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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Qu'une société menée par des hommes (de vieux hommes) puisse être arriérée ? Non, pas vraiment, mais il faut bien lancer un sujet. En France, certains sont encore harnachés au patriarcat, la Femme tient dès lors un rôle vedette de ménagère. Néanmoins, la mentalité a tout de même bien évolué. Les femmes en sont sorties un peu des fourneaux.
  2. Il est possible alors que l'un de vos ersatz, un peu affolé, se soit exprimé sur les invasions berbères, la fin proche et programmée des populations "blanches" (syndrome du prophète), ainsi que sur l'urgence de se délester d'allocations en tout genre afin de ralentir ces troupes ou de ne pas s'en rendre complices. Veuillez m'excuser de la confusion. Quels seraient l'intérêt de promulguer une politique nataliste ? Rétablir un solde naturel peut-être. Le renouvellement des jeunes générations permet actuellement une contribution non suffisante à des retraites longue durée (les vieux vivent de plus en plus vieux/partent à la retraite peut-être encore trop tôt). Il faudra trouver rapidement un autre moyen de financement ou un complément. C'est intenable. Tout ce qui est injecté ensuite dans les aides sociales est récupéré par l'État. Les bénéficiaires sont des consommateurs comme les autres (loyers, TVA et autres taxes etc...). Ces aides, facilités et avantages, sont considérées comme des acquis sociaux, pour bien du monde. Sous l'ère Hollande, des aides ont été abaissées pour les ménages les plus aisés (quotient familial notamment). Il est vrai qu'ils ne sont pas dans le besoin, et ne se sont même pas révoltés. Qui l'oserait ? Coïncidence ou non, le taux de natalité, a, par contre, légèrement baissé. Le gouvernement actuel prévoirait (prévoyait ?) encore d'abaisser ces aides, toujours pour les plus aisés. Pro natalistes ? Dans les faits, ce ne sont pas les populations les plus aisées qui sont aujourd'hui en nombre dans les rues, rivalisant d'imagination quant à des slogans pour leur pouvoir d'achat. La France peut avoir des airs de Beyrouth certains samedis du mois, supprimez ces aides, et Beyrouth sera là installé, à plein temps. Si je comprends bien le système de ces aides, il faut en gros et au mieux compter 150€ par enfant (+65€ de bonus pour les adolescents) à partir d'un certain nombre. 150€ par mois par enfant (215€ par adolescent) -toujours au mieux- me semble être une misère, et même cumulés avec des APL et exemptés d'impôts. Je veux bien que le cadet récupère les affaires de l'aîné, il reste des frais obligatoires, il faut bien faire vivre tout ce petit monde. Le retour sur investissement n'est pas géant, ce n'est pas intéressant ou bien je suis super déconnectée. Ce qui manquerait, selon les dires, ce serait des lieux d'accueil pour les enfants (trop peu de places en crèches, trop peu d'assistances maternelles, agréées et contrôlées). La pression sociale et les préjugés sont bien présents au Japon, c'est indéniable. Certaines ont déjà formulé le souhait d'être plus que des épouses et des mères, ce qui nous amène au présent débat, aux discriminations qu'elles ont toujours à subir, malgré cette volonté claire et affichée. À moins d'être stériles, les japonaises n'ont guère d'autre choix que d'être mères, je pense davantage qu'elles s'en accommodent, comme les femmes d'antan. La contraception y est très taboue et limitée, moins de 5% des femmes prennent un moyen contraceptif, pour rappel. Certaines confient devoir commander des préservatifs sur internet pour le couple. Rien de vraiment très fiable. Paradoxalement et a contrario de nos sociétés, l'IVG est fort bien accueilli voire même encouragé. L'IVG n'interfère pas avec la croyance (réincarnation) et au contraire, il peut être