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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Bipolaires, suicidaires, c'est déjà arrivé, parce que les gens ont désespérément besoin de parler ou bien parce qu'ils considèrent que leur psychologue est nul (déjà lu) ou que cela ne va pas assez vite (déjà lu aussi). Déjà dit et répété : pas la majorité, et cela peut aller sur plusieurs pages.
  2. Il n'y reste pas longtemps, ne vous en faites pas. Les bulldogs anglais sont des chiens plutôt très bruyants, on se rend très rapidement compte de leur absence (manque les ronflements ou les bruits de "cochon"). En venir au flirt pour vendre un photocopieur, il faut vraiment que les primes soient élevées alors... Diable ! Vous savez tout de même que bien des femmes sont intègres. Après il y a des gestes naturels de coquette ou une façon de s'habiller, qui peuvent être interprétés à tort (comme nous avons pu le voir plus haut).
  3. Il y a une rigidité toute scientifique, ou une rigueur, ce qui laisse sans doute peu de place à l'approximation et vous donne le sentiment d'être exclue. Ceux qui répondront sur des sujets ayant trait à la psychologie ne seront sûrement pas les mêmes qui répondront à un sujet sur la physique quantique par exemple. Si vous y êtes mal reçue, vous pouvez répliquer, cela fait un certain temps que vous êtes là. Par contre, des internautes, qui éprouvent un certain mal-être/sont déjà diminués, souvent newbies, n'ont souvent pas la force de répliquer comme il le faudrait. Ça me fait peur honnêtement. Une rubrique psychologie pourrait être intéressante pour échanger sur Erikson, Freud, Piaget, des nouveautés. Il est possible de le faire en Sciences. Pour le reste non, plutôt pas. Le curé du village servait autrefois de confident et permettait au paroissien de se décharger de son soûl. Ça ne comblait pourtant pas ou ne contenait pas assez. Plus tard est née la psychologie, étude de l'âme. Si vous typez une rubrique "assistance au moral" ou "aide au bien-être, finalement, ce serait une sorte de palliatif. Certains demandent vraiment une assistance professionnelle voire médicale.
  4. Si vous observez mieux, vous verrez que des femmes objectivement sublimes, sont seules, alors que d'autres, moins bien de leur personne, sont en couple (et pareillement pour les hommes). Ça va au-delà de l'attrait physique, vraiment, enfin quand on ne veut pas simplement tirer un coup, toujours. Vous faites des rencontres ? Bonjour Prométhée_Hadès, check, C'est terrible. Les parents maltraitants ont à peu près tous les mêmes mots et même les même maux : l'enfant leur appartient, ils en font ce qu'ils veulent mais surtout un défouloir. Abject. Je comprends, le départ a du être difficile et déchirant pour vous et les filles. Être psychotique, n'excuse pas tout, mais cela explique bien des choses. Vous êtes resté en contact avec les filles ? J'ai été élevé par un cancer pour tout vous écrire, peut-être qu'il m'a transmis un peu de son côté terre à terre. Si vous êtes chien, je tiens plus du chat, je suis "love love" quand je l'ai décidé et puis je m'en retourne à mon indépendance, reviens. Faut-il vraiment vous rappeler que la vente autrefois c'était du charme ? Ça doit coller avec l'époque à laquelle vous étiez chef d'entreprise. Vendeurs winners, homme ou femme, il fallait savoir charmer autant monsieur que madame, parvenir à leur vendre des croquettes pour le chien qu'ils n'avaient pas. Des hommes avaient l'oeil goguenard, le sourire large alors que les femmes, des décolletés. Enfin c'est de la vente à l'ancienne cela, heureusement que ça a évolué. Jouer de ses charmes aujourd'hui, flirter avec des inconnus, c'est vraiment prendre des risques. Sur un forum ? La passion n'est-elle pas réservée à l'élu(e) ? Ce serait un peu faire comme ces hommes du top 25, si non : tirer à vue sur tout ce qui bouge. Je ne montre ici que ce que j'ai bien envie de montrer.
