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Tout ce qui a été posté par zenalpha
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Le désir de connaître le comment et le pourquoi s'appelle...curiosité Take the world from another point of view
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Je viens de te relire et c'est pas souvent... Oui ? ... mais non.. Rien ne se crèe tout seul...rien n'existe seul....tu pourrais être credible en me prêtant ces propos si... Comment pourrais je seulement écrire un truc pareil en amateur du zen ? La vacuité est une notion qu'il faudrait que j'explique... Ce n'est pas le vide, ce n'est pas même le néant...c'est l'absence d'identité d'une chose prise isolement C'est le fondement même de ma spiritualité... Ne pourrais tu simplement admettre que tu as commis une erreur ? Ça te rendrait humain tu sais... Mais non....je ne suis pas faussaire... En revanche je complète des posts parfois Mais jamais pour écrire l'inverse de mes profondes convictions.... Evacue ta colère stp Elle t'aveugle
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Rien compris de ton discours Quand l'élève est prêt le maître apparaît Nous t'attendrons.
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Einstein le mystique...vive le bouddhisme mes enfants même si Einstein est le pape de la religiosité cosmique... ------------- RELIGION ET SCIENCE Écrit spécialement pour le New York Times Magazine et paru le 9 novembre 1930 (pp. 1-4). Le texte allemand fut publié le 11 novembre 1930 dans le Berliner Tageblatt. Tout ce qui est fait et imaginé par les hommes sert à la satisfaction des besoins qu'ils éprouvent, ainsi qu'à l'apaisement de leurs douleurs. Il faut toujours avoir ceci présent à l'esprit, si l'on veut comprendre les mouvements intellectuels et leur développement. Car les sentiments et aspirations sont les moteurs de tous les efforts et de toute la création de l'humanité, pour sublime que cette création se présente à nous. Quels sont donc les besoins et les sentiments qui ont conduit l'homme à l'idée religieuse et à la foi, dans leur sens le plus étendu ? Si nous réfléchissons à cette question, nous voyons bientôt que l'on trouve au berceau de la pensée et de la vie religieuses les sentiments les plus divers. Chez l'homme primitif, c'est, avant tout, la crainte qui provoque les idées religieuses, crainte de la faim, des bêtes féroces, de la maladie, de la mort. Comme, à cet échelon inférieur, les idées sur les relations causales sont d'ordinaire des plus réduites, l'esprit humain nous forge des êtres plus ou moins analogues à nous, dont la volonté et l'action régissent les événements redoutés. On pense à disposer favorablement ces êtres, en exécutant des actes et en faisant des offrandes qui, d'après la foi transmise d'âge en âge, doivent les apaiser ou nous les rendre favorables. C'est dans ce sens que j'appelle cette religion la religion terreur ; celle-ci n'est pas créée, mais du moins stabilisée essentiellement par la formation d'une caste sacerdotale spéciale qui se donne comme l'intermédiaire entre ces êtres redoutés et le peuple, et fonde là-dessus sa position dominante. Souvent le souverain ou le chef d'État qui s'appuie sur d'autres facteurs, ou encore une classe privilégiée, unit à sa souveraineté les fonctions sacerdotales pour donner plus de stabilité au régime existant ; ou bien il se crée une communauté d'intérêts entre la caste qui détient le pouvoir politique et la caste sacerdotale. Il y a une deuxième source d'organisation religieuse, ce sont les sentiments sociaux. Père et mère, chef des grandes communautés humaines, sont mortels et faillibles. L'aspiration ardente à l'amour, au soutien, à la direction provoque la formation de l'idée divine sociale et morale. C'est le Dieu-Providence, qui protège, fait agir, récompense et punit. C'est le Dieu qui, selon l'horizon de l'homme, aime et encourage la vie de la tribu, de l'humanité, la vie elle-même, qui est le consolateur dans le malheur, dans les cas d'aspirations non satisfaites, le protecteur des âmes des trépassés. Telle est l'idée de Dieu conçue sous l'aspect moral et social. Dans les Écritures saintes du peuple juif, on peut observer fort bien le développement de la religion-terreur en religion morale, qui se poursuit dans le Nouveau Testament. Les religions de tous les Peuples civilisés, en particulier aussi des peuples de l'Orient, sont principalement des religions morales. Le passage de la religion-terreur à la religion morale constitue un progrès important dans là vie des peuples. On doit