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Dans votre cas ce n'est pas grave, ici la majorité des gens sont réceptifs à ce niveau "d’implicite". Donc dans l'ensemble vous serez compris. Je prends cet exemple car il est proche (dans les pages). Il y a deux choses: "l'intelligence c'est une façon de réfléchir, la légèreté, la finesse de l'esprit." --> qu'est-ce que réfléchir? qu'entendez vous par légèreté ? Qu'est-ce que la "finesse" de l'esprit qui en fin de compte semble être un synonyme de l'intelligence? Cela vous semble t-il correct de définir un mot à partir d'un de ses synonymes? "Le problème c'est que nous n'avons pas toujours la même forme d'intelligence, ce qui fait qu'on peut très vite trouver l'autre inintelligent" cela a déjà été synthétisé quelques pages plus tôt ce qui viens confirmer ceci: PS: ce n'est pas une agression personnelle c'est pour illustrer. ------------------------------------------------- C'est pour cela qu'un langage clair est nécessaire pour que l'on puisse communiquer malgré nos différences fondamentales. Un langage clair et de la réserve.
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1- Ce n'est pas ciblé sur lui : l'intervention de Fabcan est immensément plus irritante "Est intelligent ce qui est. " ça c'est "obscur". Autre exemple: Là en lecture rapide : puisqu'il cite "le langage pousse a la déraison ,d ou nos trouble névrotique .." Je suppose que je vais pouvoir retrouver dans son texte des références à la citation: en gros, la post est formée en réponse à cette citation donc des objets de la citations devraient se retrouver implicitement ou explicitement dans la réponse. "ce processus traditionnel et continue qui en permanence nous permet de saisir instantanément avec aisance notre rapport au monde cette romance féconde" Ici le "processus" n'est pas désigné par son nom. C'est du masculin singulier ("la déraison" (féminin) et "nos troubles névrotiques" masculin pluriel) , c'est en réponse à la citation mise plus haut, est-ce le langage? Je suis en droit de le penser mais je n'ai pas de moyen de le vérifier. 2- Même sans savoir qui est Lacan, google nous permet de le savoir dans la seconde qui suit d'où peut-être votre <<( rapidement estompée )>> 3- La forme elle même du discours n'est pas formelle. Déjà que lorsque l'interlocuteur parle à un niveau de langage limité la possibilité de mauvaise interprétation du propos reste élevée. Alors si l'on parle par référence, métaphores (et je ne dis pas nécessairement que c'est ce qu'il fait) etc... la possibilité de mauvaise interprétation deviens trop grande. Autrement dit la phrase ne se suffit pas à elle même, elle se base sur de l'implicite et la compréhension de la phrase repose sur notre réceptivité au discours implicite. Exemple simple: et mon " d'où peut-être votre" (en haut) . 1- Je prend "estompée" , je cherche le féminin le plus proche dans la phrase: "ignorance" , je sais que l'ignorance ne s' "estompe" que lorsque je sais. Si le savoir reviens tout seul c'est que ce n'était pas de l'ignorance mais de l'oubli il y a donc une source (et là ça part du principe que je vous fais le crédit d'avoir choisit le mot ignorance de façon pertinente). Votre ignorance s'est "rapidement estompée " donc vous avez acquis l'information dans un délai court (ou en tout cas il y a de grandes chances que ce soit le sous-texte associé). 2- Le savoir n’étant pas infus, j'en déduis que ce savoir vous est venu de quelque part. Participer à ce forum nécessite une connexion internet j'en déduis que vous êtes devant un ordinateur ou un appareil similaire vous permettant d'avoir accès à internet. Je sais par ailleurs que les navigateurs web disposent de moteurs de recherche et je comprend donc qu'il est probable que vous ayez "tapé sur google". Voilà déjà tout ce qu'une simple parenthèse peut suggérer. Sachant que je ne suis même pas sûr de cette interprétation. Si à la place de "rapidement estompée" vous aviez mis " révolue". J'aurais compris que vous aviez quitté votre état "d'ignorance" mais sans la précision temporelle votre "aveu" change de nature. On peut se demander si vous venez de découvrir qui est Lacan et la signification du mot discursif ou alors si "il fut un temps" vous ne saviez pas qui était Lacan etc.. Le mot "révolue" est plus "obscur" que "rapidement estompée" qui est plus "obscur" que " je viens de découvrir/taper sur google". Voyez-vous l'idée? La forme "obscure" a plusieurs fonction: l'une peut être d'ajouter une apparence énigmatique à une réflexion (qui de fait est plus difficile à saisir), une autre peut être de faire des concessions : ex ( ce n'est pas le cas ici mais c'est un exemple : "je n'ai pas envie d'admettre que mon interlocuteur connaissait un terme que j'ignorait car j'utilise le langage comme mode de valorisation, j'utilise donc la forme obscure pour minimiser mon aveu. " et bien d'autres encore...
