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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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Mon père était fan des Pieds Nickelés : Il en faisait les caricatures pour le plaisir... Moi je trouvais ça trop archaïque et puis y'avait trop de texte ! Mon héros préféré, c'était : BIBI FRICOTIN ! L'attitude que je préfère : les deux mains dans les poches, contemplant le monde autour de lui en rigolant :
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La Femme c'est- être faible et discret ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de le merle dans Littérature
Moi aussi j'ai bien aimé cette formule sans appel de Le Merle : " l'homme cet animal sexuel" !!! Mais grand corps malade je l'écoute pas il se prend trop au sérieux... disons que son "ton" se prend trop au sérieux. Ca me fatigue ! Mais c'est pas bête : c'est comme ça qu'on te prend au sérieux... Il faut avoir l'air... -
La Femme c'est- être faible et discret ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de le merle dans Littérature
Moi j'avais compris 'la femme sait être faible et discrète " !!! Certaines femmes ne portent pas de culotte ... -
Moi j'aimais bien "andogroupe" avec un "a"... ça m'évoquait une sorte d' "androgroupe"... C'est quand même beaucoup les hommes qui se battent contre les autres groupes. Car les femmes sont pareillement jalouses de toutes les autres femmes, sans distinction de groupe. Quoi qu'au regard des hommes elles se serrent facilement les coudes entre toutes les femmes de groupes différents... contre tous les hommes des groupes différents... Je dis des bêtises ! Il est des femmes suffisamment hommes pour défendre leur groupe seulement... Bon, c'est pas parce que j'avas rien à dire que je devais me taire... Ceci dit, je pensais ce matin que le besoin d'appartenir à un groupe doit venir de l'enfance... Quand on se comprend suffisamment faible pour prendre conscience qu'on a besoin de l'aide des autres... Certes, au départ c'est de l'humain en général qu'on a besoin. C'est un besoin universel. Mais autour de soi, ce n'est pas l'humanité en général qui nous environne; c'est un groupe, une famille, un clan, qui a déjà ses us et coutumes. Et leur aide, ils la donne en échange de l'acceptation des ces us et coutumes. "Tu ne seras aidé que si tu crois en notre dieu..." Corolaire : "Que si tu combats le dieu des autres !..." Parce qu'on nait innocent ! Egoïstement innocent !.... L'idée c'est que notre instinct de meute nous est extorqué (ou pas) par la meute dans laquelle nous arrivons à notre entrée dans le monde... "Les chiens ne font pas de chats" ou en oc : "ün pin fa pas 'n cadé" (un pin ne fait pas un cade).
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C'est gentil ! la "forme" poétique permet de voir les choses "de plus loin", plus au second degré, de ne pas trop se prendre au jeu !... Quand mon fils ainé était en Classes Préparatoire, en philo, je lui ai écrit un "dialogue de Platon" !!! Je me suis régalé ! On dirait un vrai ! Je crois qu'il a eu comme notre 9/20 ! Il a représenté le même dialogue en licence (qu'il a eue !) ... 17/20 ! C'est ma grande fierté ! Mais les dés étaient pipés : une fois plus vieux - j'avais 45 ans - on voit les choses autrement. Mais ça prouve entre autres la mentalité des classes préparatoires (pour ceux qui connaissent) Il s'agit de détruire les jeunes --beaucoup ne tiennent pas le coup !-- afin de les reconstruire entièrement... En gros : en faire des cyniques... (au sens moderne !). Ceux qui... dirigent...
