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Yardas

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Tout ce qui a été posté par Yardas

  1. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Les études sont statistiques. Elles ne prétendent pas dire comment réagira chaque enfant. Et visiblement tu nous demandes une étude prouvant que l'adoption par un couple homosexuel n'est pas néfaste pour l'enfant tout en sachant que c'est impossible à fournir...
  2. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    De mieux en mieux Il y a beaucoup de femmes qui choisissent de ne pas allaiter naturellement. On les oblige à donner le sein ? Pas tellement. Il y en a qui se basent trop sur la théorie, et qui ne fonctionnent pas assez sur l'observation.
  3. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Dirigé ? J'ai pris justement un article avec un mec qui avoue que les études sur le sujet ne sont pas forcément complètes, mais qu'aucune n'a pu montrer un risque.
  4. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Un jour epmd71 développera ses arguments au lieu de bêtement nous balancer des liens à la tronche. Mais pas aujourd'hui.
  5. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Au moins, il a très bien répondu à tout, je trouve. Ce sont des réponses objectives, qui montrent que (comme je l'ai toujours soutenu) les psys ne sont pas tous d'accord entre eux, mais que aucun risque réel n'a pu être soulevé. A mon avis les psys contre le mariage gay sont plus calés dans le théorique (grand problème de la psychologie) et ne sortent pas de leur cocon.
  6. Ah bon, on ne qualifie aucun autre crime d'abominable ou scandaleux ? Vous êtes sûr ? http://www.tempsforts.net/spip.php?article1244 http://www.atlasinfo.fr/Fusillade-du-Connecticut-un-crime-abominable-selon-Ban-Ki-moon_a36920.html http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/791222/Lutilisation_d_armes_chimiques_par_la_Syrie_serait_un_%22crime_scandaleux%22_%28Ban%29.html http://www.francaisenouvelles.com/lutilisation-darmes-chimiques-en-syrie-serait-crime-scandaleuxban-ki-moon/
  7. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Allez, un peu de réflexion dans ce monde manichéen... Puisque le débat est revenu là-dessus : Homoparentalité : "Aucune étude n'a pu démontrer un risque" Le Monde.fr | 07.11.2012 à 18h22 • Mis à jour le 08.11.2012 à 11h38Par François Béguin (chat modéré par) Abonnez-vous à partir de 1 € Réagir Classer Imprimer EnvoyerPartager facebook twitter google + linkedin Floriane : Quelles sont vos compétences en tant que chercheur par rapport au développement d'un enfant dans un couple homosexuel ? Guillaume Fond : Je suis psychiatre adulte. Je dirige un service de 21 lits de patients tout venant et je suis chercheur à l'Inserm. J'ai une formation de pédopsychiatrie et je collabore avec des collègues pédopsychiatres. Au cours de mon travail en pédopsychiatrie, j'ai réalisé avec le docteur Franc et le professeur Purper-Ouakil une revue de la littérature internationale sur l'ensemble des études portant sur le développement psychologique des enfants au sein des familles homoparentales. Cet article a été publié dans une revue de psychiatrie impactée avec le comité de relecture. Floriane : Quel est le nom de la revue dans laquelle vous avez publié votre étude ? L'Encéphale, janvier 2012. Il s'agit de la revue de psychiatrie francophone avec le plus fort impact factor (un indice déterminant l'audience et la qualité de la revue).[Retrouvez l'article de Guillaume Fond à la fin du compte-rendu] Aba : Existe-t-il des études qui font référence en matière d'homoparentalité ou comportent-elles toutes un biais méthodologique ? L'étude de pédopsychiatrie qui ne comporte pas de biais n'existe pas. Le but des études est de comporter le moins de biais possibles, mais il faut faire face à la réalité des difficultés de terrain. L'étude idéale serait de recruter un nombre suffisant d'enfants (plus de 50) et de les comparer en aveugle avec des enfants témoins élevés au sein de familles hétéroparentales. Ces enfants ne devraient pas être recrutés par des associations de parents gays et lesbiens mais plutôt par Internet ou des annonces généralistes pour éviter un biais de sélection. Cette étude comporterait des questionnaires standardisés (autoquestionnaire et évaluation clinique). La limite de cette étude serait la difficulté de recrutement ainsi que le coût. Cette étude idéale n'existe pas à ce jour à ma connaissance. Anonyme1 : La majorité des recherches sur le développement de l'enfant issu d'un couple homoparental n'a pu être réalisée, il me semble, que dans des familles aisées, voire très aisées. Comment prévoir alors l'impact du cadre homoparental, lorsqu'il est cumulé à une situation économique familiale peu favorable ? Le facteur étudié est l'homoparentalité. Si les deux groupes d'enfants sont comparables sur le plan socio-économique, le niveau social global n'est donc pas un problème méthodologique s'il est similaire entre les groupes. Ce serait un biais si les enfants de familles