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zenalpha

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Tout ce qui a été posté par zenalpha

  1. zenalpha

    Ô-dieu

    Tout le problème est là Pouvez vous conceptualiser que plusieurs definitions valides puissent legitimement exister pour un même mot (on appelle ça polysémie) Et que, malheureusement, beaucoup de mots sont utilisés à tort faute d'une bonne compréhension de la définition ou parce qu'est utilisé contextuellement une définition à tort. Et par exemple, concernant être, exister, vérité et vrai, si il n'existe qu'une seule et unique définition pour l'ensemble des réflexions sur ces sujets, je suppose donc qu'il s'agit des votres et seulement des votres C'est celà ?
  2. zenalpha

    Ô-dieu

    Dans ma définition de la vérité et du vrai, c'est une évidence puisque c'est le même concept Dans la votre, c'est très discutable. Je ne doute pas que ce que vous écrivez vous paraisse juste. Mais si ce qui vous paraît juste est faux, ça n'en fait pas une vérité De la même manière, si ce que j'écris me paraît juste, ça n'en fait pas une vérité non plus. qu'est ce qui est juste de conceptualiser à propos d'une chose ? Et qu'est ce qu'une chose ?
  3. zenalpha

    Ô-dieu

    Si le vrai n'est pas conforme à la vérité, continuez vous à l'appelez vérité ? Une expérimentation doit elle forcément prouver pour être appelée expérimentation ? La vérité est elle toujours prouvable ?
  4. zenalpha

    Ô-dieu

    L'autre moyen plus pragmatique est de travailler la logique La logique est un outil extraordinaire puisqu'universelle. Le problème est qu'elle est comme les mathématiques Elle n'est ni donnee par ses sens ni intelligible intuitivement C'est un travail rigoureux
  5. zenalpha

    Ô-dieu

    Je sais qu'utilisant une définition classique que vous ne vous êtes pas appropriée, je sollicite un gros effort. Bachelard dirait qu'il faut penser contre son cerveau Vous confondez le VRAI avec la réalité considérée. Vérité et vrai ne concernent ni l'intelligibilité ou l'intellection d'une pensée (ce que VOUS appelez vérité) ni la réalité ontologique en soi (ce que vous appelez vrai) Dire c'est du vrai or pour de l'or...est... une idiotie... soit c'est de l'or, soit ce n'est pas de l'or... Il n'y a aucun apport logique à désigner de l'or en réalité comme du vrai or. En revanche...si vous définissez dans un langage donné une proposition comme "l'or est un système cristallin isométrique possedant 4 axes ternaires de symétrie et contenant 79 protons ce en quoi le métal devant moi est de l'or" alors, il devient possible de vérifier que le métal en soi devant nous possède ces caractéristiques identitaires En vertu de quoi la proposition linguistique "ceci est de l'or" rencontre expérimentalement la réalité physique par l'isomorphisme, la correspondance de la structure ce qui permet de definir la proposition comme étant vraie et exprimant la vérité Rien de ce qui existe en soi physiquement est vrai ou faux C'est réel ou pas. En revanche c'est la manière de le definir qui sera vraie ou faux selon que ce soit reel ou pas, que l'isomorphisme soit vérifié ou pas Dans l'idéal il faut le demontrer ou le vérifier mais certaines propositions pourtant vraies ne sont pas vérifiables Simple non ?
  6. zenalpha