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Je me plait à penser que je suis capable des deux. Je précise en outre qu'il m'a fallu des efforts pour développer mon côté géomètre. J'avoue m'être emporté (u_u) mais cela ne change pas ceci: Si vous voulez plus de finesse que de géométrie je serais ravi de discuter de façon poétique sur un sujet existentiel. Mais si il y a bien une conviction sur laquelle je ne parlerais pas au conditionnel c'est celle que la réflexion se doit d'être publique et accessible. <<Être profond et sembler profond. — Celui qui se sait profond s'efforce d'être clair ; celui qui voudrait sembler profond à la foule s'efforce d'être obscur >> Friedrich Nietzsche. Bien sûr ce n'est pas sur l'aspect de la "profondeur réelle" de la personne que cette citation m'intéresse (ce serait sinon un magnifique déploiement d'orgueil) mais bien sur le fait qu'utiliser des formes d'expressions obscures relève du déguisement. Vous pourrez me dire que ce n'est pas sur un forum que nous referons le monde ou ferons concours aux nombreux esprits érudits et affûtés qui réfléchissent déjà sur ces thématiques et vous n'aurez sans doute pas tort. Mais je suis convaincu que les idées sont faites pour être construites avec les autres. Ceux qui lisent et comprennent ce qu'ils lisent sont des convertis, il découvrent rarement car beaucoup de réalités philosophiques peuvent être perçues par l'expérience dans la vie quotidienne. Parfois la lecture est biaisée et de là naissent des convictions erronées. Et les autres? Ils subissent. Soit ils admettent des philosophies, s'en servent de parement lors de joutes verbales où l’essentiel est de prendre l'ascendant et se parlent par citations/proverbes interposés soit (et même souvent les deux) ils subissent le contrecoup de l'ignorance: le manque d'emprise/ la vulnérabilité. Car c'est bien le pouvoir que l'on recherche. On le dit, c'est consensuel, mais c'est vrai : en nommant les choses et en comprenant leur fonctionnement nous gagnons en influence. Ceux qui persévèrent dans le mythe amoureux vivent la déception, ceux qui ignorent l'Ego trahissent les autres et se trahissent eux-mêmes etc.... Est-ce mon Ego qui par là, cherche à se préserver? Oui, sans aucun doute. Je suis faible et vulnérable, je suis corruptible à un certain degré, je peux être jaloux, anxieux ou colérique. Je peux être lâche et fainéant, stupide et borné. C'est pourquoi je me discipline , pour que tout ceci cesse d'avoir l'empire qu'il a sur moi. Enfin, vous pourrez me dire que tout cela est banal ou au contraire trop sophistiqué mais c'est ce que je pense. Et si vous pensez que c'est mon Ego qui parle, je ne pourrais prouver le contraire. Alors je me tais et je vous laisse déterminer le crédit que vous donnerez à mon propos. Si par contre, mon propos entre en résonance avec votre vécu et que vous n'êtes pas prêt à faire tomber le masque, ne le faites pas, je ne vous en tiendrait pas rigueur: je ne m'en rendrais probablement même pas compte. Sur un ton moins solennel : La citation de Théia me semble rejoindre les définitions proposées jusque là . Pour ce qui est de l'après Augustin/Bruhl (que je découvre grâce à vous) : je n'ai que la vague impression de comprendre je crains qu'il ne me faille plus d'explications.
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Bonjour, Ça commence à devenir lassant. A intervalle régulier on a droit à une dérive à la limite du psychotique , un laconisme obscur et un post de self-talk tout en bloc (et parfois quand le seigneur le permet, une réponse péremptoire du style " Le (sujet du topic) c'est..."). Dites moi ce qui vous empêchent d'écrire un post "conventionnel". Si c'est parce que vous méprisez la démarche entreprise par le topic: ne venez pas le polluer et comblez votre vide existentiel avec... je sais pas... le sport?Un film, un jeu vidéo, une discussion à coeur ouvert avec un parent ou votre partenaire. Si c'est parce que vous ne savez absolument pas quoi dire: lisez quelque chose sur le sujet, faites maturer une pensée et revenez 15 minutes plus tard pour exposer vos conclusions. Pourquoi je fais cette remarque? Non pas que ces petits écarts ne me distraient pas, un peu de pertinence enrobée de fantaisie ne fais pas de mal. Mais ça consomme des pages. Et alors me direz-vous? Ex: Plusieurs intervenants ont déjà écrits des choses similaires dans les pages précédentes. Or on connait le système : il est très rare qu'avant de poster, les membres lisent l'intégralité de la discussion depuis son commencement. Les seuls moment où ils le font c'est quand il n'y a pas trop de pages et une certaine continuité dans les post ce qui oblige toujours à lire le post précédent pour comprendre la réponse. Donc plus il y a de post réactionnaires ou volontairement obscurs, plus il y a de pages et de discontinuité et moins les post futurs des éventuels "nouveaux arrivants" dans la discussion apporteront au débat puisqu'ils ne feront souvent que redire d'une autre façon, à quelques nuances près, des chose déjà dites. Cordialement.
