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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Blaquière

    Le Jardin Sauvage

    Les Amours en Cage C'est pas les noms qui manquent ! Amour en Cage, Physalis, Alkekenge, Coqueret.. et même "Lanterne" ! Un plan avait poussé de lui-même dans le fossé au bord de la route, je l'ai repiqué et depuis tous les ans ils "régreïent" (regerment, ressortent ?) sur plusieurs mètres carrés... Quand elle sèche, la "lanterne orange" perd sa couleur et ne garde que son armature comme un grille fine et on peut voir le fruit rouge à l'intérieur, une petite bille, comme dans une cage... S'il y en a de bien, je mettrai la photo. Ces fruits, les petites boules rouge-orangé, (quand ils sont bien mûrs) son comestibles. Ça n'a pas vraiment de goût... La photo date d'une quinzaine de jours, là, maintenant ils commencent un peu à "pénéquer" ! En français : "ils tirent la gueule" ! Tiens, je vais aller leur mettre un seau d'eau... (Au fond sur la droite : de magnifiques œuvres d'art !)
  2. Ne pas agir par intérêt, ni par peur mais n'obéir qu'à soi-même, cela revient à dire que ce fameux SOI serait comme transcendant. Immuable ? Parfaitement défini ? La morale, le sens moral seraient intériorisés (on en est tous là) mais leur origine reste extérieure. C'est le pacte social qui nous les dicte, en tout cas elles lui sont nécessaires. Le passage de cette nécessité sociale à une spiritualité (et cette spiritualité, comme sens moral existe vraiment) relève sans doute de la psychologie ou plutôt de la psychanalyse (qui n'est plus à la mode!) via une certaine forme de Sur-Moi. Je suis d'accord avec ce que vous dites dans l'ensemble, mais c'est pour essayer de mettre en évidence que notre spiritualité, notre SOI son comme un mélange de plusieurs niveaux de notre existence : --la souffrance ou le bien-être physiques (du corps) -Lex contraints sociales sur l'individu qui codifient ses rapports aux autres. De ces deux contraintes très "matérielles" il nous revient de tirer une morale. La dire transcendante fait l'effet d'une imposture, celle de la religion, mais c'est une facilité. Remplacer cette transcendance religieuse par une transcendance spirituelle est un premier pas mais qui ouvre la pas à bien d'autres impostures. Il est vrai que nous intériorisons la morale, même si nous ne croyons pas. Et que nous avons une conception du bien et du mal hors de toute religion. Le simple respect de la vie serait la moins coûteuse des spiritualisations ou universalisations de la morale . (Si / puisque... il est vrai que l'empathie par exemple serait inscrite en nous biologiquement ou intellectuellement.) S'en tenir à la loi, finalement n'est pas si mal (et suffisant ?) et reste dans le "matériel", le raisonnable. Faire trop intervenir le libre arbitre ne risquerait-il pas d'aboutir à distinguer finalement des catégories préétablies (comme a priori) d'élus et de damnés ?... La morale (pour agir) est une nécessité sociale, après entre soi et soi, on se débrouille comme on peut ! Je ne sais pas si l'on peut parler de justice immanente comme vous avez l'air de le faire : ça c'est déjà un peu religieux ! Ceux qui "agissent mal" payent-ils vraiment en se sentant coupables ? "Si c'est dans mon intérêt je ne suis coupable de rien !" Beaucoup raisonnent comme ça.
  3. C'est bien un réponse à ma question ! Puisqu en consacrant sa vie à soi-même on la consacre aussi à son Dieu... Je n'avais pas une vision assez psychologique de la foi... C'est d'ailleurs ce que les prophètes (un peu subtils, genre Jésus Christ) ont je crois un peu tendance à dire : "Dieu est en toi"... De là à dire c'est à toi, à chacun de décider de ce qu'est Dieu, il n'y a qu'un pas. C'est un peu comme le "retour du refoulé" Dieu, c'est moi qui me revient mais sous un autre visage... On comprend à quel point ces croyances, ces fois sont liées à notre identité même, à notre "moi". J'avais déjà pensé, que le "petit Jésus" dans les bras de sa mère qu'on voit dans les églises, c'est nous, bébé ! Comme la torture du Christ sur la croix, c'est ce qui nous attend si on n'est pas sage (!) Ces représentations sont un invitation à s'identifier. A intérioriser Dieu. Un dieu bien formaté. Pour l'Islam, cette intériorisation passe par le Coran, "La parole de Dieu", peut-être ? Sa parole si je la connaît (par cœur) est en moi : Il est en moi...
  4. Blaquière