homoparentales étaient plus aisés que les enfants de familles hétéroparentales étudiés. La raison pour laquelle ces études concernent des personnes de bons niveaux socio-économiques est qu'il faut, en général, beaucoup d'argent à un couple homosexuel pour parvenir à une filiation (procréation médicalement assistée à l'étranger, adoption à l'étranger, gestation pour autrui à l'étranger). Anonyme2 : Les études existantes sont-elles suffisantes pour juger quand même ? Des études portant sur l'homoparentalité ont la même qualité que les études portant sur l'adoption ou les enfants de parents divorcés. Ce ne sont pas des études idéales mais elles sont globalement consensuelles et concluent à l'absence de différence entre les enfants de familles homoparentales et les enfants de familles hétéroparentales. Macsen : Y a-t-il des études françaises ou se repose-t-on uniquement sur des études étrangères? Il existe une seule étude française datant de 2000, réalisée par le docteur Nadaud. Il a étudié 58 enfants âgés de 4 à 16 ans avec des questionnaires standardisés et n'a pas retrouvé de troubles du comportement, de l'identité ou de l'orientation sexuelle. Cette étude n'avait pas de groupes témoins. La raison pour laquelle les études françaises n'existent pas est que les enfants de familles homoparentales ne sont pas référencés par l'Insee (ils sont considérés comme enfants de familles monoparentales). De plus, il est très difficile de trouver un financement pour conduire de telles études. Anonyme3 : Vous reconnaissez donc qu'il n'existe pas d'étude probante à ce jour. N'est-on pas en train de jouer aux apprentis sorciers ? Qui supporte le risque ? Le principe de précaution ne devrait-il pas jouerpleinement sur ce sujet ? Le principe de précaution s'appliquerait s'il existait des observations permettant desuspecter un risque. Depuis trente ans, aucune étude n'a pu démontrer ce risque. Dans d'autres pays, les enfants de familles homoparentales sont déjà reconnus et étudiés et ils ne présentent pas de différence avec les enfants de familles hétéroparentales. La législation n'induira pas de différence dans la mesure où elle ne fait que reconnaître légalement des enfants qui existent déjà. nono78 : Pouvez-vous préciser s'il y a des différences entre homoparentalité au féminin et au masculin ? Les études sur les mères lesbiennes sont beaucoup plus importantes en nombre que les études sur les pères gays. Aucune étude n'a comparé les enfants de mères lesbiennes aux enfants de pères gays. Les deux étant généralement regroupés dans les études, sauf si elles portaient spécifiquement sur l'une des deux configurations. Anonyme4 : Est-ce que, selon vous, des échantillons de 50 ou 100 enfants sont suffisants, pour être la base de tout un argumentaire ? En effet, chacun s'appuie dessus dans les médias pour défendre le mariage homosexuel. Ne pensez-vous pas que la taille de l'échantillon est trop faible ? J'ai l'impression que la rigueur scientifique sur ce point est très relâchée, en comparaison d'études faites dans d'autres domaines Le nombre de sujets nécessaires est défini statistiquement en fonction du critère étudié. La taille des échantillons de pédopsychiatrie est toujours généralement plus faible que dans les autres études de psychiatrie car il est très difficile derecruter des enfants et de les suivre dans la durée (parents réticents, cadre législatif plus compliqué). C'est pour cela que je dis que ces études ne sont pas idéales, mais elles ne sont pas de plus mauvaise qualité que la moyenne des études de pédopsychiatrie étudiant des phénomènes environnementaux. Dow : Partagez-vous l'affirmation avancée par certaines études attestant le fait que l'évolution d'un enfant dépend plus de la stabilité du couple (hétéro ou homosexuel) qui l'élève que du cadre hétéroparental en lui même ? Oui. Macsen : Certains de vos collègues pédopsychiatres se montrent réservés voire opposés à la famille homoparentale. Utilisent-ils à votre sens des arguments fallacieux ? Les arguments des pédopsychiatres qui se sont prononcés récemment contre l'homoparentalité sont majoritairement des arguments théoriques se référant à la psychanalyse, mais tous les psychanalystes ne partagent pas cet avis (par exemple Mme Roudinesco qui s'est dite favorable au projet de loi). Anonyme5 : Le réel problème n'est-il pas le regard que la société porte sur une famille homoparentale plus que la structure de cette famille elle-même ? Oui. Must : Un des arguments des opposants à l'adoption est le "calvaire" que l'enfant va avoir à affronter à l'école. Quel est votre avis à ce sujet ? La source de stress que représente la discrimination à l'école n'est pas uniquement attribuable à l'homoparentalité. De plus, les conséquences de ce stress sont déterminées par le sentiment de sécurité et les capacités de résilience que possède l'enfant et qui découlent directement de sa base de sécurité qui est cette structure familiale. Anonyme6 : A-t-on un retour de la part des enfants, devenu adultes maintenant, sur leur expérience de la vie homoparentale ? Si oui, quel est-il ? En France, nous n'avons pas de retour. Ce que l'on peut noter, c'est qu'aucun enfant ne semble s'être plaint d'avoir grandi dans une structure homoparentale. Anonyme7 : Du point de vue du développement de l'enfant, quelles sont les différences entre un enfant élevé dans une famille monoparentale, et un autre dans une famille homoparentale? Aucune étude n'a comparé les enfants de familles monoparentales aux enfants de familles homoparentales. Anonyme8 : On dit souvent que l'enfant a besoin d'une figure paternelle et d'une figure maternelle. Qu'en est-il vraiment ? Que signifie avoir une figure paternelle et maternelle ? Quelles sont les différences entre ces deux figures ? Il s'agit d'une référence théorique. Si l'enfant a effectivement besoin d'une référence masculine ou féminine (plutôt que paternelle ou maternelle), il trouvera cette figure de référence dans son environnement. Dans le cadre de familles monoparentales, les enfants trouvent leurs figures de référence à l'extérieur de leur cadre familial strict. Anonyme9 : Qu'en est-il de la relation entre le complexe d'Œdipe et l'homoparentalité ? Il s'agit d'une question psychanalytique. L'universalité du complexe d'Œdipe est débattu. A ma connaissance, aucun psychanalyste n'a développé de théorie spécifique pour décrire le développement d'un enfant ayant deux mères ou deux pères. Anonyme10 : Que pouvons-nous répondre à ceux qui prétendent que l'homoparentalité des parents peut influencer l'orientation sexuelle des enfants ? Généralement, les associations gays et lesbiennes répondent que les homosexuels ont grandi au sein de familles hétérosexuelles. Aucune étude n'a montré de liens entre l'orientation sexuelle des parents et celle des enfants. Anonyme11 : Vous dites "aucun enfant ne semble s'être plaint...", c'est un peu léger comme réponse. Faut-il imaginer qu'un enfant qui grandit dans un schéma homoparental puisse avoir les outils pour l'analyser et lecritiquer ? Il ne faut pas sous-estimer la capacité des enfants à comprendre le monde qui les entoure et à faire face aux difficultés. Lorsque je parlais des plaintes des enfants, je parlais des consultations cliniques de pédopsychiatrie. Mes collègues pédopsychiatres ne rapportent pas de situation de problèmes spécifiquement liés à la situation homoparentale. Robert : Comment parvenez-vous à établir une étude alors même que depuis le début du débat vous dites qu'il n'y a aucune source viable ou identifiée ? Je n'ai pas dit qu'il n'y avait pas de sources "viables". J'ai dit que les études n'étaient pas parfaites au même titre que les autres études portant sur les facteurs environnementaux en pédopsychiatrie. Anatole : Puisque, selon les études, l'homoparentalité ne pose pas de problème, pourquoi les lois ont-elles tant de mal à passer ? S'agit-il uniquement d'un débat de population ignorante ? Il s'agit d'un débat de société soumis aux mêmes enjeux que tous les débats de société, c'est-à-dire des représentations et des angoisses sur les évolutions possibles. Anatole : Pourquoi ce que vous exprimez ici n'est pas plus médiatisé ? Pourquoi n'entend-on jamais parler de ces études qui semblent prouverque l'homoparentalité n'a aucune incidence sur les enfants ? Il est possible que les médias préfèrent des psychiatres qui prennent fièrement position pour ou contre l'homoparentalité, même si leurs arguments ne se fondent pas sur des études précises. Mon article est une revue objective de la littérature, il est donc neutre. Il est possible qu'un article neutre fasse moins d'audience qu'une prise de position. Il a été effectivement reproché aux études portant sur l'homoparentalité d'être réalisées par des chercheurs impliqués dans la question. S'il existe une méthodologie scientifique, c'est précisément pour que la subjectivité du chercheur n'influence pas les résultats de l'étude. Dans la plupart des domaines de recherche, on constate que les chercheurs sont souvent personnellement impliqués dans les questions étudiées, quels que soient les domaines. Ce qui est logique puisque le sujet de recherche découle de la motivation initiale du chercheur. Anonyme12 : N'est-il pas naturel que l'enfant élevé en milieu monoparental ait le désir de connaître sa génitrice ou son géniteur, et qu'il développe une frustration si ce n'est pas possible ? Oui, ce désir est légitime, mais il ne concerne pas spécifiquement le problème de l'homoparentalité puisque le problème se pose dans les cas d'insémination avec donneurs non connus (y compris pour les couples hétérosexuels). http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/11/07/homoparentalite-aucune-etude-n-a-pu-demontrer-un-risque_1787295_3224.html
  8. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Nan mais tu sais pas que epmd71 est au-dessus de ça, il argumente pas lui, c'est pour les cons ça
  9. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Mais alors vas-y, dis-nous quels rôles ont le père et la mère, respectivement. Mais alors vas-y, dis-nous quels rôles ont le père et la mère, respectivement.
