Mórrígan

Avant que des adultes n'interviennent, souvent les enfants ont tendance à jouer ensemble et quelle que soit la couleur et les fonctions du jouet. Autant il m'apparait important d'offrir un horizon des possibles aux petites filles, leur apprendre qu'elles ont d'autres choix, d'autres voies que celle de la ménagère-type (promulguée par des kits de ménage et des myriades de poupons qui font tout comme les vrais, en rayons et d'abord dans les catalogues et via la publicité) et les y encourager ; qu'il me semble inutile de retirer une petite voiture rose des mains d'un petit garçon, simplement parce que le rose est dit genré. Des rugbymen portent très joliment le rose d'ailleurs (le 15 et via la marque Eden Park), et l'idée qu'ils pourraient ne pas être virils, ne nous effleure pas.

Mon mac refuse d'ouvrir ton lien, c'est qu'il doit être raciste. Je présente mes excuses en son nom. "Inutile de continuer" mais c'est tout de même ce que vous faites dites donc. Que vient faire le patriarcat blanc ici ? Justin Trudeau le promulgue ? Ce serait fort étonnant. Ah oui les chaînes, les bus... c'est bien de savoir d'où l'on vient, mais resté figé dans le passé, n'aidera en rien. (Rosa Parks était une grande femme. Très digne. Quel dommage qu'elle n'ait pas plus inspiré les générations suivantes, qu'elle ne leur ait pas insufflé sa force tranquille).

Il vous faut apprendre à citer correctement, la binocle. En plus du reste, évidemment. Je n'ai pas écrit : Mais bien : Vous n'êtes plus à une manipulation près. Ce serait bien d'éviter de faire un transfert et m'accuser ainsi de vos travers. Nous nous souviendrons, pour commencer, de votre arrivée sur ce sujet avec ce tel manque d'éducation -pour ne pas écrire d'élevage- qui vous caractérise, en plus ce vilain trop plein de virulence et non seulement à mon endroit (vous vous inquiétez notamment que Marlène Schiappa ne puisse être contentée). J'ai eu droit aussi à de la joute pipi-caca. Ce n'est pas comme si mon aversion pour les petits gosses n'était pas connue. Vous avez éprouvé le besoin de revenir sur ces hommes victimes de leur bourreau d'(ex)conjointe (réellement 6 en 2017, si l'on retire tous les cas de légitime défense), alors que l'article, le sujet, traite vraiment des femmes (plus d'une centaine). Ce n'est pas comme si il n'y en avait déjà au moins 5 pages de grandes chouineries masculines. Évidemment que toute vie ôtée ne devrait l'être, qu'il s'agisse d'un enfant, d'une femme, d'un homme et encore d'un chat (déjà dit, enfin sauf pour le chat). Vous avez trouvé opportun de gonfler le nombre de victimes masculines en sortant la carte suicide (cf le lien fourni par mes soins, soit l'article de ce gentil soralien qui vous a inspiré ou a inspiré les blogueurs qui vous ont inspiré). Je n'ai pas écrit que vos sources sont fausses (manipulation, sophismes encore, toussa), simplement qu'il va vous être difficile de démontrer que ces hommes se sont suicidés parce qu'ils y ont été poussés par des femmes. De l'approximatif, là où il y a du factuel... hum. Il arrive aussi que des pervers fassent du chantage au suicide... et finissent par passer à l'acte. Ultime pied de nez. L'un des plus marquants, aura été, celui de cet homme qui s'est immolé par le feu devant sa compagne, sur son lieu de travail, alors qu'elle refusait de se mettre en couple avec lui. En ce qui concerne le féminisme, vous n'avez rien à m'apprendre, et j'évite l'avis des Soraliens, surtout parce qu'il est puant. Les blagounettes au sujet de la modération, je les ai faites avant vous, en d'autres temps et vous le savez très bien. Les temps ont changé. Le forum a évolué. Les modérateurs trop chatouilleux d'avant, ne sont plus. Vous tentez de faire le brave... c'est ridicule (évoluez !). J'aime assez débattre, d'où ma présence sur les forums. Ce que j'ai appris avec le temps, c'est que le débat est impossible avec les trolls de votre acabit, puisque vous êtes foncièrement malveillants. Maintenant, je vous prie de vouloir bien me lâcher la jambe et retourner séance tenante auprès de votre assistante sociale (séance tenante > sur le champ, tout de suite, immédiatement).