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Il n'y a pas que l"anglais qui soit universel Je devais avoir 30 ans quand j'ai écrit ça (le français est à la suite) : LO RACISTO ( ò a cadun sa "còpi"! ) Lei negres, son pas blancs lei Chinès an un er de pas li arribar leis arabes 'no testo a si cochar defoero leis Americans son de marchands de cròio lei Rússous1? de sauvages ! leis Anglès... son anglès leis Alemands, espés lei Jueis : "vèngue de pié" ! lei Francès son pas rèn e si crèson de mestres, lei babis, de rapians eila sus l'autro ribo dau Ròse son jalóus dins lei despartaments d'a costat vivon como de foeles dins lei autrei cantons sabon pas monte van au vilage d'apres son toteis ensucats... Erosament, l'a nautres ! ...Encar, au quartier bas semblon pas ben ciuclats ni mai au cartier aut e per coeifar lo viage mei vesins son madurs e ma fremo impossiblo... Fin finalo, de ben sus la terro, cu l'a ? Iéu3 ! LE RACISTE ( ou à chacun son fait ! ) Les noirs ne sont même pas blancs ! Les Chinois, ont un air de ne pas y arriver les Arabes une tête à coucher dehors les Américains, des bouffons ! les Russes, des sauvages ! les Anglais... sont anglais les Allemands, balourds les Juifs : pognon et compagnie les Français ne sont rien et se prennent pour les maîtres, les Ritals, des radins là-bas sur l’autre rive du Rhône ils sont jaloux dans les départements voisins ils vivent comme des fous dans les autres cantons Ils ne savent pas où ils vont au village d'après ils sont tous débiles, Heureusement qu’on est là ! ...Encore, au quartier bas ils ne sont pas bien malins. Au quartier haut, pas mieux et pour couronner le tout2 mes voisins sont tarés et ma femme impossible... Finalement, de bien sur la terre, Qui y' a ? Moi ! 1['KY su] 2"Couronner le tout" ou en provençal, « coiffer le voyage » ! Une expression paysanne... Quand on rentre sa récolte au village, il convient de mettre les plus beaux produits sur le dessus : on « coiffe » le voyage ! 3Prononcer : [jiw] Bellaud de la Bellaudière (XVIème siècleà) écrivait déjà: « you » sans le « e ».
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"Ahhh les français et les mathématiques, ça fait 2 ! ( pour 95% d'entre eux )" Je suis quand même in peu vexé ! Parce que moi j'ai pas eu 13 lignes mais une seule ! Et j'ai même mis la photo !
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Je suis ton lien et... Il me manque... ... 9 lignes ! Bon, ceci fit même si j'ai peur d'attraper des puces, je m'approche et j'essaie de lui tâter le pouls, de voir s'il respire... S'il est vivant je fais ce que je peux, j'appelle de l'aide...
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Une maison suspendue... Suspendue à des fils d'araignées... Fragiles ? On dit pourtant que les fils d'araignée (compte tenu de leur faible diamètre) sont une des choses les plus solides qui soient... On est bien sur la même longueur d'onde !
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Je viens de réaliser qu'il y a deux sortes d'invités : ses parents à LUI et ses parents à ELLE ! Et si ses parentsàç lui semblent assis ... autour de la table, ses parents à elle sont assis dessus ? C 'est bien ça ? J'ai remarqué que dans un couple (expérience personnelle !) il y a des relations différentes avec se parents à LUI et ses parents à ELLE .
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Je ne sais pas si c'est en rapport avec la femme précisément, mais l'idée de la "femme araignée" me plait ! On sait que certaines araignées femelle bouffent leurs mâle après la fécondation ! La métaphore me plait ! Je vas tout relire !
