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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Laissez donc papy Freud là où il est. Il n’y a absolument aucune corrélation entre une bonne éducation et l’administraction de châtiments corporels. Ce n’est pas plus compliqué que cela. Des études ont été faites en ce sens, il y aurait un lien, pour des chercheurs entre sado-masochisme et violences physiques et/ou psychologiques infantiles puisque vous le demandez et donc trop selon eux. Plussoyer un troll, la messe est dite. Le souci de Dolto et de ses méthodes c’est l’ultra permissivité. De mémoire papa Dolto pouvait avoir aussi « la main qui lui démangeait ». Pas vraiment un parangon d’éducation la famille Dolto et cela leur a été reproché, en premier lieu, par leur fils. S’il n’y a pas de cohésion et de communication, un discours qui va dans le même sens, l’enfant peut s’en trouver aussi perdu. Et encore une fois, ne pas être adepte des violences physiques et psychologiques, ne veut pas dire tout laisser faire non plus. Ce n’est pas open bar. Comment allez-vous vous y prendre pour mesurer les violences ? S’il y a un bleu ou si la peau est arrachée, c’est une amende, pour le reste, circulez y a rien à voir ? Encore une fois qui peut le moins peut-être tenté de pouvoir plus, c’est une possibilité et c’est dangereux.Dans tous les cas les violences physiques sont l’expression d’un échec. Elles sont à proscrire. Faire passer cette loi sur le sol national, c’est aussi lancer un message fort. Il est évident que donner une fessée est la réponse rapide, c’est l’aveu d’échec, précisément. Un enfant n’est pas idiot et si vous prenez une minute de plus, vous pourrez lui expliquer les choses et il comprendra certainement, peut-être pas tout à fait la première fois, mais à la seconde, la troisième sans doute et il est aussi possible d’y revenir le soir après le travail, de démystifier encore. C’est comme foncer sur la route afin de gagner une minute et demie votre histoire, vous risquez de faire des dégâts irréversibles et inutilement en plus, c’est dommage.
  2. C’est humiliant et cela peut être vraiment très mal vécu.
  3. La fessée n’est pas un symbole ici mais cela marque oui, dans tous les sens du terme. Il y a d’autres façons de faire, vraiment. Le sujet traite des châtiments corporels administrés aux enfants dont fessée et gifle. Les tartes, je ne les aime définitivement qu’en pâtisserie.
  4. Et ça justifie une fessée ou une bonne tarte dans sa gueule ?
  5. Un sujet sur la fessée et ils sont tous prêts à vouloir se taper dessus... les hommes sont formidables.
  6. Il faut toujours un titre aux articles et la fessée est une symbolique qui entre au même titre que la gifle et la tape dans ce que les beaufs appellent la « violence éducative ». Les deux termes sont déjà antagonistes. Je suis d’accord avec vous la loi doit s’appliquer à tout adulte qu’il y ait des liens filiaux ou non. Et oui, bien sûr l’impact de ces châtiments corporels et/ou psychologiques n’est plus à démontrer et quand bien même les violences perdurent. Difficile de faire changer les mentalités quand elles sont bien arriérées.
  7. C’est un non sens, il y a toujours de la violence dans une fessée, sinon il s’agit d’une caresse. Chacun y met ensuite plus ou moins de force, et dans la mesure où qui peut le moins peut le plus, elle est aussi à proscrire, comme tous châtiments corporels et mentaux. Et vous n’auriez pas pu comprendre sans ces « petites sanctions dissuasives » ? Comment vous expliquez-vous que des enfants parviennent facilement à comprendre le bien-vivre en société sans cela ?
  8. Il vous faudrait un homme un peu carriériste, ou qui a des horaires similaires. Un concurrent ? Sur Paris, je suis sûre que cela se trouve facilement. Je connais un célibataire parisien, un monsieur adorable, d'une très grande culture, un peu soupe au lait par contre, ancien rugbyman et très très poilu, sauf au niveau de la tignasse. Il y a eu un bug. La cinquantaine très entamée. Sûrement un peu vieux pour vous.
