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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Le club de curling du 79 est venu mettre le dawa à la capitale, le soir d’une défaite au football... Mais si qu’on vous a dit ! Vous autres, fans de football plus pacifiques. Certains ont cassé, d’autres se sont enfermés dans le noir comme des veuves italiennes. Il faut bien qu’elle ait un peu de récréation cette pauvre femme.
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Un pauvre homme -comme bien d’autres- s’arrogeant un droit de contrôle sur le ventre des femmes. En France, les femmes, malgré une opposition politique virulente, qui s’est largement exprimée -et s’exprime encore- se sont vues reconnaître le droit d’interrompre une grossesse qu’elles ne voulaient pas ou ne pouvaient pas poursuivre. L’interruption Médicale de Grossesse est un acte médical (comme son nom l’indique), placé sous le contrôle et la responsabilité de professionnels. La vulnérabilité des femmes est déjà exacerbé alors qu’elles passent une visite préalable à l’IVG avec un voire deux professionnels (qui peuvent changer de service alors qu’ils sont « fatigués »). Dans le cadre d’une IMG, il s’agit de soumettre un dossier à 4 professionnels. Chaque cas est étudié, consciencieusement. Les débats publics sur ces questions, de plus en plus initiés et poussés par ces associations autoproclamées « pro-vie », rappellent régulièrement qu’aucun droit n’est totalement à l’abri d’une remise en question. En particulier, ils nous rappellent que la remise en question du pouvoir ancien des hommes sur le contrôle de la fécondité des femmes, par la législation libéralisant la contraception et le droit à l’avortement, est parfois présenté comme une menace sur les relations entre les deux genres (laul). L’IMG, tout comme l’IVG, relèvent du droit et les médecins sont les garants de l'authenticité tout comme du respect de cette décision au final toujours, féminine. En droit, c’est bien la femme qui décide seule, in fine. La parole et l’accord des hommes ne sont légalement pas nécessaires dans la décision d’effectuer l’avortement. Les partenaires a priori égaux au moment de la procréation, ne le sont pas face aux risques qui découlent d’une grossesse. Les femmes supportent directement les risques de la conception. En outre, elles sont aussi les premières dites responsables de la contraception et de ses échecs éventuels. Pour toutes ces raisons (et d’autres sûrement encore), l’avortement est une affaire de femmes. Quand des hommes s’expriment quant à l’avortement, c’est en qualité de praticiens de l’acte médical, de politiques, de juristes, d’experts de cette question psychologique et sociale... mais également (et hélas) de moralistes prenant part aux débats publics, très rarement en tant que partenaires sexuels des femmes recourant à l’IVG. Vous êtes out. Je m’en remets à la sagesse des quatre professionnel(le)s qui ont a décidé depuis 2001 et auront à le décider encore pour des années à venir, si ces femmes en détresse sont « éligibles » à l’IMG. Vous pouvez gueuler, vous n’êtes qu’un homme après tout. Le professeur de gynécologie obstétrique à l’Assistance publique des hôpitaux de Marseille (AP-HM) Aubert Agostini, par ailleurs membre du CNGOF, explique à CheckNews : «Les femmes l’ignorent souvent mais elles sont en droit de voir leur dossier examiné pour une IMG, même après le délai légal d’IVG. Ce qui ne veut pas dire que leur demande sera acceptée. Il y a très peu d’outils pour évaluer une détresse psychosociale mais il peut s’agir par exemple d’une femme victime de viol ou d’une mineure victime d’inceste qui découvre sa grossesse après le délai légal.» Le praticien précise qu’il y a très peu de demandes et qu’il y a peu de dossiers acceptés : «Il faut un travail de fond pour que la loi soit appliquée.» Vous faites une fixette sur la précarité puisque c’est arrangeant de le faire pour les Alliance Vita, Valeurs Momifiées, L’incorrect et consorts, or la loi de 2001, est une loi traitant de l’IMG, en général. C’est dingue de se faire mener par le bout du nez comme cela. Pas forcément les plus nombreux, ceci dit, ces crimes commis sur les enfants sont inexpiables et suscitent heureusement beaucoup de colère et de révolte. Les curés pourraient tout autant jeter leur dévolu sur les sœurs ou leurs collègues curés non ? Vous pouvez l’écrire une fois de plus, ça n’en fera pas une vérité pour autant.