    Concept et Idée

    C'est un blague sur les écossais....
  5. Blaquière

    Concept et Idée

    Ben oui : il voulait rendre à César.....
  6. Blaquière

    Concept et Idée

    Je me demande s'il n'y en aurait pas d'autres sur le forum qui cherchent à dévaloriser les autres... Sans être très psychopathes, on est peut-être tous un peu comme ça ? Mince ! là je fais le... philosophe ! Ceci dit ta réflexion sur les concepts et les ensembles semble honnête. Semble... L'idée d'un image qu'on se ferait un peu a priori avant de la "justifier" ou de la mettre en mots pose problème. C'est à chacun de dire cette image qu'il se fait avant de la verbaliser. Dans le cas de l'homme... Moi aussi j'essaie d'être honnête. Quand on me dit les hommes, l'homme je pense à quoi ? A l'Asie du sud est, à l'extrême orient ! Parce qu'il y en a beaucoup des hommes, là-bas et... que je ne les connais pas ! A mon avis si l'on part d'hommes proches ou que l'on connaît et qu'on essaie d'en inclure d'autres, il pourrait se produire le phénomène de l'arbre qui cache la forêt ?!!! Mais là (puisque j'ai fait vœux d'honnêteté) je sens pointer la justification a posteriori... Donc voilà la donnée brute : pour moi, les hommes, ce sont les chinois ! Et encore, le concept d'homme ou "les hommes" est à la fois simple et imprécis : Simple puisqu'il s'agit effectivement d'un ensemble quantifiable. 7 milliards et demie, je crois en ce moment. (et imprécis parce que un homme n'est pas un femme.) Donc, passons au concept plus clair d'Humanité. (les hommes et les femmes) et là, le concept d'humanité est nettement moins quantifiable. Comme si on s'approchait d'un vrai concept... Mettons donc la barre haut ! le concept d'honnêteté ? Va-t-on pouvoir répertorier, même par l'esprit tous les actes, les jugements, les comportement honnêtes ? Ou s'agit-il d'autre chose ? Sans compter qu'on peut se croire honnête, de bonne foi et ne pas l'être... Où classer ce phénomène ? On en arrive ainsi rapidement à l'inconscient. Le concept d'inconscient. Sans doute le mal nommé : est-il l'ensemble de tout ce qui n'est pas conscient ? Ou est-ce le conscient qui n'est que le reliquat non-inconscient de l'ensemble de toutes nos activité psychiques ? Mis à part les hommes qui pour moi sont des chinois (ça, c'est verrouillé!), pour le reste, je reste ouvert à toutes les suggestions. En ce qui concerne les maths, je doute... lors bien que Kant nous signale le temps comme cadre a priori de toutes les intuitions (donc des intuitions intellectuelles, de pensée) réservant l'espace comme cadre des intuitions sensibles, et bien que prudent quand aux faux mythes des origines, je me demande : la simple notion de chiffre, de nombre, aurait-elle jamais pu voir le jour dans un monde absolument hors de ou sans espace ? Si on n'avais jamais vu trois hommes (on y revient!) côte à côte donc distribués dans l'espace, aurait-on jamais eu l'idée d'un chiffre trois ? Le temps est nécessaire à la pensée, mais l'espace aussi ? "Que toute connaissance commence avec l'expérience, cela n'implique pas qu'elle dérive toute d'elle" (de mémoire, mais je crois que le sens y est). Or cela signifie aussi que "toute connaissance a ses racines dans l'expérience". Mince ! En disant ça, je vais dans le sens de "concept = ensemble" que j'aurais plutôt voulu amender ! Mon honnêteté me tuera !
  7. Pour moi, qui ne suis pas croyants, la question ne se pose pas ! Mais je me suis toujours dit que si j'étais croyant (en Dieu tout puissant, infini, tout bon, tout sachant... etc.) Je ne pourrais vivre qu'en consacrant qu'en vouant toute ma vie, toute mon existence, à Dieu, à "mon créateur"... Or je constate que pour la plupart des croyants, le fait de croire en Dieu n'est guère qu'un vague "supplément d'âme"... Je ne comprends pas trop ça... C'est quoi cette "petite croyance" ? Cette "semi foi" ? Si Dieu existait (et qu'on le sache ou croie) il y aurait à mon avis de quoi bouleverser totalement notre vie... (Du coup je me demande si je n'évite pas de croire, juste pour rester bien pénard dans mon coin et dans ma petite vie ! J'ai une âme de moine ou de prophète ?! - Non : je blague ! -) ("Dieu me préserve" d'inspirer quelque fanatique par ce que je viens de dire !...)
  8. Blaquière

