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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Ce serait bien de savoir comment elle en est arrivée à faire mention de ceci. Toute émission est préparée. Pour une interview et même qui se donne des airs à la one again, les questions sont quand même un peu réfléchies, on amène la personne sur un terrain. Nous ne voyons sur le lien qu'un court extrait.
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Ce que je comprends, c'est que la "communication" ne se faisait qu'en sens unique. De fait, il s'agit de commentaires et il semblerait que l'intérêt d'Instagram est de glaner un maximum de commentaires ou followers. C'est encore un autre débat. Il s'agirait de viol et le ton n'est dés lors pas à la rigolade. Il y a déjà vingt ans de cela, il pouvait arriver de nous faire embarquer -par la main ou carrément le poignet- dans un slow ou un zouk. Nous n'avions même pas le temps de verbaliser un "non" que nous nous trouvions déjà sur la piste de danse, avec un homme cavalier -parfois en âge d'être notre père, avec la chemise bariolée de nos grands-pères et l'odeur acre de la transpiration en sus- alors que nous étions tout justes majeures. Un cavalier collé comme une moule à son rocher ou qui aurait pu faire office de piquet de tente (dont nous pouvions sentir la turgescence). Il fallait alors jouer des coudes et des pieds pour s'en défaire. Il est arrivé de se faire insulter ou qu'un videur intervienne. Il y avait aussi bien entendu des jeunes hommes charmants, gentlemen, qui acceptaient que nous ne puissions avoir envie de danser sur une musique et/ou avec eux et avec lesquels ils étaient possible de discuter... tout autant que de gros lourdingues, qui venaient de se faire plaquer par bobonne et avaient besoin d'une oreille compatissante et d'une poitrine tendre pour pleurer.
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Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
Et finalement les deux se disent. J'ai tendance à dire une pavlova... revendication féministe ça encore. C'est bien aimable à vous, le poète crotté (^.^). C'est un portrait qui change des poncifs au sujet des féministes : idiotes, camionneuses avec du poil sous les aisselles et goudous (la liste n'est pas exhaustive). J'ai relu tout de même afin de relever peut-être ce qui m'aurait échappé. Je ne relève toujours pas de drague. Vous savez tout de même qu'il est possible de s'extraire de tout rapport de séduction (?) et d'autant sur un forum (?) et encore quand un homme (peut-être) habite un personnage féminin, âgé (?). S'il faudrait à tout prix séduire, alors il ne s'agirait pas de séduire une femme, plutôt le lecteur. Il y a une production, que je qualifierais, pour le moment, de plutôt riche, émanante d' @Annalevine. Une production, vue sous divers angles -bien qu'elle se voudrait essentiellement féminine- qui peut mener à une réflexion, c'est ce qui est intéressant ici, à mon sens. Il y a une volonté de réfléchir ensemble. Des hommes, puis des femmes, ont trop longtemps réduit les femmes à leurs fonctions reproductives. La Femme doit être une mère, pour être pleinement femme, assertion qui a obligé les femmes pendant de trop longues décennies, qui les a tenues occupées et maintenues captives. Elles tiendraient en leur corps le miracle de la vie. À y réfléchir sans passion, froidement et pour l'image, le corps de la femme enceinte est proche de l'habitat finalement, un habitat tout en domotique avec open bar... au même titre que la poulinière et la chienne. Le "miracle" tient aussi au concours -même rapide- du mâle. Nous aurions pu en faire de même avec les hommes -les y réduire- puisque la reproduction ne saurait se passer de sa participation... mais même pas. Eux avaient droit d'être. Le corps de la Femme trouve toujours un aspect fonctionnel, pratique, pour des hommes. Il n'existe que rapport à l'autre. Le vagin qui donne du plaisir (aux hommes), les courbes et le corps doux pour être admirées et recevoir les caresses (des hommes), l'utérus qui fabrique les enfants, le sein qui allaite le nouveau-né. Le patriarcat glorifie les femmes dans certaines fonctions (éloge de la mère allaitante et au foyer, gardienne des traditions), quand elle est au service. Vous constaterez aussi qu'au dehors de ces fonctions, quant à la biologie féminine, tout est renvoyé au gluant et au flasque. La menstruation a été présentée par les religions, comme quelque chose de sale, d'impure, hérité du péché originel, connotée donc négativement. Cela nous est resté. L'Humain -dont de plus en plus de femmes- produit. L'art