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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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La question qui se pose est : est-ce que le sentiment relève ou pas de la métaphysique ? Non ! J'ai rien dit ! L'existence et la rencontre sont physiques.
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Je ne comprends pas ce raisonnement de Luc Ferry. De ce que ma perception (de la voie Lactée) de l'infini, du fait qu'il y ait toujours quelque chose "derrière" puis encore quelque chose et ainsi de suite... En quoi cela m'inspire l'idée qu'il pourrait ne rien y avoir ? Je trouve que les deux n'ont aucun rapport. Je trouve même qu'il s'agit du contraire ! Et je peux dire qu'il m'arrive très souvent de regarder les étoiles... Je ne vois pas, ne comprend pas cette déduction. Il s'agit pour moi de deux choses sans rapport. Opposées. En revanche, l'angoisse, même si c'est de façon triviale, je pourrais la rapprocher de la sensation de vertige, de vide. Mais là il ne s'agit pas de penser qu'il pourrait ne rien y avoir mais qu'effectivement il n'y a rien. (Localement, et à ce moment là, devant moi.) Je rajoute. Bien sûr cette vision de l'infini peut engendrer en moi l'idée de ma propre contingence, l'idée que comparé à cette immensité, je ne suis pars grand chose, presque rien. Que mon inexistence ne changerait rien. mais ce n'est pas le tout qui est remis en question : c'est moi. Le vertige; c'est l’identification de l'immensité au vide. Pas que l'immensité pourrait ne pas être. D'une certaine façon c'est qu'elle est déjà le vide....
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« Boire un grand bol de sommeil noir... »
Blaquière a répondu à un(e) sujet de satinvelours dans Littérature
Ce "parlent" me gène !... "me racontent" ressemblerait à " me recuerdan" mais est trop pittoresque, "me content" se confondrait avec " me comptent" et on perd le sens " Me disent "? C'est un peu... glissant mais c'est peut-être mieux que "me parlent" Ce qui donnerait : Inventaire amoureux Tes yeux me disent les nuits d'été, les nuits noires sans lune près de la mer salée, les étoiles qui palpitent dans le ciel noir et bas. Tes yeux me disent les nuits d'été et ta peau brune, les blés brûlés et le soupir de feu des champs moissonnés. ... De ta grâce brune, de ton rêve gitan et de ton regard d'ombre, Je veux remplir mon verre. Puis je me saoulerai une nuit de ce ciel noir et bas pour chanter avec toi près de la mer salée une chanson au goût de cendre sur tes lèvres. je veux remplir mon verre De ton regard d'ombre... -
« Boire un grand bol de sommeil noir... »
Blaquière a répondu à un(e) sujet de satinvelours dans Littérature
Déjà ta traduction est bonne. Après c'est toujours une approximation, bien sûr... En essayant de garder un rythme ? Inventaire amoureux (le galant en français ça fait plus frivole ?) Tes yeux me parlent des nuits d'été, des nuits noires sans lune près de la mer salée, des étoiles qui palpitent dans le ciel noir et bas. Tes yeux me parlent des nuits d'été, de ta peau brune, des blés brûlés et d’un soupir de feu sur les champs moissonnés. ... De ta grâce brune, de ton rêve gitan et de ton regard d'ombre, Je veux remplir mon verre. Puis je me saoulerai une nuit de ce ciel noir et bas pour chanter avec toi près de la mer salée une chanson au goût de cendre sur tes lèvres. je veux remplir mon verre De ton regard d'ombre... -