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Je lis dans ton lien : "Abstrait La recherche sur l'empathie pour la douleur a fourni la preuve d'un préjugé empathique envers les membres d'un groupe racial. Dans cette étude, nous avons utilisé pour la première fois le « paradigme du groupe minimal » dans lequel les participants étaient répartis dans des groupes artificiels et devaient effectuer des jugements de douleur sur des images de mains et de pieds dans des situations douloureuses ou non douloureuses, de soi-même, de l'endogroupe et de l'exogroupe. points de vue. Les résultats ont montré que la simple catégorisation des personnes en deux groupes sociaux arbitraires distincts semble être suffisante pour susciter un biais d'empathie pour la douleur en faveur de l'endogroupe. Mots-clés : empathie pour la douleur ; biais d'endogroupe ; paradigme de groupe minimal ; catégorisation sociale." J'ai l'impression ('"au débotté")que youtes ces... "études" on pour résultat (je ne dis pas pour fonction !) de passer à côté de l'essentiel. Du plus important, de la... "motivation" d'origine ? Une motivation qui, toujours "au débotté" est plutôt moche. Je veux dire mauvaise. Même si ce terme est trop populaire et trop flou... Je veux dire qu'on sait ce qu'est le bien et ce qu'est le mal. Au débotté !
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J'aime bien lire tout ça mais je suis un peu à l'ouest ! J'ai l'impression d'un rêve dont tous les morceaux ne se recillent pas !
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"Femme qui rit vendredi, dimanche pleurera !" Mais il vaut mieux l'inverse : "Qui pleure vendredi dimanche sourira !"
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@tison2feu Je me souviens d'avoir vu en concert en Avignon, Manitas de Plata vers 66, 67 ? Il y avait aussi son fils qui jouait... Le présentateur enthousiaste avait annoncé : "Manitas de Plata y su hijo, Manitas de Oro !" Manitas et les jolies femmes ?... tiens, je me souviens que c'est Brigitte Bardot qui l'avait fait découvrir...
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D'où vient cette haine féroce qui t'habite ? Ce bon Jésus lui-même en serait courroucé ! T'a-t-on pris ton goûter ? Est-ce une Moabite ? Tu barbotes en ce puits où quelqu'un t'a poussé En griffes les parois de tes ongles rongés... Aussitôt cependant t'y voilà replongé ! Moïse ? Mahomet ? Papa Pie ? Belzébuth ? Secourez je vous prie ce pauvre hère sans but ! Sautant incessamment de tel maître à tel autre Vous reprochez dès lors comme faute ? La vôtre !
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La Provence ne s'est pas arrêtée avec Daudet. Tiens, dans MON village, le curé quand il venait au bar boire l'apéro, si les communistes ou les socialistes lui parlaient du bon Dieu par politesse, il leur disait : "'Li cresès vaoutré èn aquo ?' (Vous y croyez nous, à ça ?) Plus tard, comme il n'y avait plus personne qui venait à l'église, il en a vendu les bancs pour s'acheter une moto ! Puis il a jeté sa soutane... Les gens ont dit : "A préférat uno pichouno frémo a ün gros Bouan Diou !.." (Il a préféré une petite femme à un gros Bon Dieu !...) Est-ce que Daudet aurait pu raconter cette histoire ? Il faut vous dire qu'en Provence, il existe un curé qui vend les bancs de son église pour s'acheter une moto ! Est-ce le Diable qui l'a poussé ? (Je tiens l'histoire de ma tante Elise) Dieu lui aurait plutôt conseillé de jouer au Loto !
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Merci ! On sait que cet esprit (de clan, de meute) existe mais comment comprendre ça ? Je pense qu'il faut comprendre, mais là je reste court... Est-ce une façon de se voiler les yeux pour se permettre d'assouvir ses instincts les plis sauvages d'une part ? Et d'un autre côté de se fabriquer une image de petit ange ? Je pense à ça pour commencer...