    La langue d'oc

    Tu auras remarqué que René Merle s'amuse de cette étymologie hasardeuse plutôt qu'il l'affirme !... Le Président "chez les brigands", c'est plus fait pour sourire que pour faire sens !... Encore qu'au second degré...
  9. Ou / ou : Disjonction exclusive ? Collusion inclusive !
  10. Blaquière

    La langue d'oc

    N'aprèni uno ben boano ! sus lo blog de mon amic René Merle : J'en apprends une bien bonne sur le blog de mon ami René Merle : ...Mai tornem a Bregançon. Sabi pas s’es un eiretatge de delinquéncia, mai aprenem que lo nòstre ben aimat President es anat de Bregançon a l’iscla de Pòrt Cròs, faire de Jet-ski dins lo santuari marin, monte tota navigacion es enebida ! ...Mais retournons à Brégançon (étymologie : brigands !) je ne sais pas si c'est un héritage de la délinquance, mais nous apprenons que notre bien aimé président et allé de Brégançon à l'île de Port-Cros faire du jet-ski dans le sanctuaire marin, où toute navigation est interdite...
  11. Blaquière

    Concept et Idée

    Tu manques vraiment de finesse... C'est dommage; mais y'a que toi qui en pâtis...
  12. Blaquière

    La langue d'oc

    Excellente suggestion ! Je m'y tiens désormais ! (J'avais souligné en bleu "tison", exprès !)
  13. Blaquière