    Ô-dieu

    Le vrai est la vérité et la vérité est le vrai. Il n'y a pas d'antecedence logique, l'un implique l'autre et vice versa. En revanche pour être qualifiée de vraie et être une vérité, une proposition doit être bien formée dans les règles du langage et doit être conforme (on dira isomorphe) à la réalité dans un cadre défini et délimité. Cela implique comme nécessité ce qu'on appelle la cohérence Une proposition est soit vraie, soit fausse. On ne peut démontrer une chose et son contraire par exemple. Et présenter une particule comme une onde est une proposition simplement fausse, une expression absolument pas conforme à la réalité physique ou théorique Par ailleurs il n'existe pas une capacité innée à connaître la vérité. Les propositions vraies conformes aux réalités sont la plupart du temps et selon leur degré de complexité extrêmement difficiles à trouver. En réalité, énormément de propositions vraies échappent totalement et à notre entendement et même à notre capacité de démonstration. C'est une simple conséquence mathématique sur l'incomplétude des systèmes qu'on doit à Kurt Gödel La perception est d'ailleurs extrêmement trompeuse de même que les apparences. La raison et la rationalité, la logique et l'expérimentation sont les seuls outils permettant d'en découvrir. "Remonter vers notre vérité" est une expression extrêmement mal formée, une vérité ne désignant pas une chose en soi (on parlera alors de réalité) mais désignant la conformité de ce qui est proposé dans le langage à la réalité On peut éventuellement parler de "découvrir le fondement ontologique de notre nature humaine" Et non...si la vérité est donc en soi un pur concept immatériel puisque logique, notre nature ontologique n'est pas de facto immatérielle Pour le dualisme il y a une séparation corps esprit mais il s'agit d'une simple conjecture. De mon point de vue, vous utilisez le langage avec des approximations logiques qui vous conduisent a des conclusions qui vous apparaissent logique C'est ce qu'on appelle une erreur, un fondement humain.. L'homme est aussi capable d'inferer des conclusions sans raisonnement logique infaillible. Et notre capacité a sortir des mécanismes rigides qui enferment nous dotent de créativité Parfois même de lucidité avec des intuitions qu'aucun ordinateur ne vient approcher. En revanche, une erreur est une erreur.
  7. zenalpha

    pass sanitaire étendu !

    Excuse moi mais ce que je dois n'est pas du tout calculé sur cette explication moyennisée... Le budget national équilibre les recettes et les dépenses Plus de dépenses, moins de recettes, comme une armée de malades à soigner qui ne cotisent pas, ça se finance. Et comme les malades sont un peu nuls pour financer les constructions dans lesquelles ils sont soignés, les vaches a lait, c'est nous... Le montant individuel des impôts dépend de son niveau de rémunération et des abattements fiscaux possible dans une certaine idée de "justice fiscale" qu'on peut d'ailleurs discuter... Mais plus d hôpitaux à financer c'est evidemment plus d'impôts L'autre option serait que les gens à soigner financent leurs propres soins ou reste chez eux. On est humain en France...on les soigne quand même..
  8. zenalpha

    Ô-dieu

    Oui Et dans le détail, le mécanisme dit d'effondrement de la fonction d'onde, ce qu'on appelle aussi le problème de la mesure, n'est purement et simplement pas compris. On ne comprend pas du tout comment un "nuage de probabilité qui interfere avec lui même" passe instantanément de cet "état" probabiliste et diffus à un état classique bien localisé après mesure. Aucune théorie n'explique ça. Il y a donc des interprétations de la mécanique quantique pour résoudre ce problème L'une d'entre elle invoque "la conscience" Si la lune existe, ce serait parce qu'une conscience l'observe et la fait se manifester comme nous l'observons. Cette interprétation a du plombs dans l'aile avec l'étude de la décohérence par exemple par Serge Haroche Mais personne n'explique de manière encore totalement satisfaisante cet effondrement La decoherence considère que ce sont les interactions de la particule à l'environnement qui génère cet effondrement mais les modalités restent encore floues
  9. zenalpha

    pass sanitaire étendu !

    Je ne suis pas d'accord Moins d'hospitalisés, c'est moins de morts Mieux prévenir que guérir L'idée n'est pas de construire des hôpitaux ni de recruter des personnels ad infinitum pour des personnes qui ne travaillent pas et ne cotisent pas. Je bosse pas que pour financer des impôts ...
  10. zenalpha

    pass sanitaire étendu !

    La mesure ne consiste pas à être privé du droit de se soigner Mais à interdire la possibilité plus importante de rendre malade les autres dans les établissements recevant du public tels que les hôpitaux On va donc aussi "priver de travail les salariés non vaccinés", le droit de travail est lui aussi fondamental En effet, sans doute faut-il accompagner les personnes qui ne comprennent pas bien la situation ni les mesures. Je vais tenter un résumé VACCINEZ VOUS BORDEL !!! Bon...ça vaut ce que ça vaut mais la liberté de ne pas se vacciner cadre finalement avec la liberté d'amoindrir ses risques pour les vaccinés d'être quand même contaminés par ceux qui ne le sont pas. On est dans un pays de grande liberté
  11. zenalpha

    pass sanitaire étendu !

