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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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S'il y a une différence entre le charme masculin et le charme féminin
Mórrígan a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Pas vraiment, mais il faut faire l'effort de la réflexion. La résistance, l'esprit critique même sont un épuisement, la masse culturelle est si lourde à porter... Si j'oriente vers un échange à portée plus générale, c'est surtout afin que vous évitiez encore de verser dans une romantisation des tournantes, comme vous le faites ci et là, vous moquant ainsi allègrement des victimes. Nous avons été élevées à ne croire raisonnable que le service minimal : "Vise bas, la chute sera moins douloureuse", "C'est mieux que rien". Violences psychologiques, sexuelles, physiques (jusqu'au trépas ou à la criminalisation), inégalités salariales et discriminations simplement en raison du genre, trop peu d'élues au postes-clé (que ce soit en politique ou ailleurs), retraite dévaluée, charge mentale due à l'accumulation d'une vie professionnelle et d'une vie ménagère etc... Les femmes ont sacrifié leur carrière, leur dignité, leur individualité. Rien de ceci n'est "acceptable". Et quand bien même ça le serait, comment se contenter seulement de "l'acceptable" ? C'est encore moins bien qu'assez bien. S'il s'agissait de libérer les femmes des angoisses de l'enfantement pour continuer à leur infliger des rapports sexuels médiocres, alors il conviendrait davantage de parler de "révolution contraceptive". S'il s'agissait d'interdire d'interdire pour le plaisir de transgresser, et si la transgression sublimait réellement nos rapports, alors nous serions tous et toutes attiré(e)s inévitablement par -dans le désordre- les cadavres, les animaux, les enfants. Une vraie révolution sexuelle aurait eu les cojones de changer de paradigme. Une vraie révolution aurait engendré des hommes qui prennent vraiment leur congé parental. Elle aurait démonté cette fichue complémentarité que nous nous traînons comme un boulet depuis des siècles. Elle aurait produit des films où plus aucune jeune fille ne se taperait un papy ou ne se ferait uriner dessus, elle aurait produit des films où le féminin est mis à l'honneur. Tant qu'il y a des humains plutôt que des déversoirs à fantasmes, on ne peut pas faire absolument n'importe quoi. Ce mouvement s'autoproclamant de "libération" a jugé révolutionnaire de s'acharner à consolider un système carcéral sexuel. Et nous pouvons nous questionner aussi quant à cette génération qui a glorifié des pratiques visant surtout à nous faire régresser nous enjoignant de nous mêler à beaucoup d'autres, à nous confondre, nous oublier, nous incitant à nous perdre (c'est un avant-goût de la mort), à nous déshumaniser finalement. La fierté n'est pas une attitude mais un programme et ça ne sert à rien de parler fort si c'est pour ne parler de rien. Cette pornographie qui court toujours et pire encore qui prolifère, en libre accès, amateure ou pro, est abjecte, surtout à l'endroit des femmes. Autant de femmes subissant l'humiliation, la strangulation, les coups, la double, triple, quadruple pénétration, le revenge porn (toujours impuni), les vieux, les animaux...le crade. Les enfants regardent leur premier films d'horreur vers 12 ans en moyenne, tout comme leur premier film porno. Les deux affichent quantités d'effets spéciaux. Si personne ne meurt vraiment dans les films de zombies, la femme qui prend quatre pénis à la fois, les prend vraiment et parfois contre son gré (ça n'était pas dans le scénario), et ça, ce n'est pas un effet spécial. Nous nous plaindrons ensuite que les nouvelles générations ont un défaut d'empathie ou que la jeunesse est hypersexualisée... Si le mythe de l'androgyne de Platon pourrait paraître sympathique, sur le papier, ses conséquences sont loin de l'être. Cette charmante idée de complémentarité induit inévitablement l'incomplétude. Elle affirme que nous sommes des moitiés, nous ordonnant le manque (voire l'indigence) et peut-être une tendance à la perméabilité. Nous sommes en capacité de nous intéresser à toutes choses, à "combler" s'il le faut vraiment, au