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En ce moment, ils se font un festin des figues. Des étourneaux peut-être. J’ai chargé une application d’identification grâce à leur chant. Il faut absolument que je la teste. Je les laisse faire en tout cas, j’en ai bien assez pour moi. Figues rôties, en confitures avec des épices ou des fruits rouges, en salade avec du miel, avec de la burrata, je vais en avoir rapidement ras le bol, comme tous les ans.
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Ah Mme Hidalgo sera toujours Mme Hidalgo. Les parisiens semblent bien l’aimer tout de même. Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a interdit lundi -jusqu’à mardi- les rassemblements autour du retour des joueurs. Ils ont tout gagné. Déjà en 98, il y avait à déplorer de la casse, des crachats sur la police, des jets de pierres. Le football, sport populaire, est aussi un sport de voyous. Nous pouvons également le voir au travers les « valeurs » que véhiculent les joueurs, entre coups de tête, alcool sur la voie publique et prostituées peroxydées mineures... Comment voudrait-on que le public s’extraie de cette médiocrité ? Complot ? (Regardez mieux). Vous êtes trop marrants. Facebook, à vrai dire. Twitter ça peut être encore pire. Toujours est-il, qu’on y voit des images, plutôt parlantes, introuvables via les médias mainstream. Ces délinquants sont amateurs et supporters de foot, vous le savez très bien. Je veux bien entendre que c’est rageant pour vous autres. Mais quelle délicatesse ! Quel phrasé exquis ! Vous êtes sûr que votre femme ne veut pas vous partager ?
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Sûre ? Vous êtes bien du genre à faire des bûches roulées bien vintage pour les fêtes de fin d’années, vous. Le Kouign Amann est une spécialité bretonne, faite de (beaucoup de) beurre et de (beaucoup de) sucre, tant pour tant. Cela peut être réchauffé au four et ainsi vous pouvez apercevoir des geysers de beurres s’échapper du gâteau (Vos artères vous remercient). Il paraît aussi que les anciens becquetaient des rats... ne comptez pas sur moi pour leur porter de la considération (heure). C’est un coup à devenir végétalien ça. Mais oui vous avez le droit de vous bâfrer de vos plats en sauce qui puent la mort, de vous arrondir, et finir par en crever. C’était bien là l’esprit de votre réponse. Ces chevreuils et ces sangliers issus d’élevage, « régulés » par les chasseurs... Bah voyons ! Il y a évidemment d’autres moyens d’améliorer les choses, par voie législative, surtout. C’est ce qui éveille aussi les consciences. L214 peut avoir des manières de terroriste, ce qui dessert plutôt la cause des animaux. Chasse à la glu interdite pour les merles et les grives, cette année, après consultation du président de la Fédération Nationale des Chasseurs et Barbara Pompili. Ça vient de tomber.
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Pourquoi les romantiques ne sont jamais heureux en amour ?
Mórrígan a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Quand bien même ces mariages se devaient d’apporter un confort matériel, une protection aux femmes, et aux familles pérénnisant une alliance... elles étaient souvent données jeunes à des hommes plus mûrs, gras, chauves. Elles ont dû être mortes de trouille et terriblement seules. Nos ancêtres étaient aussi des êtres sensibles. Mais oui, cela pouvait aussi être compliqué pour les hommes. S’ils n’arrivaient pas à concevoir, ils étaient aussi moqués, dits non virils. Ça a été le cas de Louis XVI, notamment. Une soirée NCIS avec des Bolino, ce n’est même pas de l’ennui, c’est la misère. Non, je te parle de déconnecter complètement, de couper tous les écrans et de se jeter dans un Fatboy (ou dans la paille pour nos aïeux) et laisser son esprit voguer. Les mythes avaient une valeur éducative, tout comme les contes lus aux enfants. La beauté est positive dès lors qu’elle est admirée et exploitée par autrui (préférentiellement un homme). L’amour pour soi-même a longtemps été mal perçu (il l’est encore partiellement aujourd’hui). Dans la Bible, l’Ecclésiaste nous parle de vanité (« vanitas vanitatum et omnias vanitas) et dans la peinture on a représenté parfois des richesses, des parures (ce qui est frivole) accompagnés d’un crâne, la locution (moraliste) memento mori le résume bien : souviens-toi que tu vas mourir, sous-entendu débarrasse-toi de ce qui est futile. -
Il existe peut-être une force créatrice. Il serait fort étonnant qu’elle ait les cheveux mi-longs et porte une barbe.
