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Blaquière

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Tout ce qui a été posté par Blaquière

  1. Tout-à-fait d'accord avec toi. On pourrait dire qu'il y a plusieurs réalités. Ou plusieurs niveau de réalité si on veut à tout prix penser qu'il n'y a qu'une réalité! Tu dis que ces différents niveaux se contredisent. C'est peut-être là que notre esprit est insuffisant. Comment accepter ou comprendre qu'une indétermination (quantique) débouche ou... accouche (!) d'un monde déterminé à notre niveau. Bien sûr on pense "aux grands nombres" ou aux statistiques, qui transforment l'indéterminé en certitudes, mais philosophiquement, on a un déficit de sens. C'st peut-être surtout au niveau du temps que s'opère l'opposition. Du temps tel que nous le concevons et le vivons. A savoir qu'il est orienté et s'écoule dans un seul sens. Je précise du présent ou du passé vers le futur ! De notre échelle (dans l'espace) à l'infiniment grand cette conception pose assez peu d problème et nous permet de vivre. Mais à un échelle infra atomique ou quantique, on pressent bien que ce même temps n'a plus les mêmes propriétés. Au niveau quantique, c'est ce qui semble se passer (la modification du temps) dans les trous noirs. Mais aussi à une macro échelle. (Contrairement à ce que je disais au dessus) ainsi, l'inflation subite de l'univers. Que je ne connaissais pas il y a quelques années et que je confondais avec l'expansion. Il y faut (il nous faut) admettre une expansion subite de l'ordre d'une vingtaine de milliards d'années lumière (excusez du peu!) en quelques fractions de secondes... C qui semble encore plus difficile à intégrer que l'indétermination quantique. Notre esprit se retrouve alors pris en sandwich entre deux zones d'incompréhension. C'est notre "martingale" ! Pas d'incompréhension théorique, je fais confiance aux physiciens ! Mais d'inconceptualisation ! De notre impossibilité à concevoir dans la pratique, par nos sens... Je veux dire que dans une formule simple genre Q=i.t, "t" n'est pas le vrai temps que l'on vit mais un temps théorique, à la limite réversible (?!) alors que le "vrai" temps (vécu) n'est pas réversible à notre échelle). On peut à loisir le faire varier, ce "t", alors que l'écoulement réel du temps, lui ne varie pas. (Encore une fois à notre échelle, puisqu dans l'espace et en fonction de la vitesse, oui.) Je dis peut-être des bêtises !...
  2. La question à se poser, je crois c'est est-ce que de l'incertitude ou plutôt, de l'indétermination du monde de la réalité quantique, il nous est permis ou simplement utile de conclure à l'indétermination du monde dans lequel nous vivons ? Bon, utile, sans doute par les applications de la physique contemporaine qui s'invite dans notre vie courante. Mais utile pour notre représentation du monde ? Les GPS, les téléphones portables... On les utilise, oui, mais pas pour changer notre conception de l'espace temps, très peu pour améliorer nos connaissances ou notre mentalité ou notre caractère, Ce serait plutôt pour échanger des conneries et des banalités... C'est une question d'échelle, ou de savoir pur : Le réel en théorie (et même en vrai en un sens) semble nous glisser entre les doigt, Le "solide" n'existe plus ! ce n'est sans doute que de l'énergie, ou... des cordes (!) mais on continue comme il est dit plus haut à prendre l'ascenseur et à ne pas sauter par la fenêtre. Il nous faut toujours agir comme si le solide était solide au plus profond de lui.
  3. Juste ce mot... Klein dit bien en évoquant Hawking et en invoquant un forme de naïveté. J'ai lu sa "brève histoire du temps" (de Hawking), et j'ai été un peu sidéré au milieu de son discours scientifique (et c'était un pointure à n'en pas douter dans ce domaine) de le voir évoquer Dieu comme un cheveu sur la soupe, dans un formule du genre (je ne me souviens pas exactement) "Dieu ne permettrait pas ça". Ça n'avait aucun sens !... Je me demandais ce que venait faire Dieu, là tout soudainement... Comme si au milieu de la partie, on réalisait que les dés étaient pipés... mais que c'était bon quand même...
  4. Blaquière

