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zenalpha

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Tout ce qui a été posté par zenalpha

  1. zenalpha

    Regards sur notre monde

    Il me faut développer un peu... On a coutume d'amalgamer à tort émotions et sentiments...mais si elles sont liées leur nature est différente L'émotion est rendue publique et ce qu'on appelle l'intelligence émotionnelle consiste notamment à savoir percevoir chez soi même et chez les autres les manifestations des émotions Alors que le sentiment est intérieur, Shakespeare parlait de "théâtre de l'esprit" Au niveau de la Vie avec un V majuscule, les émotions sont un mécanisme de base, des expériences de base ont montré y compris chez la mouche ou l'escargot des manifestations émotionnelles qu'on peut assimiler aux manifestations de la peur. Il y a des émotions innées et aussi des émotions liées à des représentations sociales observées chez ses congénères Spinoza a été le premier a analyser ce phénomène Il parle de conatus pour décrire ce phénomène essentiel de la Vie. "Le conatus recouvre à la fois le besoin de se préserver face au danger et aux occasions favorables et la myriade d'actions preservatrices qui font tenir ensemble les parties du corps" C'est cette poussée émotionnelle qui tend l'être vivant à s'adapter a son milieu tout ... en maintenant un état de cohérence interne. Antonio Damasso et Jean Pierre Changeux ont rapproché ça à la pulsion de vie de Freud Ps - je boucle @saxopapqui s'interrogeait aussi la dessus
  2. Ce serait intéressant de faire une analyse de cette phrase.... Peut on penser soi-même les pensées des autres ? Vous avez deux heures
  3. zenalpha