est un moyen d'expression. Toute fibre créatrice, productrice demande à s'exprimer, à se libérer. Les femmes ont du se saisir de la poésie, de la littérature, du cinéma, du théâtre... Nous retrouvons notamment du temps de l'Antiquité une poétesse... et une prolifération de muses, d'épouses et de "dames de compagnie" (le nom m'échappe). L'art fut, encore une fois, affaire d'hommes, au service des hommes et jalousement gardé. Tout comme le savoir. Sylvain Maréchal, en 1801, propose, un projet de loi sur la défense d'apprendre à lire aux femmes : si on lit, on devient citoyenne. Voilà qui nous ramène à la poétesse Constance de Salm et d'un échange avec un "confrère" (bien grand mot pour l'époque, quoi que si l'on y met l'espace suffisant...), Ponce-Denis Écouchard Le Brun de 1797. Échange au cours duquel celui-ci la rappelle à son rôle d'inspiratrice "Vous ne devriez pas être poète". Il a été toléré auparavant quelques femmes de pouvoir ou artistes. Par ci par là. Cela ne bouleversait pas l'ordre. On pouvait bien en accepter quelques unes. On comprend aussi que ce que l'une peut faire, d'autres le peuvent aussi. Ce sont les plus conscients des conséquences de l'égalité, qui vont être les plus réticents et mettre des freins, c'est ce que Geneviève Fraisse a appelé "démocratie exclusive". Les femmes ont réclamé des droits et en même temps gagner la possibilité de résister, de subvertir. La muse dit qu'il y en a un qui a le droit à la jouissance de créer, et l'autre est priée de vouloir bien l'aider à y parvenir. Faire l'amour la nuit, pour que le génie puisse créer le jour. La créativité a trop longtemps été confisquée à la Femme (assignée davantage à la reproduction). Il a fallu se battre pour les que les Beaux-Arts soient aussi ouverts aux femmes artistes (fin du XIX ème). Les femmes artistes commencent par s'approprier puis se réapproprier leur corps. "J'étais un objet, un modèle et je vais devenir peintre" s'est dit Suzanne Valadon, et puis il va falloir en finir avec le corps nu de la Femme comme allégorie de la Beauté et de la Vérité. NB : avec plaisir pour votre retour. Je ne m'adapte à personne, j'échange quand il y a une volonté vraie d'échanger. Quand il s'agit d'enfermer, de cadenasser la pensée, oui, puisqu'il empêche la réflexion. -
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Bonjour, L'affaire Brion n'a juste rien à voir. Bon week-end.
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La musique classique,c'est pas si mal.....
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Decade 63 dans Musiques
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Tout comme Ronan Farrow a mené l'enquête au sujet de Weinstein. Un grand travail d'investigation. Beaucoup d'humanité et de courage. Tous ces gens ressentent beaucoup de culpabilité et alors que l'intéressé en semble lui incapable.
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Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
Nous assimilons souvent la puissance à la force brute, tout comme l'amour à la complétude, comme si nous étions sans l'autre perdus, des indigents (la faute à Platon). Ce sont là de parfaits exemples de lieux communs. Le message de Clarissa Pinkola Estes est très positif, inspirant pour les femmes, véritablement bienveillant. Sans en écrire trop, puisque vous avez prévu de lire : elle invite à la connaissance de soi au moyen de cette transmission de savoir, un savoir qui est aussi enfoui en chacune et qui ne demande qu'à se révéler. Avec la connaissance vient la maîtrise. "Sans maîtrise, la puissance n'est rien", c'était là le slogan de Pirelli. Je lirai "Libérez la Femme puissante" par la suite, quand j'en aurai fini avec celui-ci et d'autres, un Chattam, un Ken Follett et la biographie de Marie-Antoinette par Stefan Zweig. Au sujet d'impuissance, l'auteur nous révèle aussi que Marie-Antoinette fut mère plutôt tardivement, pour l'époque. En effet, Louis XVI aurait eu quelques soucis de "frein" -soucis auxquels nous pouvons remédier très rapidement aujourd'hui- l'amenant à renouveler sans cesse, les échecs (toutes les nuits pendants 7 ans). Une intervention tardive à laquelle s'est ajouté un traumatisme. Impuissance conjugale qui alimenta les critiques et les bavardages. Il n'y eut pas une cour plus méchante que Versailles. Jamais Louis XVI ne réussit à se montrer libre, naturel, sûr de lui, ni surtout majestueux. L'auteur révèle que Louis XVI avait des passions très viriles, telles que la chasse et le travail physique. Il s'est installé une forge et aujourd'hui encore nous pouvons voir le tour. Ce qui pour lui n'est