Mórrígan

Alors, alors, pas très fan des vieux films, d'ordinaire. Là, il faut avouer que même avec peu de maquillage et sans effets spéciaux, c'est plutôt angoissant. Ce que j'adore dans ce genre de film, par contre, c'est la presqu'absence de réaction : un mort vivant s'accroche aux cheveux de la victime, conséquence : agite les bras dans tous les sens et "Aaaaah"! Non mais pars en courant ! Agite les bras : "Naaaaan". Prémisses du film d'horreur. Aujourd'hui toutes les victimes -ou presque- luttent un minimum. Dans The Walking Dead, en plus de savoir courir, les protagonistes se servent remarquablement bien d'une pelle ou d'un fusil... sacrée évolution.

Pourquoi écrire là en termes de justification ? Les couples dialoguent, enfin c'est mieux quand ils le font, ça fonctionne bien comme cela.

C'est très ciblé. Il ne s'agit pas de s'attaquer à n'importe qui, mais à nos forces de l'Ordre. Je me fiche éperdument que des types souhaitent se donner des airs de Tony Montana pour ensuite faire de l'huile quand cela tourne en eau de boudin (et d'ailleurs cela fait assez pitié) et ne trouve, de toute façon, pas cela très drôle. Il est rassurant de voir que tout le monde ne suit pas ce "pauvre garçon", ou ne le prend pas en pitié, que des citoyens s'indignent encore.

Les réseaux sociaux sont fabuleux pour la propagande, sans doute pour cela, que nos politiques les ont choisis afin d'influencer les votes, ou pour communiquer au peuple tout simplement. Sonner aux interphones et prendre la fuite. Lancer des bombes à eau. Jouer avec de la farine dans la cour du lycée ou que sais-je encore... Rien à voir ici avec une "blaguounette", de l'humour potache, c'est un appel à la haine, dont les cibles sont encore nos forces de l'Ordre. Nos forces de l'Ordre sont déjà assez considérés comme les paillassons de la République, par le citoyen lambda. Nous devrions nous estimer heureux qu'il en reste encore quelques uns, assez altruistes ou assez fous, pour servir le peuple. Alors si des "petits génies", en plus, lancent ce genre d'opérations sur les réseaux sociaux... Tout le monde est à cran en ce moment, à raison, et nous n'avons franchement pas besoin de cela, en plus. Espérons que cette lumière, ne s'en sorte pas comme si de rien. Un stage dans la police, afin de lui faire ressortir l'empathie, ne serait pas plus mal.

Les premiers se passeraient bien volontiers des seconds. Une fange de la population est animée par un goût pour la conciergerie, qu'il s'agisse d'un sujet si basique ou de bien d'autres choses. Simple constat. Ce sont aussi ceux-là, "invasifs", qui demanderont sans gêne, et même au sortir de la maternité, aux parents : "Quand est-ce que vous lui faites un petit frère ou une petite soeur à cet(te) enfant ? " et ajouteront très sûrs d'eux "Il/elle s'ennuie déjà". Sans rire, qu'ils se détendent avec ça. Les étiquettes ne sont pas si dérangeantes. C'est ce que fait toujours l'humain. Discriminer, au sens premier, pur, ranger. C'est rassurant, ordonné, cela permet d'y revenir au besoin plus tard, de remettre, situer. Ce qui est plus dérangeant, une fois qu'ils ont ouvert les tiroirs, c'est qu'ils y ajoutent ensuite inférences rapides, sauvages, jugements, fausse empathie et j'en passe et des meilleures. C'est vite le bazar et un vide-dressing est alors plus que nécessaire. Le jeu social, c'est de vivre parmi les cuistres et d'y survivre. Justifier est exclu, c'est ce que j'écrivais plus haut, déjà, on peut s'en amuser, par contre (c'est bien là le but du sujet,semblerait-il). Et ainsi soit le cycle de la vie et de la mort. (Je ne suis pas trop branchée Roi Lion, Hakuna Matata et toussa, j'y ai échappé, plus ou moins. De mon temps, nous regardions Taram et le Chaudron Magique, Peter et Eliott le dragon et consorts *fait craquer ses vertèbres*).

