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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Vous avez réajusté en l'espoir de trouver la meilleure punchline... C'est tout mignon. Gros bisous et bon week-end.
  2. Je suis incapable de répondre à cette question (ouais). Ça me tarauderait tout de même. Je serais bien du genre à me réveiller la nuit, m'assoir et m'apprêter la télécharger, puis me raviser et me cacher sous les draps pour criser.
  3. 1000 bracelets pour test. Rappelons, qu'à l'annonce du grenelle ainsi que de la somme réclamée par des associations, nombreuses ont été les réactions d'indignation... Non pas aux violences conjugales (hélas), davantage à l'idée de voir ses "impôts" dilapidés (la plupart n'en paient pas). C'est la police ou les pompiers qui interviennent dans l'urgences. Les victimes sont ensuite confiées à des associations. Les numéros sont à connaître sinon, oui. Bien sûr que des femmes également sont incapables d'empathie et de solidarité. Ce n'est pas proprement masculin. Vous me coupez le sifflet, monsieur, au profit du hors-sujet. Toutes les religions sont équivalentes ou ont un tronc en commun. Il s'agit toujours d'hommes de foi également. Ce qui fait la différence, c'est notre rapport à la religion, ou la distance que nous y mettons. La stricte observance des textes ou la parole également laissée à ces hommes, jouent aussi. Le système pratriarcal propose un deal aux être humains : les femmes "dedans" à la cuisine et avec les enfants. les hommes "dehors" avec toutes les responsabilités militaires, politiques et économiques. Les femmes sont les premières victimes par cet ordre du monde. Des millions d'hommes ont aussi souffert à travers l'histoire (l'exemple le plus évident : la guerre). Le coût de la virilité, c'est un rétrécissement émotionnel et intellectuel, l'appauvrissement de la vie quotidienne et une mortalité plus violente et précoce. Puisque vous y faites référence, je vous invite à faire la posture du singe (^.^), ou celle de la grue, pour commencer, et ensuite, nous en reparlerons. Commander un enfant, comme nous pourrions le faire pour une paire de baskets customisée, est déjà possible grâce à CLARA (ce n'est pas une jolie fille). Sauf à prendre les femmes pour des ventres sur pattes, et vouloir prendre des risques quant à sa santé, les moyens de contraception sont tout de même recommandés. Il n'y a pas plus horripilant que d'entendre des individus révéler qu'ils ont des rapports sexuels non protégés, mais que ce n'est pas bien grave puisqu'ils vont ensuite faire le test VIH, pour se rassurer. Nombre de couples ne survivent pas à l'arrivée de l'enfant. C'est un grand bouleversement dans la vie du couple, et bien des couples trop jeunes, par voie de conséquence, non assez solides, explosent. Sans compter la maltraitance à l'endroit des nourrissons (ils pleurent souvent, sans cesse). Il peut arriver également une baisse de libido. Certain(e)s conjoint(e)s -mais surtout certains- commettent alors l'adultère (qui reste toujours la cause première de divorce). Il faut être prêt pour enfanter, véritablement. C'est un bout de vie que l'on laisse aussi derrière soi. La vida loca (ou pas toujours loca). C'est la fin d'une époque. Les moyens de procréation assistés tiendraient de l'irresponsabilité (en plus de l'eugénisme, pratique aussi pour les généalogistes...). Ne pas faire un enfant, n'importe comment, n'importe quand, avec n'importe qui, tient d'un comportement, plus responsable. Le divorce permet aussi la voie de sortie. Nous ne sommes obligé(e)s d'endurer ad vitam aeternam un mari alcoolique ou une femme junkie. Il est essentiel de pouvoir se sortir de ce genre de piège, et d'autant quand le/la conjoint(e) devient violent(e) et refuse de se faire soigner. Et en cas d'adultère, évidemment. Nous méritons tous et toutes d'être aimé(e)s pleinement.
  4. À l'occasion de la sortie du film "Countdown", en salle depuis le 13 novembre, un animateur radio posait cette question aux auditeurs. Et vous le feriez-vous ? Quelle que soit votre réponse : pourquoi ?