nullement en conflit avec ce tableau clinique : "Qui ne se sent pas homme en effet aime inconsciemment le paraître, et qui sait sa faiblesse intime fait volontiers étalage de sa force ; lorsque pendant des heures sur son cheval écumant il poursuit le sanglier et galope à travers bois, lorsqu'il épuise ses muscles sur l'enclume, le sentiment d'une vigueur purement physique compense heureusement celui de sa faiblesse cachée : un mauvais serviteur de Vénus est heureux de se donner des airs de Vulcain". Une sorcière, si vous voulez. La sorcière est d'ailleurs un symbole fort qu'a emprunté le féminisme. Autrefois, parmi tant d'injustices, de violences, des femmes se sont vues conduites au bûcher, puisqu'elles avaient quelques connaissances, en herboristerie notamment, ou encore parce qu'elles oeuvraient pour des femmes (avortements) et simplement lorsqu'elles survivaient à leurs maris... La sorcière c'est celle qui sait, celle qui survit, "la que sabe". Entre filles, nous fréquentons davantage les salons de thé, il est aussi possible d'accompagner avec quelques pâtisseries. Mont-Blanc et pavlova sont mes préférées. D'ailleurs vous pourrez peut-être trancher à l'éternelle question : un ou une pavlova ? -
Un individu qui a subi des attouchements et le harcèlement sexuel, sait, souvent, plutôt bien ce qu'il a subi. C'est gentil de vous inquiéter quant à leur prise de conscience. Elle avait 12 ans, ce qui renvoie en 2001. Aujourd'hui, en 2019, alors que des agressions et viols dans ces milieux artistiques commencent à peine à faire surface, alors que l'omerta est brisée, des hommes et des femmes abusés ont aussi droit au jugement, d'être des fabulateurs, revanchards, des briseurs de ménage et j'en passe et des meilleures. Pourtant il se dit que le climat est plus favorable aujourd'hui pour les victimes, que l'heure est à la prise de parole et à l'empathie. Vous imaginez la bombe atomique 18 ans plus tôt ? Il ne s'agit pas de viol : lisez. C'est facile de détruire la vie de quelqu'un, c'est ce que font bien des prédateurs sexuels. Les promotions canapé maintenant... Hum à 12 ans, vous croyez ? Le manque d'empathie est répandu en effet et des femmes pensent ainsi saisir une chance d'être aimables aux yeux de certains hommes. S'il n'y a que cela... Merci, je la regarderai. Moisies.
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Tiens, cela faisait longtemps que nous ne vous avions vue ici (bonjour). Oui, c'est vraiment ignoble. S'en prendre aux enfants, reste de l'ordre de l'inexpiable. Ces individus capables de prendre des femmes pour de telles idiotes, communément, ne me laissent plus dubitative. Il s'agit de harcèlement et d'attouchements sur mineure, et non de viol. La taille de la police d'écriture est pourtant plus que suffisante.
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Au micro de RTL, la première dame a fait part de son soutien à Adèle Haenel, qui accuse le réalisateur Christophe Ruggia d'attouchements sexuels lorsqu'elle était mineure. C’est une parole qui compte. Brigitte Macron a tenu ce jeudi 7 novembre à apporter son soutien à Adèle Haenel. L’actrice de 30 ans accuse le réalisateur Christophe Ruggia de lui avoir fait subir des «attouchements» et de l’avoir «harcelée sexuellement» entre l’âge de 12 et 15 ans. S’il nie les faits, le principal intéressé lui a toutefois demandé pardon. «Elle parle. Et tous ceux qui parlent ont du courage, donc un immense respect pour ceux qui parlent», a souligné la première dame au micro de RTL. Puis d’ajouter : «Maintenant, il faut voir la réponse à apporter à ces messages, mais je veux lui dire toute notre solidarité, et véritablement cette reconnaissance.» Le cinéma français sous le choc Brigitte Macron n’est pas la seule à avoir adressé quelques mots d’encouragements à Adèle Haenel. Depuis la publication de l’enquête de Mediapart, de nombreuses personnalités publiques lui ont fait par de leur soutien. «J'ai beaucoup d'affection et de compassion pour elle», a déclaré Jean Dujardin ce vendredi 8 novembre sur France Inter. «J'ai tourné avec elle, j'ai toujours ressenti sa grande rage, sa colère. Cette blessure, je la pressentais, mais je ne savais pas qu'elle serait aussi profonde. Je l'ai découverte comme tout le monde. Je pense à elle, évidemment.» Suite de l'article ici : http://madame.lefigaro.fr/societe/tous-ceux-qui-parlent-ont-du-courage-brigitte-macron-apporte-son-soutien-a-adele-haenel-081119-167868
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Pourquoi, si elle n'aime pas la drague ? Deux individus n'ont pas forcément besoin de drague, afin de se trouver.
