Eevy Black Cat

Keira Knightley ?

Houlà oui en effet, catastrophe. Je te souhaite du courage, c'est très difficile de faire accepter son homosexualité à sa famille quand elle ne veut pas comprendre. Sans vouloir être pessimiste, je doute que ton frère accepte un jour le fait que tu sois gay. Parfois la haine et le mépris dépassent l'amour, même fraternel. Laisse lui le temps de digérer la nouvelle, quand il sera prêt à te parler tu pourra lui expliquer que tu es comme ça, que tu as toujours été comme ça et que cela ne change rien à vos liens familiaux. Avec un peu de chance il finira par faire abstraction de ton orientation sexuelle. Tu restes son frère malgré tout. Entoure toi des gens qui t'acceptent tel que tu es, cela t'aidera à surmonter ce cap. J'espère que tout va s'arranger pour toi

http://www.youtube.com/watch?v=EDEjQp6q_pQ Happiness, Todd Solondz.

Tu sais c'est pas évident les liens prof/élèves, on peut pas toujours faire abstraction de ses sentiments et quand on peut pas piffer un élève (même sans raison) c'est difficile de pas le faire sentir. Ça n'excuse rien, bien sûr, mais je pense qu'il serait positif d'aller parler directement avec ta prof de français, même si tu le sens pas. Pour lui dire que ses remarques te dérangent, que tu ne te sens pas encouragée et que cette tension pourrait avoir des répercussion sur ton travail. Sans agressivité bien sur, juste lui faire sentir qu'il y a un problème et que tu as envie de le régler. Si elle n'est pas complètement fermée elle appréciera cette initiative et s'adoucira. Et si c'est pas le cas, tu aura au moins la certitude que tu as fait tout ce qui était en ton pouvoir et qu'elle fait preuve de mauvaise volonté.

Ce n'est pas aussi simple, mais si tu as tant de problèmes peut-être qu'il y a une raison sous-jacente qui vient de ton rapport à l'autre, de l'image que tu as de toi-même, parles-en avec ta famille ou avec un psy, quelqu'un en qui tu peux avoir confiance. Néanmoins si tu subis effectivement des remarques racistes de la part de ta prof, tu peux le lui faire remarquer, en parler avec elle. Tu as le droit de te défendre, même si c'est ta prof.

Je trouve bien plus agressif d'insulter d'irresponsables toutes les personnes tatouées en ne se basant que sur des préjugés. Merci pour la gratuité des insultes. Les raisons que tu cites font effectivement parties des raisons pour lesquelles on peut se faire tatouer, il en existe des dizaines voire des centaines d'autres... Et puis après ? Je ne comprend pas. As-tu un problème avec l'art du tatouage, avec les gens qui le pratiquent ou avec les raisons qui les amènent à se faire tatouer ? On dirait que tu rejettes tout en bloc sans essayer de faire preuve de compréhension ni d'objectivité. Honnêtement ça sonne comme "Salut, vous les tatoués êtes bêtes, vos tatouages sont tous laids et j'invoque le "c'est mon avis respectez-le" comme ça vous pouvez rien dire". Ce n'est pas comme ça qu'on lance une discussion ou un débat. Une discussion par définition appelle à ce que plusieurs idées se rencontrent, à un partage. Ce topic est juste une polémique destinée à faire râler ceux qui se sentent insultés (à raison). Tu le dis toi-même : Quel est l'intérêt ? :) Renseigne-toi, l'Histoire du tatouage remonte bien avant les années 2000, la pratique du tattoo telle qu'on la connaît aujourd'hui est inscrite dans une "évolution" ; qui sait ce que sera le tatouage dans dix, cinquante ou cent ans ? Et pourquoi pas ? On ne se tatoue pas forcément pour se marginaliser, au contraire, l'origine du tatouage est tribale et il me semble qu'il exprime encore aujourd'hui une appartenance à un groupe, une idéologie... Même un papillon sur l'épaule ou un faux tribal de kéké signifie quelque chose malgré lui. Le tatouage est très intéressant dans le sens où il exprime énormément sur les gens et sur la société en général. C'est à mon sens tout l'intérêt du tatouage. Le dessin vit et meurt avec son support. Le corps humain en lui même devient un pâle spectacle à offrir, tatoué ou non. Ce n'est pas très différent de n'importe quelle pratique artistique, on ne peut pas conserver éternellement la trace de notre passage sur terre (regarde la Joconde qui est en état de décomposition avancé depuis des années), ça fait sens à mes yeux. Bref, pour résumer je suis totalement en désaccord avec le fait de rejeter en bloc une pratique artistique sous prétexte que... Que quoi en fait ? Les tatoueurs sont des artistes qui ont choisi ce mode d'expression, au même titre qu'un peintre, un sculpteur... Et ce n'est pas par hasard. Le tatouage permet d'exprimer des choses de par sa nature. Il ne s'agit pas d'aimer le sang et la mutilation parce que c'est trop hardcore et trop cool. Il s'agit d'un parti pris. Se tatouer ou se faire tatouer permet de changer son image corporelle. De mieux s'aimer, de se souvenir, de communiquer quelque chose... On se décore de manière indélébile, le dessin devient un petit bout de nous-même, on aime le dessin alors on s'aime un peu plus. Bien sûr après on aime ou on n'aime pas. Je peux tout à fait concevoir que tu ne te sentes pas concerné par cette pratique, qu'elle te dégoûte ou qu'elle te choque, que sais-je ; mais fais l'effort de me rendre la pareille, en acceptant qu'on puisse ne pas penser comme toi, être tatoué/tatoueur ET être quelqu'un de responsable, adulte et intelligent. De plus je vois tout de suite que tu n'es pas du tout renseigné sur le tatouage, avant d'afficher un avis aussi arrêté, tu pourrais peut être faire quelques recherches sur le sujet, saisir l'occasion de discuter avec des tatoueurs... Si tu as des questions sur le sujet, je veux bien y répondre.