  5. Eh bien justement, ce n'est pas une bonne idée de donner tous les feux verts aux psychologues de PMU. Vous remarquerez que ce ne sont pas les plus bienveillants souvent ou les plus équilibrés qui "ont la prétention de se prendre pour des psychologues" (pour reprendre vos mots, et vous faites de l'angélisme oui). Psychologie de comptoir à laquelle s'ajoutent éventuellement prosélytisme religieux, conciergerie, attaques personnelles et j'en passe et des meilleures. Il faut toujours taper du poing pour que cela cesse, et nous sommes encore trop peu à le faire et à orienter les posteurs vers des professionnels. La rubrique "Sciences" c'est très bien, cela rappelle aussi que la psychologie, ce n'est pas pour les charlots.
  6. Certains sont déjà tentés de faire des diagnostics à l'emporte pièce, ou de la psycho à mémé, alors leur donner l'occasion supplémentaire d'étaler leur science de comptoir, est-ce vraiment une bonne idée ? Vous pouvez être sûre que bien des âmes en peine iront poster là afin de dénouer ce qu'elles n'arrivent pas à dénouer, ou persuadées que tout ceci peut être réglé par le biais d'une discussion sur internet avec de bons samaritains. Quand quelqu'un à des envies de suicide par exemple, le bon sens et l'urgence imposent de l'orienter vers un numéro dédié, ou un professionnel. Enfin ça me semble dangereux. S'il s'agit, par contre, d'échanger sur des théories, différents courants ou différentes écoles, des avancées, son histoire, pourquoi pas, mais il va falloir sacrément la définir et la border cette nouvelle rubrique.
  7. Il y a la réalité des sites de rencontres et puis il y a la réalité observable. Débranchez-vous. Ces sites font vraiment plus de mal que de bien. Vous êtes sensiblement de la génération de ma soeur (2 ans de plus que vous), et quand elle parle des hommes, avec ses amies, ce qui revient constamment, à leur propos, et à l'unanimité, c'est que ce sont des gamins, trop fêtards, qui ne pensent qu'à se bourrer comme des coings et à fumer ce qu'il ne faudrait pas. Du coup, elles s'orientent davantage vers des hommes milieu de la trentaine voire la fin. Vers le début de la trentaine, bien des femmes (et des hommes) ont envie de se poser (si ce n'est pas déjà fait), et pourquoi ne pas acheter un bien en commun et faire des mouflets. La barrière blanche, le barbecue, le labrador de @Persil-Fleur etc.... Vous auriez vos chances, si vous évitiez de parler de tour du monde pour frimer, de snobisme culinaire et de séries télé pour les cons. Ce qui peut refroidir, ce sont les personnalités trop clivantes, au final. Rien à voir avec le physique ou l'argent. Et puis, les femmes travaillent (depuis fort longtemps). Le second paragraphe exprime que les femmes tout comme les hommes sont sélectifs (et cela dépasse largement le physique) à partir du moment où ils décident de construire leur vie ensemble. Si l'ultra consumérisme a altéré quelque peu les relations homme/femme, nombre sont ceux qui sont encore de la vieille école, et ainsi une relation ne commence pas obligatoirement avec du Q. Il y a des relations toxiques et c'est fort dommage de s'abîmer comme ça. "Menotter" et bâillonner un homme ? Vision onirique. Ah la maison ne fait pas cela. Je n'ai pas de décolleté aujourd'hui, mais vous me faites frissonner d'effroi. Je peux gaver un homme de mozzarelle et de lasagnes, par contre, ça occupe bien. Ni très belle, ni très laide, je me situerais dans la moyenne. Cela tient plus à la fréquence de sorties ou le temps passé seule dans l'espace public. Je rejoins souvent du monde, mais sur le chemin, je suis régulièrement seule. C'est le quotidien d'autres femmes également, et sans vraisemblablement être très belles. "Ces hommes de banlieue souvent musulmans intégristes" comme vous l'écrivez correspondent donc bien à ces "arriérés" dont je fais mention plus haut. Sommes-nous en France ou bien en "musulmanie" ? Un