se garder du préjugé qui consiste à croire que les religions des races primitives sont uniquement des religions-terreurs, et celles des peuples civilisés uniquement des religions morales. Toutes sont surtout un mélange des deux, avec, cependant, une prédominance de la religion morale dans les échelons élevés de la vie sociale. Tous ces types de religion ont un point commun, c'est le caractère anthropomorphe de l'idée de Dieu : il ne se trouve, pour s'élever essentiellement au-dessus de cet échelon que des individualités particulièrement riches et des communautés particulièrement nobles. Mais, chez tous, il y a encore un troisième degré de la vie religieuse, quoique fort rare dans sa pure expression : je rappellerai la religiosité cosmique. Elle est fort difficile à saisir nettement par celui qui n'en sent rien, car aucune idée d'un Dieu analogue à l'homme n'y correspond. L'individu ressent la vanité des aspirations et des objectifs humains et, par contre, le caractère sublime et l'ordre admirable qui se manifestent dans la nature, ainsi que dans le monde de la pensée. L'existence individuelle lui donne l'impression d'une prison et il veut vivre en possédant la plénitude de tout ce qui est, dans toute son unité et son sens profond. Dès les premiers échelons du développement de la religion, par exemple dans maints psaumes de David ainsi que chez quelques prophètes, on trouve déjà des approches vers la religiosité cosmique : mais les éléments de cette religiosité sont plus forts dans le bouddhisme, comme nous l'ont appris en particulier les écrits admirables de Schopenhauer. Les génies religieux de tous les temps ont été marqués de cette religiosité cosmique, qui ne connaît ni dogmes ni dieu qui seraient conçus à l'image de l'homme. Il ne peut donc y avoir aucune église dont l'enseignement fondamental serait basé sur la religiosité cosmique. Il arrive, par suite, que c'est précisément parmi les hérétiques de tous les temps que nous trouvons des hommes qui ont été imbus de cette religiosité supérieure et ont été considérés par leurs contemporains le plus souvent comme des athées, mais souvent aussi comme des saints. Considérés à ce point de vue, se trouvent placés les uns à côté des autres des hommes comme Démocrite, François d'Assise et Spinoza. Comment la religiosité cosmique peut-elle se communiquer d'homme à homme, puisqu'elle ne conduit à aucune idée formelle de Dieu ni à aucune théorie ? Il me semble que c'est précisément la fonction capitale de l'art et de la science d'éveiller et de maintenir vivant ce sentiment parmi ceux qui sont susceptibles de le recueillir. Nous parvenons ainsi à une conception de la relation entre la science et la religion, fort différente de la conception habituelle. On est enclin, d'après des considérations historiques, à tenir la science et la religion pour des antagonistes irréconciliables ; cette idée repose sur des raisons fort compréhensibles. L'homme qui est pénétré des lois causales régissant tous les événements ne peut pas du tout admettre l'idée d'un être intervenant dans la marche des événements du monde, à condition qu'il prenne au sérieux l'hypothèse de la causalité. La religion-terreur, pas plus que la religion sociale ou morale, n'a chez lui aucune place. Un Dieu qui récompense et qui punit est pour lui inconcevable, parce que l'homme agit d'après des lois intérieures et extérieures inéluctables et par conséquent ne saurait être responsable à l'égard de Dieu, pas plus qu'un objet inanimé n'est responsable de ses mouvements. On a déjà reproché à la science de miner la morale ; sans aucun doute on a eu tort. La conduite éthique de l'homme doit se baser effectivement sur la compassion, l'éducation et les liens sociaux, sans avoir besoin d'aucun principe religieux. Les hommes seraient à plaindre, s'ils devaient être tenus par la crainte du châtiment et l'espoir d'une récompense après la mort. On conçoit, par conséquent, que les églises aient de tout temps combattu la science et poursuivi ses adeptes. Mais d'autre part je prétends que la religiosité cosmique est le ressort le plus puissant et le plus noble de la recherche scientifique. Seul, celui qui peut mesurer les efforts et surtout le dévouement gigantesques sans lesquels les créations scientifiques ouvrant de nouvelles voies ne pourraient venir au jour, est en état de se rendre compte de la force du sentiment qui seul peut susciter un tel travail dépourvu de tout lien avec la vie pratique immédiate. Quelle joie profonde à la sagesse de l'édifice du monde et quel désir ardent de saisir, ne serait-ce