvais athée, bon, il est athée, c'est sûr ; mais le bon athée, lui, il est athée... mais... Voilà. Promis, demain je développe ! Boano nuèch !.A déman.!
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J'en conclue à l'unanimité de moi-même que le besoin de croire, c'est pour se donner de l'importance ! à plus.
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Génial ! Cette fois-ci tu confirmes que c'était bien de la fausse modestie ! Des fois, je me dis que je dois avoir des antennes ! (DIVINES !)
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J'en reviens pas ! Je dis un truc et ton élément de réponse, vient précisément me donner raison : Je dis que croire en Dieu c'est ne pas vouloir savoir (et là en écrivant, je me disais "tu exagères, peut-être"), mais en réponse, tu en rajoutes une couche et confirmes que ne pas croire c'est vouloir (trop) savoir ! Mais un non croyant ne cherche pas du tout à être Dieu, ni tout puissant, ni supérieur ! Il essaie juste de s'en tirer au mieux avec ce qu'il a sous la main ! C'est pour le coup, ta (fausse) modestie qui en devient louche : Avec l'aide de TON Dieu tu peux prétendre être au sommet de la création. Moi, pas, je le redis : c'est pas si brillant ce qu'on est !