Bellaud de la Bellaudière... Je me souviens de ce mot de "fachuriero" que je ne connaissais pas et n'arrivais pas à traduire. Je viens de trouver, à l'instant ! J'ai retrouvé un enregistrement ! C'est sûr c'est pas très gai ! Mais le sujet ne s'y prête pas ! que non m'a de son dailh3.mp3 Que non m'a, de son dail Que non m'a, de son dail, la Parquo filandiero Dins l'estuch maternaou mon vioure destramat! Ou ben, coum' un rasin, per que non m'a poudat Senso tant far languir lou pauro Belaudiero? (Que ne m'a de sa faux la Parque fileuse Dans l'étui maternel, ma vie "détramée" (détricotée?) Ou bien comme un raisin pourquoi ne m'a-r-elle taillé Sans faire autant languir la pauvre Bellaudière) Que non m'a la dondon de bailo fachuriero (1), Quand premier m'allachet, dins lou bres estoufat Ou ben que de pouison non m'age desmamat Afin que jouvenet passessi la ribiero. (Que ne m'a ma grosse sorcière de nourrice Avant de m'allaiter étouffé dans le berceau Ou bien sevré avec du poison Afin que tout jeune je passe la rivière.) Non saubriou que vaudrié pan, vin, sau ni farino Limasso ni perdrix, anchoio ni tounino, Ni l'amour femellan non auriou esprouvat, Je ne saurais pas ce que vaut le pain, le sel ni la farine Les escargots ni les perdrix, les anchois ni le thon Ni l'amour féminin je n'aurais éprouvé Ni tant, pauc de preson la fouorto clavadisso, Mais coum'un agnelet auprès d'uno cebisso Au camp Elisian mi sariou jardinat (Pas plus que de la prison le terrible enfermement Mais comme un gentil agnelet auprès d'une haie Aux Champs Élyséens, j'aurais pris du bon temps...) 1. Fachuriero, mot que le provençal moderne ne semble pas connaître; en vieux prov., fachurier, relevé dans le Diction, de Lévy, signifie sorcier. Mistral n'enregistre que fachiniero, sorcière. L'ensemble de l'expression se traduirait: "ma grosse sorcière de nourrice". 2. Se jardinar, s'installer, prendre pour séjour, usuel chez Bellaud.
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En tout cas, bravo @Ambre Agorn pour ta recherche : j'ai tout noté !
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La Farigoulette. (La Farigoleto) (Le thym) Cette année, je me suis fait un petit plaisir ! J'avais lu que du temps de la Révolution et au début du XIX ème siècle, les révolutionnaires (les purs et durs, les Montagnards !) pour se reconnaître tenaient sur un rebord de leur fenêtre, un pot de fleur avec une plante de farigoulette... Alors, je me suis fait mon pot ! Et je peux vous dire qu'elle a tellement bien pris ma farigoulette, qu'elle vient de fleurir ! Et je blague pas : Ils chantaient sur l'air de la Carmagnole : Plantèn la farigoulo, Arrapara, arrapara Plantèn la farigoulo E la mountagno flourira ! (Plantons le thym Il s'accrochera, il s'accrochera Plantons le thym Et la montagne fleurira !) Bon, au lieu d'applaudir au "son du canon", on faisait fleurir la montagne... Toute une civilisation !