moyen du savoir, de l'Art etc... Nous avons toute une vie pour nous intéresser, évoluer, nous améliorer, traits de caractère, aptitudes compris et rester indépendants. Elle est aussi fondée sur la démarcation Mars/Vénus dont sont inspirés les sigles masculin/féminin (le bouclier avec la flèche de Mars/le miroir de Vénus) et les enfants que ces Dieux enfantent sont Deimos et Phobos, la Terreur et la Crainte (ça ne s'invente pas ça). Si nous peuplons la même planète, alors la rencontre devient possible. Il y a un intérêt à rendre l'autre cryptique : si on cesse de considérer la moitié de la population comme compréhensible, nous voilà tous ignares. Cette ignorance donne du pouvoir aux décrypteurs, qui sont nombreux (dont Platon). Cette prétendue complémentarité camoufle une énormité : ce que nous considérons comme la normalité sexuelle, le référent, c'est le masculin. En l'absence de prostituées, il faudrait se demander pourquoi l'offre sexuelle n'égale pas la demande. Il y a une asymétrie, qui met aussi à mal cette complémentarité "naturelle" des libidos hommes-femmes. Car si cette complémentarité des libidos n'existe pas, c'est peut-être que la complémentarité physique n'existe pas non plus. Sur ce plan-là, un homme et une femme ne sont pas plus complémentaires qu'un homme et un homme, qu'une femme et une femme, qu'un homme et une vaginette, qu'une femme et un robot... Quand les codes nous empêchent de communiquer, il faut renoncer aux codes, plutôt qu'à la communication. Exiger une sexualité agréable laisse les incompétents sur le carreau. C'est moins évident pour les hommes qui trouvent plus facilement la jouissance, mais les femmes ont tout intérêt à garder le même partenaire et le former. (Et vous prêchez une convaincue, l'amour est en mesure de réparer nos sexualités tristes, c'est le seul à pouvoir le faire). -
Je comprends que cet hommage puisse être dérangeant (il me dérange également) et que vous ne puissiez désolidariser la victime, de la criminelle (elle est les deux). De la même façon, il m'a été impossible (et il m'est toujours impossible), malgré les appels du pied, de faire la distinction entre le cinéaste et le pédocriminel Polanski et de trouver normal qu'il soit honoré. Cette programmation est peut-être également mortifère pour cette famille. Les filles en ont déjà bien bavé. TF1 est une chaîne qui générait déjà dans les 2,300 milliards d'euros en 2018... Ses filles en témoignent. Quand un conjoint en tue un autre, que les enfants ne se désolidarisent pas du survivant -et meurtrier- et encore quand ils le soutiennent, cela aurait en effet tendance à "simplement m'interroger".
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Vous vous emballez un brin. Jacqueline Sauvage est bien une meurtrière, aucun doute là-dessus. Cet homme ne méritait pas d'être abattu, davantage jugé pour faits de violence et peut-être même pédocriminalité. Ça s'est passé autrement. À la Justice, aux forces de l'Ordre, à la société, maintenant d'éviter qu'il y ait de nouvelles Jacqueline Sauvage.
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Je choisis de ne pas hurler avec les loups. "Mm" pour ok, je veux bien te le concéder pour le moment (et je vais ensuite aller m'en informer plus sérieusement). Dix ans de prison (+5 années de sûreté), cela reste important, pour une femme battue. L'exécution de cet homme est violente, certes. Complètement. La réalité des faits, est que cet homme est mort : tout le monde a bien compris cela, rassure-toi.
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Quelle que soit la raison -ou les raisons- du suicide de leur fils, penses-tu que la mort de leur enfant (c'est atroce de survivre à son enfant, ne crois-tu pas ?) laisse indemne / ne puisse pas mener aux "attitudes" -je reprends les termes du procureur- les plus désespérées ? Ça en plus des violences quotidiennes... Deux jours plus tard, Mme Sauvage, n'a pas été tenue informée de la mort de son fils ? Mm. J'ai passé la dernière partie de ta phrase en gras, parce que je la trouve particulièrement conne. Cette gentille maîtresse ? Rôôôôh. Malgré tout, l'attachement, l'amour pour un conjoint toxique, est particulièrement difficile à comprendre, pour le quidam.
