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Hussard Noir

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Tout ce qui a été posté par Hussard Noir

  1. L'extinction des dinosaures, ce n'était pas une météorite, c'était Moriarty.
  2. J'ai un certain respect pour le général de Gaulle contrairement à d'autres.
  3. Vous radotez, et on ne sait toujours pas quel est le rapport avec les prénoms de la population française. Qu'il y ait des épices dans notre cuisine n'enlève en rien que nous sommes "avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne."
  4. C'est faux, la loi qui pénalisait la zoophilie a été supprimée grâce à la pression soixante-huitarde, c'était un acquis sociétal. En 1969, la zoophilie est même dépénalisée, «à condition qu’aucune souffrance ne soit imposée aux animaux». Un article du code civil, qui punissait toute personne se livrant à des actes à caractère sexuel avec des animaux, est alors purement et simplement supprimé. Ce n'est pas moi qui le dit, c'est Libération. http://next.liberation.fr/sexe/2012/12/03/face-a-l-interdiction-de-la-zoophilie-kiok-defend-ses-amours-chiennes_864866
  5. Jusqu'ici en Allemagne et depuis le mouvement de 1968, la zoophilie était considérée comme un acquis sociétal. C'est dire à quel point le "progressisme" est aveugle, léger et versatile.
  6. Pourquoi parait-il dans la Constitution ? Pour dire que les citoyens sont égaux sans distinction de race. Quelle définition la Constitution donne-t-elle au mot race ? Aucune, ce qui lui permet d'être d’actualité quelle que soit la définition que l'époque donne au mot. Les anglo-saxons parlent toujours de races et recensent la population selon la race, mais sa définition n'est que sociologique. Le mot race existe depuis des millénaires et porte de multiples définitions à travers le temps, en France nous sommes obsédés par sa définition nazie, c'est une obsession franco-française ridicule. Dictionnaire de l'Académie française : RACE. n. f. Lignée, ensemble des ascendants et des descendants d'une même famille. Il est d'une bonne race, de bonne race, d'une race illustre, ancienne. Il sort, il vient d'une noble race. Il est de race royale. Les rois de la première, de la seconde, de la troisième race. La race de saint Louis. C'est une race éteinte. Dieu promit à Abraham de multiplier sa race à l'infini. RACE se dit aussi d'un Groupe d'individus qui se distingue d'autres groupes par un ensemble de caractères biologiques et psychologiques dont on attribue la constance, non pas à l'action du milieu, mais à une lointaine hérédité. La race caucasienne. La race mongole. La race juive. Une race pure. Une race métissée. Il se dit également d'une Variété constante dans l'espèce humaine. La race blanche. La race noire. La race jaune. La race mortelle, la race humaine, Les hommes en général. Poétiquement, La race future, les races futures, les races à venir, Les hommes à naître. RACE se dit aussi d'une Classe d'hommes exerçant la même profession, ou ayant des inclinations, des habitudes qui leur sont communes; en ce sens, il se prend toujours en mauvaise part. Les usuriers sont une race maudite. La race des pédants est insupportable. Race de vipères, Expression employée dans l'Écriture pour désigner les Pharisiens et qu'on applique aujourd'hui à des Catégories de personnes haïssables. Ce n'est pas parce-que la définition raciste des races (leur hiérarchie biologique et leur pureté) n'est plus scientifiquement pertinente, que le mot race n'a plus lieu d'être. Vous confondez un mot et son contenu. La race existait avant et elle exitera après le nazisme, quelle qu'en soit la définition qu'on lui accorde. Pas plus que le terroriste franco-algérien et le terroriste franco-français, dont l'un risque à l'heure actuelle la déchéance de nationalité et l'autre non (puisque ça le rendrait apatride). C'est le même principe, qui n'est pas anticonstitutionnel, que Sarkozy voulait élargir à certains crimes autres que le terrorisme. Cependant je vous accorde que tout ceci n'était que du vent médiatique pour appâter l'électorat frontiste. Le racisme anti-blanc répond à un phénomène particulier, tout comme l'antisémitisme, tout comme le racisme anti-arabe, etc... Il y a plusieurs formes de racisme ou de xénophobie, que ça vous plaise ou non. A plus forte raison dans une société multi-ethnique, le racisme est au pluriel. « J’adhérerai à SOS-racisme quand ils mettront un S à racisme. » Desproges Non. LE mot race dans la costitution sert à nous protéger de lois racistes. Contre le racisme ordinaire, c'est une simple loi qui nous protège. Pinaillage grotesque de vocabulaire. Je suis cependant satisfait de vous voir reconnaitre que le mot race dans la Constitution a une utilité : "LE mot race dans la constitution sert à nous protéger des lois racistes". Seriez-vous donc raciste pour réclamer sa suppression ? J'ai démontré que cette affirmation n'était pas entièrement exact, notamment avec le témoignage de Omar Djellil duquel vous n'avez rien su répondre. Tous les citoyens sont égaux serait donc une phrase raciste, ou permettant le racisme ? Explique nous ça, Einstein. Si vous concluez dans mes propos que "tous les citoyens sont égaux" est une phrase raciste, votre logique est pour le moins absurde. Du reste, quand on connait l'histoire et les hommes, on peut croire modestement qu'il n'est pas inutile de prendre la précaution qu'avait prise de Gaulle et les rédacteurs de la Constitution, comme une précaution supplémentaire, d'écrire noir sur blanc que les citoyens sont égaux en droit sans distinction de religion, de race et d’origine. Ce devait être trop dur à comprendre pour le général de Gaulle et tellement facile à comprendre pour Wipe.