que quelques faibles rayons de la splendeur révélée dans l'ordre admirable de l'univers, devaient posséder Kepler et Newton, pour qu'ils aient pu, dans un travail solitaire de longues années, débrouiller le mécanisme céleste ! Celui qui ne connaît la recherche scientifique que par ses effets pratiques arrive aisément à avoir une conception absolument inadéquate de l'état d'esprit de ces hommes qui, entourés de contemporains sceptiques, ont montré la voie à ceux qui, imbus de leurs idées, se sont ensuite répandus dans la suite des siècles, à travers tous les pays du monde. Il n'y a que celui qui a consacré sa vie à des buts analogues qui peut se représenter d'une façon vivante ce qui a animé ces hommes, ce qui leur a donné la force de rester fidèles à leur objectif en dépit d'insuccès sans nombre. C'est la religiosité cosmique qui prodigue de pareilles forces. Ce n'est pas sans raison qu'un auteur contemporain a dit qu'à notre époque vouée en général au matérialisme les savants sérieux sont les seuls hommes qui soient profondément religieux. L'ESPRIT RELIGIEUX DE LA SCIENCE Mein Weltbild, Amsterdam : Querido Verlag, 1934. Vous trouverez difficilement un esprit fouillant profondément la science, qui ne possède pas une religiosité caractéristique. Mais cette religiosité se distingue de celle de l'homme simple pour ce dernier, D'eu est un être dont il espère la sollicitude, dont il redoute le châtiment, un être avec lequel il entretient dans une certaine mesure des relations impersonnelles, si respectueuses qu'elles soient : c'est un sentiment sublimé de même nature que les rapports de fils à père. Au contraire le savant est pénétré du sentiment de la causalité de tout ce qui arrive. Pour lui l'avenir ne comporte pas moins de détermination et d'obligation que le passé, la morale n'a rien de divin, c'est une question purement humaine. Sa religiosité réside dans l'admiration extasiée de l'harmonie des lois de la nature ; il s'y révèle une raison si supérieure que tout le sens mis par les humains dans leurs pensées n'est vis-à-vis d'elle qu'un reflet absolument nul. Ce sentiment est le leitmotiv de la vie et des efforts du savant, dans la mesure où il peut s'élever au-dessus de l'esclavage de ses désirs égoïstes. Indubitablement, ce sentiment est proche parent de celui qu'ont éprouvé les esprits créateurs religieux de tous les temps. ---- @Hérisson_on valide l'équation Einstein ? Il t'a meme ecrit un mot personnel "Celui qui ne connaît la recherche scientifique que par ses effets pratiques arrive aisément à avoir une conception absolument inadéquate de l'état d'esprit de ces hommes " Deviens tu un fidèle de notre église ? Je te baptiserai avec plaisir dans notre religiosité cosmique si tu le souhaites
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Se créer soi même Bin faudrait que je l'aie écrit... Mais avant de te lire, ... non. Tu as raison c'est une ânerie au carré Et Pan @Groenland
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Je trouve que Raoult a davantage de bolywood que d'Hollywood En revanche il a tout d'un chewing-gum Dans ses propos et dans sa danse avec les morts
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Se créent spontanément depuis le vide quantique une particule et son anti particule Dirac avait spontanément compris ce concept en évoquant la mer de Dirac sous forme d'un emprunt d'énergie au vide quantique
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Par ailleurs "rien" n'existe pas...le vide quantique n'est vide que de matière Mais il est empli de particules virtuelles et de champs fondamentaux ainsi que d'une énergie fondamentale tous impossibles a extraire
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Je suis plutôt en phase avec toi sur ton post. Mais sur ce point, plutot que d'imaginer son rapport extrait d'un échange avec Böhr concernant la mécanique quantique, j'invite à étudier de près la richesse de la manière dont Einstein voyait le monde, son rapport aux religions, son rapport a la croyance et surtout, sur son propre rapport Il y a un moyen extrêmement simple pour comprendre ce qui distingue chez Einstein les religions de SA religiosité cosmique....et c'est tout simplement de le lire.... Einstein - comment je vois le monde - pavé "science et religion"
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La masse produite par des collisions de particules dans les accélérateurs peut être 200 000 fois supérieure à la masse des particules incidentes entrées en collision C'est évidemment une création de masse par l'énergie cinétique ...