petit bout de chanteuse (Angèle) dit dans l'une de ses chansons ("Balance ton quoi") "même si tu parles mal des filles, j'sais qu'au fond t'as compris". Bien sûr qu'ils savent très bien ce qu'ils font, quand des hommes manquent de respect aux femmes. Pareillement, aucune femme dans la rue ne va s'arrêter et lancer "Waouh Comment tu m'as trop bien harcelée sur 800 mètres là, c'est remarquable, allez j'accepte d'aller prendre un verre avec toi pour la peine". Personne n'aime cela, ça ne fonctionne pas, c'est fait pour em... son monde. Toutes les femmes veulent le respect et c'est bien là le minimum si vous voulez mon avis. Une lobotomie ? ^^ Non, il y a eu des couacs dans leur éducation, trop de laisser aller également, il n'est pas trop tard. Peut-être que @Lastotchkafait référence à un autre sujet (celui d'un fake/double compte), où j'ai vaguement participé, puis partagé un gif (une image animée @Promethee_Hades *clin d'oeil*) de Freddie Mercury, travesti, et passant l'aspirateur dans l'un de ses clips : Correct ? Absolument ! Je ne l'aurais pas mieux écrit. Ce chien n'est pas une poupée. Il m'arrive de m'écrier parfois "bah alors on attend pas Patrick", quand je l'ai oublié dans le jardin (j'avoue), pourtant on ne peut pas vraiment dire que ce soit un ninja ce chien, surtout quand il fait chaud (les bulldogs anglais ne supportent pas bien la chaleur). Évidemment, mais est-ce que tous les gens font toujours l'amour ? Je fais le distinguo entre faire l'amour et la baise. Je ne pratique pas la seconde qui s'apparente à des rapports sexuels insignifiants, à mon goût. Pareillement je n'envisage rien sans tendresse, ce n'est pas négociable non plus. Ces postliminaires sont comme un doux glissement vers le sommeil, et alors que nous sommes déjà dans un état second, comme sur un nuage, nous nous endormons au son du battement du coeur de l'autre, blottis, réchauffés coeurs et corps. C'est dommage de passer à côté de cela, mais bon, les goûts, la nature, tout cela... Ah, vous êtes tenté par la pansexualité ? Intéressant (^.^). Imaginons que nous devions nous balader avec des post it sur le front, il m'en faudrait au moins 3 : hétérosexuelle, sapiosexuelle et sûrement demie-romantique... Hétérosexuels tout court hein. La politesse c'est le minimum syndical de toute relation humaine. Tout le monde fait cela, et parfois même avec le sourire, ça ne coûte rien. Après user de ses charmes, de sa féminité, dans une salle de sport, c'est le meilleur moyen de se coller des amoureux transis aux Nike. C'est une fausse bonne idée.
  8. Plus creux qu'un goût pour le vestimentaire, les séries Netflix, l'envie de bouger et manger des sushis, ou moins ? Ah, les hommes n'ont-ils pas de critères et d'objectifs dans leur relation ? C'est curieux tout de même ces a priori. Non des hommes sont exigeants avec le physique, mais loin de chercher des idéaux pour le reste, peut-être parce qu'ils souhaitent seulement tirer un coup, et non former un couple. Une piste : hommes et femmes confondus sont autrement plus exigeants quand c'est pour du "sérieux". Je suis intransigeante en ce qui concerne les valeurs morales, l'équilibre, la placidité, la bienveillance, l'esprit, entre autres choses et pour exemples, et pourrais passer sur un physique (dans la limite du raisonnable) et l'humour, peut-être parce que je n'aspire pas à faire uniquement du sexe avec un homme.
  9. Bonjour Prométhée_Hadès, révérence, On est dans le "ni-ni" là. Se reconnaître sur un ou deux points, ou les moins délirants, passe encore... si non, sur tous ou presque, c'est inquiétant. Nous sommes d'accord les stéréotypes, les poncifs, toussa, rien de bon là-dedans. Ce point n°23 aura interpellé, choqué (c'est rassurant). Une fusion c'est plutôt bien résumé et imaginé, sinon. N.B : contente de vous revoir par ici. Vous n'avez pas fait un lit à 3 au moins ? Il paraît que cela porte malheur.