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Lou mourré dé pouarc (on prononce "mouré dé pouar' ") ("le groin de cochon" ou "le museau de cochon") Tous les ans y en a qui poussent devant l'atelier.... C'est plutôt une salade pour mes lapins, mais il paraît que certains les mangent comme salade sauvage. Quand ils sont tout petits, tendres, peut-être ? Pourquoi "mourré dé pouarc" ? Parce que le bouton ressemblerait à un museau de cochon... je vous laisse juges: Mais la fleur, c'est un pissenlit assez "spectaculaire" :
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(J'ai ri pour ta dernière question !) Bien sûr, j'imagine que je préférerais être original, UNIQUE ! Ce serait trop bon ! Le seul, l'unique moi ! Personne n'y arrive à la cheville ! Je blague. Il m'arrive d'être original, et d'autres fois très normal. Non ! je suis toujours très normal ! Je suis comme tout le monde. Particulier, comme tout le monde. Mais je m'intéresse pas particulièrement à moi. Ce qui m'intéresse c'est ce que je fais, si c'est bien. Quand qq chose me plaît (en général), ou que je trouve important, ou qui m'amuse, j'aime bien le montrer; et essayer de dire pourquoi. Pour que d'autres en profitent. "Ho, non, c'est pas vrai, tu ne peux pas être ici comme tu es "dans la vrai vie" Je pense quand même que oui. "comme tu ne peux pas te comporter en public comme tu te comportes en privé!" C'est vraisemblable. En public, on est toujours un peu en représentation. Le plus souvent ça se résume à faire bonne figure. Mais par mon travail et par ailleurs en spectacles, quelques fois, je suis souvent et j'ai été parfois face au public... alors, c'est un peu une habitude, je n'éprouve pas le besoin de me "rattraper". en en rajoutant. Je le redis ce qui compte c'est ce que j'ai à présenter, pas mon égo. "Je sais que tu t'évertues à faire correspondre les deux tableaux" Pas vraiment, je ne fais pas d'effort. C'est presque un plaisir d'être simplement comme je suis, ça m'amuse en plus ! Comme si ma réalité la réalité dépassait toute fiction envisageable. Et je tendrais à penser que chacun en étant simplement ce qu'il est sans aucun fard vaut beaucoup. "mais c'est pas pour ça que tout le monde devrait en faire autant ou tout simplement le peut." Certainement. Loin de moi l'idée d'obliger qui que ce soit à quoi que ce soit. Que tout le monde le puisse ou pas, je ne sais pas. Mais en général les gens se sous estiment. C'est une question de psychologie.
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Je te comprends, mais... et je ne te comprends pas ! Moi je suis ici exactement le même que je suis dans la vie. Et je pense qu'il en va de même pour la plupart des gens. La vie est déjà assez compliquée en étant comme on est, si en plus on fait semblant de jouer des rôles d'être ce qu'on n'est pas, je trouve ça un peu enfantin. On joue pour du beurre ! Après qu'on préfère ne pas s'exposer personnellement, par crainte, appréhension, peur, timidité, je comprends ça très bien. Et je le respecte. Quoi qu'on en dise, pour moi, il y a des vrais gens derrière les pseudos. Et je les respecte en tant que tels. N'importe qui peut facilement savoir qui je suis et où je suis, s'il y en a un qui passe par là, je l'invite à boire un café ! Mon exposition est ouverte au public (bon à part en ce moment ! Tous ces faux fantasmes, ça me gave un peu : " Et je feins d'être ceci et je feins d'être cela... " Ce n'est que de la malhonnêteté et rien d'autre, de la ruse, de la manipulation. "(comme vous le dites souvent" ? non, je ne crois pas en avoir parlé bien souvent. C'est quand même un comble : bientôt je vais passer pour un original, une exception, alors que je suis ce qu'il y a de plus normal ! Juste je me cache pas. Je suis comme je suis.
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Meuh non ! C'est pas une auteuREU, c'est UN auteuR' ! C'est "notre" Aliocha ! Diminutif de Alexeï Karamazov ! Aliocha, selon Dostoïevski, est à l'opposé d'un adolescent « avide de désordre ». Il est ici pour tout remettre en ordre ! Je crois bien qu'il est né vers Kiev... Documents :
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Je suis étonné que tu n'aies pas mis dans tes "annonciations" celles de Fra Angelico que je trouve si simples, si épurées, si belles, si... parfaites ! :
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Les choses vont et viennent : En provençal "ma molher" (prononcer (mouiê) était le titre très respectueux qu'un homme donnait à sa femme. l'équivalent de "mon épouse"... L'étymologie fournit une indication mais ne donne pas le sens à un moment donné. Le sens est... social, forcément ; en rapport avec la structure générale d'une langue donnée. Et l'environnement psychologique qu'elle génère. Mon père ne présentait jamais ma mère autrement que "Madame... "Blaquière" " ! Dire "ma femme" eût été pour lui vulgaire ! Et "mon épouse" aussi je crois... Élevé dans cet esprit, (avec cet exemple) je le ressens aussi comme ça.
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Superfétatoire ? Superfétatoire ? Est-ce que j'ai une gueule de superfétatoire ?!