source de revenus (sanctuaire pour les enfants morts). C'est assez intéressant, ce que l'on appelle "le féminisme" diffère quelque peu au pays du soleil levant. Il s'agit toujours de faire entendre la voix des femmes, mettre fin à l'omerta et de les faire sortir de la maison bien sûr, mais également d'une obligation de se marier et d'avoir des enfants, d'être un modèle de bienséance en toute circonstances. Et non, il n'y a rien d'immuable, ou à accepter laconiquement : la société japonaise est en train d'évoluer. Vous pouvez être très XIX ème, voire même d'avant. Je ne vous "date" plus. Qu'il doit être compliqué pour le modèle de bonhommie et de politesse que vous êtes, que de devoir cohabiter avec nous autres... Voyons, Baudelaire a fait l'objet d'un procès pour atteintes aux bonne moeurs. Flaubert avait une détestation des bourgeois. Gautier était un perfectionniste et un fumeur de cannabis patenté. Ces hommes, marginaux pour l'époque, n'avaient rien de suiveurs. Ma prose serait alors encore plus imbuvable que celle de Zola... et dire que vous vous infligez un tel supplice, 'faux pas. Il est assez malhonnête (ou bien très maladroit) de lancer des graphiques tous azimuts (ah c'est très visuel) et privés d'une quelconque explication sociologique. Cela pourrait laisser à penser (aux andouilles), qu'il existe réellement une supériorité des races, par essence. Le "concept" de races ne fait déjà pas consensus au sein de la communauté scientifique et reste problématique (il peut amener aux pires dérives, c'est ce que l'histoire nous apprend) tant certains tentent encore d'offrir une base scientifique au racisme. (Lancez un sujet si vous voulez). Alors que nous dit 20 minutes ? Pas grand chose en fait. Il est supputé que les examinateurs, en France, dans les filières scientifiques, privilégient les candidates à l'oral et cela n'aurait rien à voir avec le sexe des examinateurs (souvent masculin). D'accord. Peut-être des capacités oratoires exceptionnelles ? C'est ce qu'arguent les japonais, et qu'il faudrait bien entendu pénaliser. Quand bien même, cela n'aurait toujours pas à voir avec une volonté vraie de pénaliser les femmes en raison de grossesses à venir ou d'un rôle de femme au foyer à tenir sans broncher. Il reste odieux d'essentialiser les femmes, à des ventres.
  3. Une vraie femme fière ? Tomber amoureux plusieurs fois en une même journée ? Ne seriez-vous pas plutôt du genre à être très émoustillé par la beauté féminine ? Soyez doux. D’après vos écrits, cette jeune femme a l’air sensible.
  4. C’est spécial. Ça s’annonce compliqué, maintenant à vous de savoir ce que vous souhaitez faire de cette histoire : tenter à nouveau et de comprendre (rien ne sera possible de toute façon si elle ne le veut pas) ou bien la laisser mourir (l’histoire hein).
  5. Elle a du cogiter ou bien le baiser ne lui a pas plu (c’est une chose qui peut aussi arriver). Oui en effet, elle est vraiment très gentille.
  6. Bonjour, Seule cette jeune femme pourrait vraiment vous répondre. Quand elle vous a dit que cela va trop vite, c'est peut-être effectivement que cela va trop vite pour elle (et non l'inverse). Sa proposition de rester à dormir, chez elle, était possiblement amicale. Certaines jeunes filles gentilles font ce genre de propositions naïvement et de façon totalement désintéressée. "Ça va trop vite", "elle ne peut pas" : vous cela fait un certain temps que vous êtes célibataire, si j'ai bien lu, mais elle ? N'y aurait-il pas une histoire d'ex là-dessous ? À moins qu'à l'inverse vous ne soyez son premier, et qu'elle ait pris peur.
  7. Tout à fait : je fais ma liste de courses, comme cela je sais exactement dans quels rayons aller, et quels produits trouver. L'amour c'est exactement comme acheter un baril de lessive chez Super U, en fait.