    La langue d'oc

    Les trois derniers couplets : ça ne s'améliore pas ! 4. Quand avès plus la visto neto Quand vous n’avez plus la vue nette Quand per legir vouestre journau Quand pour lire votre journal Vous fau l'adjudo dei lunetos Il vous faut l’aide des lunettes Quand sias blede, cepoun d'oustau Quand vous êtes mou, ne sortez plus de chez vous Quand luen dau rastouble e de l'augo Quand loin des champs et de la mer (1) A viéure au lié sias coundanat Vous êtes condamné à vivre au lit Es tèms d'anar fumar la maugo Il est temps d’aller fumer la mauve Fau s'en anar, fau s'en anar. Faut s’en aller, faut s’en aller ! 5. Quand sus lei tranchos de viandugi Quand sur les tranches de viande Poudès plus mouardre a bellei dents Vous ne pouvez plus mordre à belles dents Quand vous fau façun e saussugi Quand il vous faut des farces et des sauces Quand lou roustit vous dis plus rèn Quand le rôti ne vous dit plus rien Quand v'aduen per plat de riboto Quand on vous apporte comme plat de bombance Un pelau de ris safranat Un plâtras de riz au safran Es tems que vous greisson lei botos Il est temps qu’on vous « graisse les bottes » Fau s'en anar, fau s'en anar. Faut s’en aller, faut s’en aller ! 6. Quand avès plus coumo ei tombados Quand vous n’avez plus comme aux catastrophes (2) Qu'un couar passit, estransinat Qu’un coeur flétri, épuisé Qu'une cervelo en marmelado Qu’une cervelle en marmelade Quand lou bouan sens a débanat Quand votre bon sens s’en est allé Quand la cambo en marchant tirasso Quand en marchant vous traînez la jambe Quand poudès plus vous boutounar Quand vous ne pouvez plus vous boutonner Quand sias plus qu'un vieilh fais d'estrasso Quand vous n’êtes plus qu’un vieux fagot (paquet)de chiffons Fau s'en anar, fau s'en anar. Faut s’en aller, faut s’en aller ! (1) Qu’on ne travaille plus ni au champ, paysan, ni pêcheur sur la mer : la Seyne est sur la côte. (rastoublé : champ en friche, ici, le champ en général ; l’augo : l’algue) (2) « ei tombados » : « aux tombées », aux chutes ?
  5. Blaquière