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@libredeparler Vous titrez #balancetondragueur alors que le titre de l'article est "l'ex miss France Flora Coquerel raconte la drague gênante d'un joueur du PSG". Le sujet aurait toute sa place dans la rubrique "People" d'ailleurs. Vous faites encore là des interprétations sauvages. Cette femme ne se souvenait même plus du nom du joueur, c'est un chroniqueur qui l'a révélé. Quand une femme ne révèle pas le nom, vous en voulez un, vous plaignant qu'elle s'en prend à tous les hommes. Quand un nom est révélé, vous trouvez encore le moyen de vous plaindre : c'est une vendetta, une chasse aux sorcières (et j'en passe et des meilleures). Dans tous les cas de figures, avec vous, les femmes se doivent d'être muselées. Des femmes ne sont pas à l'aise avec la drague, ou n'aiment pas cela, tout comme des hommes sont mal à l'aise avec la drague ou n'aiment pas se faire draguer. Personnellement cela ne me pose aucun problème, ça s'appelle la tolérance.
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Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
@Deremensis n'est pas française, elle s'en est expliquée. Je tente, des fois qu'elle nous reviendrait. C'est vrai que le sujet aurait eu toute sa place en "société". Ceci dit, Olivia et sa conférence nous change un peu des réflexions des "monuments historiques". Vous ne lâchez rien, vous. Russe ? Pas à ma connaissance. Je sors mes petites antennes -qui n'ont rien du fauve comme vous le remarquerez- et pense vous capter. S'il y a une appartenance à la France avec les droits et les devoirs qu'il incombe, si j'aime ma France, Montmartre, ses campagnes, sa gastronomie et ses bonnes gens ; j'ai aussi toujours dans ma musette les sages paroles d'un grand-père ibérico-rital ainsi que les souvenirs d'une grand-mère conteuse non moins ibérique, gaélique et un peu sorcière à ses heures. Il y a quelques temps, j'ai eu plaisir à retrouver, un conte russe, que vous connaissez peut-être - Vassilia - à travers l'un des ouvrages -Femmes qui courent avec les loups"- de Clarissa Pinkola Estés. C'est un ouvrage que je sirote comme nous pouvions le faire minauds, avec un verre de grenadine. Si vous ne le connaissez pas, je vous le conseille : il explore au moyen des contes, l'archétype de la "Femme sauvage". C. Pinkola Estes est une discipline de Jung. En effet, chaque femme porte en elle une force naturelle, instinctive riche de dons créateurs et d'un savoir immémorial. Néanmoins, la société et la culture ont trop souvent muselé cette Femme sauvage afin de la faire entrer dans le moule réducteur des rôles assignés (nous recollons au sujet). Vassilia fait la rencontre d'une sorcière, qui lui soumet plusieurs tâches. Elle est également guidée par une poupée héritée de sa mère mourante, qui va l'aider dans sa quête. La poupée, tout comme la sorcière, vont la guider, l'amener à révéler la Femme Sauvage qui veillait en elle. La Femme Sauvage peut aussi être représentée par une vieille femme, une louve, un squelette. Elle prend différents noms et formes selon les cultures. Ma grand-mère la dénommait "La que sabe" (et sa mère, sa grand-mère etc... avant cela). Je n'ai pas de fille, par contre j'ai une nièce, à laquelle je transmettrai puisque ma soeurette ne se souvient plus exactement. La "cultura cura", comme il se dit par chez moi. -
Possible qu’elle soit juste au seuil maintenant et il est compréhensible alors qu’elle l’exprime. Interpeller le chef de l’État sur sa situation peut amener aussi à son examen rapide. Elle a toute sa place, puisque sa position sur le sujet, est parfaitement représentative de l’état d’esprit d’une frange de la populace. En plus, elle a réussi à faire parler d’elle : en bien ou en mal finalement RAF, l’essentiel étant de faire parler de soi. Et il émane d’une femme. Ça fiche la trouille !
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Merci pour votre intervention. C'est une promesse électorale que de la supprimer (ça sera répercuté ailleurs, forcément). Ce que je trouve curieux, c'est que cette femme seule, avec deux enfants à charge, au SMIC, réglerait une taxe d'habitation alors qu'elle n'en réglait pas auparavant.