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C'est amusant de répondre à une question par une autre question. Allez j'essaie : Ses filles ne sont pas crédibles ? J'écris au présent quand c'est avéré (suicide du fils, violences conjugales) et au conditionnel quand c'est peut-être avéré (violences psychologiques), un problème avec ça ? Pourquoi trouverais-je des renseignements auprès de toi, qui ne poses que des questions, en retour à mes questions ?(décidément c'est trop marrant). On aura trouvé mieux afin de glaner des renseignements. Cet homme est mort, rien ne changera cela. S'il s'agit de s'interroger, comprendre ce qui a mené cette femme vers le crime, alors je m'y intéresse tout simplement et sans chercher à l'enfoncer comme ce monsieur qui n'aura jamais fait que son métier. Pour le reste, des individus qui font également partie de l'opinion publique, je m'interroge moi aussi : mais qu'est-ce qui motive la rage ?
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C'était juste pour signifier que quand il le veut Macron peut avoir de la ressource. Darmanin à l'Intérieur... quelle sottise !
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S'il y a une différence entre le charme masculin et le charme féminin
Mórrígan a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Désolée de vous briser les mythes. Ce sera seulement là la fin de la vision du couple de Platon. Mais, rassurez-vous, avec tous ces individus qui nous parlent encore mécaniquement de complémentarité -au lieu de coopération- véritables partisans d'une sexualité triste, nous ne sommes pas encore sortis des ronces. Ce n'est pas du ressort de la linguistique. Elle cantonne à une sexualité -sans surprise- phallocentrée (héroïsation du pénis). Il n'existe aucun pays au monde qui encourage les femmes à explorer leur sexualité. Et j'ai bien peur que la pornographie mainstream ait pris le relais de ces mythes toujours avilissants pour les femmes : elle promeut et perpétue des attentes irréalistes sur la sexualité et l'orgasme féminin. -
Ça manque de clarté ! De mémoire, il y a eu des pétitions en sa faveur, avant que l'affaire ne soit autant médiatisée. Qu'est-ce qui te fait dire que d'autres auraient été plus méritants ? Sauf erreur de ma part la grâce présidentielle (individuelle) est à distinguer de l'amnistie présidentielle (collective). Nous étions encore en l'attente de cette dernière, au sujet de pv routiers, en 2017, à l'élection de Macron. Pourquoi ne pas la croire, elle, ses enfants, l'entourage ? L'immense majorité des personnes qui ont révélé avoir connu des violences conjugales, ont effectivement bien été des victimes. Certaines autres sont mensongères. Tant il s'agit de s'interroger et pouvoir espérer comprendre les rouages psychologiques qui ont pu mener une personne au crime, ne fait-on souvent pas appel à un expert-psychologue, qui pourra aussi s'appuyer sur des tests (Rosenzweig, Rorschach, WAIS...)? L'avant-veille du meurtre, Pascal, leur fils, se suicide par pendaison. Une piste éventuelle afin de "simplement pour comprendre ce qui a guidé", Jacqueline Sauvage, "dans cette attitude". Je passe sur les suspections de pédocriminalité concernant ce brave homme, et encore les violences physiques qu'il a infligées à sa femme (devant ses enfants) et à ses enfants. L'ex-mari, qui ne peut plus comparaître -hélas- aurait régulièrement pris plaisir à se servir de sa relation extra-conjugale afin d'humilier sa femme. Une rencontre aurait ainsi été organisée par le couple adultérin, la maîtresse se proposant d'expliquer comment faire jouir monsieur (mais quelle serviabilité et quelle gentillesse !). À partir du moment où nous sommes renseignés, quant à l'enfer quotidien qu'a vécu Mme Sauvage, il n'est pas possible de réagir avec autant de manque d'humanité que ce procureur. Enfin, lui, c'est son métier.