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Les chats ont ce regard à la fois inquisiteur et énigmatique...on ne sait trop ce qui les traverse. J’aime mieux les chats que les cochons. Dans toute communication entre individus, il y a peut-être 20 % de langage et 80% de para langage (gestuelle, mimiques, regards...). Quand un homme vous déshabille du regard, vous savez très bien ce qui lui passe par la tête (et c’est d’autant plus appuyé par les expressions du visage). L’espace public est monopolisé par les hommes, c’est leur territoire. Pourtant la plage est censé être un lieu de détente, y compris pour toutes. Lilith est l’égale d’Adam. Elle l’a plaqué, il s’ennuyait. Eve a été créé ensuite à partir de la côte de ce dernier. Et les arrêtés municipaux interdisant le topless sont suivis d’affiches placardées à l'entrée des plages. Ce n’était pas le cas à Sainte-Marie-la-Mer, semblerait-il. Les plages sont grandes chez nous et plutôt désertées en ces temps post-COVID. Il y a une nette différence entre regarder une femme et bloquer sur celle-ci. Certains sont éduqués (en principe nous apprenons enfants à ne pas fixer les gens) ou n’attachent aucune importance à la poitrine des femmes (des autres).
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« Les gus » ne « veulent » pas se soumettre, ils y ont été contraints depuis l’enfance. Les enfants sont conditionnés à croire, par tradition (c’est valable pour toutes les religions). Il n’y a pas de pensée libre, il n’y a pas de libre choix. Une femme ne choisit jamais librement de porter le voile. La désapprobation, le jugement, la haine, les tensions au sein de la famille, le regard masculin, les insultes dans l’espace public, les poussent à porter le voile. La religion déteste les femmes. Lorsque les textes religieux formulent une règle adressée aux hommes, c’est pour ouvrir des droits. Énoncée aux femmes, c’est systématiquement pour les limiter. La première chose qu’elle essaie de contrôler c’est la pensée des femmes, l’estime qu’elles ont d’elles-même, l’image. Ensuite vient le ventre, les religions semblant ramener en permanence les femmes à la fonction unique de reproduction, sur laquelle elles veulent exercer un contrôle total. On peut le voir à propos de l’IVG, de l’IMG et de la contraception : ce sont trop souvent les premiers droits sur lesquels on revient quand la religion connaît un regain. Si le patriarcat semble antérieur aux religions, ces dernières sont son bras armé. Oui, il y en a. Elles sont peu nombreuses toutefois. Kahina Bahloul n’est pas voilée et voilà ce qu’elle dit à propos du voile : « Cette question du voile, qui devient le symbole de l’islam aujourd’hui, n’est qu’une interprétation humaine. En réalité, quand on revient au texte coranique, il n’y a rien qui oblige la femme à se couvrir les cheveux. » Kahina Bahloul invite les musulmanes à se réapproprier le texte coranique. D’ailleurs d’autre l’ont récemment fait, à l’instar de Eva Janadin et Anne-Sophie Monsinay, deux autres femmes imames qui ont dirigé une prière mixte, dans un lieu tenu secret à Paris samedi 7 septembre. Une première en France. https://positivr.fr/kahina-bahloul-premiere-imame-de-france-parle-du-voile/ « En toile de fond de ces années algériennes, la décennie noire. « J’ai vécu cette période au plus près. J’ai vu comment les choses ont changé peu à peu », relate-t-elle. Alors adolescente, elle se souvient, nostalgique, d’une Algérie encore attachée à un islam maghrébin. « Je voyais mes grands-parents aller à la mosquée. C’était une pratique très familiale… très spirituelle aussi. » La guerre civile constitue une époque