  8. Un bonus de -140 points pour les asiatiques... décidément, il ne fait pas bon être femme et asiatique, c'est jackpot. Les pauvres. Vous ne seriez donc plus complètement flippé à l'idée que l'Occident puisse sombrer sous les invasions berbères... Je salue l'évolution, il reste néanmoins quelques coquilles ("décider" les femmes, les "inciter", "donner un coup de pouce aux mieux intégrées" etc...). Tout un panel d'aides est déjà en place, et déjà suffisantes, il est inutile d'en ajouter encore ou de les augmenter. Vous avez du mal avec la nuance. Zola n'est pas l'auteur classique que je préfère, d'autres trouvent mon adhésion. Mais, c'est très bien, il vous faut continuer à lire, la culture vous sauvera de l'obscurantisme religieux et politique. Voyons, les allocations familiales vont chercher dans les 450€ pour 4 enfants au mieux (elles sont dégressives en fonction des revenus du foyer). Faire des enfants, n'est pas rentable, désolée de vous empêcher dans vos certitudes : il faut les nourrir, les habiller, leur acheter des skins sur Fortnite ou des DVD de Violetta afin de ne pas trop les frustrer, un portable avec l'abonnement qui va bien (bon il y a un petit bonus pour les ados), ça fait juste ensuite pour s'offrir le même sac à main que Brigitte, même chez le chinois du coin. Enfin, ce qui m'intéresse, ce sont les aides à la garde d'enfants, qui permettent aux femmes de reprendre leur activité professionnelle. C'est une très mauvaise idée de laisser penser à des femmes qu'elles doivent être rémunérées afin de s'occuper de leurs propres enfants. C'est même scandaleux. Simple principe de précaution : les femmes sont en mesure de procréer et donc soupçonnées d'être une main d'oeuvre éphémère, elles sont traitées comme de simples intérimaires. Il ne sert à rien d'éduquer ou former une main d'oeuvre qui ne sera pas pérenne. Concrètement, cela peut vraiment aller jusque là : https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/emploi-des-femmes/japon-harcelees-pour-cause-de-grossesse_3019965.html J'ai également posté un lien en page 2. Des femmes aimeraient pouvoir travailler pendant leur grossesse et après également. Elles s'en sentent capables et elles le sont. Les japonaises sont déjà écartées et infantilisées au moment des études. Dès qu'elles sont enceintes, elles le sont définitivement (à quelques rares exceptions). Il reste partout dans le monde, des individus persuadés que la ménagère des années 50 est un modèle, le modèle à suivre. Les jeunes générations ont affiché une volonté de s'éloigner de ce modèle. États-Unis, Europe, et aujourd'hui Japon. Nous sommes de simples observateurs. Je pense qu'il faut laisser aux japonaises une chance de s'extraire, de se libérer du joug du patriarcat, et de s'épanouir. Certains verseront une petite larme pour le patriarcat (R.I.P). Ah oui évidemment les françaises... et les français ne seraient pas assez souriants et polis, à votre goût, il y a trop d'aides surtout pour les immigrés, "y a pas assez de pâté, dans mon pâté" etc... Vous devez vous rappeler fort bien encore de ce slogan des années 80, toujours très populaire auprès des colleurs d'affiches du FN : "La France, aimez-la ou quittez-la" !
  9. "Passer devant un tribunal pour chaque pensée de la vie courante" (NDLR harceler les femmes, faire des photomontages du plus bel effet, leur promettre viol, sévices ou mort des plus créatives, tout en omettant pas de les traiter de putes et de putains au passage). Mm. "Confier sa vie, sa dignité et sa sécurité" aux juridictions ainsi qu'aux forces de l'Ordre reviendrait à être "pour l'aliénation". Mais oui, mais oui... Il faut bien avouer que tout ceci ajouté à votre "développement" (ça marche aussi avec victimisation) sur l'homme blanc coupable de crimes imaginaires, vos histoires de complots et cie, ça envoie du steak. La fin du troll, c'est pour quand ? Au sujet de ces deux derniers points et pour clore, avec vous : Trump dénonce bien les insultes tout autant que Marlène Schiappa, sauf que vous ne pouvez pas blairer la seconde, et que la politique du premier n'a aucun impact sur votre vie sociétale, ce qui vous le rend dans le cas présent, plus sympathique. Ingrid Levavasseur est une citoyenne lambda, aide-soignante, qui a simplement revêtue un gilet jaune et parlé devant les caméras, comme bien des hommes. Même chose pour Jacline Mouraud, hypnothérapeute et accordéoniste à ses heures... Vous remarquerez que dans les révolutions et grands mouvements, les tâches sont toujours réparties de façon genrée : les femmes à l'arrière, et les hommes au devant de la scène. Dès lors qu'une femme prend la lumière, elle s'expose aux attaques les plus virulentes. Culture machiste, oui évidemment.