  7. Certains d'entre vous, ignorants que c'était le cas il n'y a pas si longtemps, jugeaient irréaliste et impossible une régulation des prénoms par la loi, et allaient pour les plus atteints jusqu'à prétendre que le prénom français n'existait pas et était indéfinissable... Vous êtes en règle, circulez.
  8. Le même fait divers et la même analyse par le Daily Mail, deuxième plus grand journal britannique après The Sun : http://www.dailymail...lied-white.html Pas crédible non plus pour nos négationnistes de gauche j'imagine...
  9. Et les couards nient les faits. Démontrez avec une source contradictoire plus crédible que ce fait divers est mensonger ou allez vous coucher en diffamation inepte. Suivant.
  10. Et alors ? Je ne limite rien j'évoque les racines principales, de même que de Gaulle quand il dit "Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne." Mais sans doute manquait-il lui aussi de "maturité et d'honnêteté"... Ne pas se soumettre au modèle libéral anglo-saxon n'est une erreur que pour les parjures. Terminé. Suivant. Je ne vous en demande pas plus, vos limites argumentatives sont atteintes.
  11. Et si je sors un article de presse disant le contraire ca fait quoi ? des chocapics ? Ça fait un débat argumenté, je vous recommande d'essayer un jour.
  12. Les grands démocrates se révèlent... Rien sur la suppression du SMIC, merci de confirmer que vous êtes un menteur. La présidente du Front national, Marine Le Pen, a dénoncé lundi un "mauvais coup porté aux travailleurs français" avec la hausse de 3 centimes de l'heure du Smic prévue au 1er janvier, y voyant "un choc de précarité". "La quasi stagnation du Smic est une incohérence de plus au moment où le gouvernement annonce une légère revalorisation du RSA. Si le RSA augmente, alors le Smic aussi doit augmenter, parce que le travail doit payer", déclare Marine Le Pen dans un communiqué. "Le gouvernement socialiste condamne les Français à la baisse du pouvoir d'achat, à la précarisation des salariés, des petits fonctionnaires et des retraités. Ce choc de précarité n'est pourtant pas une fatalité", estime Marine Le Pen. http://lci.tf1.fr/ec...es-7731809.html Mince alors, non seulement Marine le Pen ne veut pas la suppression du SMIC, mais elle veut exactement le contraire : l’augmenter. Et le Transporteur de calomnie retombe sur son cul.
  13. Extrapolation quand tu nous tiens... Bah voyons. Quand il n'a rien à dire sur le fond il attaque sur la forme, comme à son habitude. Le Sun est juste le journal le plus vendu au monde, mais qu'importe puisque Dinosaure marin a décrété qu'il n'était pas crédible... La vie de cet enfant de 9 ans est-elle un prix modique qui soulage votre mauvaise conscience d'européen colonialiste ?
  14. Réduire la Charia au talion démontre qu'en effet, c'est très simple de chier par la bouche. Je ne vous fais pas la bise. Des gens comme nietzsche.junior qui pensent que l'erreur judiciaire d'une infime minorité suffit à conclure que le châtiment doit disparaitre pour tous les criminels. La compassion et le pardon propre à l'Europe face à l'islam africain ? Je crois que vous me confondez avec quelqu'un d'autre, je n'ai de cesse au contraire de m'irriter du laxisme qui empoisonne notre société.