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Énergie en matière Cinétique en l'occurrence
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On devrait créer un hollywood chewing-gum chlorophyle à l'hydroxychloroquine C'est bon pour tout ce machin la. Ma femme a mal au dos et j'ai des petits soucis sexuels. T'en pense quoi ?
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Toi, pas toujours. Même dans ce domaine tu as un petit retard sur moi.. Et justement ci-dessous, ça m'intéresse énormément et sincèrement 1 tu penses precisément à quel modèle de cosmologie ? 2 là, suis vraiment pas au courant, suis très intéressé tu pourrais linker une ou deux references stp ?
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Je me demande si j'en prendrai pas moi-même... En fait, si on analyse bien la situation, il y a une multitude d'études extrêmement mais extrêmement mal construites. On prend ses patients, on ne connaît pas le profil des malades en général donc on ne sait pas les caractériser, on les soigne sans processus de randomisation donc en introduisant aux premiers biais une multitude d'autres encore plus importants..puis, on arrive forcément on résultat qu'on recherchait puisque l'hydroxychloroquine ne fait rien sur les grands malades et est contrindiquée sur les profils fragiles... donc ceux a qui on l'a administré dans les phases précoces et en bonne santé évoluent bien On a donc...une batterie d'études qui pour un statisticien n'ont d'études que de nom... Néanmoins...l'HCQ n'est pas dangereuse prise ponctuellement aux doses indiquées et on a rien d'autre. Personnellement je sais qu'en prenant une cuillère de Nutella pour me soigner, mon inconscient serait pas dupé Si je prenais de l'homéopathie, je me dirai aussi que si j'arrive à me convaincre que l'influenzinum marche, j'aurai du mal a etre influencé Mais si je me dis qu'un énorme scientifique recommande l'Hcq, existe quand même une probabilité qu'il soit moins con que l'immense majorité des scientifiques non convaincus par les faits, si on evite tous ces biais évidemment Et comme j'ai de base une bonne santé, que j'ai 99,5% de chances de m'en sortir, je pourrai après être guéri dire que Raoult m'a gueri C'est quoi le risque en prenant de l'hcq pour moi ? Nada Maintenant j'espère que ce risque est le même pour tout le monde Mais que chacun se demerde...
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Le dieu monothéiste est assurément un lien direct avec la moralité. Lien entre la moralité de l'homme et l'origine du monde (la pomme) de même qu'il associe la morale de l'homme à la nature de dieu (l'homme à l'image de Dieu, le dieu interventionniste qu'on pris pour interférer dans nos vies) de même qu'il associe la moralité au salut de nos âmes. L'idée d'unicité a probablement une forme de fondement du point de vue scientifique si tu penses à la soupe primordiale du big bang ou si on fait ce pari métaphysique d'extrapoler à l'univers un fondement tiré de son ancienne nature quantique, l'intrication. Personnellement, je suis beaucoup plus fasciné par une forme d'analogie entre les philosophies orientales et le déroulé des recherches scientifiques Tu verras chez Oppenheimer, Pauli, Böhr, Schrodinger et bien d'autres ce genre de liens. Et quand on regarde un peu les grands principes physique concernant l'évolution du monde, c'est sans doute autant la diversité, les transitions de phase, les ruptures de symétries qui ont donné un cadre ayant permis à la complexité de se manifester C'est effectivement très ésotérique à ce stade.