    La langue d'oc

    L’art Poétique selon Bellaud de la Bellaudière On connaît l’art poétique de Boileau (« cent fois sur le métier »... etc.). Bellaud nous est présenté souvent un peu comme l’opposé de ce portrait d'artiste "laborieux" et on a pu dire de lui qu’il n’avait jamais passé sur un sonnet plus de temps qu'il n'en fallait pour l’écrire… (Ce qui reste à prouver !) Dans le sonnet suivant il explique l'origine de son inspiration. Il y reste dans un registre burlesque… Mais on verra plus bas qu’il peut et sait dire autre chose, et toujours, "l’air de rien" selon son habitude... Comme ici d'ailleurs Non say dont m’és vengut sy subit la ramado, Je ne sais pas d’où m’est venu si subitement le besoin D’aver prés dins ma man, tencho, plumo, papier, De prendre dans ma main, encre, plume, papier Per fayre de sounetz, vesent que tau mestier Pour faire des sonnets, vu qu’un tel métier fugiou coum’un diablon, fuge l’aigo segnado. Je fuyais, comme un diablon fuit l’eau bénite ! Aros sabi d’ont ven : es que l’autro vesprado, (Non !) Maintenant, je sais d’où ça vient : c’est que l’autre soirée Aviou prés lou patron de la clau dau cellier : J’avais pris le patron 1 de la clé du célier : Tallament qu’un Ceiron2 my semblav’un pailler Si bien qu’une pièce d’un sou me semblait une meule Et un pichot tison, uno torch’ allumado. Et un petit tison, une torche allumée ! Espés coumo faufraich, aqueou vespre dourmery, « Épais comme une soupe de fèves », ce soir-là je m’endormis Et puis sus lou matin my semblavo qu’you ery Et puis sur le matin, il me semblait que j’étais Montat sus lou cavau emplumat Pegazin. Monté sur le « cheval emplumé Pégasin » My levant espantat, non saby quallo veno Me levant, stupéfait, je ne sais quelle veine My tombet dau cerveou sy ben que sensso peno, Me tomba du cerveau, si bien que sans la moindre peine Fery de rimaillons tout un plen Magazin. Je fis de rimaillons tout un plein magasin ! J’ai parlé de Boileau, mais il y a… pire ! Bellaud était copain avec le jeune Malherbe ! Mais oui, Le fameux Malherbe du : « Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence » (du même Boileau.) Malherbe, parangon de la rigueur ! Ils auraient fait les 400 coups à Aix dans leur jeunesse… Mais ça n’est pourtant pas si étrange – et c’est toujours le cas chez Bellaud de la Bellaudière – : dans la poésie en langue d’oc qui s’est construite avec la musique (comme on le sait chez les troubadours), le mètre, le rythme, sont incontournables, souverains… Indispensables... (Les "e" (o) finaux, atones ne sont jamais muets, par exemple et comptent comme syllabe ; d'où l'impossibilité de les éluder à la césure...) Mais passons sur la forme et venons en au fond : Mi siou vist autrofes non passar la journado Je me suis vu autrefois sans passer la journée Sensso faire sounetz, ou ben quauque canson, Sans faire de sonnet ou bien quelque chanson Tant aviou à mon dam lou Bourniachou garson Tant j’avais pour mon malheur le gamin borgne (Cupidon) Gravat au font dau couort per amar Vourounado Gravé au fond du cœur pour aimer Honorine… J'ai vu (compris) ça il n'y a seulement quelques jours ! Une lucidité qu’on retrouve chez… Freud ! " L’artiste est en même temps un introverti qui frise la névrose. (Pour bellaud on l'a vu, c'est une veine qui lui est "tombée du cerveau" !) Animé d’impulsions et de tendances extrêmement fortes, il voudrait conquérir honneurs, puissance, richesse, gloire et amour des femmes. » (Ce qui peut passer pour un évidence mais qu'il n'est pas inutile de rappeler !) Et pour finir cette esquisse sur la manière de Bellaud, laissons-le dire le futur : Toutosfes si per tu, trop verd es ma rimaillo, Toutefois si pour toi trop verte est ma rimaille Ty conseilly, durbec, l'aclapir dins la paillo Je te conseille, nigaud, de l’enfouir sous la paille Car pouot estre lou tens la fara madurar. Car peut-être le temps lui permettra de mûrir ! 1Peut-être une inversion de « j’avais pris la clé du patron du sellier ? » pour suggérer que son esprit n’est pas encore très clair ?! 2Ceiron : petite pièce et/ou petit insecte (chiron)
  14. Blaquière