    Regards sur notre monde

    Peut-être serait il utile de distinguer la sensation, l'émotion et le sentiment. Parce que si le sentiment est la conscientisation de l'émotion suscitée par la sensation, il est clair que si l'émotion nous submerge, la sensation et le sentiment sont conscients... L'émotion et le sentiment nourissent la vie, on peut apprendre à les canaliser ou à les percevoir, certains le ressentent naturellement l'intelligence émotionnelle existe et est plus importante que l'intelligence conceptuelle selon moi.
  4. Ce qui m'intéresserait, c'est de comprendre les drivers, les motivations d'un homme dans ce en quoi il fait confiance, les principes sous jacents qui fondent ses connaissances Faut il le charisme d'un tribun ? Le charme ensorceleur d'une femme ? La confiance immodérée en ses croyances a priori ? Se demander les principes sur lesquels se fier et qui fondent sa connaissance, c'est fondamental. Oui je suis convaincu par la démarche scientifique car sa philosophie est ouverte à savoir qu'elle est parfaitement capable de remettre en cause l'ensemble de ses paradigmes de par ses propres principes. Quel philosophe a remis en cause ses croyances et sur quel protocole ? Bien entendu qu'il y a fierté à défendrecet esprit et dépit à voir comment les princesses aux alouettes bernent les foules.
  5. Le relativisme, c'est douter de tout parce qu'on pense qu'il n'existe pas de vérité absolue. Cela amène au nihilisme et au rejet de toute croyance. C'est un chemin vers la paresse intellectuelle car dans ce cas, pourquoi chercher à apprendre une connaissance si elle est fausse... C'est très différent de donner une limite à ce qu'on définit comme une certitude. Par exemple je suis certain qu'a un point extérieur à une droite ne passe qu'une parallèle... mais cette certitude a le prix de sa limite car cela n'est VRAI qu'en géométrie euclidienne et non dans l'absolu.. Des vérités absolues...existent dans un cadre borné défini. Ce qui ne peut exister c'est un Absolu tout court...un cadre global dans lequel s'inscrirait toutes les vérités J'invite à s'intéresser aux théorèmes de Gödel et arrêter de confondre certitude et absolu...
  6. Hello @Quasi-Modo Bien sûr que la philosophie prétend utiliser la raison donc s'appuyer sur une cohérence de l'argumentation Et bien entendu que les prémisses de l'argumentation philosophique comme l'analyse qui en est faite sont toutes parfaitement contestables... Le relativisme, c'est d'abord et avant tout une incompréhension des limites des certitudes. Aucune certitude n'est absolue et toute certitude s'inscrit dans un cadre donné Ce n'est pas du relativisme que de cerner les limites des théories physique dont nous sommes les plus certains.. Et concernant la philosophie, c'est une totale aberration de ta part de ne pas cerner les limites des raisonnements qui ne sont vérifiés par aucune expérimentation... Je ne baigne pas dans le relativisme en te trouvant totalement à côté de la plaque la dessus, dans les très grandes largeurs... Heidegger...est le prototype du nazi qui prend sa carte du parti jusqu'en 1944 et qui est tellement dans l'abstraction en dissociant l'être de l'étant qu'il en oublie les rudiments de la nature humaine.. Tu ne pouvais guère trouver de philosophe plus enfermé dans son monde conceptuel que toute idéologie s'en trouve possible. Le prototype du philosophe que j'excècre. On peut dissocier l'homme de l'oeuvre comme dirait le bal des vampires. Oui, mais non. Ce genre d'ideologue peut dire...n'importe quoi et faire...n'importe quoi sous couvert d'une aura nauséabonde sur son nom. Et donc pour revenir sur l'essentiel de l'échange, oui, la science, en confrontant ses idées et théories à l'expérience de la réalité est bien au dessus de la philosophie Si Einstein est un génie, c'est parce que ses théories cadrent aux réalités L'esbrouffe philosophique et l'embrouille des concepts que tu utilises dans le vide ne changent rien. La philosophie du non de Bachelard... Les philosophes ont vraiment beaucoup de mal avec ce truisme...
  7. L'apologie de la démarche scientifique ne devrait pas avoir à être justifiée... Autant le scientisme est une doctrine donc criticable, autant la démarche scientifique est une démarche de connaissance et d'efficacité sans équivalence...
  8. La question que tu devrais te poser est la suivante Qu'est ce qui te permettrait de challenger tes certitudes par un test objectif dont le résultat ne peut pas dépendre d'a priori ? Et c'est ce qu'on appelle la démarche scientifique.... Par exemple prend un tajin pour tenter de le faire voler Si empiriquement ça marche, tu accrediteras cette théorie http://dossiers.secrets.free.fr/enquetes/vimanas.htm A force de pédaler dans la semoule peut-être