Merci jeune fille. Il est à craindre qu'il ait entraîné du monde dans sa "blague" (ce sont ses termes), certains n'ont pas besoin d'être trop poussés, et sur les réseaux sociaux tout se répand comme une traînée de poudre.

Méchanceté et jalousie ne sont pas l'apanage des beaufs, ce sont des traits de caractère simplement humains. D'expérience, je l'ai constaté chez différents profils, même les plus distingués, pour un promotion, pour une femme, pour un homme...et même pour une babiole. Avez-vous eu un retour, quant à leur ressentiment envers vous, des raisons évoquées (ce serait complètement gratuit ?) ou bien êtes-vous seulement dans un cercle des croyances ? Loin de moi, l'idée de vouloir me faire l'avocate du diable, néanmoins à travers votre récit, vous êtes hostile, vous l'étiez même par avance. Quand bien même, vous n'êtes pas tenue de vous entendre et d'aimer ses amis, sa famille. L'inimitié existe et subsiste. C'est plus facile si tout le monde s'entend, évidemment. Sinon, laisser aussi à l'autre (et en toute circonstance d'ailleurs) la possibilité d'exister aussi en dehors du couple, ne me semble pas si délirant ou si déraisonnable (vous êtes en quête d'avis). Vous vous demandiez si vous n'auriez pas mieux fait d'insister purement et simplement afin qu'il ne les voit plus... Dans la situation inverse, comment est-ce que vous vous pourriez réagir à ce genre d'interdiction (ce n'est ni plus ni moins que cela, une interdiction) ? Nous serions tenté(e)s de vouloir tout contrôler dans la vie, ce n'est pas toujours possible, et pas toujours bon, non plus. Ce qui me paraît inquiétant pour votre couple, à votre lecture, c'est que vous écrivez à un moment, que vous avez été surprise, plus encore, déçue que votre conjoint puisse avoir un tel entourage, qu'il est différent quand il est avec eux, que vous lui avez découvert un visage différent, l'imaginer avec eux vous écoeure... Et l'on s'aperçoit à ce moment-là que "Charmant" peut aussi porter un "marcel", boire des 8.6 et rire à des blagues graveleuses. Le danger ce sont les ruminations, comme ce qui importe c'est votre couple, vous devriez en parler, démystifier peut-être avec votre conjoint (plutôt qu'avec nous). Vous semblez avoir besoin d'être rassurée, beaucoup (je me trompe peut-être).

L’initiateur de la « blague » flippe grave, maintenant. Tant mieux, tant mieux. Je viens de regarder la vidéo et me demandais, qu’est-ce que c’est une « mif » ? Quelqu’un aurait un décodeur ?