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En effet, vous êtes totalement hors-sujet et pas vraiment informé, qui plus est (ce qui ne vous empêche pourtant pas de vous exprimer). Il n'y a pas de fonction sociale pour les passionnés. Ignorer les passionnés et généraliser à une poignée d'individus souffrant possiblement d'un complexe d'infériorité, est une erreur. Faire d'une Porsche un objet de domination sociale reste risible et l'expression d'une grande jalousie. Je passe sur votre réflexion quant à la carte de police, tant c'est stupide. Pas vraiment non. Vous vous employiez davantage à dézinguer la sociologie. Ah ces salauds à l'extrême-centre ! C'est un discours qui a le mérite de nous changer. Vous l'amenez spontanément dans le débat le hollandais. Il faudrait savoir. La mentalité hollandaise ne vous sied pas, parce que cela tient d'une mentalité, effectivement, libertaire. Ce courant, en France, n'a pas fait que du bien. Mais, tant il s'agit de prostitution en vitrine, de réglementation et favorisation de la vente et de la consommation de cannabis, ou encore de la possibilité de s'inscrire unisexe ou rien sur les formulaires ; il semblerait que nous résistons. J'ai de la compassion pour ces individus qui vivent mal leur genre, néanmoins, pas sûre du tout que la loi pourra y faire grand chose. Il n'est pas conseillé de rester longtemps au soleil. Dupont-Moretti aurait été approché par Brigitte Macron. Et si Bartolone ou encore le maire socialiste de Dijon ont refusé le poste de Ministre de l'Intérieur, il semblerait que Macron, quand il le veut, parvienne à trouver preneur, comme c'est le cas pour Alain Griset (illustre inconnu, ancien taxi, 67 ans, fan de pétanques, CV sans même un baccalauréat) nommé ministre délégué des aux Petites et Moyennes Entreprises. Alors Darmanin, finalement c'est le choix de l'embarras. Pas judicieux, définitivement.
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Ah il vous faut une canne blanche... ok : Nous tous serions livrés à la délinquance et la criminalité, et même l'immense majorité de l'extrême-gauche et une partie de la gauche, qui pourtant, les encense. De rien.
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Et sinon tu assimiles la grâce présidentielle à une chiure tout le temps ou bien simplement tant il s'agissait de gracier cette femme ? Des femmes chefs d'entreprise, avec du tempérament et des chasseuses sont tout à fait à l'abri des violences viriarcales ? Si des femmes peuvent en venir à se venger, elles utilisent assez peu une carabine, et dans le dos de leur conjoint. C'est la violence de l'exécution de cet homme qui aura énormément choquée.
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Ah les malheurs de Darmanin... J'ai bien envie d'écrire qu'ils sont secondaires à mon goût. Le bashing à l'égard de la police -très en vogue depuis divers mouvements sociaux et la mort d'un américain- court, par contre, sur le roudoudou (mais genre vraiment). Sans nos forces de l'Ordre, la France ne serait qu'anarchie/chaos/terreur. Nous serions livrés à toute cette délinquance et cette criminalité, que pourtant certains encensent.
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Tes réponses sur le fil interrogent, c'est bien pour cela que je t'ai posé une question (à laquelle tu n'as pas répondu d'ailleurs). Oh pas que la sienne. Des femmes se retournent parfois contre leur conjoint, après de longues années d'humiliation et de violences. En principe, la Cour en tient compte. J'essaie de trouver du positif à chaque mandat. C'est de moins en moins évident, ceci dit.
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Le chef de l'État se place au-dessus de la Justice avec la grâce présidentielle. Tant il s'agit de contester ce pouvoir, s'il l'est au sujet de l'affaire Jaqueline Sauvage, alors il devrait l'être pour toute affaire où il est utilisé, ne crois-tu pas ? Cette grâce présidentielle aura été la seule décision véritablement humaine prise lors du mandat Hollande.