    Plutôt que couper la France en deux, je recherchais de la plier en 4 de rire. Mais plus sérieusement, en quoi le pass sanitaire vous est il nécessaire pour vous soigner ? Et si tel était le cas, pourquoi ne pas contribuer a l'appel national pour se faire vacciner ? Ça me rappelle un peu les objecteurs de conscience en temps de guerre Quand il faut y aller faut y aller Courage, 2 piqures c'est pas la fin du monde !
  12. zenalpha

    pass sanitaire étendu !

    C'est clair qu'à part greffer un cerveau ou donner une éducation aux enfants sur le rapport bénéfice / risques et les limites des libertés individuelles pour le bien collectif, arrive ce moment ou la vérité intellectuelle réclame une dictature lorsque, véritablement, aucun débat ne se pose plus Et justement, personne ne me réclame le pass sanitaire dans le train, personne. Je sollicite la mise en place d'une milice sanitaire avec permis de tuer et tir à vue. Je suis prêt a tolérer quelques erreurs de cibles si 99% des victimes sont des agents infectieux infiltrés. Il y a la bonne France et l'autre. Le vacciné et le pestifére Amen
  13. zenalpha

    Ô-dieu

    Là je vous perds. Que la conscience soit l'unique "outil" ou "moyen" ou "construction" ... absolument indispensable pour qu'une partie de l'univers structurée, organisée s'identifie à un ego qui dualise le soi de l'environnement extérieur dans une relation sujet / objet comme une condition nécessaire de connaissance, je suis d'accord. On pourrait discuter de ce qu'est une conscience de soi parce que les contours ne sont pas nets. Par exemple quand un organisme adopte une stratégie pour mieux s'adapter à l'environnement, une mutation génétique par exemple, la conscience n'intervient absolument pas et pourtant l'évolution est déjà une preuve de la capacité d'un sujet à considérer l'environnement pour mieux interagir Ou encore, la conscience d'un animal doit être bien différente de la notre avec un corps différent, des stimuli de nature différente, peut on réduire l'instinct à un manque de conscience de soi quand un animal fuie pour sa survie ? Tout celà me semble ouvert. Que l'unique reliquat soit immatériel, non, ce raisonnement, cette expérience de pensée ne le permet pas. L'inconscience ne mobilise pas un esprit....pour en prendre conscience...un état immatériel. Tout ce qui n'est pas, tout ce qui n'est plus est dans cet état "de néant" recherché par l'expérience de pensée rapporté à sa connaissance du soi et de l'environnement. D'ailleurs le terme "sa propre vérité" ne signifie rien...je me doute que vous devez associer cette nature fondamentale immatérielle que vous évoquez comme étant la réalité fondamentale Mais là où je vous perds totalement, c'est qu'après avoir rejeté les méthodes scientifique pour exercer une expérience de pensée métaphysique, vous la kidnappiez pour vous en servir dans la connaissance que la science nous sert concernant la nature fondamentale de la matière a l'échelle de la mécanique quantique. Non...soit on tient une démarche métaphysique, soit on adopte la démarche scientifique Mais la science n'est pas un produit dont on se sert sur une étale de supermarché en prenant ce qui nous plait et en délaissant ce qui nous déplait Sachez quand même que "la nature ondulatoire" de la matière est une présentation utilisée, certes, mais totalement dépassée. Celà est tiré de la dualité onde corpuscule de la matière, plus exactement, une particule quantique SE MANIFESTE tantôt avec un aspect corpusculaire ponctuel tantôt avec un aspect ondulatoire Mais cette manifestation, c'est une manière de rendre compte de la nature fondamentale d'une particule avec un ... langage ... la "dualité onde corpuscule" que, précisément, la mécanique quantique a balayé Une particule quantique dans son état fondamental donc avant mesure n'est NI un corpuscule, NI une onde dans un substrat qui la porte. On parle de champ quantique pour mettre en relief la nature délocalisée dans l'espace de la particule quantique mais même cette image ne rend pas compte d'une part de sa distribution qui est particulière ni des particularités d'intrication entre particules car ces dernières n'ont alors plus d'identité propre mais forment alors un nouveau système quantique au delà des contraintes spatiales et d'ailleurs temporelles, système unifié qui, du coup, doit être considéré globalement si fait qu'il n'y a pas violation des lois de relativité dans ce lien. Cette vision alocale et atemporelle dépasse la notion de particule comme point ponctuel dans l'espace et dans le temps et dépasse la notion d'onde qui est un déplacement necessitant et l'espace et le temps. Ici...on est aux limites du langage, aux limites de la logique, aux limites de la conceptualisation. Les modèles et équations mathématiques qui rendent compte de ces relations ne parlent plus notre langue. Le sujet et l'objet forment un système unique où l'un ne peut plus être isolé de l'autre. De ce point de vue, si vous sortez de votre pure expérience de pensée logique métaphysique pour adopter des concepts scientifiques, il faut adopter une grande rigueur et une grande discipline Lesquelles vous demontreront combien nos représentations mentales sont naïves et grossières La nature avait beaucoup plus d'imagination que nous n'en aurions jamais eu dans aucun système de pensée philosophique Et sans cette rencontre par l'expérience, notre pensée est limitée, cadrée par la logique de nos expériences personnelles sensibles La mécanique quantique est une ouverture de nos esprits Malheureusement, ses principes fondamentaux, si ils peuvent être compris sans maîtriser l'ensemble de ce formalisme évidemment débouche sur de l'incompréhension totale au regard de notre conditionnement Feynman dira : personne ne comprend vraiment la mécanique quantique Il la comprenait parfaitement bien mais le viol de son cerveau ne permettait plus une communication nette de ce qu'elle signifie Autant dire que personne ne la comprend pour ne pas froisser l'incompréhension générale
  14. zenalpha