    Concept et Idée

    Sorry je peux pas aller plus loin je suis écroulé de rire ! T'as vraiment un don Alio !
  15. Il faudrait avoir le courage ou l'audace ou la prétention de dire ce que chacune de ces lignes nous suggère...
  16. Je ne sais pas... Je ne crois pas....
  17. Vous m'éblouissez ! J'ai l'impression que parler de Dieu nous rend plus intelligents !
  18. J'avais pigé sans piger ton jeu de mot !
  19. Et il doit en être bien marri ! Euh.... Marri ou Marie ?
  20. Je me doutais bien qu'il y avait du S.exuel, là dessous ! Et doublement ! "Morpion", et "un coup" !... Je crois que Le merle a voulu dire "Dieu ne joue pas aux Dieux ... J'ai bon Le merle ?
  21. Tu parles pour toi, là : LE Bon Dieu ou LA Bon Dieu ? (Déjà la simple idée de passer du temps avec un mec, (à part mes fils ou mon père) me répugne....) Ils sont pas si couillons ces musulmans qui se prévoient plein de gonzesses, là haut...
  22. Déjà j'ai pas dit la métaphysique de la physique, mais la métaphysique des physiciens ! (Le physicien étant spécialistes de la physique en quoi son avis sur ce qui est pas la physique vaudrait ?) Mais passons ! Gardons donc "La métaphysique de la physique" pas besoin d'aller cherchr la nature de l'homme : c'est botter en touche ! La métaphysique de la physique, par simple définition, ça n'existe pas ! Métaphysique : au delà de la physique, extérieur à la physique, alors ce qui est dans la physique en lui étant extérieur ? CQFD ? La démonstration est méta...phtisique... Quand je vous vois nier l'existence du temps (à notre échelle) en vous appuyant sur le fait qu'à un niveau quantique il n'est pas isolable (ce que j'accepte bien volontiers), c'est exactement comme si après avoir extrait, isolé une molécule d'oxyde de fer d'un globule rouge de notre sang, et avoir constaté que cette molécule n'est pas vivante, mais seulement minérale, vous déclariez que la vie n'existe pas, ne peu pas exister, puisque cette molécule n'est pas vivante. Là tu me fais penser à Pagnol qui fait dire au "Papé" : "Ho, avec un crayon, on en multiplie des lapins !" (En plus, le voyage vers le futur, on y est bel t bien tous embarqués, à bord !)
  23. Par exemple : Si on lance le dé sans arrêt, le hasard disparaît puisque, ça devient statistique, exact en, quelque sorte, le contraire du hasard. Sans doute n'est-ce qu'une question de vocabulaire, mais appeler hasard l'exactitude, c'est plus du jeu ! "le hasard c'est D.ieu qui se promène incognito mais il ne joue pas aux dés ..." Ça c'est la fascination du paradoxe : c'est super classe, j'aime bien l'idée de Dieu incognito c'est même la définition religieuse de Dieu ! et c'est pour ça que ça marche ! Exactement comme la résurrection prétendue du Christ. : il lui suffisait d'apparaître le dimanche matin devant le temple et il enlevait le morceau ! Mais non : il a ressuscité "incognito", juste pour ses copains ! Dieu incognito ça ne veut rien dire ! C'est le rasoir d'Ockham : si dieu est incognito, c'est qu'on peut en faire l'économie... Dieu incognito, ça veut aussi bien dire qu'on le voit pas s'il y est, qu'on le voit s'il n'y est pas ! Ça ratisse trop large. Dieu incognito, c'est le dé pipé ! On veut rendre les gens responsables, qu'ils aient du mérite à croire en Dieu sans preuve. Je trouve ce principe ... vicieux. C'est comme du chantage. Il faut renvoyer vers Dieu le principe "tu ne tenteras pas le Seigneur ton Dieu!" et lui imposer "tu ne tenteras pas l'homme, TA créature !" C'est le/s prophète/s (pas Dieu) qui di(sen)t tu auras une super récompense si tu me crois sur parole... oui : du chantage. Dieu incognito, c'est Dieu mauvais joueur, Dieu tricheur...
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