  9. Ce qui me semble fondamental, c'est de comprendre que nos perceptions sont limitées (ex le spectre lumineux que nous voyons qui est ridicule au regard de l'ensemble des fréquences existentes) et que notre cerveau réorganise les stimuli par un modèle une information comprehensible répondant à notre entendement et notre définition de la réalité (ex le "vert" n'existe pas dans la nature...nous le construisons...) A partir de là, il ne suffit pas de croire à ce que l'on voit, les limites de nos sens sont largement digérées.... On a donc interfacé la notion de mesure qui est beaucoup plus large, précise et objective que nos sens et nos représentations a priori tirées de nos sens. Et nous avons compris que les lois qui gouvernent la nature ne sont pas apparentes, que ne se donne pas spontanément que des équations décrivent des interactions fondamentales ni que, justement, les lois puissent défier nos intuitions voire notre entendement Il y a un pari métaphysique à décrire le monde par des équations qui a été fructueux, qui a permis de découvrir de nouvelles relations, qui a permis des découvertes techniques Cette démarche là n'a aucune équivalence en terme d'efficacité Il y a une démarche de théorisation qui est fructueux car porteur de prédictions...en communication à une démarche d'expérimentation qui teste ces nouvelles prédictions. Il y a échange entre idée, concept et réalité empirique décrite par la mesure La philosophie comme la religion ou la culture permet de se forger des idées Sans philosophie, impossible d'interpréter ces lois ni de concevoir ce modèle de pensées évoqué dans le post précédent Et la démarche scientifique, c'est ce modèle de réel dépendance qui matche l'entendement du monde que nous avons avec ce que nous enregistrons largement du monde. Peu importe si la réalité est que nous ne sommes qu'un programme dans un univers quantique qui serait l'ordinateur d'une déité quelconque....et toutes les philosophies peuvent se développer autour de la réalité fondamentale qu'il nous serait impossible de toucher Il y a ce que nous enregistrons d'un côté et la théorie qui permet de comprendre les relations qui ont généré ces enregistrements Dans ce domaine, la science a une longueur d'avance méthodologique et pragmatique Il ne s'agit pas seulement de se forger des idées qui cadrent à nos représentations intuitives du monde.... Il s'agit de prendre acte du monde tel qu'il se donne à nous et de cette interaction par l'expérience associer des idées compatibles, descriptives et prédictives. Quelle philosophie intuitivement étriquée par nos représentations reconstruites du monde a pu prédire quoi ? Beuh. Voici le néant philosophique
  10. L'existentialisme a de l'intérêt je ne dis pas que ça n'a pas d'intérêt. J'ai lu énormément de philosophes... Ce que je dis, c'est que concernant la compréhension des phénomènes naturels, aucune philosophie ne peut venir contredire une théorie scientifique Alors qu'une théorie scientifique peut venir contredire une conception philosophique Ta réponse pincée est l'illustration même de ce que j'affirmais, une réaction de ton ego...une espèce de deuil non fait à devoir confronter tes idées à la réalité Hawking, Feynmann, Einstein et bien d'autres se sont lamentés, a raison, de cette conception ultra dépassée et presque hors sujet de la philosophie lorsqu'elle aborde des notions sur lesquelles elle n'a jamais apporté l'ombre du début de commencement d'un début de débouché efficace On a affaire a une philosophie thérapeutique pour soi...non a une universalité philosophique Preuve en est qu'ils se contredisent...chacun amenant un certain intérêt mais vendu comme un principe universel.. C'est presque un hold up La philosophie est complémentaire de la science mais elle n'a pas l'universalité des connaissances tirées de ses méthodes
  11. Non, je fais un constat factuel. A savoir que peu importe l'auteur, peu importe son intelligence, peu importe l'originalité ou la qualité d'une idée MAIS si cette idée ne rencontre pas une vérification et se trouve infirmée dans le monde empirique, dans l'expérience concrète alors, cette idée est ... fausse... Ce qui est intéressant en revanche, c'est d'essayer de comprendre pourquoi les philosophes ont du mal à digérer cette supériorité dans l'approche scientifique ou la logique d'une part puis la vérification expérimentale de l'autre sont ... juges ... et ... seules juges ... de l'efficacité de l'idée. Et je pense que la seule réponse rationnelle est un ego surdimensionné où on considère mieux comprendre que l'autre, mieux rendre compte de la réalité que l'autre par une batterie argumentative sans preuve. C'est un problème d'ego
  12. Le grand test qui délimite clairement l'énorme apport de la science par rapport à la religion ou à la philosophie, ce n'est pas seulement la délimitation de Karl Popper sur la refutabilité mais aussi et surtout celle de Gaston Bachelard dans sa Philosophie du NON Les idées scientifiques peuvent recevoir un NON de la nature. Aucune idée philosophique ni religieuse ne peut être confrontée à l'expérience ni contenir dans ses principes une ouverture forcée vers d'autres paradigmes