    Ô-dieu

    La réalité de départ n'a pourtant rien d'aléatoire ni d'anodin. Il faut un esprit conscient, un esprit vivant alimenté de stimuli, d'énergie et rien de la sorte ayant atteind un âge de raison pour la réflexion ne peut exister sans les conditions initiales lui ayant permis de naître et de s'épanouir, d'être instruit pour réfléchir sur sa propre condition Il faut des conditions physique, biologique, naturelles, linguistiques, sociales extrêmement précises et sans lesquelles cette expérience de pensée n'est absolument pas imaginable. Un tissu de relations sophistiquées et extrêmement particulières Le biais initial de cette pensée est d'intégrer dès le départ le ver dans le fruit en se considérerant un ego éthéré fondamental abstrait et fondamental sorti du chapeau comme si le autour de moi n'existait pas et n'existerait pas sans moi Rappelé cet état de fait, on peut en effet se demander si la mort ne serait pas équivalente pour notre propre conscience à l'avant vie, un néant conceptualisé où, faute de stimuli, d'identité et de conscience, un état de vide complet où ni l'espace ni le temps n'auraient aucune réalité donc sans existence sans conséquence sans perception pour nous. On peut...métaphysiquement Mais pourquoi la conscience nécessaire à cette appréhension du monde serait elle individuelle où ne serait elle pas ou plus ? Si ne pas avoir été ou avoir été et ne plus être représente un néant de représentation quelle qu'elle soit, la conclusion ne serait elle pas évidente dans une telle expérience de pensée ? A savoir que...seul existe la conscience pour capter sa relation dans un rapport sujet objet ou sujet sujet au monde. Et cette conscience n'est pas soi même qui, n'existant plus n'a aucune existence particulière fondamentale, pas plus qu'une pierre ou un atome... Il n'y a pas un état de néant si les horloges s'arrêtent et si l'espace disparaît Il ne peut qu'y avoir que d'autres expériences de consciences. Des rapports qui font que forcément, sur le seul plan de la conscience, ne peut qu'exister dans son expérience au monde que d'autres consciences que soi. Un erase de soi même pour une conscience en effet fondamentale si on souhaite percevoir une interaction identitaire au monde. Si je poussais une réflexion purement métaphysique voila où je serai amené Mais je préfère l'approche experimentale donc scientifique
  15. zenalpha

    pass sanitaire étendu !