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Bonjour, Je précise le sens de la démarche qui a été entreprise quelques post avant: on prend une définition de l'intelligence qui nous semble recouvrir un maximum d'exemples de ce que les individus considèrent comme l'Intelligence au sens fondamental du terme (que nous essayons de définir) celui emprunté dans la rue, les médias, les institutions, le cercle familial etc... on prend par exemple l'approche matérialiste car dans l’échelle de complexité c'est la plus simple (avouez que si l'on commence à dire que l'intelligence viens de Dieu la réflexion s'arrête au stade fœtal). Même si dans l'ensemble nous sommes d'accord pour dire qu'il y a plusieurs intelligences elle doivent partager une même nature , quand bien même dirions nous qu'il y a une intelligence psychologique/philosophique , une mathématique, une naturelle (bio) , une sportive (maîtrise du corps/ optimisation des mouvements) etc... elles ont toutes en commun (par exemple) d'évoluer . Décrire le processus d'évolution au travers d'un exemple d'une intelligence et d'étendre par hypothèse ce fonctionnement aux autres n'est pas illogique: si une intelligence apprend par l'expérience les autres sont susceptibles de fonctionner de la même façon , on choisit une intelligence pour illustrer mais la rétro-action par exemple semble être un trait commun. Rétro-action étant le mot choisit pour dire : " l'intelligence permet d’appréhender un problème qui par la suite sera assimilé comme expérience". Ensuite on explore les propriétés qu'aurait "l'intelligence" ainsi définie et on regarde si ces propriétés qui nous semblent découler naturellement de la définition choisie coïncide avec ce que l'on observe dans la réalité. On compare, on isole les éléments les plus pertinents et on recommence. On établit une définition différente ou plus complète et on la confronte à nouveau à des exemples. On évolue dans une hypothèse ont est pas en train de dire "l'intelligence est..". mais "Si l'intelligence est ... alors cela expliquerais tel comportement + exemple ". Dire "En cet instant, je vois l'intelligence comme tolérance, acceptation, respect,intégration, capacité d'écoute." Est productif , en ce sens que "en cet instant" pose la "temporalité de l'opinion" et donc sa valeur relative et, "je vois" qui renvoie à la subjectivité de l'opinion et au fait qu'elle est " personnelle", également. On peut donc prendre ce commentaire en compte et le mettre sous forme d'hypothèse. Mon interprétation: Dans "tolérance, acceptation, respect, intégration, capacité d'écoute" on peut y voir plusieurs ou une intelligence évoquée précédemment. La tolérance et l'acceptation sont liés en ce sens qu'ils nécessitent d'essayer de comprendre ou de comprendre l'autre (l'intolérance venant souvent de l'incompréhension), ceci n'est possible que si l'on donne naturellement du crédit aux autres d'où le respect , l'intégration est le produit d'une synthèse des autres c'est le "bien vivre avec les autres" ( basé sur la compréhension et le respect) qui est lié comme le reste à la capacité d'écoute qui est le seul moyen de se procurer des informations. Ex de généralisation: http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_des_intelligences_multiples Dans cette classification, les éléments présentés rentrent globalement dans l'intelligence inter-personnelle (l'intelligence verbo-linguisitque peut aussi s'y greffer). Avec cette classification on se rend compte que l'intelligence que vous décrivez n'explique qu'une partie des comportements humains. Il est donc préférable à mon sens de la qualifier d'intelligence spécifique plutôt que de l'utiliser comme définition de "l'intelligence". Car même en étant multiples les intelligences ont des caractéristiques communes qui pourraient servir de définition à "l'intelligence" au singulier. Petit détail: le soldat rentre dans cette classification de cette façon La seule raison pour laquelle les post de nietzche junior me semblent péremptoire est qu'il semble coller sa définition de l'intelligence sur la mienne et réagir à mon post comme si mon propos était de dire "les soldats sont intelligents" avec sa définition de l'intelligence (qui semble rentrer en contradiction avec la phrase) . Voyez-vous le mode opératoire? On est en droit de supposer qu'en répétant ce genre de procédés on puisse trouver une définition générale et englobante de l'intelligence. Peut-être que non, mais relativiser de façon excessive et affirmer sans analyse que par exemple : "l'intelligence est un concept trop complexe et indescriptible Cordialement.