Bonjour, Je compatis vraiment. Qui n’a jamais été parachuté(e) au milieu d’un groupe d’individus qui ne nous correspond pas, voire pas du tout ? Vous êtes la nouvelle venue, observée, vous vous êtes sentie jugée... L’hôte fait en général son possible pour mettre tout le monde à l’aise. Je vous assure que le/la conjoint(e) d’un(e) ami(e) n’est pas fait(e) pour nous plaire, qu’un ou une bon(ne) ami(e) sera heureux/heureuse quoi qu’il en soit, pour son ami(e), tant qu’il ou elle est épanoui(e) avec l’autre. Je n’ai moi-même pas beaucoup de sympathie pour les hommes qui rotent à table ou ont le rire gras, ou encore les mégères qui vont me yeuter de haut en bas puis de bas en haut et continuer quelques temps leur manège. J’essaie en général de me focaliser sur l’ami(e) et aurais plaisir à le voir seule ou bien voir une relation mal embouchée, évoluer sur au moins de la politesse, voire d’un peu de tolérance. C’est une belle brochette de franchouillards que vous nous décrivez là (portés sur l’alcool, vulgaires). Il n’y a rien de spécial à prévoir pour un(e) végétarien(ne), ils/elles se contentent en général très poliment d’un accompagnement, si l’hôte n’a pas été prévenu du régime alimentaire. Tout le monde n’a pas ensuite l’art de recevoir, ou ne s’embarrasse de l’autre. Il n’y a pas de débat, tant qu’il n’y a pas de prosélytisme. Quant à savoir quoi faire, ou vos interrogations, et puisque vous demandez des témoignages, il n’y a pas besoin de demander à un homme amoureux, ou de lui faire promettre, d’une part, de faire cesser ou prendre votre défense, au besoin. À moins que ce ne soit un soumis ou un sans caractère, il le fera de lui-même. Ensuite, d’autre part, l’ultimatum, qu’il s’agisse d’amis ou de famille, n’apporte jamais rien de bon. Il pourrait, à terme vous en vouloir et trouver cela gonflé et gonflant, surtout si de l’autre côté il n’y a aucune remarque. Pas très fin. Un couple évolue souvent ensemble, si un sillon ne se creuse pas avec ses amis actuels, vous vous en ferez peut-être de nouveaux ensemble, que vous aurez plaisir à inviter à dîner et inversement. Il est possible qu’il ait aussi un jour l’envie d’inviter ses amis à lui, pour un événement, en particulier, et vous n’y couperez malheureusement pas (les yeux du chat potté, on y résiste pas). De ce que j’en sais, les beaufs ne sont pas vraiment méchants. Très portés sur la rigolade, ils sont très capables de vous offrir un moule en silicone en forme de phallus, à la place du traditionnel bouquet de fleurs, afin de choquer la bourgeoise. Ce qui fonctionne le mieux, par expérience, c’est de les prendre à leur propre jeu : qu’à cela tienne, j’ai toujours une tablette de chocolat dans mes placards, une recette de Lignac rapide et en légère surcuisson afin de démouler facilement le « Bouba cake » (comme ils le nommeront plus tard). Ils auront eu leur moment de franche rigolade, à leurs frais, se seront pris en photo avec le gâteau. Je déguste ma pavlova, tranquillement, ainsi que les autres invités. Les métaphores créatives et exotiques fonctionnent aussi plutôt bien, avec le sourire commercial qui va bien. Au bout d’un moment, vient le respect. La première chose que j’évite de faire dans ces cas-là, c’est surtout de me mettre la rate au court bouillon. Vous vous aimez, c’est ce qui importe. Le reste, c’est de la littérature. Ne vous laissez pas bouffer par ce qui importe peu.

Je le pense aussi, pour tout ce qui relève de l'adulte en devenir et de l'apprentissage, et au moins. Est-ce que tout le monde, aime les enfants en général (comme vous, si je vous ai bien lu), ou bien est-ce qu'une partie aime des enfants en particulier (comme c'est mon cas) ? Chercher dans le tout culturel, ne me semble pas non plus être la solution, la vérité est sûrement ailleurs. Mais oui, tout est fait pour que les individus se reproduisent, ils sont fortement encouragés à le faire et quand certains ne veulent le faire, cela peut créer une discordance voire un inconfort, chez d'autres. Justifier mon premier message, si vous voulez et s'il faut préciser, justifier ensuite, dans un sens ou dans l'autre, ce qui relève d'un choix personnel, ce qui ne devrait intéresser le quidam, ou ce qui devrait intéresser plus le/la conjoint(e) que le quidam...? Comprendre l'humain, son évolution, me semble être plus intéressant. NB : pour le vouvoiement, j'ai précisé qu'il s'agissait d'un vous général. Il est vrai, ensuite, que je me force peu, ou que je ne force rien. C'est feeling, pas forcément signe de respect ou d'irrespect non plus mais cela peut se débloquer, à force d'échanger aussi. Deux choses différentes : - Être dans la norme/ne pas être dans la norme point. - Être dans la norme virgule "mais vous êtes combien là-dedans ?", "tu as une passion pour la cuniculture ?" (1)/ ne pas être dans la norme virgule "mais qu'est-ce qui ne va pas chez toi ?", "tu as été élevé(e) avec les loups ou alors tu as été violé(e) par un ours dans ta prime jeunesse céssa ? Attends, attends tu es heureux/heureuse comme ça ? Non ce n'est pas vrai. Ton oncle c'est aussi ton père, et ta mère, ta cousine ? Ah je le savais, je le savais !". Discrimination (au sens premier) vs discrimination (au sens second). En ce qui concerne l'option 2, tout est évidemment motivé par la peur, à l'instar d'un racisme ordinaire, et je vous laisse deviner qui sont les plus peureux. "Louis, Paule, venez ici, que je vous tâte ! J'ai eu si peur, vous êtes bien là, fruits de mes entrailles, le mal ne pourra pas me contaminer" (non finalement, je n'avais pas envie). Note : Quand vous donnez la vie, vous offrez par la même, la mort. (1) rien à voir avec une excitation buccale, promis.