charnière qui marque l’entrée de son pays dans « une pratique plus rigoriste », selon elle, « venue d’Arabie Saoudite ». Autour d’elle, « les premiers foulards pénètrent peu à peu dans l’espace public ». Bien qu’elle ne le porte pas, Kahina Bahloul n’est pas étrangère au voile. Si ses tantes ne se couvraient pas les cheveux, elle a toujours vu sa grand-mère se parer du traditionnel haïk algérien, étoffe de laine ou de soie. « Le haïk était tellement élégant. C’était presque un objet de féminité… et puis j’ai toujours vu ma grand-mère libre de ses mouvements. » Contrairement à l’image des femmes saoudiennes, faut-il comprendre. « Pour moi, le voile tel qu’il est apparu en Algérie dans les années 1990-2000 émane d’une idéologie en provenance du Golfe persique. On est dans la négation du droit des femmes… tout y est fait pour les invisibiliser », tranche-t-elle. À l’irruption du voile en Algérie correspond l’entrée du pays dans la guerre civile. La collision des réalités la déroute. « Au même moment, je vois l’idéologie des salafistes et des Frères musulmans monter, tout comme le nombre de morts de la décennie noire. » La société algérienne se crispe, enserrant alors le Coran d’une main et son goût pour la liberté de l’autre. Une dualité qui produit un contexte et des trajectoires personnelles complexes. « Cet islam fondamentalisme exprimait un rejet des non-musulmans. En tant que métisse, la situation était compliquée », confie-t-elle. « J’ai toujours eu l’image d’un Dieu juste. Or, dans mon quotidien, je voyais des choses injustes, notamment vis-à-vis des femmes. » https://www.meltingbook.com/kahina-bahloul-on-ne-peut-pas-evoluer-avec-une-pensee-statique/
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Trop mignon <3
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Ces métissages « non visibles » se soulignent pourtant encore. (Aaaah vous parliez des zarabs et des nouars... au temps pour moi !).
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Pourquoi les romantiques ne sont jamais heureux en amour ?
Mórrígan a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Et moi donc ! L’ennui peut être un moteur à la créativité. Partager sa couche avec un inconnu, pour lequel on éprouve rien et devoir procréer afin de lui donner un héritier, être condamné(e) à partager son quotidien ensuite jusqu’à ce que mort s’en suive, me semblent autrement plus sombre et violent. Ça peut éventuellement donner envie de se suicider. Je ne critique pas le narcissisme. Ce que j’écris c’est qu’il s’oppose au masochisme (présupposant l’abnégation). Chez Ovide, Narcisse est celui qui ne se voit pas, ne s’écoute pas, ne se comprend pas jusqu’au moment où il aperçoit enfin son reflet. Vient alors la métamorphose et la fleur de vie éclôt. Bon ensuite il tombe et puis se noie. C’est ballot. Sûrement pas, les dragons c’est trop mignon ! -
La France continentale européenne est une nation géographique aux frontières naturelles et poreuses. Au centre de l’Europe, elle a été refuge de toutes les migrations d’Europe. Terre d’accueil. Le métissage est très ancien. Nous sommes bien quelques uns, en France, à avoir des origines polonaises, italiennes, espagnoles, portugaises, gaéliques... comment pourrions-nous être contre ce qui est, ce que nous sommes essentiellement ? En ce qui concerne le voile, quand on est pour l’égalité homme-femme, il est incohérent d’être favorable à ce vêtement politique créé afin de ménager la susceptibilité des hommes et de raffermir leur prise sur les femmes.
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Pourquoi les romantiques ne sont jamais heureux en amour ?