Sans compter qu'il y a quand même une belle marge de fiel entre offrir le thé à des manifestants anti-islam quand on est musulman ; et offrir du porc et de l'alcool à des musulmans lors d'une manif anti-islam... Bref, je salue ce beau geste, une info qui donne le sourire :)

Je ne vois pas en quoi concevoir les différences empêchent d'octroyer les mêmes droits aux homos concernant le mariage. Ça c'est béton. Et quelle est cette réalité ? Que les homosexuels sont pédés ? A la bonne heure. Refuser le mariage aux couples homosexuels c'est dire a toutes ces personnes que si elles tiennent vraiment a se marier, ça ne pourra pas être avec une personne qu'ils aiment. Ce n'est pas décider à la place, mais c'est leur laisser le choix entre un mariage sans amour ou pas de mariage du tout. Par conséquent il n'y a plus de choix.

On en lit de belles, par ici. Le sens premier du terme est certes synonyme de "distinction", mais la distinction entre un père et une mère n'a rien de comparable avec la discrimination faite aux homosexuels. Décider qu'un homme ne peut se marier avec un autre homme parce qu'il n'est pas une femme, c'est la même chose que refuser un travail, un droit, pour des raisons sexistes. Distinguer les genres c'est une chose, décider de leur rôle en est une autre.

Les études faites sur ce cas varient étrangement d'un site à l'autre. Un site catholique présente une étude qui dénigre l'homoparentalité, est-ce vraiment étonnant ? Je trouve ça assez moche de voir des études soit disant scientifiques être mises à profit à des fins politiques, c'est d'autant plus difficile de prendre tout ça au sérieux.

Les études faites sur ce cas varient étrangement d'un site à l'autre. Un site catholique présente une étude qui dénigre l'homoparentalité, est-ce vraiment étonnant ? Je trouve ça assez moche de voir des études soit disant scientifiques être mises à profit à des fins politiques, c'est d'autant plus difficile de prendre tout ça au sérieux.

Pourquoi se chercher un model de substitution ? Vous diriez la même chose d'un enfant qui n'a qu'un parent ? On devrait le lui retirer en cas de décès du conjoint, de séparation, d'abandon par le père ou la mère ? Chaque cas est différent et généraliser en disant que tous les enfants d'homos auront des problèmes est injuste. Tout comme affirmer qu'un modèle familial "normal" aide systématiquement au bonheur et à l'équilibre d'un enfant. Vous polissez le chinois des idées conservatrices au sujet des "bonnes moeurs".

:D Ouille, que j'ai mal. Désolée mais là c'est le roquefort qui dit au camembert qu'il pue, Tu affirmes sans preuve que les enfants seront fortement perturbés par le fait d'avoir deux parents du même sexe. Je me souviens même que tu as avancé comme argument l'attitude des autres enfants à leur égard. Et c'est là dessus que je m'exprime, le jour où on cessera de considérer ces enfants comme anormaux, ils se sentiront normaux. Le modèle "un père une mère" n'est pas ancré dans les gênes de chaque enfant à la naissance. Il trouvera les choses normales jusqu'à ce qu'on lui fasse sentir qu'elle ne le sont pas. C'est logique. La vie c'est quelque chose de pas facile, je ne vous apprend rien et la famille encore plus. On ne peut pas tous vivre dans un même model familial. A ton avis, comment vit un enfant qui n'a qu'une mère ? Ou qu'un père ? Un enfant qui a des frères et soeurs qui n'ont pas le même papa ou la même maman que lui ? Bah il le vit, point. C'est pas parce que c'est "anormal" qu'il ne peut pas en tirer un grand bonheur. C'est le même cas de figure pour les familles homoparentales. Et je vois pas en quoi un "spécialiste" qui fait des recherches dans un but politique afin de prouver que l'adoption par les homos c'est mal devrait être prit au sérieux. Idem pour tout ceux qui ont obtenus des résultats contraires. Chaque enfant est différent, certains le vivront mal, d'autres non, mais je pense bien que ce qui peut les déranger c'est "je suis pas comme tous mes copains" comme beaucoup de cas où les enfants sont rejetés car jugés "anormaux" par des petits cons à l'école qui aiment asseoir leur pouvoir sur les autres. "Bouh, t'as pas de parents, t'es adopté, t'es noir, t'es juif, t'as des baskets a 5euros, t'es roux, t'es pauvre..." Franchement que celui qui n'a pas subit de discrimination à l'école me jette la première bière (ça fait moins mal) et pour lutter contre la discrimination, éliminer les différences n'est pas la solution...