  10. Vous avez toujours les mêmes préoccupations/êtes toujours dans la même dynamique : il faudrait inciter les femmes à faire plus d'enfants pour le bien commun afin de contrebalancer les effets des migrations et repeupler ainsi les états avec des natifs 100% certifiés conformes, à vos critères. En effet, il y aurait des femmes méritantes, intelligentes qui ne se reproduisent hélas pas ou pas assez, qu'il faut aider et puis les autres, les indésirables, celles qui ont le toupet, de vivre d'aides sociales. Je ne partage évidemment pas et vous le savez très bien. L'effort collectif ne changera rien au souci de "timing" des femmes "les mieux intégrées". Les aides sociales correspondent à un fond de solidarité permettant aux individus les moins favorisés (donc pas exclusivement les femmes) de survivre et sont attribués sur différents pôles (logement, famille, études etc...). Les allocations familiales précisément, permettent surtout, aux enfants d'avoir un repas chaud dans le ventre et non aux femmes de se rendre dans les bars à caviar ou chez la manucure. Si vous les supprimez vous envoyez simplement le message suivant : les plus aisés ont droit exclusif au logement, aux études ainsi que d'assurer leur descendance. Pas sûre que vous soyez élu avec un tel programme. Par contre, en attribuant un salaire aux femmes afin qu'elles restent bien au foyer conforterait dans l'idée qu'elles ne sont bonnes qu'à faire des enfants, les torcher et prendre soin d'un grand corniaud, qu'à cela et à rien d'autre. Certains et certaines ont malheureusement cette perception de la Femme ou de leur propre personne. Travailler en tant que salariée ou à son compte et concilier vie familiale est déjà tout à fait réalisable, puisque c'est ce que la plupart des femmes des "jeunes" générations, font, en couple ou même seules. Afin de recentrer le débat (même si cela ne vous intéresse pas vraiment et que cela commence à faire long pour vous) : Les femmes qui ne souhaitent pas avoir d'enfants ou ne l'envisagent pas avant longtemps sont tout autant confrontées au problème de discrimination à l'entrée des grandes écoles (pas de distinguo), ainsi qu'à celui de la discrimination à l'embauche (pour des postes à hautes responsabilités) et à la progression dans l'entreprise (et non seulement au Japon d'ailleurs). Factuellement, les japonais ne sont pas fermement opposés à ce que les femmes travaillent -tant qu'elles sont remplaçables- mais il est tout de même préférable qu'elles restent à domicile afin de masser les pieds de leur mari. Les postes où il y a le plus de turnover restent les postes les moins qualifiés ou très "genrés". Dans cette logique, donner accès aux études longues pour les femmes est un pur gâchis puisqu'elles vont de toute façon faire des enfants obligatoirement et les élever, et les places étant bien sûr limitées. Les femmes ne sont pas encouragées à développer un potentiel intellectuel, juste à être polies, bien souriantes et surtout très serviles. Les grandes écoles qui ont eu à se justifier de leurs méthodes, l'ont fait avec beaucoup de réticence. Il est vrai qu'avouer ses échecs, ses manquements et ses faiblesses pour les japonais est quelque chose de très compliqué. La culture du silence ainsi que celle de la honte y sont aussi très profondément ancrées. Ce qui est dramatique, puisque de réels problèmes comme celui-ci et d'autres très abjects (tels que la prostitution des adolescentes pour exemple) trop souvent passés sous silence, demandent à être traités, à ce que de nouvelles lois soient promulguées. Parce que vous êtes hypocrite.