Déplacé, offensant et raciste... ? Eh bien, s'il s'attendait à cela le pauvre Justin. Sincèrement, Justin Trudeau semble être une personnalité très humaine, et il est engagé oui, pour l'humain. Qu'il s'excuse parce qu'il aurait pu éventuellement blesser quelqu'un (de trop émotif) me semblerait plus plausible (en plus de la pression politique). Il s'est déguisé en prince, c'est au contraire gratifiant, qu'un personnage même fictif inspire ainsi les autres. Quand c'est positif, on peut aussi être fier d'où l'on vient, de sa culture. Des "noirs" ne "ferment jamais leur gueule" et pour tout dire, nous n'entendons vraiment qu'eux. Je ne vois pas de communauté asiatique se plaindre d'une éventuelle "yellowface" et nous nous sommes toutes -ou presque- déguisées nous les fifilles, en chinoises (certaines ont même ajouté un trait d'eye liner#Houlala). Ou encore la communauté latine, d'une "goldface". Un homme qui va se déguiser en mexicain, porte aussi souvent, une moustache et un sombrero et emploie un accent fort appuyé. Lors du "Persan", quelques amies se sont déguisées en danseuses de flamenco et sont allées notamment jusqu'à pousser le détail en se faisant une petite mouche au-dessus de la lèvre (l'une s'est collée un raisin sec... c'était tellement mythique -et mon fou rire aussi- que je m'en souviens encore), sans compter le fond de teint hâlé et la perruque brune bouclée. Je ne leur ai ni pété une chouinouille, ni un scandale. Quand des connaissances apprennent que j'ai des origines italiennes, j'ai droit à des parodies du parrain plus ou moins réussies et on observe un peu si je parle avec les mains. Oui c'est cliché, oui ça nous suit toute la vie. La différence, c'est que je n'ai pas honte de mes origines. Et d'ailleurs, j'ai appris récemment que j'avais aussi des racines gaéliques : je vous autorise à porter une perruque rousse, un kilt et jouer de la cornemuse, même mal #WilliamWallacejtétoujourkiffé

Parce qu'il 1/fait de la politique 2/représente le parti des gentils. Il n'y avait pas d'autres alternatives. Pour autant, je ne vois rien de plus qu'un homme qui s'est déguisé et a eu le souci du détail (se grimer jusque sur les jambes, tout de même). Comme bien d'autres, il a simplement souhaité incarner au mieux le personnage, le temps d'une soirée. S'il avait eu des propos, gestes, mimiques déplacés, dégradants pour une population en particulier, d'accord... mais là ce n'est franchement pas le cas. Et puis c'est Justin Trudeau, mince alors... un humaniste. La soirée date du début des années 2000, qui plus est. L'article nous brandit la chose en arguant que cela fait trois fois qu'on l'y prend, comme si c'était une réelle passion de se déguiser en Aladin, genre le week-end en deuxième partie de soirée (c'est la même série de photos). Ah bon ? Mais il faut en parler au contraire.

Les parents étaient censés être cet outil. Nous verrons ce que le Ministère de l’éducation propose suite au grenelle. L’idée n’est pas mal pour les jeunes femmes mais non suffisante.

Nul besoin de vous accuser, il suffit simplement de savoir lire. Vos doléances sont exactement les mêmes que ce qui est lisible sur le lien que j'ai fourni précédemment, issu du blog de Soral (profitez de la rentrée pour faire réviser vos binocles). Vous relayez exactement les mêmes conneries (pour vous paraphraser). L'avantage c'est qu'elles se démontent facilement et rapidement. Allez je vous aide : "auparavant" est un adverbe précisant que l'action est passée. Vous vous êtes donc rattrapé ensuite (NDLR ensuite signifie après). Vous voyez que c'est pratique finalement la censure, quoi qu'enfin pas tout à fait... ce que je vous écrivais déjà en filigrane, c'est que toute femme est potentiellement féministe à travers l'oeil de l'autre. Dés lors que vous attaquez le féminisme -responsable des guerres, de la faim dans le monde et de l'extinction des dinosaures évidemment- vous attaquez finalement les femmes, en général. Vous pouvez préciser que le pan du "féminisme égalitariste" vous défrise les branches, c'est le socle du féminisme. Toutes les femmes souhaitent l'égalité en droits et en libertés, nous ne sommes pas au Yémen. Incroyable que @120lola120 ait oublié de vous répondre, vous qui êtes si avenant, prévenant, au style littéraire incomparable, ouvert au dialogue et bienveillant... cela prête forcément à l'échange. Je comprends votre indignation (que je partage). Il y a un problème avec la Justice effectivement, des forces de l'ordre également (d'autres font leur travail) et avant cela avec la société. Des tire-sperme, par contre, vous nous expliquez ? Nous sommes face à une violence institutionnelle ayant entraîné la mort de plus de 100 femmes depuis le début de l'année, difficile de l'ignorer. Le gouvernement s'est engagé à faire, si bien que bien du monde souhaite qu'il tienne ses promesses. Nous nous doutons que la violence envers les femmes ne va pas s'arrêter du jour au lendemain (hélas), et la plupart des mesures ne devrait pas entrer en vigueur au moins avant 2020. Je lisais ce matin, qu'un "violentomètre" était distribué dans les lycées franciliens et téléchargeable en ligne : Quel dommage qu'il n'y ait pas/peu de dialogue dans les foyers.