  9. Bonjour Prométhée_Hadès, révérence, Les punitions corporelles n'amènent à rien de bon, elles servent simplement à soulager les parents nerveux, qui s'ils en sont coutumiers, auraient du s'abstenir de faire des gosses. Ces violences sont absolument injustifiables. Il n'y a pas de mieux, de moins bien, à mon sens, pas de mètre étalon, ou d'échelle du pire, ou sur ce qui devrait être traité, ou ce qui peut attendre : il y a urgence, partout. Je vois aussi fréquemment des vieux qui tentent de gruger les autres en caisse par tous les moyens, qui râlent et qui se font entendre quand il y a trop de monde à leur goût. Certains s'en prennent aussi aux caissières qui ferment leur caisse et montrent le poing, postillonnant leur mécontentement. Ce sont exactement les mêmes qui sont capables de prôner la fessée, les gifles, les violences ordinaires infantiles, et qui, comme s'ils voulaient justifier leurs propos, confient en avoir reçues des "trempes" quand ils étaient "mômes". Belle démonstration, en effet, cela ne fonctionne pas. Aucune corrélation entre la bonne éducation et les punitions corporelles. Il n'y a là aucune vertu éducative. Entre les parents trop permissifs et démissionnaires, et les parents nerveux, portés sur la violence, il me semble qu'il existe des parents qui prennent le temps d'éduquer et de communiquer avec leur(s) enfant(s). Ah non, je vous confirme que ce n'est pas moi, c'est la première fois que je lis cette anecdote. Vous m'avez confondue avec une autre, ce serait limite vexant. Vous aviez des centres d'intérêt et jeux violents dites donc, enfant. La fessée peut marquer autant physiquement, que psychologiquement. Il y a d'autres façons de faire. La violence n'est pas la réponse à la violence, ce n'est pas une panacée. Ça ne l'a jamais été. Expliquer déjà aux enfants que c'est dangereux, pour eux et pour les autres, démystifier, prendre le temps d'échanger sur le sujet, de répondre à toutes les questions, amener des cas concrets (parce que d'autres y sont vraiment passés). Les enfants sont bien plus intelligents que nous le pensons, il suffit de leur donner la chance d'exploiter un potentiel. Je prône la non violence, toujours, qu'il s'agisse d'enfants, de femmes, d'hommes, d'animaux. Si je ne suis pas en "gagatisation" constante devant les gosses, je ne leur ferais pas de mal pour autant. Je me suis déjà fâchée avec des connaissances -ou même au restaurant- qui prenaient un plaisir sadique à filer des coups de fourchette sur les mains des enfants parce qu'ils ne posaient pas la main à plat à côté de l'assiette pendant qu'ils se servaient de l'autre pour manger ou bien parce qu'il se tenaient le dos voûté ("Tu vas avoir une scoliose" et paf), ou autres bidochons qui aimaient à faire défiler leurs gosses et leur faire faire le salut militaire pour amuser la galerie, comme s'il s'agissait d'animaux de cirque. La violence verbale et psychologique n'est pas mieux ou moins bien que la violence physique, toutes les violences sont à proscrire. L'enfant n'a pas demandé à venir au monde. Le minimum c'est de l'éduquer et de le choyer. Des hommes et des femmes ont aussi été marqués au fer rouge, ils n'en sont pas morts, et c'est vrai que ce n'était pas une solution non plus. Et vous, vous vous en êtes pris ?
  10. Il y a tout de même toute une quantité de médias à éviter, on y lit surtout de la désinformation. Sans oublier, que la presse bénéficie d'un certain nombre de privilèges. Sarkozy en avait fait sauter, ce qui n'avait franchement pas plu à ces messieurs dames. Il semblerait qu'Hollande, les ait réhabilités discrètement.
  11. C’est la version plus moderne, mais c’est toujours la même. Au sujet de la révolution française, oui, elle a été orchestrée par des nantis. Révolution française, mai 68, gilets jaunes...en termes d’ampleur, rien n’a vraiment à voir avec rien.