  13. Avoir le sentiment que...c'est croire en .... Rien a voir avec la haine, l'angoisse, l'amour, la joie.... J'ai le sentiment qu'a placer sentiment a toutes les sauces, vous développez un sentiment suivi de ressentiment...
  14. C'est plutôt un début de compréhension de VOTRE fonctionnement personnel...qui n'est pas un fonctionnement universel... En règle générale, les gens qui s'expriment ici ont parfaitement conscience d'avoir des échanges...ou des lecteurs... Et ils n'ont pas le sentiment de sortir d'une masturbation solitaire mais affichée publiquement une pensée universelle.... Vous avez des atours de philosophe sans le contenu, l'habit ostentatoire sans le moine...
  15. Tu parles du poème du haschisch et au bateau ivre ? Attention, eux ne consommaient pas forcément.
  16. Lire ne suffit pas evidemment... Mais écrire des sottises encore moins... Si tu n'aimes pas un individu, dis le lui, va au but et soit direct avec lui Mais permet moi de te dire de laisser les livres tranquilles... Que tu n'aimes pas lire ou que tu ne lises pas n'est pas un atout. C'est une immense lacune.
  17. Ok mais qui sommes nous pour juger la vie des autres ? J'ai une seule certitude, lire est un plus. Le langage est la cage de notre esprit. Ne pas se laisser enfermer dans la cage des a priori.
  18. C'est sûr qu'on bavarde beaucoup sans écouter l'autre en lisant... Il y a penser, opinioner et se pignoler. On passe tous par ces états mais je recommande parfois de savoir faire et l'un et l'autre.
  19. C'est une grossière erreur. Le livre est une manière exceptionnelle de s'éduquer, d'apprendre, d'ouvrir des horizons, de se divertir qui entre dans le cadre des expériences humaines. Il y a cette structuration de la pensée qui rejoint l'intimité intellectuelle. Bien sûr ce n'est pas nécessaire, mais brûler les livres, c'est devoir régler un problème serieux avec soi même... Ecoute le but de ce cours, possible que tu y trouves...une utilité Au passage et pour tous, la différence entre opinioner et penser dès la première minute...
  20. Et pourtant toutes tes leçons personnelles semblent si rapidement oubliées quand tu méprises ici la culture française ou la la psychologie des esclaves et des maîtres Faites ce que je dis, pas ce que je fais, telle est ta psychologie de "l'action"
  21. C'est le problème de @Maroudiji, il interprète avec ce qui lui sert de cerveau sans prendre jamais aucun recul. Rat du forum voulait dire dans l'esprit de l'auteur Rat de Bibliothèque sur ce forum donc une personne qui passe son temps sur le forum.... Le Rat en Inde, sa pseudo culture est une symbolique positive : En Asie, rat et souris sont parfois l'objet de cultes locaux, ils sont parfois considérés sacrés et sont très souvent liée aux divinités hindouistes et bouddhistes. En Chine, le rat (ou souris) est un signe d'astrologie chinoise, il est décrit comme étant ambitieux, charmeur, imaginatif et passionné. C'est l'un des signes favorables : celui de l'abondance. Car beaucoup de rats signifie beaucoup de récoltes (blé et riz principalement)[36]. Il est parfois également considéré comme un animal de l'âme, probablement à cause de son intelligence et de sa sociabilité. Ainsi, en Chine du Sud, le rat est censé avoir apporté le riz à l'homme[37]. Au Japon, le rat est associé à la chance et en Inde, le rat ou la souris est la monture de Ganesh, dieu de la chance et de la sagesse. Ils y revêtent donc des aspects positifs et si comme en Europe le rat est lié à l'argent, en Europe il est associé à l'avarice alors qu'en Asie il est généralement symbole de prospérité. Le rat et la souris se rencontrent principalement dans les croyances populaire d'Inde et d'Extrême-Orient mais on les retrouve aussi dans d'autres coins de l'Asie et même sur d'autres continents tel l'Afrique Mais Maroudiji ne sait rien ne comprend rien. Et il interprète "rat" comme le bon occidental qu'il est devenu malgré lui, comme une insulte...
  22. Quel meli melo entre "ce que vous savez de vos lectures" de ce que l'humanité sait au travers la démarche scientifique Si vous aviez lu pif gadget toute votre vie, auriez vous pensé que la Philosophie est l'ensemble des mésaventures entre un chien et un chat et que la technologie est le petit gadget joint ? Ou avez vous enterré votre entendement en bouffant de l'internet et de la technologie à longueur de journée a la sauce mac do tout en glorifiant sur ces supports vos couscoussières volantes ? Vous avez raison sur un point, plutôt qu'une couscoussière, il s'agit plutôt d'un tajine dont l'abus d'utilisation a plus de débouchés en matière d'aerophagie que d'aerospatial... Donc prout monsieur maroudiji
  23. Je pense que le sujet est : philosopher n'est pas "opinioner" en tant que néologisme dérivé de l'opinion Opiner, c'est approuver
  24. zenalpha

