-X9-

il ne gagnera pas à mon avis.

facile en effet de critiquer : vous qui n'arrivez pas à vivre selon vos moyens et à boucler votre budget, n'imaginez même pas être capable de gérer une entreprise de manière durable, ce serait bien illusoire en plus de croire que c'est possible en ne prestant péniblement que 35 heures par semaine. assumez votre condition, celle que vous avez choisie par facilité, par manque de capacités ou d'ambition, et arrêtez de vous plaindre et de gémir sans cesse. ou alors bougez-vous et développez votre activité tout seul comme des grands garçons

les gémissements des gens considérés comme "pauvres" sont bien plus nombreux et fréquents... mais ça c'est peut-être normal pour le français très moyen... "pauvre" lui aussi. => que chacun vive selon ses propres moyens et arrête de faire des comparaisons sans cesse. et si sa vie ne lui convient pas => qu'il se donne les moyens d'en changer, enfin si il le peut...

manipulation, manipulation...

de toute façon, elle n'en branlait pas une... :smile2: et hop, la sortie c'est par là. goodbye, marylou, goodbye.

et hop, chacun son tour lui aussi les regardera à la télé.

oui, apparemment ça fait mal au cul

ben voilà, ça radotte... :smile2:

euh... devenir n'est pas le bon verbe...

quand on considère que le pays d'accueil n'est pas adapté à ses croyances, ses envies, ses choix de vie, on se tire sans faire de bruit. j'comprends pas : c'est difficile ?

on en revient toujours à la même chose : l'éducation, l'instruction et le savoir. sans éducation, sans instruction et sans savoir, l'homme n'est pas.

rhoooooooo... je rêve... quand le sage montre la lune du doigt, l'innocent regarde le doigt.

ben voilà, ouf.

un sophisme est un raisonnement, un argument qui aboutit à une conclusion... il est vrai que le français est une langue difficile, tu y arriveras si tu persévères. ici, c'est une déclaration, pas un raisonnement. ça veut crâner et ça ne sait même pas utiliser les mots adéquats. courage.

encore une fois, pas de problème avec les autres minorités, qu'ils en prennent de la graine et s'éduquent. le respect ça s'apprend, mais encore faut-il que cette valeur leur soit enseignée.

faux, archi faux : les minorités ce sont aussi les chinois, les italiens, les portugais, les espagnols, les zaïrois, les polonais, ... et là bizarrement, pas de vague, pas de revendication, juste une capacité d'adaptation. rien de plus rien de moins. adaptez-vous au pays qui vous accueille, apprenez le français, gardez vos cultes dans les murs de vos maisons, et arrêter de revendiquer des choses que vous n'oseriez même pas revendiquer dans votre pays d'origine. point barre.

ah sujet déjà existant en effet, oups pas vu... c'est incroyable en effet, incroyable, y'a pas d'autres mots... mais ça va s'arrêter où ? marre d'entendre même un soupçon de volonté de faire changer les traditions. que les minorités s'écrasent et s'adaptent, arrêtent de revendiquer tout et son contraire et arrêtent surtout de nous les briser.

le titre... excellent, le boulet du boulet...

??? tu peux développer ta pensée stp ???

ça t'étonne vraiment ?

... pour au moins tenter d'acquérir un semblant de base.

... et retourner à l'école, ou plutôt y aller...

« Je suis un libéral. La nouvelle réalité de demain, répétons-le, sera capitaliste. La vraie histoire du capitalisme ne commence que maintenant. Le socialisme n'a plus une chance de s'imposer. [...] Il faut abolir l'État collectiviste, tel que la guerre nous l'a transmis, par la nécessité des choses, et revenir à l'État manchestérien » (Mussolini au Parlement le 21 juin 1921) « Nous voulons dépouiller l'État de tous ses attributs économiques : assez de l'État cheminot, de l'État postier, de l'État assureur. » (Benito Mussolini, 1922[17]). les lois fascistissimes sont promulguées en 1926 et Mussolini donne au fascisme la célèbre formule : « Tout dans l'État, rien hors de l'État et rien contre l'État » ; il désavoue et attaque à la suite d'une crise économique, le libéralisme économique : « Le fascisme est absolument opposé aux doctrines du libéralisme, à la fois dans la sphère politique et dans la sphère économique.… L'État fasciste veut gouverner dans le domaine économique pas moins que dans les autres; cela fait que son action, ressentie à travers le pays de long en large par le moyen de ses institutions corporatives, sociales et éducatives, et de toutes les forces de la nation, politiques, économiques et spirituelles, organisées dans leurs associations respectives, circule au sein de l'État. » — Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1935). Mussolini mène alors une politique dirigiste : grands travaux, protectionnisme, stimulation de la consommation, constitution de monopoles, encadrement et restriction des droits des ouvriers, bataille du blé. Le corporatisme est institué : un système de guildes qui encadre les relations patrons/ouvriers et salariés afin qu'ils planifient l'économie dans l'intérêt général : ministère des Corporations, Conseil national des Corporations, Chambre des Faisceaux et Corporations.

les partis politiques sont des centres d'expertise en tricherie, quel que soit le bord, et c'est de notoriété publique.

n'y a-t-il pas des choses beaucoup plus urgentes à traiter que cette proposition de banalisation de la marginalité ? ON S'EN FOUT ! la marginalité doit rester marginale avec des règles marginales. la clairvoyance n'est pas de mise, et pourquoi ne pas proposer de légaliser le canabis ? ah, ils en ont parlé aussi MDR. AU SECOURS.