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Des causes et des conséquences, le hasard comme purgatoire de la causalité ?
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Des stars ... et même... le champion du monde.
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Donne envie d'ouvrir une chouette bouteille. L'arôme à distinguer du goût ou de l'odeur. Quelle coïncidence moi qui adore le vin. Comment dès lors faire le pont à la mécanique quantique ? Je sens (éh éh) que je vais ramer... Peut-être parce que les coïncidences si elles sont répétitives ou hautement signifiantes entrent sous cet aspect initiatique dit des synchronicités Particulièrement dans des romans tels que "la prophétie des andes" de James Redfield ou "l'alchimiste" de Paolo Coehlo Alors que le hasard renvoie à la coïncidence, la synchronicité renvoie a une plus grande conscience du monde dans le monde. Karl Jung est le theoricien de la synchronicité qui fascine les hommes : une corrélation significative et causale entre les événements externes (physique) et internes (mentaux) Et comme par hasard...sa thèse debouche de dialogues avec Wolfgang Pauli...le père du célèbre... principe d'exclusion, défenseur atypique du principe de complémentarité de Bohr pour le pousser aux extrêmes Ah...j'ai ramé mais nous revoici plongés dans un acteur majeur de ce résumé de la mécanique quantique Si on parlait de Pauli nobel 45 et de sa transdiciplinarité ? Ou encore de son étrange "la complémentarité physique présente une analogie profonde avec les concepts psychologiques de conscience et d'inconscient, dans la mesure où toute observation de contenus inconscients entraine une action réciproque de la conscience sur ses contenus que, par principe, on ne peut determiner" tiré de sa correspondance à Carl Gustav Jung (correspondance 1932 1958 Françoise Perigaud Albin Michel collection Science d'aujourd'hui p 270)
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Je me permets quand même de préciser que ma réponse à @Blaquière était ... symbolique... et en rapport à ce sujet quantique, comme son post à propos des odeurs était symbolique du climat nauséabond de certains échanges Je ne sais pas si je suis seul à l'avoir compris ainsi mais je commence à bien le connaître mon @Blaquière Peut-être développe t'il soudainement un reel intérêt scientifique au sortir de ses toilettes. Lui et moi en sommes parfaitement capables lol Pour le Star Trek, je tiens a préciser que ma proposition de théorisation est un exercice de pensée sympathique fondé sur le parallélisme a l'effet tunnel de la mécanique quantique Tout celà me semble être comme allant de soi. Mais bon, je ne sais pas jusqu'a quel niveau aller pour garantir que ni lui ni moi ne serions des fluctuations du vide quantique ni que je m'apprête à passer un vaisseau spatial en vitesse supra luminique. Il y a parfois un brin de second degré chez moi qui me demande d'assurer que le premier a bien percuté Je dis pas ça pour toi mais bon, j'imagine que notre ami ne s'inquiétait pas initialement en motivation première de la structure scientifique de sa pêche matinale Quoi que ! Lol Il nous le dira peut-être
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Comme je t'apprécie mon ami. Je pense que toi et moi n'avons pas reellement de cerveaux Et d'ailleurs tout le monde ici te le confirmera... Nous sommes une pure vibration sur l'océan de Higgs qu'une mesure ici bas peut faire s'effondrer La fameuse dualité onde corps pustule...et ses odeurs inévitables De "L'horloge des anges ici bas" comme anagramme du "Le boson scalaire de Higgs" A "la courbure de l'espace temps" comme anagramme du "superbe spectacle de l'amour" Nous sommes des anges déçus modulo h, la constante de Planck