  15. Aucun rapport avec la question que j'ai posé. La réponse t'embarrase ? Tu ne sais pas si tu doit passer pour un idiot, ou passer pour un autre genre d'idiot ? T'es en train de nous dire que pour que tu comprennes que les roux ont les mêmes droits que les autres, il faudrait que la constitution précise "sans distinction de couleur de cheveux" ? Contrairement à l'origine, la race et la religion dont l'évocation est légitimée par l'expérience, il n'y a jamais eu de guerre ni d'apartheid motivés par la seule raison capillaire. Je crois que c'est assez simple à comprendre, même pour vous. Sarkozy voulait élargir le cadre de la déchéance de nationalité à certains crimes. Actuellement entre deux "citoyens français", un terroriste corse ne peut être déchu de sa nationalité française, tandis qu'un terroriste franco-algérien peut l'être. Quelle horrible discrimination ! Le principe de la déchéance de nationalité existe déjà et n'est donc pas anticonstitutionnel, n'en déplaise à Wipe. A comprendre : arrête d'évoquer l'existence du racisme anti-blanc et tu verras que plus aucun bien-pensant ne te traitera de raciste... Du reste, c'est le racisme qui juge les gens en fonction de leur couleur de peau, et non la dénonciation de ce racisme. Que le simple fait d'évoquer l'existence d'un racisme antiblanc fasse de soi un raciste antibasané, relève du terrorisme intellectuel le plus grossier ; en cela vous rendez impossible la dénonciation du racisme antiblanc et vous vous en rendez complice. Disparaitre le mot de la Constitution, Einstein... Hollande n'a Dieu merci pas le pouvoir de supprimer les mots du dictionnaire, vous êtes le seul par ailleurs à avoir parlé du dictionnaire. Vous confondez manifestement la suppression du mot race et la suppression du racisme ; le mot race dans la Constitution sert à nous défendre du racisme, et je vous regarde railleur vous tirer une balle dans le pied en supprimant ce que la Constitution avait d'antiraciste, à savoir que "tous les citoyens sont égaux sans distinction de race". Quelle que soit la définition que l'époque donne au mot race, la race existera de fait autant que le racisme existe ; maintenant si vous considérez que le racisme n'existe plus au point qu'il faille assouplir la Constitution, foncez.
  16. Jean-François Bernardin démissionne du Conseil économique, social et environnemental Jean-François Bernardin a pris cette décision après que le Cese a jugé irrecevable sur le fond la pétition des opposants au « mariage pour tous ». Il dénonce « un choix purement politique » du Conseil, alors qu’il s’agit de la « première pétition qui rassemble autant de monde dans notre pays ». L’ancien patron de l’Assemblée des chambres françaises de commerce et d’industrie (ACFCI), Jean-François Bernardin, a annoncé, mardi 26 février, sa démission du Conseil économique, social et environnemental (Cese), après la décision de ce dernier de rendre irrecevable sur le fond la pétition des opposants au « mariage pour tous ». « On se ridiculise et on insulte les 700 000 pétitionnaires que l’on balaie d’un trait de plume, alors que l’on aurait pu au moins recevoir les représentants en séance plénière. Au-delà des opinions de chacun, il s’agit de la première pétition qui rassemble autant de monde dans notre pays », affirme à La Croix Jean-François Bernardin. Il dénonce un « choix purement politique » et la propension « au politiquement correct » des membres de cette institution, « tellement contents d’être là au point de refuser de prendre des décisions qui peuvent déplaire ».
  17. Hollande est plus impopulaire que ne l'était Sarkozy à la même période de son mandat. L'addition se paiera en 2017.
  18. 66% des Français réclamaient un référendum sur la question, le reste on s'en fout.
  19. Les mêmes qui critiquaient l'interdiction de la burqa parce-que ça ne concernait prétendument qu'une poignée de personnes, remuent ciel et terre avec le mariage gay et l'adoption homoparentale pour 0,6% des couples français...
  20. 60 millions de Français se sont exprimés pour le mariage gay ? J'ai raté un référendum, je devais être distrait... Au fait, un récent sondage donne 51% de Français convaincus que Marine le Pen sera au second tour de la présidentielle en 2017. Alors, inutile de jouer le premier tour n'est-ce pas, ce serait s'encombrer d'une affaire pliée par les sondages, passons directement au second tour avec Marine le Pen...