  11. Si la source est Marie-Claire et que le message est un appel au viol, au meurtre, dans la théorie il doit y avoir des peines encourues pour incitation à tout ceci. Dans la pratique, est-ce monnaie courante ? Enfin une bonne résolution : n'ajoutez surtout rien, c'est déjà bien assez douteux comme cela. Ah "fils de pute", vous voyez que ça revient... "enculé" tout comme "pédé" ramènent indubitablement à une sexualisation. Il y a une expression qui dit : "Qui met n'est pas pédé". Quand vous vous faites traiter de tout ceci, à l'instar des femmes -toutes des putes et des putains- vous êtes rabaissé, au soumis. Il y a ce souci permanent de vouloir dominer l'autre -sexuellement souvent- chez les beaufs, ce qu'ils ont en commun avec les racailles. Non ça s'appelle manquer d'éducation, simplement, et c'est sûrement assorti de tout plein de lacunes (comme déjà énoncées plus haut), certains trouvent cela bien et très mérité. Vous pouvez évidemment et également l'accepter fatalement, tout en affichant une volonté de jouer au Rambo, au virtuel, et regretter le temps d'avant où les gentlemen pouvaient en découdre dès potron-minet ; ou bien dénoncer et condamner cette violence verbale (parfois accompagnée d'un passage à l'acte : harcèlement, viol, coups), fermement. Ce que fait Marlène Schiappa, tant il s'agit des femmes et de Manu aussi. Ce que font des individus, indifféremment, en l'espoir que les mentalités finiront par changer. Et puis, il y a la loi aussi. Et bien sûr que des individus trouvent cela bien de traiter les autres de putes ou autres fils de putes, et même mérité (notoriété, tenue vestimentaire etc... tout est prétexte). Qu'est-ce que, pour vous, "des crimes imaginaires de machiste" ? Non ce n'est pas cela : Trump est un bourrin et ce n'est pas nouveau. Je n'ai pas accès à Twitter et ne souhaite pas y avoir accès. Vous tapez sur Google "Trump, fils de pute" et vous aurez différents articles qui reprennent sa dénonciation, ou ce que vous appelez d'une voix commune, sa victimisation. Par ailleurs, quelques temps auparavant, il aurait déclaré que les athlètes refusant de s'agenouiller devant le drapeau américain, sont aussi des fils de pute. NB : des femmes gilets jaunes ont aussi subi des insultes et menaces. Jacline Moraud et Ingrid Levasseur (ça vous parle ? "nous te ferons la chatte au fer chaud") auraient également porté plainte. Ah oui, au sujet des gens qui seraient bons à enfermer > rien n'est impossible, il ne s'agit pas de barrière à la liberté d'expression, davantage d'incitation à la haine d'une femme, des femmes. Des peines pour incitation à la haine raciale existent et sont appliquées. Encore une fois nous en revenons à ce que j'écrivais plus tôt sur le sujet. L'outrage sexiste, les délit à l'encontre des femmes, peinent toujours à être reconnu.
  12. Donc vous êtes à côté de la plaque, comme bien souvent. Des aides sont dédiées à la garde d'enfants, et permettent dès lors aux femmes d'avoir une vie professionnelle. Je suis complètement pour ces aides, mais reste fermement opposée à la séquestration des femmes à domicile, à la distribution d'un semblant de liberté par le biais d'une maigre pension (ou salaire parental). C'était pourtant simple à comprendre. Dans la logique et dans cette démarche, le prochain step est de faire exactement comme au Japon soit refuser aux femmes les cursus longs ou compliqués : ce serait du gâchis, de toute façon elles finissent au foyer, et heureusement parce que salariées elles seraient de toute façon bien trop préoccupées par leurs enfants. Ce sont des vraies justifications, émanant de vrais japonais, révoltantes (liens postés en page 1 ou 2). Par ailleurs, il n'y a pas de vouloir de l'enfant à naître, il n'a rien demandé et nous ne pouvons raisonnablement le laisser mourir de faim et manquer de tout.