  10. Je me doutais que vous vous doutiez. Tatillon que voilà. Il convient tout de même de démystifier ou de préciser, les lecteurs ne sont pas tous "vifs" (remplacez le terme parce ce que vous voulez). L'absence d'un père a des conséquences sur la construction de l'enfant, oui, pas toujours néfastes, toutefois. Dans le meilleur des mondes les papas et les mamans vivent heureux (évidemment), en harmonie, sont bienveillants et aimants. Il paraît juste de protéger l'enfant du parent souffrant d'addiction(s) ou violent, par exemple. La séparation/le divorce dans des cas comme ceux-ci aura des chances d'être perçu(e) comme moindre mal, voire comme une délivrance. Mais encore, de jeunes adultes (ou moins jeunes) reprochent parfois à leur mère d'être restée avec leur bourreau de père et/ou son bourreau de mari. Il y a des situations auxquelles nous ne pourrons rien changer, ou sur lesquelles nous n'avons pas de prise. Ce qui fera la différence, c'est la façon dont sera portée et gérée la situation, ou l'absence. Pour préciser ma pensée : Nous nous appuyons souvent sur la Nature, que nous tendrions à ériger comme une norme. Et s'il faut un mâle et une femelle afin d'assurer une descendance, viable, effectivement, il revient souvent à la femelle d'éduquer. Le mâle, lui, s'en va s'en vient, pense reproduction, sans parler de pachas de harem. L'idée que les pères ont des devoirs moraux vis à vis de leurs enfants nous vient, de façon ancestrale, de la religion (c'est de toute façon culturel). La place du père est idéalisée, à mon sens (vous risquez de ne pas aimer tout ce qui va suivre, soyez prévenu). Je ne dis pas qu'il est inutile, simplement qu'il doit construire, et qu'une autre figure masculine peut aussi construire, en toute bienveillance (oncle, grand-père, et même beau-père : pas besoin de lien du sang). Un père doit également faire des démarches afin d'affirmer sa paternité (reconnaissance) et est parfois amené même à la vérifier (test de paternité). Finalement, cela pourrait être n'importe qui, ou presque. En cas d'absence de père, la mère doit reconnaître l'enfant, elle n'a souvent pas besoin de préciser qu'elle en est la mère. Un père doit bâtir la relation avec l'enfant là où celle-ci est déjà si évidente et bien présente avec la mère. Certains parlent de 9 mois d'avance, cela va bien au delà d'une histoire de comptage ou d'avance. Il y cet amour viscéral, ce lien invisible, permanent, omniprésent entre la mère et l'enfant, qui surpasse toute forme d'amour. C'est aussi bien souvent vers la mère que l'enfant se tourne, quand il a de la peine, quand il est malade, quand il a besoin de conseils, d'être épaulé, d'être réconforté, d'être porté. La mère c'est le référent, la boussole et le coeur. Quand l'enfant est rejeté par la mère, c'est une forme de reconnaissance qui lui est aussi refusée, retirée. Quand cela ne va pas avec la mère, cela fait diablement mal, physiquement, à l'estomac. Le père peut pleins de choses, mais pas jusque là. Ce lien mère-enfant est là par essence, irremplaçable. Une tante, une grand-mère, une soeur peut apporter en supplément, un quelque chose, des petits moments de bonheur. Rien ne sera jamais assez puissant. Cette relation, cet amour est inégalable et je plains sincèrement les enfants qui n'ont jamais connu cela. Raison supplémentaire, pour laquelle, je resterai anti-GPA (anti-PMA également, il y a un business là-dessous, des plus effarants). A contrario de Freud, je n'écrirais pas que c'est l'enfant qui se sent concurrent du père, mais l'inverse. L'enfant vient le déloger de la première place et cela peut être très mal vécu (par l'amoureux). Freud reconnaît également une place particulière au père, l'enfant se construit dans un conflit permanent avec celui-ci, et ressent même un soulagement quand il disparaît définitivement du paysage... une piste: l'autorité est trop criante/dans l'inconscient collectif le père incarne cette autorité braillarde, implacable. J'ai jeté un oeil à l'article que vous avez posté, les enfants en garde alternée obtiennent de meilleurs résultats que ceux issus d'une famille dite