Mórrígan a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Tout à fait, c’est ce qu’il fallait comprendre en filigrane. Mis à part quelques auteures britanniques et peut-être une poétesse grecque, qui inspira le saphisme, très peu se sont exprimées quant au romantisme auparavant, à travers la littérature, les arts, plus en général. Encore une fois, ce mouvement n’a rien inventé, c’est pourtant le modèle, la référence... qui limite. Nous ne sommes plus obligés de souffrir au travers un mariage de raison (où il était question surtout d’alliances familiales, de protection en échange de richesses, de terres, de titres... ) et une passion pour un amant et une maîtresse qui nous consume. Les conventions sociales d’autrefois et la religion ont fait de nombreux malheureux. Nous nous sommes détachés de tout cela. Nous sommes plus libres maintenant. Nous pouvons choisir. Dès à présent, vivons. Le voyageur contemplant une mer de nuages... Ce tableau n’est-il pas quelque part, autobiographique ? Il est un peu roux tout de même. Plus que de souffrance, j’y verrais un certain narcissisme (contraire au masochisme, à la soumission). J’avoue ne pas être très sensible à la culture allemande, même tant il s’agit de romantisme. Il y a quelque chose (à mon goût) d’affreusement ostentatoire. La langue est crachée. La musique est ronflante. Tout est dans la démonstration. J’ai plus d’affinités avec Monet et Debussy, pour exemples, plus pastels, plus doux, plus apaisés... tous en retenue. La solitude, la méditation sont très positives, elles permettent de se re-connecter avec soi-même mais aussi avec autrui (contre toute attente). Narcissisme. J’ai toujours détesté cette idée de la Femme, mi-biche mi-fatale, qui mène invariablement le preux chevalier, à sa perte. Il y avait peut-être une autre lecture à en faire... mais comme ces histoires ont été écrites par des hommes, forcément. Ce serait là une régression. -
C’est à dire que les espagnoles ont le regard noir, dur. Ils fixent, elles fixent, jusqu’à ce qu’ils baissent les yeux et n’osent plus les relever. Ce seul regard suffit, en général, à faire ravaler leurs dents aux indigents. C’est très efficace, j’ai le même. Je ne souffre pas d’achromatopsie, voir le monde seulement en noir et blanc doit être excessivement ennuyeux. Il y a toujours eu un souci avec la religion et le corps des femmes, puisqu’elles s’est octroyée un droit de contrôle sur celui-ci... depuis genre, ses prémisses. L’infériorisation du féminin est le leitmotiv des religions patriarcales, et pas seulement de l’Islam. C’est un souci de l’extrême-droite : faire mine de ne pas voir la poutre XXL qu’elle a dans l’oeil.
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Pourquoi les romantiques ne sont jamais heureux en amour ?
Mórrígan a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Ce qui sous-tendrait que le romantisme est une soumission, un effacement, l’oubli de soi... un avant-goût de la mort, en somme. C’est peut-être ce que des auteurs ont exprimé au travers des œuvres poétiques, littéraires, artistiques... classiques. Des hommes de leur temps... Scenarii faits de héros qui ont laissé leur vie leur échapper, avant parfois de se ressaisir, pour une happy end, comme on peut le voir chez Jane Austen, notamment (Orgueil et préjugés). Tant il s’agit de romantisme, on pense à Hugo, Chateaubriand , Stendhal peut-être, très peu à des auteures finalement, si bien que certains ont longtemps pensé que le romantisme était strictement masculin (avant de concéder aux femmes de pouvoir être fleur bleue, nunuches modernes dopées à Dirty Dancing... vous prendrez bien nos miettes, romantisme connoté plus negativement). Tous ces auteurs et artistes étaient des individus d’un autre temps, avec une vie plus âpre ou des codes qui divergent de la société actuelle (mutisme des femmes, mariages de convenance etc...). Il semblerait que nous laissions aujourd’hui ce modèle de romantisme fait de contraintes, au profit d’un romantisme plus joyeux, plus solaire. Peut-être que ce dernier a toujours existé, qui sait ? Des chanceux. En cela, je ne suis pas en accord avec le titre du sujet, sa problématique. Il y a une autre alternative, effectivement. Merci pour ce lien ! Plein de bon sens. -