  21. Grande Bretagne : Aaron, 9 ans, s'est suicidé. Published: 24th February 2013 Victime de racisme antiblanc dans son école où 75% des élèves sont issus de "minorités ethniques", Aaron a été retrouvé pendu dans sa chambre. Le jeune garçon avait rejoint l’école primaire Erdington Hall de Birmingham en septembre dernier, après que sa famille ait emménagé dans le coin. Sa mère, Kelly-Marie, et Paul son beau-père avaient remarqué un changement d’attitude dès son premier jour de classe. Ils racontent : « Il devenait agressif avec ses frères et sœurs, ce qui ne lui ressemblait pas du tout. Enfin il nous avait dit que des camarades indo-pakistanais le maltraitaient à l’école et qu’il devait se cacher, se tenir éloigné d’eux dans la cours de récréation à l’heure du midi. Il m’avait raconté qu’un jour un des gosses lui avait dit : "Mon père dit que tous les blancs doivent mourir !" (...) Il a même été menacé avec un couteau en plastique par un élève. Quand Aaron lui a tenu tête, l’agresseur a répondu : "la prochaine fois ce sera un vrai." (...) J’ai rencontré la directrice plusieurs fois, mais elle me répondait : "Personne ne vous a obligé à inscrire votre enfant ici, vous avez fait ce choix." » La Police de West Midlands enquête sur les causes de la mort de Aaron. Source : The Sun. http://www.thesun.co...ays-family.html
  22. Triste gauchiste, vous partagez avec les islamistes la haine du dessin humoristique quand il tourne en dérision votre clan. Une guerre ne sert jamais à protéger les gentils des méchants, elle sert les intérêts de celui qui la déclare. Le reste n'est que fable pour enfant.
  23. Aujourd'hui elle a honte de ce qu'elle a fait hier, demain elle aura honte de ce qu'elle fait aujourd'hui ; ce sont là les vicissitudes du "progressisme". Cela s'appelle étayer ses affirmations, justifier ses arguments par des faits ; chose qui vous est inconnue.
  24. Un peu de culture ne fera pas de mal à certains : La France a pendant longtemps restreint la liberté de choix des prénoms. Pendant la Révolution, les lois françaises limitaient l’éventail de choix d’un prénom à ceux du calendrier et d’une liste établie. (Loi du 11 germinal, an XI). Les prénoms qui n’étaient pas suffisamment conformistes n’avaient aucune chance d’être acceptés par les fonctionnaires d’Etat. Loi du 11 germinal an XI: "... les noms en usage dans les différents calendriers, et ceux des personnages connus dans l'histoire ancienne pourront seuls être reçus, comme prénoms, sur les registres de l’état civil destinés à constater la naissance des enfants; et il est interdit aux officiers publics d'en admettre aucun autre dans leurs actes.” L’Instruction ministérielle du 12 avril 1966 marque la première étape vers l’ouverture. Cette dernière admit en effet que “la force de la coutume, en la matière, a sensiblement élargi les limites initialement assignées à la recevabilité des prénoms par les prescriptions littérales de la loi du 11 germinal an XI.” L’Instruction ministérielle du 12 avril 1966 élargit donc le répertoire de prénoms recevables à des prénoms tirés de la mythologie, prénoms régionnaux, prénoms composés, tolérant même dans certains cas les diminutifs et les variations. L’arrêté de la Cour de Cassation du 10 juin 1981 emboîte le pas à l’Instruction ministérielle du 12 avril 1966 en décidant que “les parents peuvent notamment choisir comme prénoms, sous la réserve générale que dans l’intérêt de l’enfant ils ne soient jugés ridicules, les noms en usage dans les différents calendriers et, alors qu’il n’existe aucune liste officielle des prénoms autorisés, il n’y a pas lieu d’exiger que le calendrier invoqué émane d’une autorité officielle.” Mais c’est depuis 1993, avec l’Article 57 du Code civil, (Titre II, chapitre), que la loi a le plus considérablement assoupli sa législation, garantissant virtuellement l’acceptabilité de n’importe quel prénom. Article 57: “L'acte de naissance énoncera le jour, l'heure et le lieu de la naissance, le sexe de l'enfant et les prénoms qui lui seront donnés, les prénoms, noms, âges, professions et domiciles des père et mère et, s'il y a lieu, ceux du déclarant. [...] Tout prénom inscrit dans l'acte de naissance peut être choisi comme prénom usuel. Lorsque ces prénoms ou l'un d'eux, seul ou associé aux autres prénoms ou au nom, lui paraissent contraires à l'intérêt de l'enfant ou au droit des tiers à voir protéger leur patronyme, l'officier de l'état civil en avise sans délai le procureur de la République. Celui-ci peut saisir le juge aux affaires familiales. Si le juge estime que le prénom n'est pas conforme à l'intérêt de l'enfant ou méconnaît le droit des tiers à voir protéger leur patronyme, il en ordonne la suppression sur les registres de l'état civil. Il attribue, le cas échéant, à l'enfant un autre prénom qu'il détermine lui-même à défaut par les parents d'un nouveau choix qui soit conforme aux intérêts susvisés. Mention de la décision est portée en marge des actes de l'état civil de l'enfant.” http://www.affection...renoms/loi.html La régularisation des prénoms date de la Révolution française, et la libéralisation du choix des prénoms n'est que très récente. Ce deux poids deux mesures là, c'est vous qui l'inventez. Ni Brandon, ni Findus, ni Karim ; je crois que c'est assez clair ?
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