  12. Coups de pied au cul ? Bonne idée en effet, cela pourrait soulager des adultes qui ont à supporter la vue et parfois même l’hystérie de parents non capables de garder leur sang froid, de communiquer et d’éduquer. Il n’y a pas d’enfant méchant, que de mauvais parents.
  13. Plutôt surprise de voir ressurgir le débat, honnêtement je pensais que c’était déjà réglé. Nous retardons.
  14. Ce n’est pas qu’une révolte de petits bourgeois, c’est une révolte faite avec des petits bourgeois et d’autres ont suivi. Je vous remercie pour le lien, c’est intéressant, cela va à l’encontre de ce que l’éducation nationale nous apprend.
  15. Interdiction de la fessée : l'Assemblée relance un débat sensible Une proposition de loi est présentée jeudi soir devant les députés par plusieurs élus pour demander un « état des lieux » sur les violences dites éducatives. SOURCE AFP Publié le 29/11/2018 à 10:09 | Le Point.fr La fessée va-t-elle devenir une bonne fois pour toutes tabou et interdite en France ? La question a le mérite d'être posée, d'autant qu'elle revient souvent dans le débat public et qu'elle traite du dossier sensible des violences dites éducatives. Une catégorie dans laquelle peuvent être également rangées les tapes et les gifles. Jeudi, elle fera débat à l'Assemblée nationale, entre des opposants aux « violences éducatives ordinaires » et des partisans souhaitant que les parents gardent une certaine liberté. Le MoDem, soutenu par le gouvernement, LREM et des élus d'autres groupes, présente dans la soirée une proposition de loi de portée largement symbolique, mais qui relance une controverse toujours vive sur les châtiments corporels en France, où le proverbe « qui aime bien châtie bien » a toujours ses partisans. Selon la Fondation pour l'enfance, 85 % des parents français ont recours à des violences dites éducatives. La proposition MoDem réclame au gouvernement un « état des lieux » sur le sujet avant septembre 2019. Les tenants de l'interdiction mettent notamment en avant, études à l'appui, les conséquences sur la santé physique et mentale des enfants. Examiné en première lecture, le texte ne prévoit pas de nouvelles sanctions pénales, car elles existent déjà, et a une « visée pédagogique », de l'aveu même de la rapporteuse centriste Maud Petit. Il s'agit d'inscrire dans le Code civil, à l'article lu lors des mariages, que « les titulaires de l'autorité parentale l'exercent sans violence » et qu'« ils ne doivent pas user à l'encontre de l'enfant de moyens tels que la violence physique, verbale ou psychologique, les châtiments corporels ou l'humiliation ». Il s'agit, a expliqué la rapporteuse, de « mettre un terme définitif à la possibilité pour les juges de reconnaître un droit de correction hérité du XIXe siècle qui n'a pourtant aucune existence en droit pénal ». L'interdiction formelle permettrait également à la France d'être « en conformité avec les traités internationaux », alors que le pays a été épinglé à plusieurs reprises sur ce sujet, par le Conseil de l'Europe en 2015 ou le Comité des droits de l'enfant de l'ONU l'année suivante. La France deviendrait ainsi le 55e État à interdire totalement les châtiments corporels, selon l'Initiative mondiale pour mettre un terme à tous les châtiments corporels sur les enfants, une ONG basée à Londres. La Suède avait légiféré sur le sujet dès 1979. Interdiction nécessaire ou « ingérence » dans la vie des familles ? Ce n'est pas la première tentative : après plusieurs textes inaboutis, la mesure avait été