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Ou alors, Discovery est un quantum Peut-être devrais tu étendre les trajectoire classiques a l'espace des phases qui reste un outil puissant pour une interprétation de cet effet tunnel en terme d'ingrédients classique C'est @Hérisson_ notre spécialiste Il pourra te présenter les caractéristiques de l'espace des phases des systèmes integrables et certains objets semi classiques (quantification, distribution de husimi) ainsi qu'une méthode d'approximation integrable de l'espace des phases dans le cas où l'integrabilite du système n'est pas définie Mais bien sur, pour la suite contacte @Hobb afin d'étendre les trajectoires classiques dans l'espace complexe. Te faudra attaquer une complexification de l'espace des phases ce qui te sera essentiel pour le calcul semi classique des propagateurs quantique @Hérisson_ se régale concernant la mécanique hamiltonienne et la description de l'évolution au cours du temps d'un système physique à N degrés de liberté en terme de coordonnées canoniques generalisées et de leurs moments conjugués Description particulièrement adaptée afin de discerner le caractère integrable ou pas de ces systèmes pour l'analyse quantique ou semi classique Mais bon...si tu veux passer un cap appelle moi. On verra comment appréhender une méthode plus générale afin d'evaluer directement la largeur des doublets tunnel Ca necessitera le prolongement analytique dans le plan complexe de propagateurs quantique en complexifiant le temps Si tu veux, ça peut être compris comme une extension de l'approche par les instantons developpee par Colman et Polyakov dans les années 70 dans le cadre de la théorie des champs Bienvenue à toi, tu as ici trouvé les meilleurs pour theoriser ton problème
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J'avoue qu'a part avoir lu vos perles ou les enfiler...
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Je suis excellent en résumé, en synthèse, en analyse, et en chevilles qui gonflent aussi Mais je pense que @Hobb se fera un plaisir de confirmer mon excellente tenue générale à l'occasion de sa prochaine connexion. Comme il a un excellent diplôme j'attends impatiemment ma dernière note que j'espère en progrès. J'aime en décerner moi même des notes, on l'aura remarqué, mais je serai honoré qu'il me note avec un petit commentaire, je tiens toujours en considération l'avis de mes professeurs. mais là, pour poursuivre mes excellents résumés, je me suis retrouvé face à une autre sorte de problème avec @azad2B A savoir que les 10 dernières notifications de sa part que j'ai reçu à propos de ce topic étaient toutes strictement avec le même message, tant sur le fond que sur le forme, et dieu sait qu'ils sont chiants avec le formalisme... Donc c'est davantage qu'un résumé, c'est l'intégralité de son discours que je ressors, sans distorsion et c'est : @Hérisson_ est-ce que son équation est correcte ? J'ai appris qu'il y avait un processus de validation...
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Disons que ce n'est pas parce que Klein aime le rugby et Wilkinson la mécanique quantique que ça te permet de maîtriser les équations II est même probable qu'il soit aussi plus fort que toi dans l'ultra trail puisque non seulement je connais un peu les équations mais que je connais un peu mieux que toi Klein. Et je te vois pas courir vite ni longtemps....je peux me tromper, tu me diras On se dira que si Klein lit pif gadget, c'est pour se détendre Tu es crispé je trouve devant une équation Tu as compris que tu en lisais une simplifiée ou pas ? Parce que si je te parle d'espace des phases, c'est pas pour que tu restes dans la lune... Mes mots ont un sens tu sais...tu en comprends un ou deux quand même ? Non...plus sérieusement j'espère que @Hobb me donnera des guides à partir de cas de recherche concret Il faut simplifier le discours, je ne suis pas physicien, mais là je suis impatient de comprendre quelques notions supplémentaires parce que vu son niveau de diplôme, j'ai beaucoup d'espoir d'en tirer bénéfice Et c'est sincère...j'ai toujours rêvé d'échanger avec des chercheurs en physique quantique, j'espère qu'il abordera la cosmologie quantique aussi.