  13. C'est donc un vouloir, qui engage ce quelqu'un. Je ne vois aucune raison valable pour que moi je la rémunère, je ne lui ai pas demandé de faire d'enfants.
  14. Vous encourageriez là les femmes à ne pas exploiter un potentiel, encore une fois, et des hommes par la même à imposer aux femmes à rester au foyer. Les enfants grandissent, encore une fois, et une femme n'est pas exclusivement une mère, encore une fois. Non décidément, ça ne me branche toujours pas que l'on me ponctionne encore plus, pour une mesure à laquelle je ne crois absolument pas, et que je pense même honnêtement très délétère pour les femmes. Les femmes, en général, arrivent très bien à concilier vie professionnelle et familiale, ne leur enlevez pas leur indépendance.
  15. Un jour il faudra vous résoudre à apprendre à lire correctement et ranger vos gros sabots (ce ne serait pas du luxe). Il ne s'agit pas là d'aider les femmes à concilier vie professionnelle et maternité - bien au contraire- mais bien de les clouer au foyer et faire en sorte, surtout, qu'elles y restent.
  16. Il n'y a aucune ex prostituée au gouvernement, si bien que l'insulte reste totalement incongrue, incompréhensible, et qu'il est impossible même de se cacher derrière la généralisation, comme certains peuvent le faire avec l'Église (s'ajoutent silence, connivence, alibi, et s'en prendre à un enfant reste en plus du reste un crime inexpiable et sucitent le courroux de l'opinion publique en toute logique). En bref, votre parallèle est encore très mal choisi. Marlène Schiappa peut être excessive, grande gueule, ses sorties ne sont pas toujours motivées, et défendrait son Manu envers et contre tout, un peu comme Gérard Collomb avant qu'il claque la porte avec fracas. Rien de sexiste ici. Non, toute femme, même non exposée est susceptible de se faire traiter de "pute" ou de "putain" dans la rue, sur les réseaux sociaux parce que des individus comme vous, trouvez cela normal, et des individus comme @jimmy45 trouvent cela normal et mérité. Alors on peut se plaindre des racailles, et ensuite avoir la même mentalité, c'est très vérifiable, comme ici par exemple. Toutes des putes, sauf maman!". Si vous tolérez et acceptez que les femmes soient essentialisées à des "putes", alors vous êtes tous des fils de pute, par essence également. C'est inconfortable pour vous -je comprends- en même temps vous avez les idées, que vous avez. Que vous et d'autres ne la supportiez pas et souhaitez qu'elle se taise, c'est une chose. La traiter de pute et/ou justifier et normaliser cela une autre, faire des poupées gonflables à son effigie, des photomontages très élogieux, encore une autre. La harceler et la menacer de viol ainsi que de mort, encore encore encore une autre. On déplace le curseur petit à petit. Le problème encore une fois, c'est que vous prenez des exemples, qui n'en sont pas (ça n'était franchement pas pour vous embêter): https://www.levif.be/actualite/belgique/trump-denonce-les-propos-honteux-d-une-elue-democrate-le-traitant-de-fils-de-pute/article-belga-1074955.html?cookie_check=1547979903 Dignité, silence, non victimisation toussa, toussa... Et c'est justement très à propos (c'est marrant hein). La source tout le monde la connaît maintenant (Facebook), ce qui serait intéressant de savoir, c'est si ces personnes qui poussent à la haine et au harcèlement sur internet, sont punissables, en pratique (et non seulement en théorie).
  17. J'aime les raviolis Proverbe italien : "Un baiser sans moustache, c'est comme un beefsteak sans moutarde". Les raviolis. Tous. Les petits, les grands, au naturel, en boîte, emballés, gratinés et/ou dégoulinants, les "tradi", les modernes, de Modène : j'aime les raviolis. Trop souvent délaissés, mésestimés, décriés et enfin stigmatisés. Il suffit. J'ose l'écrire devant toute la planète Forum.fr, j'aime les raviolis, je n'ai aucun problème avec ma ligne et vous ne pourrez rien y changer. #instalove #kissou kissou
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