inscrite dans la loi égalité et citoyenneté, mais avait été censurée en janvier 2017 au motif qu'il s'agissait d'un « cavalier législatif », c'est-à-dire d'une disposition sans rapport avec l'objet du projet de loi. Outre le soutien du gouvernement, le texte MoDem a l'appui de différentes organisations (Fondation pour l'enfance, association StopVEO...) ou du Défenseur des droits, Jacques Toubon, qui a défendu « un signal politique fort » afin de changer les mentalités. Mais dès les débats en commission, des élus de droite et d'extrême droite ont dénoncé une « ingérence » dans la vie des familles et l'« ineptie » de la proposition, voire son « ridicule ». Julien Dive (LR) a aussi pointé « l'ironie de l'histoire » de voir ce texte porté par un parti dont le président, François Bayrou, avait giflé un enfant pendant la campagne présidentielle de 2002. La rapporteuse lui a rétorqué que cet enfant, qui avait tenté de faire les poches du leader centriste, était « devenu délinquant ». « Donc CQFD, au MoDem, nous avons testé la gifle, nous avons constaté que ça ne marche pas ! » avait-elle lancé dans un « clin d'œil ». Reste que pour Jean-Christophe Lagarde (UDI-Agir), la proposition sera « vide d'effet, sinon vide de sens ». Elle sera « très médiatiquement ressentie et sur le terrain et dans la vie sans effets réels ». En face, le patron du groupe MoDem Patrick Mignola se dit « stupéfait que ce sujet soit aujourd'hui encore à ce point caricaturé ». « À tous ceux qui voudraient ironiser sur le sujet, je les renvoie à ce qu'étaient les violences faites aux femmes il y a une décennie qui étaient accueillies avec les mêmes sourires narquois. » L’article se trouve ici : https://www.google.fr/amp/s/amp.lepoint.fr/2275292
  16. Alors il faudrait que l'homme vienne à vous. Une connaissance est tombée in love de son chauffagiste. Vous n'avez pas une chaudière à faire réparer ? Une pizza à commander ? Est-ce que le facteur est spirituel ? Vous avez forcément des moments dans la semaine, pour vous, des jours de congés, que vous pourriez partager avec quelqu'un, des moments à consacrer à l'amour. Vous vous trompez, encore. L'intérêt du sujet ce n'est effectivement pas hellspawn, néanmoins ce n'est pas plus vous, ce n'est pas plus moi, ni même la petite souris ou encore le lapin de Pâques. L'interêt du sujet, c'est l'intervenante qui l'a créé et qui se sent seule, parfois. Pour le reste, vous faites ce qui s'appelle communément de nos jours, du féminism washing -de la récupération à des "fins commerciales"- et venant d'un homme, c'est une escroquerie intellectuelle majeure. Ce que vous reprochez aux autres hommes, vous l'avez fait précisément ici (NDLR vous ramener avec vos névroses et popaul). Maintenant si vous voulez en découdre aux aurores sur l'aire de pont à minet, conviez qui de droit, mais ne vous servez pas des femmes comme faire valoir. Vous êtes illégitime. Faire des câlins et des bisous ? Ce n'est pas trop le genre de la maison.
  17. Personne ne vous demande d'y adhérer. Aucune injonction. Je n'aime pas plus les mouvements de foule, les manifestations ne servent pas à grand chose à mon goût... Je n'en suis pas, je tolère toutefois que d'autres puissent faire autrement. Mai 68 est un mouvement né de la volonté d'étudiants, révolte de jeunes bobos parisiens. Ce n'est pas vraiment la même chose. D'autres comparent avec la révolution française. Ce mouvement est bien gentillet en comparaison de tout ceci. Alors ne vous écoutez pas : Maggie et Poppie. Voilà, voilà.