Je pourrais le réanimer, allons savoir. Allez je vous en dédicace une (je suis sympa) et ne vous connaissant pas, vous le prendrez comme vous voudrez (je suis sympa bis). Bienvenue sur FFR !

C'est super marrant votre jeu. Attendez, j'essaie à mon tour : je choisis la lettre A. @a -mon -avis (aaah tant pis pour toi) c'est le premier et j'espère bien que c'est un homme ou sinon que la dame en a, sinon ça tombe un peu à l'eau :

On s'connaît ?

Vous n'y entendez rien mais voudriez tout de même, bah oui, c'est le drame. L'astrophysique, je n'y pipe que dalle, j'aimerais bien aussi, je laisse à qui de droit. Simple. Deux seuls professionnels ont argument en la matière : le psychologue et le psychiatre. Tous deux suivent aussi un cursus universitaire et validé par un diplôme d'état. Seul le psychiatre est habilité à délivrer des médicaments, c'est le seul médecin. Derrière l'acronyme "psy" vous pouvez ranger tout et n'importe quoi. Un psychologue peut aussi être psychothérapeute (la formation étant dispensée par une école) en général ceux-ci s'orientent difficilement vers une "formation en massage bien-être" en sus. Je suis diplômée en psychologie, j'aime les Exotic Shorthair et les Mont Blanc aussi, ah oui et je suis O+ et vous ? Vous êtes trop mignon sinon, je fais un imprim' écran de suite, afin de le suspendre sous le nez virtuel de tous les intervenants m'accusant d'être "ironique", "sarcastique" et "sadique" aussi. Prescription d'une séance via mp, quoi qu'il lui aurait davantage fallu quelque chose contre la diarrhée. Ah oui, vos analyses, bah c'est de la merde (très premier degré, my pleasure), revenons-en au sujet. Vous préférez un bisou ?

C'est vrai que je pourrais aussi vous regarder tabasser un pauvre bougre virtuellement, en collectif, et en tirer quelques leçons de style... mais ma foi, je suis du genre rabat-joie. Méthode @holmberg, faut vous arranger avec lui si cela ne fonctionne pas. Absolument pas. C'est une idée que vous vous faites, et mériteriez un point Caliméro d'ailleurs.

Un mouchoir ? Il y a des hommes tout à fait charmants sur FFR, au milieu d'une majorité de cuistres et de lacrymâles, certes. Vous êtes bien mal tombé, je ne suis pas trop branchée gourou, et s'il fallait en choisir un, ce ne serait surtout pas Soral. Cet... ce... """philosophe""" manque de sensibilité tant sur le plan de la (géo)politique que les questions sociétales, à mon goût. Ses élucubrations sur les femmes sont souvent assez répugnantes. Surtout pas "psy", je ne fais pas dans la réinstauration des chakras au moyen d'huiles de massage et de bougies au jasmin. Si vous voulez un diagnostic, allez donc consulter le psychologue ou le psychiatre, de votre bled.

Je le connais, je l'ai pratiqué, je lui ai déjà écrit à maintes reprises d'arrêter les généralités, et ne suis d'ailleurs souvent pas en accord avec lui. Je n'écris jamais "psy" de mon propre chef, derrière ces 3 petites lettres se cachent les plus beaux profils... de charlatans. Ça c'est bon pour les adeptes de Doctissimo ou Voici/Gala/Closer. Vous imaginez pleins de choses, c'est tout le problème et ce qui vous amène ici. Restons dans le factuel, voulez-vous bien ? NB: Je n'ai pas la vue déclinante et vous remercie de vouloir bien éviter les lettres capitales, pour que dalle.