    La langue d'oc

    « Fau s’en anar » « Il faut s’en aller » Un morceau d'anthologie ! Du Docteur Gantelme de La Seyne sur Mer 1820-1890. Une « chanson » qui a son époque a connu une grande popularité et que les « provençalistes » continuent de se repasser avec … gourmandise ! Plus que du burlesque, c’est du sordide ! Le naufrage de la vieillesse… On pourrait croire que ça va vous détruire le moral et qu’on se dise : « Quelle horreur ! On va en arriver là ?! » Et en même temps, le tableau est si sombre qu’on finit par faire le décompte : « Oh ! J’en suis pas encore là ! » Et du coup on en rigole ! Je mets les trois premiers couplets, je mettrai les autres demain ou plus tard... Fau s’en anar (Il faut s'en aller...) 1. Quand lou passeroun dins sa gabi, Quand le moineau dans sa cage Enchichini pou plus pieuta ; Abasourdi ne peut plus pépier Quand l'a plus au founs de la fàbi Quand il n’y a plus au fond de la jarre Proun d'oli per vougne lou tap ; Assez d’huile pour « graisser le bouchon » Quand la poutigno eis ueis s'empego Quand la chassie aux yeux s’accroche Que sias vieilh, mau courous, arnat Que vous êtes vieux, désagréable, vermoulu, Es tems de devessar la pego Il est temps de « renverser la colle » Fau s'en anar, fau s'en anar. [Foou sê nana, foou sê nana] Faut s’en aller, faut s’en aller ! 2. Quand l'entre-dous de vouastrei braios Quand l’entre-deux de votre pantalon Jaunejo, sente l'escaufit ; [djaounédjœ, sinté lèscaoufi] Jaunit et sent le renfermé ; Quand lou pissarugi s'estraio Quand la pisse se répand Dins lei bas que n'en soun clafits ; Dans vos chaussettes et qu’elles en sont imbibées ; Quand dau nas vous pende la gouto [doou... pindé] Quand du nez vous pend la goutte E que de tout fes que renar Et que vous râlez de tout Vèngue lèu la fueio de routo : Vienne vite la « feuille de route » : Fau s'en anar, fau s'en anar. Faut s’en aller, faut s’en aller ! 3. Quand poudès plus estre dei festos Quand vous ne pouvez plus faire la fête Rire, bèure se ni vilha [viya] Rire, boire sec, ni veiller Quand davans la taulo vous resto Quand devant la table vous n’êtes plus Qu'un machourau descavihat Qu’un bonhomme désarticulé (1) Quand lei chatouno vous fan ligo Quand les fillettes vous font envie E qu'avès rèn a li tourna Et que vous n’avez rien à leur proposer Es ouro de fermar boutigo C’est l’heure de fermer boutique Fau s'en anar, fau s'en anar Faut s’en aller, faut s’en aller ! (1) Incertain comme traduction ! Ou "mâchouillis informe"?
  6. Sur le principe, tu as raison, mais ce que dit @Mex est trop conforme à ce que l'on peut s'attendre à lire quand on n'est pas musulman. J'ai de la peine à y croire. Plus une vague allusion à l'homosexualité : ça a vraiment tout pour plaire !... Il n'a d'ailleurs toujours posté qu'un seul message... "Wait and see" donc !...
  7. Dictature, oui... MAIS DU PROLETARIAT ! "Pour moi ce qui compte c'est la liberté et quand on est libre chacun est libre de faire sa fortune ou non !" Tu vois ? rien que de dire ça, ça prouve que tu n'es pas libre !!! Le ver est dans le fruit du libéralisme ! Tu n'as pas fait fortune, mais tu crois que tu aurais pu la faire... C'est là tout la malice du système : croire qu'on est libre. Parce que tu dis "chacun est libre"... Ah! si "chacun", c'était tout le monde, je serais d'accord ! Mais tout le monde peut-il faire fortune ? Assurément pas... (Nous en sommes deux preuves !) A de rares exceptions près, en plus, faire fortune, c'est piquer l'argent des autres... Et encore, je doute des exceptions... D'un autre côté, j'avoue que c'est mieux vivable de croire qu'on est libre quand on l'est pas que de ne pas l'âtre et de savoir qu'on ne l'est pas...
  8. Certes ! Mais l'impérialisme US; c'est pour que les milliardaires s'en mettent plein les fouilles alors que l'impérialisme communiste c'était pour le BONHEUR DES PEUPLES !
  9. Blaquière

    La langue d'oc

    Ça me fait très plaisir ce que tu dis. Tu sais quand on fait quelque chose on le fait sans douter, parce qu' "il faut qu'on le fasse" mais on sait pas comment ça peut être reçu.... et donc à l'arrivée si on s'est pas foutu complètement dedans !.... Pour "Quand chai la fueilha" je m souviens que j'étais parti sur les 4 ou 5 notes de "l'oiseau de pluie "! J'essaierai de le retrouver... genre "do, do, do, /fa, \do" !!!!
  10. La mère Clinton elle-même a reconnu publiquement que c'était les américains qui avaient pratiquement fait et armé Al Kaïda contre les russes en Afghanistan... Un truc pareil, et le dire, c'est phénoménal, mais ça n'a jamais été tellement ébruité ni commenté... (officiellement dans nos médias qui nous amusent avec des balivernes...) Après on nous fait pleurer avec le 11 septembre, le seul truc dégueulasse c'est les 3000 personnes mortes écrabouillées. le reste, ça fait tourner le commerce... Ceci dit, les américains, les gens, je les aime bien c'est l'idéologie qu'on leur impose qui est désastreuse.
  11. Kadafi était un peur fou, c'est vrai, mais là il commençait à se calmer. Mais c'était un dictateur, comme Sadam Hussein. Mais si on les a chassés, c'était surtout parce qu'ils étaient un peu... socialistes. Le parti Baas est/était un parti socialiste. Ça, c'est un trop grand péché pour les américains... Et nous qui les suivons. Le troisième, Bachar el Assad qui n'est pas plus recommandable que les deux autres arrive à se maintenir... Comme par hasard il est soutenu par les Russes... Contre les américains... C'est le cynisme absolu du capitalisme qu'il faut comprendre. 'Ils' ont détruit l'Irak, la Libye, On pourrait se dire " ils sont fous ! C'est insensé !" Pas du tout ! avec Sadam et Kadafi en place "Ils" n'avaient aucune chance de s'infiltrer. Dans des pays complètement bousillés, ils ont de bonnes chances, avec le temps... Les pauvres bougres qui crèvent c'est pas leur problème.
  12. Je crois que vous êtes d'accord, finalement !... Pour vous foutre sur la gueule ? Non ! Enfin, moi, je suis d'accord avec les deux, il faudrait juste un peu retoucher par-ci par-là... Faire la synthèse...
  13. Blaquière