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S'il y a une différence entre le charme masculin et le charme féminin
Mórrígan a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Vous êtes en mesure de changer cela. Jamais dans une société évoluée (au contraire elle est condamnée). Cette idée de complémentarité qui semble solide comme une colonne grecque -depuis le temps que nous nous la traînons- belle comme un camion, bien commode, nous vient de l’inénarrable Platon (et son mythe de l’androgyne). Elle vise aussi à bien s’assurer que les femmes apprennent leur place (celle d’en regard des hommes). Je la réfute absolument. Il n’est plus possible de se laisser conduire par des idées qui datent de plus de deux mille trois cent ans tant elles sont nocives, pour les femmes mais non seulement. Avec cette idée de complémentarité homme-femme, les homosexuel(le)s sont aussi écartés ou n’ont pas la possibilité d’être tout à fait eux. Il est grand temps de déconstruire cette obsession pour la fusion qui rabâche qu’emboîter des corps, entraînerait mécaniquement la connexion des âmes (ça se saurait !). Salutations, Une femme qui est appropriée sexuellement et collectivement, pourra effectivement rester calme et courtoise (et @sirielleest bien mignonne) tant il s’agit de nous présenter comme un véritable conte de fées, ce qui est pratiqué dans les caves les plus humides des banlieues. Oui, les tournantes, le caudalisme -ou autre appellation- restent d’une violence inouïe -malgré l’enrobage- et sont faits de domination masculine, et plus encore de barbarie. Si vous n’êtes pas vraiment friande de vérité, espérons néanmoins que celle-ci ne vous sera pas trop urticante. Nous pouvons très tôt nous rendre compte de la brutalité qui accompagne la condition féminine. À la lecture de certains récits de femmes, dont ceux de sirielle (avec une récurrence tant il s’agit d’une normalisation, voire d’une promotion), cette brutalité s’active d’autant, comme une espèce de brûlure à froid. Si nous sommes des internautes, nous n’en restons pas moins des humains, sensibles (ce que vous interprétez comme une volonté d’asticoter). Nous ne serons effectivement pas souvent d’accord, et d’autant sur un tel sujet, puisque personnellement je me fiche de déplaire. En vous souhaitant une agréable nuit. -
La Justice n’est pourtant pas toujours vérace. Pour un vice de procédure ou pour un suicide avant jugement, pour une prescription, le ou la mis en cause sera blanchi(e) ou il ne pourra pas y avoir de procès (et pourtant il ou elle quand même bien commis un crime). Il se dit que Justice est tout de même rendue. Ne trouvez-vous pas que c’est glaçant ? Les médias donnent souvent une direction. Nous pouvons aussi parler de médias partisans. Nous (re)connaissons certaines couleurs politiques. Des détails sordides sont souvent inutilement portés à notre connaissance. Certains parlent de médias anxiogènes et à y réfléchir peut-on toujours parler de (grand) journalisme ? Il me semble qu’il y a une différence entre être informés et être abreuvés d’informations inutiles, anxiogènes. Plus il y a de barbarie, plus ces détails inutiles sont divulgués, moins nous serons à même d’être mesurés. Les médias sont là pour provoquer une réaction.... et les réseaux s’enflamment. L’article est diffusé, les punchlines sont retweetées. La dynamique se tient là. Je ne cherche pas à dédouaner le téléspectateur/le lecteur, cependant les médias ont aussi leur part de responsabilité (tout comme les réseaux sociaux, qui ne sont surtout pas modérés). On ne tue pas l’idée c’est vrai, et comme vous le précisiez auparavant l’opinion publique a toujours existé. Ce qui peut laisser interrogatif -ou faire peur- c’est son poids actuel. Badinter a fait quelques grandes choses. Quant à Mittmitt... Bonne soirée également à vous
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C'est sordide, effectivement et ce n'est pas toujours consenti, non. La fin du non-lieu psychiatrique systématique a été décidé genre depuis le début des années 2000. Le principe de l'irresponsabilité pour cause de trouble mental est maintenu mais il n'en résulte plus le non-lieu judiciaire qui faisait échappait le délinquant ou le criminel au tribunal, à la Justice. À vous d'en décider. C'est une formulation. Si vous n'avez que cela pour chipoter, finalement, ce n'est pas si mal. Plutôt pas. Vous êtes hors sujet. Sophisme. Sophisme. Vous pouvez citer trois ou encore douze, cent fois, l'essentiel étant que vous y preniez du plaisir, mon bon DDR.
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La musique classique,c'est pas si mal.....
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Decade 63 dans Musiques
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Reprenons l'actualité pour imager : nous savons qu'une jeune femme, à Lyon, a été renversée mortellement puis traînée par une voiture, sur plusieurs centaines de mètres, après que son chien ait été lui-même renversé (par ces mêmes individus). Sauf à museler les médias, les empêcher de diffuser l'info, il semble difficile d'empêcher les français de condamner cette barbarie. Dupond-Moretti a en horreur les réseaux sociaux, la "justice du peuple" ou l'opinion publique (dont il fait néanmoins partie), il ne s'en cache pas. Sur le principe, dans la théorie, sur le papier, on ne peut pas lui donner vraiment tort. Néanmoins, il arrive parfois, dans les faits et comme je vous l'ai mentionné plus haut, que la présomption d'innocence ne soit que pure coquetterie (il ne faudrait pas sacraliser non plus benoîtement).