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Il me semblait que les retraités réglaient tout de même un petit quelque chose... au temps pour moi. Les mères célibataires au SMIC ne sont pas toutes des Ingrid Levavasseur en puissance, vous savez. Des individus qui interpellent notre si bon président alors qu'il est "en balade", il y en a quelques uns. L'un d'entre eux s'est vu conseiller de traverser un trottoir pour trouver un emploi, il y a quelques temps. Mon pharmacien (diplômé et chef d'entreprise) fut gilet jaune, avant que le mouvement ne soit bagué par les extrêmes. Ouh le sale petit malotru !
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"Suicides forcés", comment les distinguer par exemple d'un chantage au suicide qui aurait mal tourné ? Il y a quelques temps un homme s'est immolé par le feu sur le parking de l'entreprise où est salariée sa conjointe puisqu'elle l'a quitté (maltraitée psychologiquement et physiquement) et refusait toujours de se remettre en couple avec lui. D'autres laissent des lettres pleines de reproches à leur conjoint(e) alors qu'ils étaient tyrans et se suicident. C'est leur vérité, une vérité qui peut être difficile à démêler du reste. Quel intérêt d'avoir des armes à feu à domicile ? Le 3919 qui existe pourtant depuis 2007, a connu un franc succès (malheureusement) ces derniers temps. Des fonds seront distribuées aux diverses associations qui manquent toujours de moyens. L'État peut se porter aujourd'hui garant lorsque des femmes victimes de violences conjugales souhaitent louer un appartement. Par ailleurs, M.Schiappa travaille avec le secrétaire d'État chargé à la protection de l'enfance. Dix unités de prise en charge du psychotraumatisme dans plusieurs hôpitaux ont été lancées. Depuis l'année dernière déjà, commettre des violences conjugales en présence d'un enfant constitue une circonstance aggravante plus durement sanctionnée.
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J'aimerais pouvoir être aussi péremptoire. Votre taxe d'habitation, vous la réglez toujours ? Vote taxe foncière n'a t-elle pas augmenté ?
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Il y a encore peu, le commun reprochait à d'autres le fait de ne pas travailler, de toucher le chômage ou le RMI, alors qu'eux s'usaient au travail, selon leurs dires. Aujourd'hui, on trouve quand même le souffle de reprocher de travailler (sans être assez rémunéré(e) et par dessus le marché, à cette femme -à d'autres femmes- de ne pas avoir su choisir le bon partenaire et le garder. C'est dingue.
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Les enfants mangent déjà végétarien à la cantine : de la salade, du pain et un verre d'eau. Parfois, quand ils ont de la chance, ils mangent aussi du riz ou des pâtes. Ils se vengent ensuite au goûter. La cantine tient en effet bien sa réputation (c'est pas bon !) et il est à se demander si les menus -pourtant composés avec le concours d'un nutritionniste- sont si équilibrés que cela : plats d'antan en sauce, carottes râpées qui baignent dans un jus gras et jaunâtre, gâteaux à la crème etc... Parfois on retrouve des féculents qui baignent dans la sauce et en entrée et en plat. Pour couronner le tout, au dessert, est proposé un doonut. Une amie me disait qu'ils ont servi des bulots à la cantine de l'école primaire que fréquente son fils récemment. Un ado évoquait les goulash, langue de boeuf et lapin à la moutarde auxquels il a droit. Un peu de bon sens : il s'agit de gamins, pas de petits vieux. L'urgence est à la lutte contre le gaspillage et à la modernisation des menus. La seconde aura une incidence sur la première.
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Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
J'ai eu la politesse d'aller vous lire alors que vous m'y invitiez la dernière fois. Vous m'avez saoulée. Je ne suis pas masochiste et ne souhaite donc pas renouveler l'expérience. En vous souhaitant une agréable journée. -
Jamais entendue parler de Julie Graziani. Au-delà de son speech qui n'est pas bien intéressant, ni vraiment subversif puisqu'il colle parfaitement au discours attendu, au jugement de valeur du français moyen ; j'aimerais bien savoir pourquoi cette femme présentée comme seule, au SMIC, avec deux enfants, et humiliée, ne réglait pas de taxe d'habitation il y a deux ans et doit la régler maintenant. Elle indiquerait que pourtant sa situation n'a pas évolué en deux ans.
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Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
L'interprétation, plus en général, est redoutable. Essayons d'en faire une autre : peut-être est-ce seulement votre reflet que vous voudriez voir ?