    Fin de promotion du zen alpha Sur ce fil du pass sanitaire étendu, je vous proposais donc de vous étendre pour un tour de passe passe Au lieu de quoi je n'ai fait que me méprendre au risque de vous détendre Mais j'ai compris la leçon Et pour la prochaine relation sociale sans distanciation j'ajouterai au préservatif le test pcr dans le pif J'espère que vous ne m'aurez pas dans le pif après ça. J'ai du nez et je flaire ces choses la. Bisous @Morfouet bonne soirée a vous
  16. zenalpha

    pass sanitaire étendu !

    Oui mais avec moi, ce sera votre première fois. La première fois que vous rirez....pendant ! Sautez sur l'occasion je suis en promo flash pour quelques minutes encore
  17. Je viens de voir OSS 117 alerte rouge en Afrique noire Disons qu'il s'agit d'un excellent documentaire sur les relations franco africaines sous l'ère de Valery Giscard D'Estaing L'analyse politique de la France sur le continent africain est soignée et nous permet de mieux appréhender la difficulté des relations diplomatiques Néanmoins les fonctionnements des services de renseignement français sont vus comme perfectibles et la modernité de Pierre Niney se casse finalement le nez sur une tradition à la française subtile incarnée par le raffiné Jean Dujardin Je ne conseille qu'avec de solides connaissances sur les relations de la France en Afrique noire pour cerner l'immense profondeur scénaristique
  18. zenalpha

    pass sanitaire étendu !

    Il est grand temps qu'on consomme vous et moi, femme qui rit a moitié dans son lit !
  19. zenalpha

    pass sanitaire étendu !

    C'est pas mal mais Macron ne nous dit pas qu'il faut arrêter les relations sexuelles pour éviter de vivre donc de mourir. Il dit : pour éviter de mourir si vous n'avez pas le pass sanitaire, allez vous faire enc.... Et cette méthode avouons le est efficace en contraception évitant ainsi de futurs morts.
  20. zenalpha

    Ô-dieu

    Je pense plutôt que ce qui est vu comme un milieu ontologisant, c'est le vide quantique. A savoir que, de manière experimentale, il est impossible de "tout retirer" d'un espace vide, du point de vue théorique non plus en considerant le principe d'indetermination de la mécanique quantique. Et dans le même temps, le quiproquo vient du fait que le néant...n'est pas le vide. Faire le vide du point de vue physique, c'est retirer tout ce qui peut l'être dans un volume d'espace donné. On l'a vu, un espace totalement vide, ça n'existe pas et ça ne peut pas exister selon les lois physique Le néant est une notion différente puisqu'elle présuppose cette démarche, que vous proposez d'ailleurs de penser (puisque non experimentable) ce qui consiste abstraitement à TOUT retirer, y compris l'espace, y compris le temps. On a donc à faire une expérience de pensée avec toutes les limites d'une telle expérience faute de processus de vérification possible. Et cette démarche en opposition avec la méthode scientifique, qui est une approche métaphysique, va doublement entrer en opposition avec la science puisque du néant pensé, vous allez penser l'être alors que la science va experimenter ce qui existe comme les ondes, la matière, l'espace temps, les champs et même experimenter les êtres vivants au travers la médecine la biologie et une ribambelle d'autres méthodes Concernant "ce qui est" ou "ce qui est vivant", la démarche expérimentale va theoriser des manifestations concrètes et non se focaliser sur des pensées abstraites Vos expériences de pensée métaphysique vous amènent à penser que la mort, c'est de l'inconscience. De ce point de vue je n'ai pas d'objection scientifique puisque la mort...ne s'experimente pas de notre vivant... Mais si nous sommes en religion, je peux tout de même vous dire ce que j'en pense. L'idée de la vie après la mort est une idée vieille comme le monde qu'on l'appelle âme, karma, qu'on l'imagine au paradis en enfer ou en réincarnations... De mon seul point de vue, c'est dans tous les cas consolatoire pour soi même, cet ego qu'on ne veut pas quitter Mais y a t'il de l'inconscience ou une vie après la mort, je ne sais pas. Au sens du savoir dans son sens le plus noble donc après vérification expérimentale Maintenant je ne comprends pas comment vous faites sortir du mort le vivant. Est ce que vous parlez en règle générale et je le comprends alors comme "l'inconscience n'ayant pas le ressenti de son état, seule la conscience est" Ou est ce que vous me parlez d'un cycle quelconque qui préserve votre âme ou votre structure de pensée ?
  21. zenalpha

    Ô-dieu

    Pouvez-vous développer cette partie ?
  22. zenalpha

    pass sanitaire étendu !