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Bonjour, La façon dont vous réutilisez mon propos suggère que vous n'avez pas pris en compte la définition de l'intelligence utilisée lors du raisonnement (début de post). Cette combinaison est une de celles évoqués par un certain nombre d'intervenants. A moins que vous ne parliez de la même intelligence que moi votre propos ne peux pas répondre au mien puisque le mien s'étend sur une définition de l'intelligence et le votre sur une toute autre définition. Mon propos est de la forme : "Si l'intelligence est ... alors cela expliquerais tel comportement + exemple ". Répondre par "l'intelligence est ...." n'est donc pas en soi très cohérent sur le plan argumentatif. L'exemple sur les soldats est là pour illustrer que " en prenant en compte la définition admise de l'intelligence au début, on comprend que le réflexe d'un soldat (ceci est d'ailleurs un tremplin à l'exemple du menteur) n'est pas différent de l'intelligence en nature, car les deux se traduisent par des changements de configurations neuronales dus à un conditionnement particulier ". Je ne vois pas pourquoi vous répondez par: Par ailleurs, le schéma du militaire "chien de combat"/"psychopathe" est relativement simpliste (du moins en france). Les militaires ont bien sûr besoin d'être mentalement préparés à tirer sur un adversaire mais , pour en avoir connu, ils ne deviennent pas des "marionnettes" pour autant. La plupart des êtres humains peuvent aisément se détacher de ces barrières en situation de vie ou de mort . La seule raison pour laquelle nous en avons encore est que nous sommes très rarement confrontés à des situations qui mettent à l'épreuve notre conscience morale, en 39 - 45 c'était des "braves gens pleins d'empathie" qui en dénonçaient d'autres pour récupérer les meubles. Je ne crois pas qu'il existe une école particulière pour ce type de comportements et c'était il y a moins d'un siècle . De plus , l'exemple du menteur coïncide avec votre remarque sur les affects puisque entre autres , la peur peut motiver ce comportement. Le mot affect est assez souvent utilisé mais je dois avouer que de mon point de vue c'est quelque chose d'extrêmement imprécis et fourre-tout. Dans l'analyse matérialiste par exemple, l'affect n'est qu'un mécanisme biologique comme un autre qui remplis une fonction que l'on peut déterminer, l'affect peut donc être traduit en un objet concret. Sans préciser le sens associé au mot affect celui-ci en lui-même ne renvoie à rien de concret.
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Bonjour, La réponse consensuelle serait de dire que l'idiotie est caractérisée par l'absence d'intelligence. Définir l'un semble pouvoir permettre de définir l'autre. Bien sûr, comme nous essayons de définir l'intelligence en ce moment même le concept d'idiotie devient donc tout aussi obscur .. . . A ce stade du débat, les intervenants semblent êtres globalement d'accords pour dire que l'idiotie pure n'existe pas. Mis à par le handicap (où le corps ne suit pas ) , les individus auxquels l'étiquette "idiots" est attachée sont: - Soit des intelligents ignorés (leur type d'intelligence est apte à traiter certains problèmes de façon très efficace mais ce champ d'action n'est pas encore reconnu par la majorité des individus ou encore ils n'arrivent pas à la suggérer dans leur comportement). - Soit des individus dotés d'intelligences qui s'opposent (les défauts de coordination des intelligences génèrent de l'inaction ou de la lenteur). -Soit des individus dotés d'une intelligence mais qui est coincée à un stade inférieur de développement (sans qu'il y est impossibilité fondamentale de la faire évoluer). N’hésitez pas à me reprendre si quelque chose vous semble: incomplet ou strictement faux mais avec citation à l'appui si cela concerne le "consensus". Cordialement.
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Bonjour, Ici , je définis l'intelligence comme : capacité de traitement + résolution de problèmes spontanément+ anticipation /projection dans le temps + perméabilité (réceptivité à d'autres intelligences) . Cette rétro-action me semble être une extension du conditionnement. Voilà ce qui m'incite à le penser: De la même façon que l'on forme des soldats a développer des réflexes perceptifs (reconnaître rapidement certains sons, certaines textures ou odeurs et surtout, certaines formes) par l'entraînement il est possible de conditionner le cerveau pour que des associations cognitives soient faites plus rapidement. De même, un individu doué pour la réflexion ne peut avoir accès à certains niveaux que par le niveau de complexité des objets de réflexion . Prenons l'exemple d'un individu doué pour le mensonge (intelligence liée à l'analyse psychologique et à la maîtrise du langage):il ne peut développer de mécanismes plus sophistiqués à moins de rencontrer un individu particulièrement doué pour détecter les mensonges. En réponse à ce "prédateur" l'intelligence se doit de se renforcer : les détails négligés jusque là et les approximations tolérées jusque là sont remises en question pour donner naissance à des mensonges encore plus difficiles à discerner. De fait, l'individu deviens plus conscient de l'importance de ces détails qui le trahissent et pousse encore plus loin l'analyse et la maîtrise du langage. Son intelligence se développe à des niveaux supérieur car elle apprend à traiter des problèmes d'un niveau de complexité supérieur et, parfois, la nature des détails change par rapport aux détails habituels: si celui qui tente de discerner le mensonge peut le faire en analysant la gestuelle, le menteur ,par conséquent, se doit de prendre en compte sa gestuelle dans l'élaboration du mensonge et non plus seulement la parole. Son intelligence se met donc à développer des réseaux neuronaux prévus pour analyser sa propre gestuelle et également celle des autres. C'est une nouvelle "compétence" en quelque sorte. L'intelligence apparaît donc liée à l’expérience mais de façon trop indirecte pour dire que l’expérience détermine l'intelligence. Car une partie de la méthode d'évaluation de l'intelligence repose sur l'analyse de la réaction à des problèmes nouveaux. Des problèmes qui n'ont pas de similitudes avec les précédents et qui, par conséquent, ne peuvent être résolus que par une "ingéniosité spontanée". L'acquisition de savoir par les livres est aussi une forme "d’expérience". De même , les choix moraux affectent " l'intelligence" (au