Atta... tu te supportes depuis plus longtemps que je te supporte, mm, élémentaire. Tu fais comment ? Marc de café, sang de poulet, messe noire ? Personnellement, je trouve plus dangereux des individus, qui se pointent là, omniscients, avec leurs coupures de presse sous le bras, mais surtout avec leurs grandes certitudes, et d'autant quand il s'agit d'acculer un intervenant. Un peu de bienveillance, bon sang ! Je préviens quand il y a une marche, ou quand une bouchée risque d'être trop chaude et pourtant...bah je suis diplômée en psychologie. Pardonne-moi d'être si pointilleuse Non mais ça ferait du bien, parfois.

En déduction, comme vous considérez que c'est trop long ou ne prenez la peine de lire correctement, vous avez une vue très dégradée de mes propos. À la différence de bien d'autres, je n'ai pas l'instinct grégaire, et suis aussi très capable de me positionner en faveur d'un(e) intervenant(e), tout en l'ayant sévèrement bousculé(e) auparavant. C'est sans doute, ce qui s'appelle être juste.

Tu sais que je suis capable d'ignorer sans utiliser la fonction, et ce n'est même pas concept, plutôt très faisable. Je te remercie toutefois pour la bienveillance, à mon endroit. Là, je t'écris clairement que tu t'égares. Quel que soit ton ressenti(ment), une chose, quand tu étudies les sciences (la psychiatrie est une spécialité de la médecine, la psychologie reste une science, même si dite vulgairement molle, ouais comme les caramels, parfaitement) : tu ne feras point de diagnostic, si tu n'y es pas habilité. Mais il est vrai que l'on peut aussi diagnostiquer une angine, prescrire du Spasfon, là où il y a une tendinite, ou même rien du tout, à l'appui d'un "Elle à Table" et passer ainsi pour une vraie courge. Libre à vous. Ne soyez pas étonnés de rencontrer sur votre route, des individus, un tantinet... pointilleux. C'est l'jeu, non ?

Prenez le temps de lire sans ressentiment, vous comprendrez sans doute là où je veux en venir (et précision, je peux être piquante, mais ne pense rien de spécial de vous... et nombreux sont ceux justement qui m'accusent de faire de la solidarité du genre). C'est horrible de dire cela à des enfants, même des adultes ceci dit.

De ceux qui portent de grands imper' avec rien du tout dessous et proposent une vue de choix sur "le petit oiseau" ? Tu voulais que je te tutoie, alors : Zyva, laisse tomber la pluie. Vous donnez là au sujet des allures de café du commerce, entre odeurs de café et d'anisette. Lisiblement, @hell-spawns'en prend plein la trombine, pour pas un rond, encore. Ça finit par en devenir gonflant. Des origines latines de toute part, et femme... donc double combo fatal. J'aimerais en dire autant à votre sujet, hélas tant le fond que la forme, pousseraient à des envies de sieste. Heureusement que vos interlocuteurs me sont plus agréables à la lecture.

Le sacré... ah y a pas à dire, ça fonctionne, à tous les coups. Vive moi ! *s'embrasse le poignet*

Oh si j'avais fait des conclusions hâtives à votre sujet, j'aurais simplement écrit que vous êtes un bon névrosé, comme un autre. Comme je n'ai pas de goût pour la psychiatrie, ni les lapidations sur la place publique, et encore moins l'instinct grégaire, je laisse cela aux professionnels. Je me contente de vous lire dans vos affirmations et vos convictions ("l'Homme est bisexuel par défaut"), vous passez en effet, repassez, et repassez encore (combien déjà 1964 messages en 1 mois, plus ou moins ?) avancez, avancez toujours, vous lire vous béquiller sur Marie-Claire ou même parfois sur rien du tout... buter, le ton péremptoire en avant, vous prendre les pieds dans le tapis. Vous nous vendez du rêve... vendeur de mookette chez Saint-Maclou ?

Vous aurez donc besoin de vous poser et de vous reposer. Je n'ai pas toujours besoin de repos et peux parfois aimer la complexité. Je peux autant aimer les "hauteurs" de la chapelle Sixtine, qu'un "atelier de Meudon" avec ses grandes huisseries noires. Question d'environnement et de moment, peut-être. La seconde image est très psychédélique, hypnotique... ça me fait aussi penser aux années 70, l'horreur !