    Le vaccin tue 100% des vaccinés mourront dans les 120 ans après la première injection selon les prévisions de Raoult
  23. zenalpha

    Ô-dieu

    il n'y a pas de concept plus fondamental pour illustrer ... notre parfaite incompréhension. Nous en sommes la preuve vivante.
  24. zenalpha

    Ô-dieu

    L'ego est perpétuellement en train de mourir et de renaître, nous ne sommes plus les mêmes depuis le démarrage de notre conversation tant par le corps que par l'esprit. Ton être selon ta définition nécessiterait un continuum et une existence autonome pour être qualifié de fondement. Tu imagines qu'en l'être humain et même... en toi ... siège ce continuum rassurant qui t'attache à une identité fondamentale, à partir de laquelle tout trouve sens depuis ta naissance jusqu'à ta mort. En quelque sorte, ton ego est ta propre définition de ton propre centre du monde, tout bougeant autour de toi mais tout étant fixé en toi, attaché, rassurant. Je comprends ton inquiétude à te débarasser de cette idée, c'est vital, intime. Mais si tu la considères à l'inverse comme un état marginal impermanent, totalement en relatin avec le monde et le reste du monde comme une dynamique ouverte, se débarasser de cette image n'est plus un déchirement du coeur de l'être, mais la simple dissipation d'une erreur sur laquelle sont bâties la plupart des religions du reste. Tout chemin de mille lieues commence par un premier pas. Ton ego... est constamment... menacé par la réalité extérieure, de la maladie, aux conflits de travail à la mort. Ton fil rouge, ton quasi doudou d'adulte, c'est ton expérience de toi. Un degré de conscience plus avancé est de s'en rendre compte, tu es doté de conscience qui se construit l'ensemble des images du monde, celle de l'ego compris. Comment une infinitésimale partie d'un monde infinitésimal pourrait être le centre du monde puisqu'il est vrai que l'univers est là pour toi, pour ta propre expérience du monde et sans cet ego illusion de continuum, tu serais "comme plongé dans la rien", "l'ego, l'être et la conscience sont tout pour toi" Apprends à te détacher peut être. De tes vérités, de ton "être", de ta manière unilatérale de voir le monde. Si tu n'as plus peur de ce détachement, la question fondamentale n'est pas "être ou ne pas être" puisque dans tous les cas, la question de la relation est plus fondamentale Je te place un texte du lama Denys qui n'est ni la vérité ni le vrai mais qui est source d'inspirations à prendre et à laisser. Je te conseille de prendre un peu Les cinq constituants de l'ego Le Bouddha a enseigné la formation de l'ego à partir de ses cinq constituants, " skandha ", en sanscrit. On peut les expliquer comme cinq étapes. Avant la naissance de l'ego, au départ, l'esprit dans l'instant premier est le terrain fondamental de l'énergie pure non dualiste, sans connaisseur ni connu, ouvert et dégagé, sans centre, ni périphérie, comme l'espace. La naissance de l'illusion est d'abord celle d'une différenciation : l'espace commence à être perçu, à exister comme quelque chose pour une observation qui le perçoit, une distinction naît. C'est le début de la scission sujet-objet, la naissance de la dualité. En fait, cette différenciation initiale peut se constituer par rapport à n'importe quel point de référence dans les domaines des différentes facultés sensorielles : visuelle, auditive, olfactive, gustative, tactile ou mentale. Cette référence première est appelée " forme ". C'est le premier stade de l'ego : le skandha de la forme. Une forme visuelle est n'importe quelle représentation du domaine visuel, par exemple, l'espace indéfini mais distinct, ou un morceau d'espace délimité, un contour, une référence visible quelle qu'elle soit. Mais à ce niveau initial, c'est une expérience nue, dépouillée de concept et de tout jugement. C'est une vision toute simple et silencieuse. Une forme sonore serait une vibration avant que cette résonance ne soit reconnue, avant même que l'on ait pris par rapport à elle une position qualifiée, et avant qu'elle ait été nommée, identifiée, et qu'elle n'ait pris un sens particulier. La seconde étape est ce qu'on appelle skandha de la sensation. Il s'agit d'une prise de position par rapport à l'expérience initiale de forme. Celle-ci est maintenant sentie comme positive, négative ou neutre. Il y a ainsi des sensations agréables, désagréables ou indifférentes. LA sensation est simplement ce positionnement, cette première impression. La troisième étape fait intervenir l'identification. C'est-à-dire que la forme qui a été sentie est maintenant reconnue et un nom lui est donné : il y a " nomination " ou conceptualisation. La sensation prend alors un sens. C'est le skandha de la perception. A la quatrième étape, il y a une réaction devant cet objet identifié, devenu porteur d'un sens qui est suggère une action ou une réaction. Il s'instaure une relation avec cette forme sentie et identifiée. Cette relation est conditionnée par différentes tendances ou " facteurs mentaux " latents qui sont les éléments animant volonté et impulsions. C'est le skandha des formations mentales ou de la motivation. Il y a ainsi une situation en laquelle une forme a été sentie, nommée, a acquis un sens, par rapport auquel prend place une réaction ou une action. L'observateur, le témoin de la situation qui s'est ainsi mise en place, s'est développé et structuré dans les quatre premiers skandhas. Sa fixation sur cette situation comme étant " son " expérience, finit de le solidifier. Il s'approprie complètement l'expérience, il en résulte un état de conscience pleinement constitué. L'ego est, et vit, dans le monde particulier qui s'est ainsi constitué et qui est devenu un état de conscience complètement organisé. C'est la cinquième étape, le skandha de la conscience. Cette structuration de l'ego par la formation des cinq skandhas : forme, sensation, perception, motivation, et conscience, se répète d'instant de conscience en instant de conscience. Chacun de ces instants subsiste très brièvement puis disparaît, suivi par l'apparition d'un autre instant de conscience. A la fin de chacun de ces instants, il y a une sorte de dissolution ou de mort de l'ego et de ses constituants, et au début de chacun d'eux il y a agrégation, naissance de ceux-ci. Il y a ainsi en permanence agrégation et désagrégation de l'ego ; structuration, déstructuration et restructuration. Le phénomène se reproduit sans cesse. C'est ainsi que fonctionne l'ego. Et c'est ce processus de naissance et de mort qui constitue chaque instant de notre vie.
  25. zenalpha