sens capacité de traitement (analyse) + résolution de problème ) également : Si je me persuade que mentir est mal, mon cerveau va s'habituer à réfréner les comportements liés à la conception de mensonges. Or , une partie de ces mécanismes incluent l'analyse psychologique et la maîtrise du langage. Indirectement je vais donc réfréner mes capacités d'analyse psychologique et ma maîtrise du langage. Ex: Si je ne tolère absolument pas le mensonge, l' "euphémisme" disparaît de mon langage. L'euphémisme est avant tout conçu pour minimiser la valeur négative d'un terme. En soi, un euphémisme est donc un petit mensonge car on décide sciemment d'utiliser un terme qui ne reflète pas fidèlement la réalité perçue. Or même si cela semble moralement malhonnête, en pratique l’euphémisme est salvateur: Par exemple un enfant en échec scolaire a plus de chance de sortir de cet échec par l'encouragement, ce qui passe entre autre par minimiser les échecs pour diriger l'attention de l'enfant vers un travail futur à fournir. Comme une prophétie auto-réalisatrice, la suggestion peut pousser un individu à faire quelque chose dont il ne se croyait pas capable. Si je me refuse à utiliser quelque forme de manipulation psychologique que ce soit (sachant que je peux manipuler sans en avoir conscience), je vais également diminuer mon "acuité". De façon schématique : "si je me force à ne plus voir (ex: je reste dans le noir très longtemps pour devenir photosensible) j'ai moins de chance de tuer quelqu'un en visant" mais de fait je deviens aveugle le jour et pas tellement plus voyant la nuit. L'intelligence peut donc être altérée dans l'autre sens. La rétro-action que vous évoquez peut donc desservir l'intelligence. En conclusion: dans l'exemple du menteur, l’expérience (une forme d'acquisition de savoir) peut l'amener à développer son "intelligence" mais également à la contraindre. Cette réciprocité indique une forte corrélation entre l’expérience et le niveau de développement d'une intelligence. Cependant, les facteurs qui agissent sur l'intelligence en question et forment "l'expérience" ne sont que des actions/stimulations extérieures, autrement dit: un conditionnement naturel . C'est une action/réaction de même nature que les réflexes des soldats mais à un niveau de complexité différent. Cordialement.
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Bonjour, Pas faux. Bien sûr: En fait la question de l'origine de la vie reviens à la question de l'origine de l'Univers : http://fr.wikipedia....igine_de_la_vie Pas mal de théories expliquent que la vie (formes de vie organiques en général) proviennent de formations minérales à proximités desquelles les molécules nécessaires à la formation d'organisme primitifs s’agrègent de façon naturelle. La question de la vie reviens à demander comment ces organismes se sont formés. Or ça on a des théories relativement simples pour l'expliquer. La question c'est d'où viennent les particules qui forment les minéraux en question etc.... Cordialement.
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Ce n'était pas un reproche que je t'adressais. Même si ça sonnait comme tel. +1 pour le reste
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Bonjour, Pas faux Jedino, mais puisque nos Egos nous ont conduits à nous inscrire sur un forum dont le principe est de débattre sur des sujets qui ne sont que du vent tant qu'ils ne sont pas clairement définis (d'où la nécessité de débattre dessus) autant essayer. Un jour nous n'aurons plus le temps de faire maturer nos réflexions et des sujets aussi anodin que celui-ci reviendront sous des formes plus cruelles et moins permissives. C'est vrai: être capable d’émettre l'hypothèse que quelqu'un d'autre puisse dire quelque chose d'utile et de constructif est une preuve d'intelligence. Mais en débat beaucoup finissent par se complaire dans la magnificence de leur propre ouverture d’esprit et en vienne à ne plus être suffisamment incisifs pour arriver à des conclusions. Ils sont certes plus "intelligents" que ceux qui souhaitent irrationnellement et définitivement rester neutres mais ils n'en sont pas moins improductifs. Même quand j'écris ces lignes mon Ego est là. Et même en le dénonçant il est encore là (etc...). Il est vrai qu'en général les intelligences se valent plus ou moins (hors handicap), se complètent et participent par leur combinaison à pallier aux déficiences des unes et des autres. Seulement, il existe aussi des intelligence généralistes, qui atteignent un niveau moyen de sensibilité dans tous les domaines. Ils n'excellent particulièrement dans rien mis à part la polyvalence. Cette intelligence si elle était techniquement plus puissante supplanterait les autres et de loin. La seule raison pour laquelle la diversité des intelligence est importante (et pourquoi il est important de la reconnaître comme telle) c'est pour ne pas se priver du potentiel de combinaison de ces intelligences. Comme certaines intelligences sont totalement incapables d'en intégrer d'autres il est nécessaire que les "porteurs" de ces intelligences soient des individus distincts. De cette façon, chaque intelligence peut s'épanouir dans et avec son "porteur". Ainsi , un problème qui ne peut être résolu par une approche (intelligence) du problème peut l'être par une autre. Mais un individu doté d'une intelligence "polymorphe" pourrait se suffire à lui-même. La diversité n'aurait plus de raison d'exister et l'évaluation de l'"intelligence" se ferait seulement par "degré d’efficacité". Une combinaison de la vitesse de traitement , proportionnellement à la quantité de données à traiter en prenant en compte les contraintes extérieures et les différences de nature des problèmes à résoudre. Ainsi, au sein d'une même intelligence il est possible de distinguer les "niveaux d'intelligence" . Dans la pratique on est rarement au contact d'une intelligence de nature identique : certaines personnes sont des dosages imprécis de plusieurs intelligences ex: un peu de sensibilité à la nature( ex: biologiste) + un peu d'intelligence "logique pure" (ex: matheux) etc...) c'est pourquoi il semble impossible de distinguer des niveaux d'intelligence. Mais si l'ont pouvait quantifier la proportion de telle ou telle intelligence dans un comportement et que l'ont était comparés au statistiques de personnes disposant du même dosage ont pourrait dire " je suis plus intelligent que ...". Enfin, c'est une hypothèse parmi d'autres... Cordialement.