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S'il y a une différence entre le charme masculin et le charme féminin
Mórrígan a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Cependant le terme soumise est en parfaite accointance avec vos révélations publiques antérieures. Ce n'est en rien risible. C'est même plutôt triste tant la pratique est violente. "Le nombre d'hommes choisis que vous avez rejeté en cours de relation ou pas", n'y change rien dès lors que vous vous pliez à la volonté masculine/vous êtes laissée chosifiée/vous vous soumettez finalement. Même au cours de pratiques avilissantes, il y a des joker (cf sado-masochisme) : vous n'êtes pas consentante avec tout le monde (c'est déjà ça de pris), vous êtes soumise. À l'évidence pour des femmes et des hommes qui ont su se dégager d'une bestialité certaine. Réduire la féminité à la sexualité (comme d'autres le font pour la maternité-trou) reste une erreur. -
Quand elles sont déjà connues du grand public -mais que le procès n'a pas eu encore lieu- comment empêcher le quidam de se faire son opinion et condamner ?
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Il faudrait donc aimer mais ne pas posséder, ou bien aimer et systématiquement cacher afin de ne pas froisser les envieux. Il existe bien quelques porschistes qui ne sortent jamais leurs roues, sont adeptes de detailing home made et de moquette Saint-Maclou dans leur garage. Mais, même au sein d'une communauté de passionnés, il passent pour ce qu'ils sont : des narvalos. Cela ne va pas arranger ce que vous avez certes, cependant il faut chercher souvent du côté des lobbys qui mandatent pour ces études. J'opte pour la troisième voie, soit celle que vous ne proposez pas : Nous sommes pris dans un étau, entre ceux qui disent que c'était mieux avant et en font un dogme stérile évoquant des grandeurs passées qui ne sont souvent que pures fictions (extrême-droite). Et, de l'autre raisonne un discours puissant qui vante l'innovation, le progrès, comme étant une vertu en soi, "ce sera forcément mieux demain" ou qui considère que le monde d'hier est à jeter (extrême-gauche). Dans les deux cas, il y a une incapacité à créer du lien entre les temps et nos vies -entre hier et demain- et donc à pouvoir analyser et envisager le présent de façon constructive. Le hollandais vous méprise, sachez-le. Il vous est supérieur en tout. Ce qu'il pourra vous concéder, sera inévitablement accompagné d'une remarque suffisante : "Vous parlez bien l'anglais, pour un français". "L'endroit est joli, vous avez l'eau potable ?". Les Pays-Bas sont profondément libertaires et en sont fiers (et d'autant plus qu'ils en tirent profits). N'ayez jamais pitié d'un hollandais, il n'aura jamais pitié de vous. Ce n'est pas la France que je connais. Dans la mienne, il existe bien évidemment de la délinquance et la criminalité, néanmoins, les citoyens évitent de généraliser. Nous digressons depuis un moment déjà. Pour en revenir à ce qui nous intéresse (le sujet), nous pouvons raisonnablement nous questionner quant à ce "nouveau" gouvernement, fait de profils hyper testostéronés et d'attelages bizarroïdes. Darmanin, évidemment. Le très théâtral Dupont-Moretti. Mais encore, une chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes (E. Moreno), qui nous dispensait déjà de "bons" conseils en 2018 afin de faire cesser l'intimidation des femmes par leur supérieur, à savoir monter dans la hiérarchie (quel génie !). Combien de temps avant que l'on se souvienne du soutien de Mme Pompili à Baupin ? Ce gouvernement -que l'on ne condamne pas encore mais qui questionne vraiment- a toutes les chances d'exploser et même d'imploser eu égard aux divergences et combats des différents ministres.
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Invariablement ? Lorsque le(la) mis(e) en cause a été confondu(e) par son ADN et identifié(e) par des témoins, le conditionnel est-il toujours de rigueur ? Lorsque la présomption d'innocence en est réduite à sa portion théorique, ne relèverait-elle pas simplement de la coquetterie ?