Mórrígan

La démarche est purement et simplement eugéniste, même si Robert Klark Graham s'en est défendu. Toutefois, les conclusions sont intéressantes... de là à trancher pour le tout culturel. Ça me fait penser à cette réflexion sur le caractère supposé héréditaire du talent musical et l'arbre généalogique de la famille Bach, que l'on brandit en toutes occasions.

Mon Dieu ce que vous êtes cyniques... Pensée positive et loi d’attraction. Il n’y a pas de miracles, juste à constater que les personnalités « solaires » sont bien plus attrayantes.

D’un côté un chefaillon se voulant monarche, aussi chétif que délétère, de l’autre des manifestants abêtis et alouvis... dire que les uns et les autres sont censés être représentants du peuple. What a pity.

Si jeune, une grande voix et une dentition catastrophique aussi :

Je ne connaissais pas ce morceau, merci pour le partage Yokkie.

Encore vous ? *sourire* À partir du moment où ces écrits sont soumis aux votes, il s'agit donc effectivement d'une compétition. Ou soupirer peut-être ? Chacun fera bien ce qu'il a envie de faire. Écrire, lire ou aucun des deux.

Les écossaises toutes obèses ? Plaît-il, mais vous avez créché où ? Dans un centre d'amaigrissement ? Le mars fried est la spécialité d'une ville (Édimbourg), pas de toute l'Écosse. Dans le Nord, je n'en ai pas vu, personnellement, en fait nulle part ailleurs qu'Édimbourg ou Glasgow, et il y a tellement plus à voir. Le saumon est appréciable, pour le reste, il est vrai que l'on est plutôt heureux de retrouver le sol français. Le produit est brut dans l'assiette, peu travaillé, pas vraiment valorisé, les associations et les cuissons pas toujours maîtrisées ou heureuses. Pas compris l'utilité du rail de poivre dans l'assiette, vu dans plusieurs établissements chics, en guise de décoration non plus.

Ça fera 200€, je n'accepte ni les tickets restos, ni les Kadéos, merci !

"Monsieur" est donc victorgueilleux ? *sourire* À vous lire, vous donnez plutôt l'impression de subir, de ne pas être pleinement convaincue vous-même, ou de devoir accepter afin de pouvoir garder un peu cet homme. Peut-être êtes-vous maladroite dans vos mots et heureuse dans la vie, peut-être qu'il s'agit simplement de troll, quoi qu'il en soit, et à tout hasard si non : ne subissez jamais l'autre, ce ne sera qu'une perte de temps. Être en addiction totale à l'autre n'est jamais sain, d'autant s'il ne vous traite que comme un numéro parmi d'autres. Vous avez le droit d'être pleinement aimée, le droit au romantisme, aux papillons dans le ventre, à la douceur, à la chaleur de ses bras tous les jours -et non juste les jours pairs- à son odeur -et pas la sienne mêlée celle d'une autre- aux petits mots d'amour laissés tous les matins sur son oreiller quand il part travailler, aux retrouvailles le soir, à ces moments où on se raconte la journée, aux rires, à fonder une famille et toutes ces choses qui ne viennent pas en tête tout de suite maintenant.

Est-ce que cela vous convient vraiment vraiment ? Si oui, tant mieux, si non les hommes ne manquent pas. Pensez à vous avant toute chose, personne d’autre le fera pour vous.

La gastronomie fait partie de notre patrimoine culturel, logique que cela frictionne, un peu. Si certains ne veulent pas le proposer et d’autres ne souhaitent pas le demander, quel est l’interêt de forcer la main de tout à chacun ? Prévoir des quantités plus justes pour le restaurateur semble plus avisé. Éduquer le client également. Aucun plaisir à se bâfrer avec de la nourriture de cantine ou du Tricatel. Honte de demander ses restes dans un grand restaurant ? C’est effectivement la honte, toutefois, cela ne viendrait même pas à l’idée des clients de le faire (si certains le font, ils restent des exceptions) quand il reste quelque chose, tout étant savamment orchestré jusqu’aux quantités. Savoir vivre et éducation peut-être ? Il me semble que ces petits oiseaux étaient engraissés, noyés vivants dans l’armagnac, puis passes en cassolette. Barbare. C’est interdit dorénavant et c’est une très bonne chose.

Ou pas ! Pourquoi être si peu exigeante avec l’autre quand on l’est extrêmement avec soi-même ? Vous avez toujours le choix.

La vidéo m'a été réclamée, je rends service *sourire*

Ce n'est pas tant une question de se sentir importante. Vous êtes très partageuse, et il faut avoir envie de n'être aimée que très partiellement, d'autant que vous n'avez pas tant de bénéfice puisque vous n'en faites pas de même. C'est rebutant pour moi. Plutôt cérébrale, et je ne supporterais pas qu'un homme me touche tout en sachant qu'il en a culbuté une autre 2h avant, et qu'il en fera de même 2h après. Ce n'est que cela au final la polygamie, des histoires de sexe, peu d'amour. Un dominant et des dominées. Effroyable.

Vous faites comment ?

Pourquoi, dans un cas de polygamie, ils ne le sont pas ? Bonjour Promethée Hadès, Eh bien au moins le vôtre avance (certains courent avec leur chien attaché en ceinture). Quand je promène le mien, il se couche par terre au bout d'un moment et je suis obligée de le porter le reste du chemin... Cette feignasse d'anglais. Note : je parle de mon chien, pas d'un homme. Ce genre de pratique ne va pas que dans un sens (hélas !).