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Je répondais à ceci. En précisant qu'en outre, bien d'autres choses (comme le ralentissement de la rotation de la terre par exemple ou encore les chutes de météorites et autres) auront le temps de nous tuer avant que le soleil ait le moindre effet perceptible.
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Bonjour, Le soleil a des réserves d'hydrogène pour encore des milliards d'années, l'augmentation de température sera tellement étalée dans le temps que par rapport à notre espérance de vie ce "réchauffement" ne sera pas perceptible. En outre la rotation de la Terre ralentit (dans la théorie) et surtout plus vite que le soleil ne s’éteint. On aura le temps de crever de plusieurs ères glaciaires , chutes de météorites, destruction mutuelle ou dérèglement climatique bien avant ça. Cordialement.
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Bah déjà là ton propos me semble plus mesuré.
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L'exemple est un peu mal choisit mais je comprend l'idée (je suis convaincu que l'empathie est une preuve d'intelligence mais ce n'est pas acquis pour tout le monde). +1 pour le reste.
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En effet , Pour ce qui est de la colonie je le crois. Pour la raison suivante: d'aucuns répondraient dans le cas de la bactérie que c'est un réflexe de survie tout ce qu'il y a de plus primitif. Ma conception de l'intelligence humaine est très matérialiste et par conséquent, pour moi, l'intelligence (humaine par exemple) est un réflexe de survie qui en est juste à un stade de complexité plus avancé mais qui sert le même but. Les incohérences comportementales ne s'expliquant que par des déficiences de certains mécanismes et les différences comportementales s'expliquant par des différences structurelles liées à ce que nous appellerons grossièrement le "hasard"(même si ce terme désigne un objet de polémique). Pour compléter ma définition de l'intelligence il faut bien sûr la restreindre à un organisme vivant .Bien qu'en réalité vous n'ayez pas tout à fait tort en parlant de la rivière: avec la conception matérialiste , la pensée est issue de la complexité des réseaux neuronaux , des échanges d'influx électriques et de précurseurs chimiques tous répondants à des lois d'interactions et de cause à effets (en théorie). Invoquer ici, pour distinguer "l'intelligence de la rivière" de celle des humains le fait que l'érosion n'est pas du fait d'une volonté de la rivière mais seulement de cause/effets naturels régis par les lois physiques, semble moins pertinent de fait. Car avec la conception matérialiste la "volonté" est aussi une résultante d'un enchevêtrement de causes/effets et de lois physiques, simplement à une échelle plus complexe. Mes discussions sur ce genre de sujets n'aboutissent souvent pas parce que l'approche matérialiste semble toujours plus "réductrice" que les autres.
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Bonjour, En fait y'a deux possibilités: Soit tu as raison et les scientifiques sont tous des vendus, les médias nous bourrent le crânes (ce qui est vrai par ailleurs mais dans une certaine mesure tout de même: c'est sûr que si tu te limites à une chaîne d'info classique pour récupérer des infos tu vas pas aller très loin) et les politiciens sont tous jusqu'au bout des démagogues, narcissiques, irresponsables et cupides. Dans ce cas le climat est plus un problème de société, et, dans le pire des cas, l'argent qui y sera alloué sera toujours proportionnellement inférieur à ce que l'économie libérale dérégulée nous fera perdre à long terme ou encore aux crises (éco/sociales/politiques) qui suivront la raréfaction des ressources en gaz et en pétrole. Ce qui relègue la question climat de "complot destructeur" à "démarche inutile subsidiaire". Soit tu as tord, et, aussi inefficace que les organisations des nations unies puissent te sembler, leur synthèse n'est pas à jeter. Le climat est alors une problématique centrale qui exige que le "développement durable" (aussi flatte con que ce terme ait pu devenir) soit présent dans toutes les décisions majeures. Et qu'a moins de fournir une énergie considérable dans ce sens, faire des gosses deviendra aussi dénué de sens que de parler métempsychose à un athée. Dans ce cas c'est Game Over et les "descendants" se diront juste qu'a l'époque on avait préférés privilégier la théorie du complot à l'analyse scientifique (aussi imparfaite puisse-t-elle être). C'est une affaire de choix, mais en termes de conséquences lequel des deux paris te semble le plus risqué? Cordialement.