    Regards sur notre monde

    J'avoue ne pas comprendre ton analyse sur la "culture française" à partir de l'introduction du sentiment dans la réflexion philosophique allemande... D'autant que, par définition, rationaliser le mécanisme du sentiment est forcément faire appel...à la raison...non au sentiment C'est sûr que les allemands ont une réputation de sentimentaux... Tu confonds l'analyse du sentiment comme source rationnelle de sa relation au monde du sentiment comme expérience personnelle puis vecteur d'information de sa relation au monde Jamais Heidegger ne pose l'angoisse comme une source de connaissance mais comme une connexion entre l'étant et l'être. Le sentiment ne l'intéresse pas en soi mais il l'intéresse comme une passerelle. On apprend rien sur le monde avec l'angoisse...tu relativises tes attributs d'etant desindividualisé et anonyme à ton daisen qui est derrière cet attribut ton véritable être. Ce n'est pas une connaissance sur le monde, sur le néant, sur le daisen...c'est une connexion qui t'en apprend sur toi même et sur la nature humaine dans ton existence....
  25. zenalpha

    Regards sur notre monde

    Hello. Merci pour ce bel écrit structuré comme toujours avec toi. Non, ça ne me préoccupe pas mais c'est un grand regret que j'ai pour les philosophes et pour la Philosophie. Il y a eu un temps où la science était la fille de la philosophie, où le philosophe était connecté aux savoirs de son temps. Et en effet, certains philosophes inscrivent la science comme une 'province' de la philosophie et je dois dire qu'il y a deux conséquences Soit que cette province soit du type personae non grata et que la Philosophie entende dresser des murailles pour empêcher le scientifique d'aborder des sujets sur lesquels il a des éclairages à donner. Soit que cette province soit de type Terra incognita et que l'ensemble des débats interpretatifs ouverts par les sciences soient vides de Philosophes afin de d'éclairer les discours voire les influencer Sur ce point, notons les efforts d'un Etienne Klein, d'un Olivier Barau ... qui ont quasiment tous la compétence scientifique en double référence de leurs énormes bagages philosophique. En dehors de cette 'province' et de cette double friction, plus l'écart à la science et ses méthodes sont grands moins je vois de problème Si ce n'est l'immense continent du pur concept ou une thèse et son inverse se collectionnent dans un herbier d'idées sans possibilité de classer la pertinence de ses idées, sans jamais les revisiter au détour de l'avancement des connaissances L'existentialisme est un courant historiquement intéressant où les points de convergence et de divergence est dans cette optique du grand marché des idées Oui, il y a un intérêt à lire et comprendre ces différentes versions de l'être et de l'existence en redonnant à l'homme une place centrale dans SA philosophie personnelle. Mais le grand biais du philosophe est de rapidement verser SA philosophie dans un bain d'absolu. Et sur ce point il est...intéressant...de revisiter l'espace et le temps de Kant au regard de théories qui fonctionnent. Donc oui, je trouve un air de grandeur aux théories selon le nom de celui qui les porte bien en retrait de ce qu'on en retire pour tous. Si ce n'est pour SA philosophie C'est pas si mal...
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