Bientôt on demandera aux enfants de choisir leurs parents après leur naissance... Quand on naît, on n'a pas de conscience sociale d'idée de "la normalité". On se contente d'avoir un ou deux parents qui prennent soin de nous et qui nous donnent de l'amour. Si malaise il peut y avoir chez les enfants adoptés par des couples homos, c'est la société qui le créé, en n'acceptant pas la possibilité d'une telle famille, en les stigmatisant. C'est cette attitude qui doit changer. Légalisons l'adoption pour les couples homos et ne traitons pas leurs enfants comme des bêtes de foire et vous verrez que le monde ne s'écroulera pas sur lui-même et que les dits enfants vivront comme tous les autres, en faisant comme ils peuvent.

Et doooonc, les perturbateurs et les branleurs ce sont ceux qui portent le voile et la kippa. Non, c'est bon, je crois qu'on a fait le tour de cette réflexion.

Ce n'est pas l'argent qui lui a permis de frapper, tout comme ce ne sont pas les allocations qui permettent d'éduquer un enfant. "Mal élever" son enfant, c'est possible avec ou sans allocations. En revanche, le nourrir... Et dans le cas de figure que tu présentes, ne pas redonner de l'argent a un mendiant qui nous a violenté, c'est un choix issu de l'émotionnel et l'émotionnel n'a pas sa place dans la décision de cette loi.

Je ne vois pas en quoi, magiquement, de l'argent (octroyé par les allocs ou autres) va régler les problèmes de violence des enfants. Tu penses que les enfants violents le sont à cause de l'utilisation que font les parents de leurs allocs ? Je ne vois pas le rapport entre les allocs et la violence à l'école c'est pourquoi cette loi me parait aussi louche qu'injuste.

Tu suggères qu'on sucre les allocs pour cause de tristesse ?

Quand on était petits avec mon frère on pouvait avoir de la nourriture, livres, vêtements, etc tout ça à bas prix à "amitié-partage". L'argent des allocations a surtout servi a financer nos activités extra-scolaires respectives. Voilà pourquoi c'est de l'argent dont on a besoin. Pas seulement pour survivre, aussi pour vivre. Et merci pour le cliché chômeur = alcoolique de toute façon j'imagine que c'était gratuit

C'est difficile d'être à la fois dans la tête des parents, celle de l'enfant, si on compte en plus de ça les difficultés financière, les méthodes d'éducation des parents (qui diffèrent parfois complètement d'une famille à l'autre) et autres soucis, décider d'une loi aussi dure et autant axée sur le punitif je trouve ça un peu facile. Donc je suis contre En revanche il existe des parents qui ne font rien voire encouragent leurs gamins à la violence, il est clair que la justice doit intervenir surtout s'il y a eu agression. Mais pas de cette façon. Du moins je pense qu'elle est très mauvaise. Il est évident qu'il faut réagir face aux violences sur les enseignants mais je trouve la réaction de ce député tout aussi violente que les faits eux-mêmes.

Il y a une différence entre couper les allocs à un parent violent et les couper a un parent d'enfant violent. De plus, dans le premier cas cité dans l'article l'étudiant qui a agressé son professeur était majeur, quant au second, il est complètement différent, il s'agit d'une mère qui a pété les plombs. Cette proposition de loi se veut justifiée par ces faits divers alors que visiblement elle est née d'une émotion forte. Je peux le comprendre, ce qui se passe est grave mais il serait encore plus grave d'enfoncer des familles en difficulté au lieu d'essayer de les aider Tout à fait d'accord. Et ce que je trouve honteux c'est qu'on pense en premier lieu à sucrer les allocs au lieu d'essayer de mettre en place une meilleure communication entre les organismes d'aide et les familles en difficulté. On préfère la répression à la prévention. Dans le cas de parents violents, il est tout a fait possible de faire appel à une assistance sociale qui se chargera du bien être de l'enfant. Si on se contente de supprimer les allocations familiales, tu penses vraiment que ça va régler le problème de violence ? Crois-moi, un mineur violent de, disons 13 ou 14 ans, il s'en fout complètement des allocs, c'est à peine s'il sait ce que c'est. Priver la famille de cet argent non seulement ne règlera pas le problème de comportement de l'enfant (et pourrait même l'aggraver) mais génèrera en plus des conflits familiaux et une situation plus que précaire au sein de la famille.

Donc un parent paye les conneries de son enfant ? Ça arrive des parents dépassés par le comportement de leurs gamins. La justice punit également les mineurs en cas de violence, et les parents sont déjà tenus responsables par la loi des crimes de leurs enfants. En plus de ça on leur retirerait ce qui leur permet de vivre décemment ? En quoi c'est juste ?

C'est cool, comme ça en plus d'avoir des difficultés à élever un enfant violent, les parents auront moins d'argent pour le nourrir.