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Bonjour, Le truc de base dans un débat c'est de faire preuve d'un minimum de réserve. On peut dire :"Au vu des éléments à ma disposition et dont la source me semble crédible je pense que....." par contre venir en disant :' c'est de la .... parce que c'est pas logique" même si c'est vrai ça fait tache. On peut excuser (et par "on" j'entend n'importe quel interlocuteur) des dérapages ponctuels mais bon faut pas que ça devienne systématique. [sandy]-> Il y a deux façon évidentes (càd que je ne rejette pas une troisième interprétation) de comprendre ton premier post: "Maintenant il y en a qui arrive a pondre que "cet hivers long est froid est la CONSEQUENCE du rechauffement climatique"..." -Soit tu critiques le fait que des gens pensent voir un lien direct entre réchauffement et hivers froid ce qui est un fonctionnement qu'on peut qualifier de simpliste puisque le climat est bien plus complexe que ça et dans ce cas tu rejoins en partie Yardas. - Soit, si comme le fait que tu cites Mézenc le suggère, tu renchéris sur le commentaire de Menzec en mettant en avant l'argument qui est " comment peut t-on penser que le froid est la conséquence du réchauffement"( Ce qui serait le "simplisme" dénoncé dans la première interprétation). La deuxième hypothèse étant la plus probable (du fait de la citation de Mézenc), Yardas te réponds en te renvoyant à un article dans lequel (sans trancher pour autant la question) , il te montre des pistes d'explications, qui, dans le monde scientifique on l'air d'être perçues comme crédibles et qui démontrent qu'on peut trouver des raisons logiques à ce qui d'apparence est contre-intuitif: "du froid peut être conséquence du chaud". L'inviter à relire ton post ne sert donc à rien tant que tu ne préciseras pas plus ta pensée. Mon commentaire s'étend à tous les intervenants jusque là. Tout est plus complexe que ce que vous avez l'air de croire. Je reprend Ménzec parce que c'est le commentaire le plus proche dans les pages précédentes (page 4) : Ex de pistes: Mon père a sortit il y a peu un grand nombre de magazines datant de ces années là et les magazines scientifiques/ écolos etc.. de l'époque en parlaient déjà de façon quasi prophétiques, et même quand les prédictions étaient fausses l'esprit y était. La médiatisation c'est seulement "on en entend parler", mais ne pas en "entendre parler" ne signifie pas que personne n'en parle. De plus, au début de l'ère industrielle (1840) , en 1960-70 et en 2013 l'extraction et la consommation d’énergies fossiles est bien différente et donc de fait l'émission de C02 , la plupart des courbes retraçant l’émission de CO2 depuis 1840 semblent montrer que les années 1960-1970 étaient bien moins émettrices de Co2 que les années 2000. Après, pour ce qui est des effets à rebours, c'est très courant. Le " ça a été la goutte qui fait déborder le vase" arrive assez souvent. Le carbone (comme beaucoup de gaz, radiations ou autres) peut être absorbé. Par les organismes vivants bien sûr mais aussi par l'océan et bien d'autres "puits de carbone". Sauf qu'il existe bien sûr un "niveau de saturation" au-delà duquel le "puit" n'absorbe plus le carbone (voire parfois le rejette). Je met ça au hasard ce n'est pas nécessairement une référence, y'a peut être des erreurs mais bon l'UNESCO peut être considérée comme relativement fiable Ici . Cordialement.
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Je pense que c'est la jonction entre Vla et Léna-Postrof : intelligences multiples avec pour facteur commun la résolution de problèmes de façon spontanée.
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La religion serait un frein au développement intellectuel et au progrès?!
La Suggestion a répondu à un(e) sujet de Fistone dans Religion et Culte
Bonsoir, <<C'est un exemple à la con pour faire genre je suis ouvert d'esprit. >> ou alors: <<Je ne dis pas qu'il est impossible de les décrire ou de les étudier. Je dis que si (hypothèse que j'ai prise au hasard et qui sert d'exemple pas d'objet d'étude) on considère l'hypothèse qu'il existe un équivalent physique de l'âme mais que technologiquement (à cette heure) nous sommes incapables de l'observer/discerner d'un autre phénomène, alors il est bien évident que si l'âme est conforme à sa définition théorique le seul moyen de l'explorer (à cette heure) c'est nous. C'est un exemple pour aider les gens à se projeter dans la situation. Imaginons que je postule ceci: "il existe une matière de masse nulle ou presque capable d'interagir avec le monde physique mais qui soit très difficile à mettre en évidence (genre même pire que les neutrinos) car ces interactions n'engendrent jamais de modifications majeures en micro et macro. Cette matière a tendance à se fixer sur d'autres matières (imaginons qu'elle ne se fixe que sur de la matière électriquement active : soumise à des influx électrique réguliers) et à en imiter la structure et/ou les propriétés et qui de fait est furtive. Lorsque la matière sur laquelle cette matière s'est fixée devient électriquement inactive (les nerfs ne réagissent plus, la personne est morte) le "calque" se détache. Or cette matière peut interagir avec elle-même et générer des échanges spontanés et donc simuler la persistance d'une activité de la structure désormais inactive." Est-ce qu'on peut prouver qu'une telle matière n'existe pas? Interaction avec l'environnement rare mais fréquent avec elle-même, quasi-indétectable, masse nulle ou presque etc.. Et si je veux en rajouter une couche: cette matière lorsqu'elle interagit avec elle-même peut changer ses propriétés et ce de façon à ce qu'a elle seule elle puisse se comporter vis à vis d'elle même comme certaines particules élémentaires avec d'autres. Ex: après interaction avec elle-même , l'une des particules se comporte vis à vis d'une autre comme un electron sans en devenir un. Je ne dis pas que c'est vrai. Mais supposons. Pas de masse, n’interagit qu'avec elle même ou presque , imite la structure hôte , change de propriétés etc..comment prouver que ça n'existe pas? Puisque par définition, ce n'est pas mesurable/identifiable pour le moment .>> à toi de choisir l’interprétation qui te convient le mieux. -
La religion serait un frein au développement intellectuel et au progrès?!