Sauf erreur de ma part, les tentatrices et autres pécheresses Jezabel, Dalila et cie, sont narrées dans l’Ancien Testament. Anne Soupa (Soûla, c’est quand vous forcez un peu trop sur le vin de messe) est plutôt branchée vie du Christ, d’après ce que j’en ai lu pour le moment. Que dire du topic, sinon qu’il était inquiétant que le sujet topless édition été 2020 se soit fait autant désirer ? Si vous interdisez le topless pour les plus de 60 ans, autant l’interdire définitivement, puisque la grande majorité des pratiquantes a les seins qui tombent (le reste tient de la blonde à forte prothèse). Et profitons-en pour interdire les plages à ces messieurs qui n’entrent pas dans le moule de l’Adonis (ventres à bière, poils frisés même dans le dos, calvitie etc...). Pas de raison pour que ce soit les mêmes qui s’amusent (hé !). Les enfants font ce qu’il est des plus simples à faire : discriminer (différencier) : « Maman ne fait pas de monokini, mais la dame à deux rangées, oui. Pourquoi ? Ça me met mal à l’aise, je ne suis pas habitué ». Il faut à tout prix démystifier. Le vivre ensemble c’est tolérer que des femmes fassent du monokini alors que la loi les autorisent à le faire. Quand on n’aime pas cela, on tourne la tête, ou bien on change d’endroit... les plages sont bien assez grandes pour ce faire. De moins en moins de femmes pratiquent le topless, on en voit très peu. Peut-être un peu plus sur les plages ibériques. C’est à se demander s’il passe de mode, en France, ou bien si les regards insistants, trop pesants de certains hommes ne sont pas venus à bout des moins pudiques (et tant pis pour les traces de maillot). Ceci dit, même en gardant le haut, on se fait reluquer. Ces hommes ont des radars à nénettes, ils lockent même avant que la fouta soit posée sur l sable et qu’importe si on est accompagnée (RAF). Dans l’idée, les plages sont délaissées au profit des piscines privatives et les plus chanceuses ont un chéri qui a le permis bateau. Il faudra un jour que ces hommes s’interrogent sur leur regard. C’est franchement fatigant.
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Pourquoi les romantiques ne sont jamais heureux en amour ?
Mórrígan a répondu à un sujet dans Amour et Séduction
Non, ça c'est le principe du masochisme. -
Le gibier reste fort en bouche, tout comme la viande faisandée, infestée de mouches, vendue en bord de route dans les campagnes de Buenos Aires... et pourtant il est tout à fait possible d'apprécier un filet de coeur de boeuf ou un suprême de volaille de Challans. Il ne s'agit pas d'être chasseur pour apprécier la viande (et fort heureusement). Personnellement, je préfère consommer moins pour consommer mieux. J'observe qu'aller au marché et chez son boucher ne revient pas plus cher, par contre il faut se déplacer, marcher, apprécier le moment (ce que les gens ne savent plus faire). Libre à vous de tenter l'aventure moléculaire. La table de Marx (pas le rouge) est tout à fait remarquable à ce propos. Tous ces plats en sauce, trop riches en lipides, avaient une utilité alors que les hommes et les femmes devaient accomplir un travail physique, aux champs, en mer... Aujourd'hui et à votre âge, il serait temps de basculer vers un poisson au four et une petite salade de tomates (sans vous venger sur l'huile d'olive). Ah mais c'est certain. Que vous aimez la cuisine vintage, c'est une chose. Le prosélytisme pro-chasse, en est une autre par contre. Et votre biscuit roulé à la confiture, plein de gras et de sucre, non ? Le Kouign amann, non Plus ? Que dire des consommateurs qui trempent des tartines de saindoux dans leur café ? Et qu'est-ce qui nous dit que les chasseurs alors qu'ils se fournissent en huit six -qu'ils abandonnent aux abords des champs et en lisière de forêt, ces porcs- n'en profitent pas également pour dévaliser les stocks de Père Dodu, en lousdé, pour le repas du samedi soir ? Le merlan style fish and chips de Stéphanie Le Quellec, une vraie enculerie ! (spéciale dédi @DroitDeRéponse).