    Ô-dieu

    C'est faux, je vais vous définir un joli animal dans ce texte en éradiquant être, exister, et même la lettre e en général @JOSEPH DELETRE n'arrivait pas à dormir. Il alluma. Son Jaz marquait minuit vingt. Il poussa un profond soupir, s'assit dans son lit, s'appuyant sur son polochon. Il prit un roman, il l'ouvrit, il lut; mais il n'y saisissait qu'un imbroglio confus, il butait à tout instant sur un mot dont il ignorait la signification. Il abandonna son roman sur son lit. Il alla à son lavabo; il mouilla un gant qu'il passa sur son front, sur son cou. Son pouls battait trop fort. Il avait chaud. Il ouvrit son vasistas, scruta la nuit. Il faisait doux. Un bruit indistinct montait du faubourg. Un carillon, plus lourd qu'un glas, plus sourd qu'un tocsin, plus profond qu'un bourdon, non loin, sonna trois coups. Du canal Saint-Martin, un clapotis plaintif signalait un chaland qui passait. Sur l'abattant du vasistas, un animal au thorax indigo, à l'aiguillon safran, ni un cafard, ni un charançon, mais plutôt un artison, s'avançait, traînant un brin d'alfa. Il s'approcha, voulant l'aplatir d'un coup vif, mais l'animal prit son vol, disparaissant dans la nuit avant qu'il ait pu l'assaillir. La Disparition.... substrat d'un mot disparu à jamais, jamais apparu sauf dans l'illusion du jargon
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