La Suggestion a répondu à un(e) sujet de Fistone dans Religion et Culte
Bonsoir, La religion est un frein au "progrès apparent"(progrès scientifique dans le consensus général) mais pas la spiritualité. Dans l'absolu, la religion implique d'être dans un état de croyance qui peut restreindre la fenêtre d'interprétation des phénomènes visibles ou conceptualisables. L'attribution quasi-systématique des phénomènes à une volonté extérieure diminue la capacité critique sur le plan scientifique ou logique: on peut toujours invoquer un élément extérieur, ce qui passerait sous silence un facteur qui aurait juste été négligé jusque là et qui peut s'expliquer sans impliquer nécessairement une volonté extérieure. Autrement dit, de façon générale un intellectuel face à un problème peut procéder par élimination pour identifier une cause, par contre le croyant peut ultimement s'en remettre à Dieu. Pour un croyant ne pas s'en remettre à Dieu demande un effort et est par conséquent un comportement moins "naturel" et donc défavorisé en terme de probabilités. Ensuite, se servir de statistiques, chiffrées ou non (pourcentage précis ou vague évaluation), pour résoudre ce problème est inutile(pour l'instant). Premièrement, parce que l'on peut entendre des choses différentes dans le mot progrès. Par exemple, si l'on se rendait compte que l'homme pouvait accéder à une autre forme d'existence, préférable en tout points, et ce, par le biais de rituels/pratiques "spirituelles" particulières, alors le "progrès" (que l'on mesure par exemple par la fréquence d'attribution de "hautes récompenses/distinctions" telles que le prix Nobel) tomberait en désuétude. Deuxièmement, parce que les statistiques sont potentiellement incomplètes et ne reflètent pas toujours fidèlement la complexité de la réalité. Entre autres, la façon de référencer les croyances est déterminante. Par exemple, un individu qui déclare croire en la divinité mais ne la reconnait dans aucune de celles proposées par les religions actuelles est un croyant. Mais si l'étude se base sur la religion qu'il adopte ou non alors ça ne suffit pas à l'établissement d'une règle générale sur la "croyance et le progrès". Enfin, la spiritualité, elle, permet au contraire d'envisager des possibilités que la science classique aurait tendance à négliger à l'heure actuelle, ne serait-ce que par son incapacité à l'explorer. Par exemple, si l'équivalent physique du concept d' "âme" était un phénomène que nous n’ayons pas actuellement les moyens d'étudier ou de mesurer mais que, y étant liés en théorie, nous pouvons explorer. Alors , il est sûr que la spiritualité y serait un plus dans l’immédiat (même si elle serait tôt ou tard supplanté par une étude scientifique du phénomène intrinsèquement plus rigoureuse). Cordialement. -
http://programm.arte...PHI/philosophie Je place ça pour alimenter le débat, ce n'est pas nécessairement mon point de vue ou son antithèse.
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Bien plus compréhensible Maintenant précisez beaucoup plus vos termes : "une capacité en terme de contenance" Donc une capacité spatiale (volume) ? -"La capacité étant la cause du mouvement": parce que l'espace s'étend ou par causalité? L'absence d'espace empêche bien le mouvement mais la présence d'espace seule ne le génère pas. Une variation d'espace oui. - "on détermine deux opposés positif et négatif relatifs à cette capacité qui causera le mouvement relativement positif ou négatif" Au vu de la définition de capacité que vous donnez (capacité en terme de volume disponible) on ne peut pas établir de système de signe.Un espace négatif comme une distance négative n'existe pas, seulement nul ou positif. Pour avoir un signe vous devez placer un point d'origine ou alors ne pas parler de capacité négative mais de variation négative de la capacité ((capacité à t) - (capacité à t-1)) avec t-1 l'instant précédent t. Si cette variation est négative cela signifie qu'il y a réduction de la capacité et inversement augmentation pour une variation positive. ça par contre c'est toujours aussi obscur.
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C'est déjà plus compréhensible. Maintenant quel est le but? Que cherchez-vous à démontrer ou à réfuter?
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Si t'as la flemme de lire dit le cash ça m'évitera de perdre mon énergie et je pourrais retourner à des activités plus productives...