plus traditionnelle (papa+maman sous le même toit) et sauf erreur de ma part. Tout résultat est bien sûr à prendre avec des pincettes. Il laisserait à penser, que dans un sytème de garde par alternance, les parents sont totalement consacrés à l'enfant. La séparation ne serait donc pas un facteur majeur, mais davantage l'implication des parents dans la scolarité. Ce mode de garde demande aussi des parents en entente, du dialogue, une grande disponibilité (les lieux de domiciliation doivent être proches tous deux des écoles, de mémoire). Faites le test, posez la question à plusieurs femmes afin de savoir ce qu'elles attendent d'un homme. Ce qui ressort fréquemment c'est l'humour (à quelques exceptions près donc). Vous parliez de voyages ou d'aller manger des sushis -et vous ne savez pas ce que vous manquez à propos de ces derniers- ("sushichiottes" est à bannir of course) ; vous pouvez chasser l'ennui, faire la peau à la routine, sans dépenser un sou. Balades, pique-nique, à pied, à vélo, au bord de l'eau, en pleine campagne, voyez auprès des filles très nature ou écolos. Les couples gays ne sont pas particuliers, j'interagis professionnellement avec quelques uns de ces couples, et vous accorde, par contre, qu'ils sont plus mûrs (fin de la quarantaine/cinquantaine). Bon par contre avec les appli et les sites de rencontres, pas sûre que vous trouviez vraiment du sérieux. Eh bien, je vous remercie pour cet aperçu sur la pensée des hommes *sourire* Non, je suis désolée (en fait je ne le suis pas vraiment, c'est juste pour la forme), les hommes ne sont pas des bêtes, des fauves, surexcités à la vue d'un décolleté. Des hommes le sont. La vue d'un homme en short ne me fait la plupart du temps aucun effet. Si c'est David Beckham ça peut le faire. J'échange avec des hommes à ce propos -pas sérieusement sur internet c'est toujours un peu biaisé puisque certains font les cadors- mais au réel. Si mon interlocuteur ment, divers signes peuvent aussi le trahir. En réalité, je les trouve bien plus modernes et ouverts que des femmes en ce qui concerne le vestimentaire. Il est possible de regarder une femme -sans insistance- et d'en apprécier la beauté, l'élégance, sans avoir envie de la machiner (et même chose avec un homme). Vous ne voyez pas de femmes habillées vraiment très court, voire qui font tepu, peut-être parce que c'est très has-been la vulgarité #RIP le jean string. Je me fais aborder quelle que soit ma tenue vestimentaire et encore assez régulièrement (en toute saison) pour vous confirmer que la tenue vestimentaire n'est pas un facteur déterminant. Non, là, par contre, je ne faisais ni référence au harcèlement, ni au fait d'aborder, davantage aux agressions sexuelles. Il n'y a que mamie De Menthon et ses cop'copines cagots qui font la relation entre le vestimentaire et les agressions. En outre, en Inde, des femmes se sont faites agressées alors qu'elles portaient un vêtement traditionnel plutôt long et couvrant. Des hommes ont un véritable problème et ce n'est pas à nous, femmes, de devoir gérer ce problème. Ça m'intrigue aussi, mais de quoi s'agit-il ? Qu'ai-je encore fait ? Mon Patrick ne me le pardonnerait pas. Je n'ai pas le même ressenti ou la même compréhension du message d' @doug1991 . Les "postliminaires" l'ennuieraient, dans le sens où il les trouverait inutiles -ça le saoulerait quoi- mais il se forcerait parce que "les femmes aiment ça" ou ont besoin de ces moments de tendresse. Pour le reste, votre message est très bienveillant, et on sent vraiment le papa là (si si), il est toujours très délicat de faire de la psycho on the net. Ensuite, sans vouloir chagriner personne, je ne suis pas vraiment convaincue par la bisexualité (ni par la "pansexualité" ou toute la palette d'options vendue avec). Je ne l'ai jamais été. J'entends par là -et ce qui va suivre va être complètement binaire- que l'on peut se chercher un temps, longtemps, et finalement on penchera vers l'hétérosexualité ou l'homosexualité. https://tetu.com/2017/05/17/connaissez-17-orientations-sexuelles-amoureuses/ La "littérature" masculine est toujours si pleine de surprises.