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Je suis d'accord ? Mais alors où sont les "bons" économistes ? Et en existe-t-il seulement ? Mince, c'est pas le sujet !
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Bien entendu qu'il fallait le faire le confinement! Parce qu'on n'avait que cette solution! Je suis d'accord, mais c'est la même solution qu'au moyen âge. Le problème c'est qu'on n'en ait toujours pas d'autre. Il fallait rapidement, immédiatement trouver un moyen de le guérir, ou de pas l'attraper et on n'en est pas capable. Je ne sais pas pourquoi. C'est ça la question qu'il faudrait se poser. On le connaît parfaitement (on l'a séquencé) mais il faudra des années pour trouver une solution. Il nous manque quelque chose. (Je fais un peu mon Trump !) On est à mi-chemin. On commence un peu à comprendre; mais il nous en reste du chemin, à faire.... C'est pour ça que beaucoup prennent des raccourcis (ce qu'ils croient être des raccourcis) pour se donner l'impression d'être déjà arrivés... Waouh ! je suis philosophe aujourd'hui !
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Bien sûr, j'aimerais... Il y a quelque temps, j'avais répondu à la question "est-ce que quelque chose va changer après cette épidémie?" : -- RIEN ! (Rien ne va changer!) Je crois que j'étais optimiste ! Et ça commence à se dessiner : ça va empirer ! Ça ne peut que s'empirer ! : Mensonges, manipulations, avidité à tous les étages, pour commencer... Les plus faibles vont obligatoirement disparaître... On voit beaucoup de nos dirigeants (Bruno Lemaire par exemple) qui ont de la peine à cacher leurs ricanements...
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Et donc, s'il arrive à bien conduire son économie (ce qu'on semblait nous dire encore récemment), ne devrait-on pas conclure que l'économie est est en soi une imbécilité ? (Mince : et Marx avec !)
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Hier mon fils m'a dit "ce confinement est une façon de contrer l'épidémie parfaitement médiévale !" C'est vrai, ça laisse songeur sur nos prétentions contemporaines... Et l'an 2000 est déjà loin derrière nous!
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OUI ! La métaphysique n'est pas morte !
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TRUMP - MENGELE ! Trump vient d'avoir une idée géniale ! Puisque les détergents tuent le virus, pourquoi ne pas faire des piqûres de détergents aux malades ! Et allez ! Une intraveineuse d'eau de Javel et le tour est joué ! Il était content de son idée ! A côté de lui, y'avait des docteurs... Ils regardaient leurs chaussures !
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Le 13 Février 1541 « IL SERAIT GRANDEMENT DÉPLAISANT À DIEU... » Faite exposition par Messieurs les Syndics, que En ce village Il y a beaucoup de pauvres gens qui n’ont ni blé, ni farine ni argent ni aucune chose qu’ils puissent mettre à cuire pour leur servir de nourriture ou de potage et qu’ils sont en grand danger de mourir de faim et qu’il serait grandement déplaisant à Dieu si par notre défaillance quelqu’un venait à mourir de faim. Pour cela, ce serait bien faire que de faire moudre deux charges1 de blé de la ville à détailler aux pauvres gens, livre à livre2 afin qu’ils se fassent de quoi manger. Entendue cette exposition bien dite ils ont accepté que le trésorier pèse les sacs Et envoie au moulin deux charges de blé et puis quand la farine sera faite nous la pèserons et verrons combien il faut payer par Livre Et qu’on la donne contre de l’argent à qui en aura besoin. Item, (Idem) que s’il y a quelque(s) pauvre(s) personne(s) qui n’ai(en)t pas d’argent, que le Trésorier leur (en) donne (quand même) et le note. À Dieu plaise, qu'avec le temps, ils paieront... 1Environ 150 kg 'entre 100 et 150kg) la charge d'une ânesse = "saumo" 2Environ 1/2 kg
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1541 e 13 de Febrier « SERIO GRANDOMENT DESPLASENT A DIEU » Facho esposesion per Mosen los Sendegues que En aquest luoc a belcop de pauros gens que non an blat ni farino ni argent ni deguno causo que puscon metre coyre per far viando ni potage que son en gros dangiet de morir de fam que serio grandoment desplasent a Dieu si per nostre defailhiment degun venio a morir de fam. Per so serio ben fach de far mourre doas Saumados (1) de blat de la Villo e despartir a pauros gens a lieuros que fasson de viando. Entendudo l-esposesion ben dicho an acordat que lo Tresorier pese los sacs e mande al molin doas Saumados de blat e pueys cant la farino sera facho la pesaren e veyren a cant si deu paguar per Li. e baile per d-argent a qui n-aura mestier. Iten que si a calque pauro persono que non ajo argent lo Tresorier lur baile e escrivo que si Dieu plas anbe lo tens paguaran. (1) une saumado c'est le poids, la quantité de blé, porté par une "saumo", une "ânesse" entre 100 et 150 kg Je vais traduire...