  18. Coquine, vous n'avez pas répondu à la question.
  19. Son mensonge indique qu'il peut mentir avec facilité. Bien sûr qu'un rapport entre deux adultes consentants est légal (il ne l'est pourtant pas avec un mineur en deçà d'un certain âge, ce qui n'a empêché en rien l'acquittement, parfois, les associations pour l'enfance sont montées au créneau à ce sujet à l'automne dernier de mémoire) et c'est bien pour cela que la défense joue toujours là-dessus : parole contre parole. Là, la stricte observance des textes ne peut rien. Culture du doute, doute profitable à l'accusé. Les relations sexuelles sur le lieu de travail pourraient l'être, cela protégerait peut-être les victimes, du moins partiellement, pendant leurs heures de travail. Je me rappelle aussi d'une plaignante qui relatait une agression sexuelle (par un élu) dans la cage d'escalier de son domicile (il l'avait raccompagné parce qu'il se faisait tard ou qu'elle se sentait mal). Je ne dis pas qu'il est super facile de protéger les victimes, et de tout contrôler, certainement qu'il est possible d'améliorer les choses. C'est cela que je trouve étonnant : blanc comme neige. Toutes les personnalités connues -ou connues grâce aux médias- attaquées en justice, ont souvent en commun d'être très portées sur le sexe. Il est fortement possible qu'il y ait eu des comportements inappropriés, peut-être constitutifs du délit et au moins. Souvent pour l'opinion publique, les victimes n'avaient pas à se jeter dans leurs filets et elles ont forcément abusé de la situation, y ayant trouvé profit (Là, le profit... une promotion ? ). J'ai le même sentiment pour la partie en gras, ajoutons à cela le fait qu'il ait menti et dans le doute il doit forcément y avoir un moyen de fouiller davantage. Elles ont ensuite fait appel. Il faudrait des témoins et finir par obtenir un aveu, dans l'idéal. L'ADN précise qu'il y a eu un rapport, ce qui est intéressant quand l'accusé nie. Il faut sans doute que les victimes soient blessées sérieusement (griffures, bleus, coquards) pour que les blessures, la violence, le viol soit réellement pris en compte ou que la "non consentement" ne soit pas remis en question. Voit-on souvent cela quand l'agresseur est connu et n'est pas le conjoint ?
  20. Ringard, mais il va pourtant bien avec toute une époque, Josy. Raté, je porte un prénom anglais, créé par une jolie plume. Qu'est-ce qui vous déplait exactement quand des citoyens, sans être gilets jaunes, ne sont pas antipathiques, allergiques à ce mouvement ?
  21. Mais où ai-je écrit que j'ai été attaquée ? C'est vous qui vous disputez un statut de victimes pour rappel, pas moi. Je vous écris simplement que je n'ai pas besoin de votre ami pour répondre à ma place, pas besoin d'un ventriloque/d'un porte-voix (mais de quoi se mêle t-il enfin ?) et je lui ai écrit que je le trouve ennuyeux. Vous êtes sensible à sa prose, pas moi, il faut l'entendre : fin de l'histoire. Qu'est-ce que c'est que ces délires encore sur la gent canine euh masculine, masculine ? N'importe quel intervenant qui s'y est essayé, pourra vous confirmer que cela a été un échec cuisant, pour lui. Ne soyez pas jalouse, voyons.
  22. Vous l'aviez déjà lu, puisque vous vous êtes empressée de liker votre ami. Ce n'était pas une réelle invite, plutôt pour la rhétorique et bien sûr que vous êtes partiale. Aussi bizarre que cela puisse vous paraître je trouve cela assez normal (des affinités se font comme à la vie, ou pas) par contre rien ne vous empêche d'être juste, honnête, ça ne mange pas de pain, vous verrez. Je n'ai absolument pas besoin du concours de votre ami pour répondre à un message qui m'est adressé. Capisce ? Je ne viens pas non plus ici pour lire vos numéros de pleurniches, assez déplacés par ailleurs. En bas, tout à droite pour alerter. La musique classique est intemporelle. Les djeun's ne pullulent pas forcément là où il y a du jazz, et justement. Là où il y a Orelsan peut-être ou Maître Gims... que le monde est cruel ! Les salles de sport ce n'est pas une si mauvaise idée, il y a nombre de célibataires, enfin il faudrait croire, ils ont les yux qui traînent et ne portent pas d'alliance. Sortir, il n'y a que ça de vrai. Je ne crois pas, je le sais. Vous vous plaignez et vous voilà encore là à vous précipiter. Je vous trouve rasoir, je vous trouve rasoir, que voulez-vous y faire ? Si, vous pouvez en fait : améliorez-vous. Me mater, vous ? Ah ah ah. C'est vraiment très présomptueux de votre part. Laissez tomber, vous n'en avez pas les moyens. Mais moi je veux bien. @Tequila Moor est suspendu à mes jupes. Je ne suis pas la SPA. Comment fait-on ? Vous le voulez ? (Eh, fourni avec 3 mois de croquettes Royal Canin).
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