  10. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    En plus d'être homophobe (ce n'est pas une insulte pour arrêter le débat, c'est une réalité) vous êtes un menteur. Les pédiatres sont divisés sur ce sujet. Ce qui ne prouve qu'une chose : Les enfants élèves par un couple de même sexe ne vont pas significativement moins bien ni mieux que ceux élevés par un couple desexe différent. Mais bon, tout repose aussi sur le sexisme et l'attribution genrée des rôles. Tout ça est lié.
  11. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Encore une fois : Il faudrait prévenir la Hollande et l'Espagne que le mariage gay entraîne de facto la GPA. Ils n'ont pas l'air au courant.
  12. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Et voilà, demain, vote solennel au Sénat. Le gros est fait, c'est fini.
  13. Hm sur le coup eklipse marque un point. le but c'est bien que ce soit normal de voir un couple homo dans un film, et pas un point de l'intrigue spécifique.
  14. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Le droit de vote des femmes aussi c'était la fin de la famille
  15. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Tu iras le dire aux pays qui ont légalisé le mariage gay mais pas la GPA, comme l'Espagne ou la Hollande. Tu perds ta société hétérocentriste eh oui, je sais c'est un coup dur. Et l conception de la parentalité n'est pas unique : J'en veux pour preuve qu'il existe deux types de filiations (même trois, mais ça va changer) : La filiation biologique et la filiation adoptive. La deuxième est une filiation fictive, sociale. En refusant d'admettre son existence, tu insultes tous les enfants adoptés de France. La famille, il n'y a pas qu'une non plus. Familles recomposées, monoparentales... Et homoparentales. C'est pour les reconnaître elles aussi que ce projet de loi existe. Ça a été fait. Et le droit en est arrivé à la conclusion que la famille homoparentale est aussi une famille. Cette loi va non pas détruire la famille, mais l'élargir. Ce n'est pas une déchéance que de reconnaître qu'il existe plus d'un modèle familial.
  16. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    C'est une raison pour leur interdire ? Tout à fait : Tant que c'est illégal, c'est illégal. Nous sommes d'accord, donc.
  17. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Ah nous y voilà ! Je l'attendais celle-là. "La logique et le bon sens". Un peu comme quand il était "logique et plein de bon sens" de penser que les noirs étaient inférieurs. Généralement la première impression n'est pas la bonne quoi qu'en disent les dictons, mon petit epmd71. Le bon sens, c'est pas une démonstration : C'est de la merde.
  18. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Ce dont des problèmes judiciaires complexes. T'es pas juriste, moi non plus. Je ne parle pas de ce que je ne connais pas. Le problème c'est juste que t'as pas compris une phrase toute simple.
  19. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Bien, on commence à voir le début d'une argumentation. C'est un progrès ! Les couples homos auront, à environnement égal, une chance égale qu'un couple hétéro d'adopter un enfant. En théorie, du moins. N'oublions pas aussi que l'adoption servira à adopter les enfants qui vivent DEJA dans les familles homoparentales.
  20. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Ben non. C'est un peu comme si quand te demande de prouver que A implique B, tu réponds : "Regardez, A implique B". C'est pas une démonstration, et t'auras 0.
  21. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    Ce sont des problèmes juridiques qui ont trait aux couples hétéros comme homos, y a aucun rapport et c'est juste faire dériver le débat. ... Sérieusement t'es atteint à ce point ? Toujours pas d'argument ? Une quelconque démonstration ? Un développement ?
  22. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    "On sait que". Par qui ? Comment ? Étude ? Raisonnement ? RÉFLEXION.
  23. Yardas

    La France dit "OUI" au mariage gay

    C'est toujours le cas, c'est bien un spermatozoïde qui féconde l'ovule, ça change pas.
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