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Le vin me fa dormir, mès se n'es d'una aurelha Una mirgueta me revelha. Le vin me fait dormir mais ce n'est (que) d'une oreille : Une souris me réveille ! Je le comprends comme ça. Pour Bellaud, "foeito/fouito vin d'une aurelho" ... (J'avais fait une faute en écrivant "ourelho" La prononciation étant [ow]) ça reste peu clair.
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J'ai trouvé celle-là qui est bien plus audible ! Il faut remettre ce sonnet en situation : Bellaud de la Bellaudière est en prison -c'est notre Villon à nous !- (au temps des guerres de religion, fin XVIème, et il se souvient de quand ils allaient faire la bringue, faire bombance sous la treille, avec son copain Fouque, Peut-être même que Malherbe -le fameux Malherbe si rigoureux du "Enfin Malherbe vbint"- était de la partie... J'ai fait une musique sautillante genre danse populaire. Le texte s'y prête. J'ai essayé de rendre les paroles les plus claires possibles. On pourra les suivre au dessous foulco.2020 mix .mp3 "Folco qu'oro anarem..." (Fouque quand irons-nous) Folco qu'oro anarem faire uno repeissudo .......................Fouque quand irons nous faire "bombance" Dessoto lo trelhat de ton polit jardin ? ( Bis) .......................Sous la treille de ton joli jardin ? Per beure frescament lo flascon plen de vin .......................Pour boire glacé, le flacon plein de vin Tremparem dins la foant qu'es au fresc escondudo .......................Nous le tremperons dans la fontaine cachée bien au frais, Aqui faudra brifar a centuro rompudo .......................Là il faudra se goinfrer à ceinture rompue ! E soflar tant e tant que parlem puèis latin ! (bis) .......................Et boire tant et tant que nous finissions par parler.. latin ! Mai nos li fau anar un pauc de boan matin .......................Mais il nous faut y aller un peu de bon matin Davant que dau soleu la calor sié creissudo... .......................Avant que du soleil la chaleur n'ait trop crû... Per viure n'aurem pron d'un gros gigot farcit .......................Pour vivre, nous aurons assez d'un gros gigot farci De polets, de pijons d'un gros capon boulit (bis) .......................De poulets, de pigeons, d'un gros chapon bouilli Emé lo gai jambon, foeito vin d'une ourelho ! .......................Avec le gai jambon, fouette le vin d'une "oreille"! Mai cu a ben soflat son dever miès fara ......................Mais qui a bien "sifflé" son devoir mieux fera : De pampo de rasin coronat eu sara (bis) ......................De pampres de raisin il sera couronné ! Como portant l'honor dau diu de la botelho ! ......................Comme portant l'honneur du dieu de la bouteille ! Pour le "vin d'une oreille", j'hésite est-ce que c'est une expression pour dire "un excellent vin" ou l'oreille serait le surnom d'un pichet dont l'anse a la forme d'une oreille ?... Si quelqu'un a déjà vu cette expression ?....