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J'ai dû le regarder en plusieurs fois. Trop bouleversant.
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Il existe aussi des supporters, "ultras", à sensibilité d'extrême-droite. J'avoue que ceux-ci restent pour moi un mystère -le football réunissant des joueurs issus de l'immigration- autant que les phénomènes aériens inexpliqués, ou encore l'enthousiasme et l'admiration que peut génèrer Aya Nakamura. Une personne qui ne regarde pas le foot, n'aime pas le foot, ne portera un de ces horribles maillots pour rien au monde.
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J'ai pensé à toi, qui ne vois pas bien : La vidéo est beaucoup plus courte, nous pouvons y voir tout de même des individus porter des maillots "Zidane", et encore "MBappé", d'après toi, sont-ils supporters de patinage artistique ?
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Sans parler des injonctions à la virilité à l'endroit du petit Kyllian : "Arrête de jouer comme une tapette !". Ce sport concentre un grand nombre de malappris et de beaufs. Ça ne fait pas plaisir aux supporter, néanmoins c'est comme ça.
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Bonjour Paul, Oh vraiment ? Diffusée en Grande-Bretagne lors de la compétition de 2014, ce spot a été réalisé après la parution d'une étude de l'université de Lancaster mettant en avant la hausse des signalements de faits de violence conjugale les soirs de matchs. Un constat plusieurs fois rapporté par les associations de prévention. Dont le centre national pour la violence domestique britannique, qui publiait dernièrement une nouvelle affiche: "Si l'Angleterre est battue, elle le sera aussi". https://www.lexpress.fr/actualite/societe/les-violences-conjugales-augmentent-elles-les-soirs-de-match_1984857.html Simple constat. Qui peut s'expliquer par différents facteurs (sport populaire, de beaufs, supporters sous l'empire de l'alcool et/ou des drogues etc...). Les mêmes hausses de violences sont constatées lors du Superbowl, qui amasse aussi quantités de beaufs qui aiment s'alcooliser. Ce qui est inquiétant, c'est qu'il n'a jamais été possible d'avoir un échange intelligent - intelligible parfois- dépassionné... sans voir une tripotée d'indignés nous tomber dessus : le football est une vache sacrée et c'est loin d'être normal. De plus en plus de femmes sont supporters également et hélas, pas plus intelligentes. Il y a peut-être deux ans, lors d'une victoire -quelconque à mon goût, les fans sauront exactement de quoi il s'agit- des vidéos de femmes perchées sur des épaules et torse nu se faisaient peloter par tous les heureux supporters passants. Ça me donne envie de "romir", comme dirait la "petite Yvonne" (5 ans aujourd'hui). D'autres étaient perché(e)s également dans des arbres ou au sommet de lampadaires. Juste après la défaite dimanche soir, le petit-fils du voisin avec lequel je partage -malheureusement- une allée, surnommé "Jean-Kevin" par mes soins (et encore DJ Eustache quand il saoule avec sa techno pourrie), accompagné de ses petits camarades du catéchisme, se sont sentis obligés de nous faire partager toute leur frustration en tambourinant sur des poubelles à emballages à recycler en gros slips... Encouragés par de futures MST (NDLR Mocassins Serre-Tête), poussant des cris mi-guenons mi-chèvres. @no-commentappréciera ce fort joli tableau. Ce n'est pas non plus souhaitable. Une idée : parce qu'il s'agit de leur voiture, de leur commerce, de leurs commerçants, de leur quartier, parce que cela les touche directement. Un sport ne devrait générer de tels emballements et de telles violences. Mémère blasée que vous êtes, vous voyez cela depuis votre écran.