Si tout le monde n'est pas impliqué et ne veut l'être, que d'autres font l'autruche, il semble tout de même que les individus (hommes et femmes) qui ont été éduqués correctement, sont assez pour l'égalité et l'épanouissement également des femmes, au moins dans l'idée. Les impliquer et (ré) éduquer la société. Ce laïus et l'idée fixe, très en général, de vouloir gonfler les rangs des victimes masculines, me fait penser à quelque chose... Ah oui, au blog de papy Soral, forcément, grand gourou par excellence de l'homo femina : https://www.egaliteetreconciliation.fr/Quenelle-des-violences-conjugales-contre-feu-bidon-du-couple-Edouard-Schiappa-56149.html Des hommes se suicident pour de multiples raisons, tout comme des femmes, et il n'est souvent pas possible de vérifier qu'ils sont passés à l'acte puisqu'ils/elles subissaient la maltraitance psychologique de leur conjoint(e). Et à propos, en ce qui concerne la perversion narcissique, notamment, il semblerait qu'il y ait encore bien davantage de pervers narcissiques, que de perverses. Mais évidemment puisque vous vouliez en découdre avec moi, Tartuffe. Écrire que "les" féministes" gnagnagna, comme vous l'avez fait auparavant, comme d'autres brèles le font continuellement, est totalement stupide, tant le féminisme n'est pas un mégalithe. Afin de parfaire votre tableau, vous pouvez ajouter ces femmes qui ont a coeur de vouloir rallonger les jupes des autres femmes, que le commun nomme féministes puritaines (je préfère les nommer femmes misogynes) et encore les soumises, entrant elles dans la caste féministes libertaires. Il y aurait peut-être autant de sensibilités féminines, qu'il y a de femmes. Tout n'est pas si simple et difficile d'adhérer à tout. La minute de silence filmée sur Twitter en réaction au 104ème féminicide de l'année -idée lancée par une "influenceuse", par exemple, est bien mignonne et m'a semblée très inutile.

Cela m'évoque un combat contre la mort -ou toute situation désespérée, délétère- et la volonté de conjurer le sort, d'échapper ainsi à un destin (funeste). La liberté serait finalement d'être décisionnaire ou peut-être même plus réactif que décisionnaire. (Je n'ai rien bu qu'un thé). Quel était le contexte ?

C'est faux, elles peuvent se passer du père, toujours pas d'un géniteur. Les femmes ont besoin des hommes pour avoir des enfants et vice-versa. La PMA, tout comme la GPA, sont autant de moyens de se reproduire et alors que l'espèce humaine fourmille déjà. C'est irresponsable. Il existe également des sociétés comme Clara, qui permettent de créer des bébés sur mesures (sélection du genre, de la couleur des cheveux et des yeux). Ce que le nazisme rêvait, finalement le libéralisme l'a fait.

Sophisme ô mon beau sophisme... Si vous prenez le temps de lire consciencieusement les échanges avec @soloandsolo, cette fois -et vous pouvez zapper les passages sur sa life- vous verrez plutôt (pas le chien de Mickey) que je défends l'idée d'un élu aimé seulement des habitants d'une commune, foncièrement idiot et dont le bagage scolaire est bien maigre (ce qui ajoute encore à sa peine et lui donne l'air cuistre). Pas plus, pas moins. Son avocat -que nous n'avons plus besoin de présenter- fut dépité qu'il sabote sa plaidoirie et à plusieurs reprises, encore. Le peuple crassouille aura finalement eu ce qu'il voulait, avec l'immédiateté encore (du jamais vu !). La Justice aura encore cédé au tribunal du peuple. J'écoutais ce matin-même une espèce de syndicaliste d'extrême gauche (pléonasme, je sais), nous conter que la Justice doit évoluer avec le mood du moment ou être rendue en fonction de la sensibilité du peuple. Nous sommes bien lotis avec ça. Vos coquillettes sont en train de refroidir.

Vous n'avez pas des carottes à planter et des trous de taupe à combler, vous ?

Il y a des sujets plus drôles que d'autres. Il y a des sorties plus drôles que d'autres, également. Échangez sur un forum, c'est un peu le but du jeu, et tant que cela est fait en toute bienveillance, tout va bien.

Et oui, le conjoint violent peut être aussi le conjoint d'une amie, un collègue, un cousin, un voisin, un frère, un client... Il n'est pas si rare de croiser la violence conjugale.

