Mórrígan

J’aime particulièrement l’idée, de m’imprimer en négatif sur certaines interventions comme vous l’écrivez, et préfère me distinguer sur certaines autres *clin d’oeil*

Pas que pour des hommes, et ils ne le méritent jamais de toute façon. Dans un monde idéal, les femmes ne devraient être en compétition que lors d’un événement sportif, pour une ascension professionnelle, ou même un mascara. Jamais, jamais, pour un homme. C’est stupide.

Je suis heureuse d’être toujours dans vos pensées Swam, si vous pouviez cependant avoir l’extrême galanterie de ne plus écorcher l’orthographe de mon pseudonyme.

Des signes ? Alors... Bien des personnes font lit à part, seulement parce que l’un et l’autre ronflent et qu’ils ne supportent pas l’un et l’autre, de ne pas s’entendre ronfler ; ce qui ne les empêche pas pour autant de s’aimer. J’en connais au moins une demie-douzaine. Quid de ces couples qui marchent très bien et ont choisi pour mode d’en vie le « chacun chez soi » ? Pour ma part, le signal d’alerte, c’est de ne plus supporter « le toucher » de l’autre. Un simple toucher, une main sur un avant-bras, une caresse dans les cheveux qui crispent...quand l’amour n’est plus là.

Il faut enseigner aux femmes à reconnaître leur propre misogynie, tout simplement. Nous pouvons toutes coexister. Ça t’apprendra à pratiquer le tourisme sexuel mondialisé tarifé et de choisir l’ouverture au cosmopolitisme des maladies vénériennes.

Il n’existe pas de sororité magique et universelle. Toutes les femmes ne sont cependant pas misogynes.

Et il s´accroche l’andouille... Désolé, tu peux l’être. Que vais je bien pouvoir faire de toi ? Je suis certaine déjà que tu n’es même pas fichu de donner du plaisir à un trou de taupe.

Eh non pas que les mesdames, les hommes progressistes existent aussi...et élever un enfant, c’est quand même mieux à deux.

Tu couines toujours donc...Es-tu plutôt spécialisé dans le couinement façon « délivrance », au regard de ta virilité ? Allez « coucouche panier » !

Je pensais davantage à ces horribles chihuahuas, ou autres « Swifer » à mémère, si petits mais fort en gueule, que l’on doit se forcer à savater, afin qu’ils lâchent le mollet.

Point trop n’en faut. Je vais me sentir obligée de te rosser sinon, et tu vas couiner, comme d’habitude.

Et Pep psy créa... un enième mur des lamentations. Vous avez raison : allez vous cacher. La libération de la parole des femmes était plus que nécessaire. Elle l’est d’autant plus, pour les victimes, qui ont besoin de verbaliser, afin d’aller vers une reconstruction, si elles le peuvent encore. Ce sera un long chemin de croix, tant les hommes ont tendance à verser dans le tragique quand des actes condamnables d’hommes -d’autres hommes- sont dénoncés, allant parfois même, de façon des plus dégoûtantes, vers le fraternalisme excessif. Continuez ainsi, sabordez, le féminisme a encore de beaux jours devant lui. Bien que femme, à votre différence, je ne m’engagerais pas trop sur le fil, au nom de la Femme, ni même à écrire à haute voix des prédictions qui resteront, en toutes façons, hasardeuses. Ce qui fait que nous sommes un genre si attachant, et fait parler de nous, ce sont nos différences, avec vous autres, avec nous-mêmes, et inversement (que l’on ne m’accuse pas encore de féministe par omission). Je me garderais bien d’émettre des hypothèses sur ce que veulent « les » femmes, je pourrais par contre en émettre sur ce que veulent « des »femmes. Il existe autant de mouvements, lobbies féministes que de couleurs de vernis à ongles, assez pour que l’on puisse se sentir proche de l´un, ou d’aucun. Pour autant si tous sont censés représentés les femmes, donc me représenter aussi, je m’octroie le droit d’être un peu d’accord, pas tout à fait d’accord, pas toujours d’accord, voire pas du tout d’accord. Personnellement, je refuse d’être un homme comme les autres. Je ne suis pas un homme, ne pense pas comme un homme et ne penserai jamais comme tel. Je viserais plutôt l’humain, que le genre. Chacune fait ensuite comme elle le souhaite, ou le sens. Hommes, femmes ont été élevés dans une société misogyne. Il serait difficile, dans le fond, d’en vouloir tant aux lacrymâles qu’aux femmes misogynes, même si ce serait parfois très tentant, ou trop tendance. Il n’est pas possible d’éléver les gens dans l’eau chaude et se plaindre ensuite quand ils ont froid. Notre société n’est pas seulement un peu misogyne, elle est l’est effectivement totalement. Voyez comme une joggeuse peut arrêter si subitement d’être sympathique et même victime quand on apprend qu’elle a subi un féminicide... dès lors elle devient la pire des femmes et même parfois, bourreau. Nous assistons actuellement à un conflit des générations, pro patriarcal contre progressiste, à mon sens. J’espère sincèrement que nous pourrons arriver tous à nous réconcilier, en tirer des leçons et à aller de l’avant. Maintenant que la parole a été libérée -et cela reste bénéfique oui- il serait bon de ne pas stagner, de construire, ensemble. Pour une fois que tu n’es pas une chiffe molle, c’est agréable.

Oui oui et passons aux accompagnements : Henri le radis, et Agathe la tomate aussi... Vous avez l'air et tout le monde connaît la chanson. Mais cessez donc vos tartufferies ! Je vous vois mal, en passant, dans le rôle de Rahan, à gambader après les cervidés, les 36 gniards en bandoulière réclamant à becqueter. Et puis, le vendredi, c'est Captain Igloo, chez les cathos, n'est-il pas? Il n'y a pas de débat, ou dans le fond de la chose, c'est plutôt un débat de con. Pourquoi ne pas le faire ? Tout simplement, parce que le cerf n'est aucunement un nuisible, a contrario des sangliers ou des ragondins. En terme de régulation des populations, les chasseurs sont plutôt à la ramasse, abus de gnole sans nul doute. On ne peut pas être partout, descendre un gosse ou un sanglier... il faut choisir. Des ragondins ont établis leur campement près de chez moi, et ils ne sont plutôt pas de bonne compagnie, pour autant je ne projette pas d'aller les plomber pour m'en faire un manteau.

À mon goût, un des seuls morceaux supportables pour la période >

Et vous ne croyez pas qu'il y a justement suffisamment de massacres comme cela ? Pourquoi faire alors davantage dans le sanguinolent ? Si ces pauvres gens aiment tirer, qu'ils fassent du balltrap ou du tir sportif, c'est autrement plus ardu et plus noble ; sinon ils peuvent toujours tirer mémère. N.B : je suis plutôt piscivore. Ces pauvres ti poissons, je sais.

« Le maître d’équipage, qui a tué l’animal, est privé de chasse pendant un mois, ainsi que ses acolytes. Il est également suspendu de ses fonctions jusqu’à la fin de la saison, en mars » Très dissuasif. C’est superbe, majestueux un cerf. Je ne comprendrai jamais les chasseurs.

Quelques clichés de l’Écosse (février 2017) >