  11. Victime de la mode ? Ce serait cela l'idéal de la société, selon vous ?
  12. Société de surconsommation, bien sûr, à laquelle s'ajoute une culture profondément sexiste toujours présente et encensée par la religion depuis déjà fort longtemps. Nous n'arriverons à quelque chose qu'au moyen de l'éducation, et il faudra bien quelques canicules également, cela risque de prendre encore un peu de temps, hélas. L'introduction ainsi que la conclusion ou l'appel à témoignages (uniquement féminins) de l'article se veulent subversifs et avec un peu de jugeote, effectivement, on se doute bien que l'auteur vise davantage à dénoncer et déconstruire ces quelques caricatures, plutôt que de conforter le lecteur dans l'idée que l'homme n'est qu'une "queue" sur pattes ou de rassurer quelques hommes très soucieux du coït encore. Certain(e)s n'auront pas compris le message. Tous les hommes ne s'orientent déjà pas vers des relations sans sentiments (parfois cela doit avoir du sens, parfois et même tout le temps, selon les individus) ou ne pensent pas qu'à "cartoucher" tout ce qui bouge ou presque, promis que ce ne sont pas des eunuques pour autant. Ils ont un petit coeur ces hommes et pas seulement un service trois pièces, comme nous autres (NDLR le petit coeur, pas le service 3 pièces). Pourquoi les femmes qui font simplement du sexe ne sont t-elles -aux yeux de bien su monde- aussi respectables que les hommes qui n'arrivent pas à faire l'amour également (seulement du sexe) ? On peut se désoler autant que des hommes et des femmes en soient là évidemment et s'inquiéter pour les générations futures. Je pensais simplement à un éventuel mal de tête qu'aurait pu engendrer une bonne soirée de rigolade passée entre amis, en fait. Vous, vous vous intéressez à mon hygiène bucco-dentaire et mon fabuleux épi (ce que vous pouvez être superficiel !). "Chanel n°5" c'est entêtant (ça sent la mémère), il existe des notes plus légères ou plus florales, comme "Allure" ou bien encore "Gabrielle" pour votre information personnelle. NB : Pensez à régler votre horloge. Est-on bien sûr que la "majorité" des hommes pensent ceci ? J'en croise tous les jours, et constate que le comportement de quelques uns, est à déplorer et sans faire d'angélisme. Aucun homme (aucune femme) éduqué(e) et équilibré(e) ne pensera qu'une femme s'habille en fonction des hommes. Après il y a les autres. Pour certains, il s'agit d'un état maladif, pour d'autres, du fait de l'éducation ou d'influences néfastes. Vous aimez tout dans le prêt à porter féminin, vraiment ? Chapeau. Je suis une femme et n'aime pourtant pas tout ce qui nous est proposé. Les cuissardes, pourtant encore très à la mode, personnellement c'est non, ça me rappelle bien trop Francis Lalane. Oui, on fait des blocages parfois, peurs irrationnelles *sourire* Les crocs ? même pas en rêve. Le retour des années 80/90, le fluo toussa, non plus... et les cyclistes ? Olala. La combinaison débardeur, short en percale, assortie de claquettes en plastique (j'avais oublié), tient davantage à mon goût (et ce n'est que le mien) du tue-l'amour que de l'appel au sexe. J'aurais pu parler de jogging et de tongs/sandales chaussettes également, mais il fallait quelque chose d'assez court. Le prêt à porter masculin prévoit aussi d'autres tenues, décontractées. Vous n'êtes pas obligés non plus de vous déplacer en costume 3 pièces Hackett H24. Vous en voyez beaucoup des femmes jupe ras les fesses, sans culotte et décolleté jusqu'au nombril, très honnêtement ? Des femmes avec une jupe juste au-dessus du genou ou un simple décolleté se font déjà tenir la jambe par des gros lourdingues, et même sans cela, en jean avec un pull informe. Pour des hommes, les femmes doivent se tenir là pour leur bon plaisir. À mon sens, la tenue vestimentaire n'est pas tant responsable.... et d'ailleurs est-ce que ce sont les femmes les plus court vêtues, ou qui ont un comportement aguicheur qui se font le plus agresser, ou bien est-ce que ce sont les autres ? Ce n'est pas franchement mon leitmotiv, non. Substituez par bon sens alors. Il y a toujours des tensions et des conflits dans un couple et encore après le couple. Les enfants n'ont pas à assister à cela primo, les histoires de grands ne concernent que les grands, secondo. Les enfants sont parfois pris en otage, par des parents égoïstes ou qui manquent de bon sens, donc. C'est regrettable. Je pars du principe, que, quand on fait un enfant, c'est que l'on laisse une partie de soi derrière, afin de se consacrer pleinement à l'enfant. C'est peut-être trop marginal comme façon de penser après. C'est prouvé statistiquement où ? Aux États-Unis ? Au Zimbabwe ? En France ? Il y a peut-être davantage de variables à prendre en compte. Quel est l'idéal actuel de notre société ?