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Ce serait bien que tu nous dises ce que tu entends par agir. Puisque c'est le centre de ta préoccupation. Ca fait plusieurs fois que tu y reviens... Se situer dans une position sociale n'est-ce pas aussi agir ? (Je pense à la politique, au social, à la mise en place des infrastructures, des routes..etc.) Perso, pour ce qui est d'agir "physiquement" sur la matière, j'en ai fait mon métier. Et je vais encore le faire ce matin dès que j'aurai levé la tête de mon ordi et les mains de mon clavier... Pour ma note au bac en philo c'était je crois me souvenir 11 aussi ! Comme @pic et repic ! Même si ds mon cas c'était ma pire note de l'année ! Ce qui te donne raison quand tu pointes la relation maître-élève dans la philo à l'école. Je suis d'ailleurs resté toujours en très bon termes avec mon prof de la classe de philo. Epates-nous donc avec ta note de philo au bac ! Je suis sûr qu'elle était fabuleuse ! Fais-nous rêver ! Tu pourras plus légitimement nous donner des leçons ! Je me souviens, il y a pas mal d'année quand il était à la mode pour les gens reconnus de repasser le bac, de la note de Cavanna (de Charlie Hebdo) : Il avait eu 19 je crois ! Ou 20. Et son devoir publié dans Charlie... Mais c'était un devoir comme peut en écrire un adulte. (D'autre écrivains reconnus avaient d'ailleurs eu des notes déplorables !)
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J'y ai pensé aussi ! Non !J'ai pensé à l'élixir du Révérend Père... Gaucher ! "A Paris l'a une vieilho ... Ran ! Qu'a maï dé quatrévint ans : Rantanplan la vieilho ! Qu'a maï de quatrévint ans ! Ran, ran, plan !" Putain, bientôt c'est moi qui ai quatre vingt ans ! Et ça vous fait rire ? L'autre jour, je parlais avec un copain... Loulou. Un type en or ! Et avec un Humour... Il est même un peu plus vieux que moi, pour vous préciser... Il me racontait : -- On sait plus où on en est ! Hier un type me dit : "Un tel il est mort à 79 ans : quand même c'est JEUNE !" Et là Loulou, il rajoute : -- Si à 79 ans on est trop jeune c'est qu'y a plus de vieux !" Pourtant, lui, Loulou, il les a les 79 ans !... C'est un bonheur ce type ! Il a le sourire de l'intelligence et les yeux qui brillent et qui vont avec !...
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Je me demandais où tu étais allée chercher cette histoire de dentiste... Mais oui ! Parce que je devais attraper le poisson et LES VACHES avec les dents ! Pas bête !
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Bonne journée à toi aussi ! (J'ai rajouté "jolies" dans : "toute une théorie de jolies esthéticiennes sui s'affairaient autour de ma table..." pour donner un côté plus... poétique à mon histoire un peu trop scato ! )
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"nous sommes dans une belle merde !" Pas mieux !
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Le cloaque... J'hésite à vous raconter cette histoire. Le moins qu'on puisse dire c'est que je n'y tiens pas un rôle formidable... Tant pis... Il faut dire que je n'ai pas tout compris. Mais vous m'aiderez peut-être ? Premièrement j'étais avec mon copain Paul. Un copain de l'Armée... Et j'étais dans un lac. Lui, il marchait sur la berge (lui, avait le beau rôle !). Quant à moi, j'étais ce me semble déguisé en poisson ! C'est à dire les mains attachées dans le dos, les pieds serrés ensemble, plus une grande palme jointive qui me permettait quand même d'avancer assez vite dans l'eau. Tenez, j'ai pensé à ce dessin de Magrite : Mais quel était le but de l'opération ? Je dirais une sorte de concours. De concours de pêche... Puisque j'étais dans l'eau c'était donc moi qui devais pêcher ? Mais comment faire, les mains attachées dans le dos ? AVEC LES DENTS ! J'en suis arrivé à cette conclusion qui vaut ce qu'elle vaut. Mais c'était ce me semble ma seul option. Qui dit concours dit compétition. Il me revenait donc, enfin il NOUS