    La langue d'oc

    J'ai pas le matos pour enregistrer la voix en ce momnt, j'ai donc mis que la musique... je sais pas si ça va passer. Il suffit de suivre les paroles de dessous. J'ai mis les deux couplts t l'envoi final. (ieu sui Arnaut..." CESTSON.MID.mp3 En cest sonet coind'e leri fauc motz e capuig e doli, e serant verai e cert quan n'aurai passat la lima Qu'Amors marves plan'e daura mon chantar que de lieis mou qui pretz manten e governa. Tot jorn meilhur et esmeri car la gensor serv e coli del mon, so·us dic en apert sieus sui del pe tro qu'al cima, e si tot venta·ilh freid'aura l'amors qu'inz el cor mi plou mi ten chaut on plus iverna. Ieu sui Arnautz qu'amas l'aura e chatz la lebre ab lo bou e nadi contra suberna.
  14. Ben figures-vous que moi, c'était le contraire ! D'un famille de rouges, il fallait que je me cache et j'avais honte d'aller à la sacristie ! Mais c'était pour voir les films de Laurel et Hardy que passait le curé... Il m'est resté que chaque fois que je rentre dans une église, j'ai un peu peur... Les mosquées ou les synagogues,.. n'en parlons pas !
  15. Blaquière

    La langue d'oc

    Merci ! Mais ça n'a rien à voir avec ce que j'avais écrit moi !!! Je vais le rechercher sur mon vieil ordi ! Je te ferai remarqué que je n'ai pas commencé mon commentaire par : !!!!!!!!!! Flûte ! ils m'ont fusionné ! c'était pour répondre à ton : de dessous !
  16. Blaquière