  13. Je n'adhère pas à sa politique, n'aime pas le personnage surtout en général mais admet toutefois n'avoir encore jamais vu de président sous la V ème République être autant en recherche de solutions (qui ne semblent pour le moment n'apporter rien de véritablement concret).
  14. C'est un sujet majeur de malentendu entre hommes en manque et femmes véritablement gentilles et bien élevées. Il n'y a définitivement que les individus (hommes et femmes confondus) qui manquent cruellement d'éducation ou les arriérés qui considèrent qu'une femme qui porte une jupe au-dessus du genou ou un décolleté, le fait obligatoirement pour attirer l'attention des hommes/appeler au sexe. En outre, toutes les femmes ne s'habillent pas en fonction des hommes et loin de là. Vous n'êtes pas le centre de notre monde, il faudra un jour que vous vous y fassiez messieurs, bon sang de bois ! Certaines le font, par contre, pour un rendez-vous en particulier, alors que ce n'est pas du tout dans leurs habitudes. Là il y a un loup, ou vous risquez de voir le loup plutôt. Quoi qu'encore, le sexe n'est pas toujours là l'issue finale. Et en dehors de cela, un comportement sera toujours plus explicite qu'une tenue vestimentaire. Il est vrai que quand je vois un homme en marcel et short en percale, j'évite de l'accoster pour lui demander de m'emmener sur l'autoroute du kiff. Encore une fois, l'éducation, à moins que cela ne soit aussi le bon goût (le percale : bouh !). Quant au point 6, nous en revenons à ce que j'écris plus haut au sujet des arriérés. Nous ne sommes pas au Yémen. Ce n'est pas les femmes qu'il faut couvrir, mais les hommes qu'il convient d'éduquer, correctement. Et l'humain devient simple consommable... Non, ce que j'écris, c'est que bien que des couples soient encore unis, que le père soit toujours présent, si celui-ci tient des propos dégradants, sexistes et propage une vision de la femme déformée à son fils, la chosifiant ou encourageant celui-ci à profiter et se machiner tout ce qui bouge (discours pas si rare, c'est une idée de la virilité toujours persistante dans notre société, comme ailleurs) et avec récurrence, encore, alors il pourrait avoir une image de la femme très dégradée et ainsi entretenir des relations compliquées ou brèves avec la gent féminine. Des parents séparés/divorcés, des mères célibataires, éduquent très bien leurs enfants, avec beaucoup d'amour, de dialogue, de bienveillance et surtout d'intelligence. Je pense que cela se tient davantage là. Toutes théories sociales, toutes études sociétales trouvent ses limites, ses erreurs, ses détracteurs, tout à fait. Pas si sûre qu'en France, les délinquants issus de famille monoparentale soient sur-représentés et bien au contraire. Les délinquants sexuels ou les harceleurs de rue déjà, ceux que l'on aime à pointer de préférence, sont davantage élevés dans un patriarcat bien poussiéreux, véhiculé de surcroît et renforcé par la religion. Tout peut avoir des conséquences néfastes sur l'enfant, si rien n'est fait en toute intelligence et dans son intérêt. Se séparer d'un homme ou d'une femme est parfois le meilleur service à rendre, à tout le monde. Ou bien de rester elles-même. Un changement d'habillement est toujours remarquable. Cela peut aussi permettre à des femmes d'identifier les relous et passer rapidement à autre chose. Le point 23 tel qu'il est abordé dans ce top 25 relève davantage du domaine de la psychologie (dégoût/se cacher). Il y aurait un trauma là. Rien à voir avec l'orientation sexuelle, davantage avec ce qui est recherché dans la relation. Nombre de couples homosexuels basent leurs relations sur l'amour et la tendresse, durent dans le temps, à l'instar de certains couples hétérosexuels. Quelle