C'est tout mignon "ma petite dame". Si vous estimez ensuite que "grande nigaude" est plus proche de la vérité vous concernant, ce n'est pas un problème. À votre guise. Espérons que les femmes victimes de violences conjugales soient dirigées plutôt vers d'autres bénévoles : vous n'avez clairement ni l'empathie envers les femmes, ni le discours, a fortiori. Vous êtes sûrement très bien pour les petits enfants. Au sujet de ce qui nous intéresse, vraiment : oui, j'ai déjà écrit plus haut qu'il faut impérativement protéger les femmes et les enfants, de leur bourreau... quand vous, vous inquiétez pour ces mêmes bourreaux. Ça ne m'inquiète pas qu'ils passent une ou deux nuits hors du domicile, non : ces derniers ne sont ni la priorité, ni l'urgence. Les victimes doivent être protégées en premier lieu, le bourreau appréhendé, et en second lieu voire s'il a vraiment besoin d'être logé ; dans tous les cas éduqué et/ou soigné. Oserez-vous écrire que ces individus sont violents, majoritairement, parce qu'ils reproduisent ce dont ils ont été victimes enfants ?

Ce n'est pas impossible à entendre, et pour le reste, ma petite dame, c'est un manque de classe. Combien de ces hommes ont eu la vie rude et reproduisent une violence dont eux-mêmes ont pâti et combien ont été élevés comme des petits pachas/dans la vénération du mâle ? Est-ce au contribuable de prendre en charge l'hébergement des seconds ? Au sujet de l'absence d'éducation qu'il faut vraiment verbaliser comme telle, et bien distinguer des soins : les parents ont failli et ont également besoin d'être éduqués.

Ces hommes n'ont besoin d'aucune motivation, pour être violents. Qu'ils soient "à la rue" ou non. Quoi qu'il se passe, ils resteront violents, récidiveront avec leur (ex)conjointe et/ou d'autres, tant qu'ils ne seront pas éduqués, pour la plupart. Tous sont persuadés qu'ils sont dans leurs bons droits, qu'ils peuvent agir en toute impunité... d'où l'importance de condamner ces comportements d'abord, massivement, et faire en sorte par la même que ces femmes, victimes, ne soient plus des invisibles au regard de la société. Cette violence envers les femmes semblent tenir davantage au culturel, que relevant de troubles psychiques (ça peut, mais plus rarement). La psychiatrie n'est pas toujours la réponse adéquate. C'est l'éducation qui manque. Quand le Procureur de la République prend la décision de faire quitter le domicile au conjoint -et ça tient de l'exceptionnel- qui s'est montré d'une violence inouïe, une nouvelle fois, cela reste souvent temporaire : il faut ensuite reloger femme (et enfants) et espérer que la Justice veuille bien respecter les demandes de confidentialité de la nouvelle adresse. Sans parler des femmes qui ne peuvent rester dans leur logement à terme, faute de moyens financiers (les revenus sont divisés par deux). Il convient de protéger l'ex-conjointe, mais aussi la mère, du père. J'espère que des solutions seront apportées en la matière. Le bracelet électronique paraît être déjà une bonne réponse. Les espagnols ont été précurseurs. Il est temps que nous y venions, et plus que temps. Malgré quelques sorties malheureuses, Marlène Schiappa reste très impliquée pour les femmes et il nous fallait au moins cela. Grâce à l'intervention de son cabinet, suite à la libération de la voix de femmes sur des réseaux sociaux, des hommes ont été à nouveau placés en détention ou son contrôle judiciaire. Les réseaux sociaux vont parfois plus vite que l'administration... M.Schiappa convient qu'il n'est toutefois "pas possible ni souhaitable que chaque cas de violences conjugales se règles sur Twitter". Pardonnez-moi ensuite d'être peu compatissante -voire complètement pas maternante- envers ces hommes, et dès lors de ne pas trop m'inquiéter qu'ils puissent éventuellement passer une nuit ou deux, dehors. Renvoyer ces individus chez papa-maman (ils y viennent souvent d'eux-mêmes), me paraît être une idée pas trop mauvaise. Cela occasionne des frais supplémentaires pour ces parents, qui leur ont souvent transmis leurs moeurs. Si leurs enfants sont ce qu'ils sont, a priori, cela tient tout de même de leur responsabilité... et il serait intéressant d'envoyer tout ce "petit monde" en stage d'éducation, parce qu'eux aussi en ont besoin.

Nous avons déjà quelques outils, des lois, pour aider les victimes de violences conjugales. Par exemple le Procureur de la République peut enjoindre un auteur de violence de quitter le logement conjugal. Très peu le font. C’est inadmissible. Ooooh non, le pauvre chouchou !

Il est vrai que nous sommes très habituées à croiser sur les forums des mâles geignards et rameunards (cf sur ce fil, entre autres), tant et si bien que ce qui devrait être en nombre, s'avère aujourd'hui être l'exception (mes confuses).