revenait donc de réaliser la plus grosse prise ! Petit-à-petit les choses se remettent en place ! Et c'était Paul qui du haut de la berge me guidait... Sans doute ! Et tout cela devient bien plus logique... Soudain il m'a dit : -- De l'autre côté du lac, j'aperçois des vaches ! Si on pêche une vache on est sûr de gagner ! Et me voilà donc parti vers cet autre côté du lac grâce à ma palme caudale !... J'arrive près des vaches... Il y avait aussi quelques taureaux ce qui ne m'a pas rassuré. Mais vous savez comme elles sont les vaches ? Parlons net : elles chient partout ! Résultat, je me suis retrouvé nageant dans un cloaque de merde de vache ! Autant vous dire que je tenais les lèvres serrées ! Pas question d'attraper la moindre vache avec les dents ! Mais frétillant à coups de reins comme un poisson pris aux rets, je me suis peu à peu sorti de ce... MERDIER ! Et je suis remonté sur la berge en sautillant sur ma caudale. Il me fallait trouver un autre lac d'eau bien propre pour me rincer. N'oubliez pas : j'étais couvert de la tête aux palmes d'une carapace de bouse qui commençait à se solidifier. ...... Nous avons abordé ce village à flanc de colline par le côté colline. (Au bas du village était bien sûr le lac tant espéré). Or si le côté colline était de plein pied puisque l'arrière des maisons en était à flanc () le devant surplombait d'assez haut ledit lac. Nous REGARDÂMES par la fenêtre... plus de huit mètres : impossible de sauter par là ! Mais ce couillon de Paul a glissé et je l'ai retenu in extrémis. Quelle force il me fallait faire ! En plus mes bras qui venaient à peine de réapparaître étaient d'une faiblesse.. D'une faiblesse... Mais j'ai tenu bon ! Heureusement, des gens nous ont secouru et tirés de là. C'est ainsi que je me suis retrouvé sur une sorte de... de quoi au juste ? De Brancard ? De civière ? Bon, disons sur une table, couché. Là j'ai eu je l'avoue un petit moment de panique : S'ils me prenaient encore pour un poisson, ce pouvait être une table de dissection !!! (Comme auraient pu le laisser prévoir tous ces projecteurs braqués sur moi !) J'ai alors essayé de crier, mais je n'ai pu sortir qu'un misérable : -- Mmmmmm ! Mmmmmm ! Ma bouche était scellée par la merde séchée ! (Bel alexandrin !) Mais non ! Fort heureusement toute une théorie de jolies esthéticiennes s'affairaient autour de ma table, flacons et tampons de cotons en mains. Elles m'ont retiré d'un coup sec ma nageoire-palme-caudale ainsi que le fourreau qui m'emprisonnait les jambes. Je me suis donc retrouvé tout nu sur la table ! Mais toujours recouvert d'une épaisse couche de bouse. Deux esthéticiennes ont alors commencé avec leur petits cottons et leur lotion à me nettoyer le visage.. Ouf ! Ma bouche étant décimentée, je pouvais m'exprimer : -- Que ne respectez-vous, mon "intimidité" ? (Un autre alexandrin !) -- Jetez-moi donc au lac, j'en sortirai curé ! -- Pas de panique ! C'est pour de la publicité ! Une émission Sur l'efficacité de nos produits cosmétique ! C'est en direct... A LA TELEVISION !
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les bonnes blagues de mon grand père 4... (Le quart d'heure occitan)
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Blaquière dans Littérature
Je vais te soigner avec un beau poème de Mistral ! S'es enanado alin ma douço amigo au loin s'en est allée ma douce amie E iéu desesperat et moi, désespéré Fau qué plourar je ne fais que pleurer Fuguesse-ti pus luench ma douço amigo quand ce serait plus loin, ma douce amie Pus luench qué Miramas Plus loin que Miramas E Sant Chamas Et Saint Chamas Lèu, lèu qué partiriéu ma douço amigo Vite, vite, je partirais ma douce amie émé moun cavalot avec mon cavalot a grand galop au grand galop ! S'es enanado alin ma douço amigo au loin s'en est allée ma douce amie E iéu desesperat et moi, désespéré Fau qué plourar ... je ne fais que pleurer ... Tiens, et ça c'est quand je le chantais à la télévision :