    La langue d'oc

    Je n'arrive pas à écouter "en cest sonet coind e leri" que tu dis mis en chanson. Si tu peux le mettre ici, ce serait bien! J'ai déjà dit que j'avais compris ce que c'était que de chanter en mettant des textes de troubadours en musique, (grâce à leur composition des sonorités) quand je n'avais pas accès aux vraies musiques de l'époque. Bizarrement pour toutes les (quelques) paroles sur lesquelles j'ai "travaillé" on n'a pas conservé les musiques ! On devine que j'aurais aimé comparer ce que j'avais fait avec les musiques originales, mais c'est donc pas possible ! Sauf là, puisque tu dis qu'on en a fait une chanson ! Donc, si tu peux la mettre, ce serait marrant. Ces derniers jours, j'ai justement noté "ma" musique sur ce "sonet"... En cas je la mets aussi ! J'avais mis en musique aussi "Quand chai la fueilha" du même, "Lo tems vai et ven e vire" de Ventadour, et peut-être une autre... Pour ce qui est des musiques, la musique originale qu'Arnaut Daniel a fait pour sa "sixtine" ('Lo ferm voler qu'il cor m'intra"= la ferme volonté qui entre en mon cœur) peut nous paraître aujourd'hui banale : do, /mi, /sol, /sol, /la, /si, \la, \sol... Mais si on y réfléchit, pour marquer la volonté ferme (lo ferm voler), Arnaut a "tout simplement" inventé le ton de Do Majeur et l'accord parfait majeur, "do,mi,sol"!!! On ne pourrait pas mieux expliquer le Do Majeur que par 'la ferme volonté" ! Pour "marves", tout semble concorder pour un sens d'immédiat, de vitesse, promptitude, rapidité...
  17. Moi je croyais que la "cogne-essence" c'était le carburant pour les véhicules de police...
  18. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    En couleur (il faut s'accrocher) ! Mais le pire, c'est : "le violoniste rouge" : En plus j'avais travaillé pour sortir ça : Heureusement, l'an 2000 est arrivé ! "Viol, Violent, Violon ": Et "le violon acoustique" :
  19. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    J'ai rassemblé "tous mes violons"! Je mets pas les dates, ça me donne le bourdon ! (Même pas vrai!) En fait j'ai oublié !!! Cubisme analytique, on va dire : Synthétique, cette fois en dessin : et dans son jus : Violon et guitare, cette fois....
  20. Qu'est qui dit ?! Je vous ai même fait un dessin : je peux plus rien pour vous ! TP de fac, ça classe son homme, c'est du haut niveau ! Et encore plus à dire que c'est le b, a, ba !
  21. @DroitDeRéponse, @aliochaverkiev : C'est comme vous voulez... (Pour vous !) Quant à moi, quoi que vous cherchiez à dire, je ne crois pas (en cette matière) je considère simplement que l'explication que la terre tourne sur elle même (et non autour du soleil) rend mieux compte du mouvement apparent du soleil. Il n'y a pas de vérité absolue là dedans. Juste une petite réalité. Et je ne me crois pas si malin : si on ne me l'avait pas appris et que j'ai vécu à une autre époque, j'aurais sûrement cru que le soleil tournait... Par la pensée on peut (si l'on veut) sortir de toutes les structures, il me semble. C'est même le principe de fonctionnement de l'esprit. Le recul. A chacun SA vérité ? C'est à la mode... Mais c'est la porte ouverte à tous les... enfermements !!! On joue trop souvent sur les sens de "croire". Je crois ? Oui ! Je crois que la terre tournante rend mieux compte de nos observations. De la même façon, croire que Dieu créateur rend mieux compte de ce qui existe, ça n'est pas croire en Dieu mais juste une justification a posteriori. Disons c'est à mi-chemin ! Finalement, l'idée de Dieu est trop grande pour une petite croyance : c'est tout ou rien ! Croire en Dieu, c'est tout ou tout. Tiens, je vais faire un dessin !.... (sans rire!) Mais je le redis : c'est comme vous voulez... Moi ?... je crois pas !
  22. Pourquoi faire ? Si tu es croyant, tes réactions me donnent tout-à-fait raison quand je dis "les croyants ne croient pas vraiment".... Et que c'est guère plus que pour se "donner un genre"!... S'inventer une identité plus plus. Mais quelqu'un m'a permis de comprendre pourquoi les croyants (dans leur majorité) ne consacrent pas leur vie à Dieu. C'est parce que "croire en Dieu", tournons dans tous les sens, c'est un peu "se croire Dieu'. Il suffit donc dans ce schème de vouer sa vie à soi pour la vouer à Dieu ! On comprend ça ou on le comprend pas. Et/Mais pour le comprendre, il ne faut pas être juge et partie... La croyance est un phénomène psychologique. Tant qu'on la considère comme une transcendance on ne peut lui trouver de logique, de raison. C'est un a priori. Il faudrait sortir de cette structure pour en saisir la contingence, la relativité... Tant qu'on reste sur la terre, c'est le soleil qui à l'évidence tourne autour d'elle. Il faut au moins par l'esprit se situer en dehors du système pour comprendre le vrai mécanisme. "Pourquoi faire?" "pourquoi donc", pointent à mon avis un aveuglement, un enfermement dans cette structure. Puisque tout (le monde) est entièrement dans cette structure, il n'y a pas besoin de chercher ailleurs. "Pourquoi aimer Dieu puisque je m'aime moi ? Et que c'est la même chose!" Variante amusante : "Pourquoi aimer Dieu puisque je me hais moi (et mon corps et mon péché) et que c'est la même chose!"...
  23. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    C'est décidé, je "t'engage " pour les titres ! (Bon, je vous laisse un moment, je vais aller enfourner la "cicatrice" !)
  24. Blaquière

    Ce que j'ai fait

    Merci ! je vais peut-être le rebaptiser ! 'La Bottine de Sein Crépin"! Je rigole parce qu'on m'a dit "vos trucs son pas terribles (c'est pas vrai!) mais vous avez de bons titres !" @Plouj
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