que soit l'orientation sexuelle, pour des individus plus en recherche de plaisir et/ou de sensations, de relations courtes, sans lendemain, non basées sur l'amour donc, la tendresse est parfois parfois optionnelle ou inexistante. Beaucoup mettent en avant qu'il y a du respect. Sûrement : un strict minimum. Il ne faut pas se mentir, si vous tentez quelque chose de plus exotique ou de brutal avec votre conjoint(e), il y a des chances pour que cela mette un terme à la relation amoureuse. Un partenaire sexuel est a contrario facilement remplaçable - "collectionnable"- il suffit d'une attirance ou d'un physique même passable (il ne lui est pas demandé de faire la conversation), et de nombreux sites internet permettent aujourd'hui de choisir sur catalogue. Trouver l'amour, fait entrer bien plus de paramètres, et c'est d'autant plus compliqué. En général, on joue moins au con avec sa conjointe qu'avec son plan Q. "Je t'approfondis", "tu m'approfondis"... Diable, quel romantisme !
  15. Les rongeurs me répugnent, mis à part les écureuils. Ah vous voyez, rien ne prouve que les enfants élevés dans les familles monoparentales ou divorcées seront plus instables sur le plan affectif que les autres. Et puis, si les enfants reproduisent systématiquement, selon vous, quel exemple peut donner un bon petit papa bien gras et bien beauf mais fidèle, à son fils ? Par ailleurs, certains événements de vie font qu’il n’y a pas vraiment le choix. Les enfants ne seront pas fichus pour autant. Il est peut-être préférable de voir des parents séparés/divorcés mais heureux et équilibrés, que des parents malheureux, frustrés, qui ne s’entendent pas du tout (voire qui en viennent aux mains). Un enfant s’éduque dans l’amour, le dialogue et en toute intelligence. Je suis assez d’accord avec la réponse de @Persil-Fleur dans son ensemble. Force est de constater que les jeunes filles (et moins jeunes) peuvent être tout autant volage, et cela tient aussi à la facilité de l’accès aux pornos, et à la prolifération des sites de rencontres olé olé, entre autres choses.
  16. Honnêtement, je trouve ça plus sympa que les rongeurs et un peu plus joli aussi.
  17. C’est une intuition ? Le père peut-être substitué par un grand-père, un oncle, voire un beau-père bienveillant, non ?
  18. Les labradors sont si communs, le toutou de monsieur tout le monde. Je préfère les Bulldogs anglais.
  19. Mm on sent bien que l’auteur s’est fait un plaisir. Je retire ce que j’ai écrit précédemment à votre sujet, vous êtes un vrai gentil vous. Y en a tellement ! Attendez je relis ! Edit : Le point 5 me semble tout de même assez dangereux dans le sens où des hommes voient de la séduction parfois là où il n’y a simplement que de la gentillesse ou de la bienséance. Le 6 affirme une préférence en matière de femmes, c’est pour vous que c’est plus dangereux.
  20. Une notice, comme pour les meubles Ikéa ? Surtout ne changez rien. Que les hommes soient attirés par un physique qui leur convient, une féminité, un type de femme n’a bien évidemment rien d’alarmant ou de choquant, bien au contraire. Que celles qui n’en font de même leur jettent la première pierre. Pour le reste, c’est Disneyland, ou une collecte des pires clichés. Heureusement que l’homme en ces 25 points n’est pas représentatif des hommes. L’hypermâle ? Enfin selon l’article ce sont les hommes qui veulent surtout le coït. Soit ils aiment, soit ils font du sexe et quand ils aiment ils se transforment en une sorte de madame Doubtfire.
  21. Eh bien voilà qui est encourageant *sourire* Les 7 et 17 m'ont fait rire, le 16 un peu peur, 5 complètement peur, sans parler du 11, 12, les 14, 15, 18, 24 (o'scour !).
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