  5. Ce ne sera jamais pertinent. C'est d'une idiotie sans borne. Votre littérature "moderne" (c'était péjoratif, j'aurais peut-être dû vous béquiller avec des guillemets auparavant) culpabilise encore le consommateur, il s'agit de le rendre complice ou collabo. Un point de non retour -et non une bifurcation- puisque vous en finissez par me souhaiter une bonne continuation. Je vous ai sûrement vexé par endroits. Si tel est le cas, je vous prie de vouloir bien m'en excuser. J'ai lu quelques uns de vos liens, et regardé quelques unes de vos vidéos, très militants (il faut bien le reconnaître). Comme j'ai lu le dernier lien -le pavé devrais-je écrire- posté par cette mère, elle-même militante, dont l'enfant est allergique au lait de vache. Du lait de soja, sérieusement ? Et alors que nous savons les ravages de sa culture sur l'environnement. Si cette femme n'est pas tout à fait obtuse, l'enfant vers les 1 ans, pourra manger aussi dans ses purées, un peu de viande. Les enfants doivent absolument rester au dehors de toute idéologie (cela vaut aussi pour la religion). Les choix sont propres à chacun. Le militantisme aussi. La culpabilisation est un procédé classique, utilisé par les pervers et les manipulateurs. Elle consiste à reporter une responsabilité sur autrui en espérant que celui-ci éprouve de la culpabilité (en conséquence une baisse de l'estime de soi) et afin que de ce sentiment naissent des attitudes et comportements avantageux pour l'auteur de la culpabilisation. Ce dont usent bien des militants vegans (ou non), ce dont usent ces vidéos et liens. Manipulation des masses. Tandis que la persuasion, elle, offre, la possibilité à autrui, de prendre un décision en faveur de l'auteur (de la cause). Ces deux procédés relèvent tous deux de la ruse, et pourtant, le second semble bien plus acceptable. Les militants ne sont en général, pas très rusés. Les militants végans, en France, pays de la gastronomie, vont ramer. Note : une phrase de 19 lignes, afin de m'écrire (trop longuement) que vous ne souhaitez m'humilier (sourire) ? La confiance se tait. Croyez-moi.
  6. Libéré pour conduite exemplaire, évidemment, il n'y a pas de gosses à violer dans les prisons. Polanski s'est empressé de prendre la fuite vers la France. Il risquait jusqu'à 50 ans de prison alors, sur le sol américain. Il a refusé aussi de s'y présenter, il y a quelques années pour recevoir un prix, de peur d'être à nouveau arrêté. Le monde du cinéma s'en indignait, s'en lamentait et quelques politiques avec. Une lettre a été écrite à Hilary Clinton, afin de plaider sa cause. Sa place est en prison. Il le sait. Nous le savons tous. Les victimes ont parlé de leurs agressions et viols, certaines évoquent également des témoins. Certaines ont été violées aux États-Unis (sur une plage notamment de Californie) où nous ne le verrons plus jamais. Il est possible que d'autres victimes se fassent connaître. Le délai est systématique à toutes les victimes, selon les professionnels. C'est un processus obligatoire. Les victimes restent longtemps sous l'emprise du violeur et de l'agresseur. Se reconstruire et trouver les mots, cela peut prendre des années. Les viols et les attouchements font des ravages chez les enfants. L'emprise bousille au-delà des actes, puisque l'on est devenu la chose de quelqu'un. Toute notion d'amour-propre, toute intégrité sont réduites à néant, il n'y a plus d'appui pour se construire psychiquement. Nous savons que les victimes parlent tardivement. Nous tentons même de les faire taire quand elles l'osent timidement (Ah la liberté d'expression, si chère à ce bon Finkielkraut !). Le délai de prescription a été repoussé par notre secrétaire d'État, pleine de bonne volonté, chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, en ce qui concerne le viol. Or, il n'y a pas de prescription à la souffrance. La prescription, c'est l'aveu d'impuissance de la justice. Elle n'a raison d'être que pour la justice. Une plainte sur dix aboutit à une condamnation. Ce sont des dossiers qui n'intéressent pas l'institution puisqu'ils sont extrêmement délicats et qu'ils demandent énormément d'investigation. La justice est impuissante. Nous ne pouvons plus continuer à fermer les yeux. Je vous remercie pour le lien et non, nous ne devons pas nous en étonner, puisque tous ces retards, erreurs, manquements, sont signalés, par des femmes, des citoyens, des associations depuis des années. Nous sommes à la traîne. Les mentalités doivent évoluer, impérativement. Le viol est considéré comme un crime en France, depuis 1810 ! Le droit est très adulto-centré, il n'y a pas vraiment de droit de l'enfant à proprement parler. Pourtant, des enfants, mince, nous devrions être révoltés, et plus encore. Je vous invite jacky à lire ma réponse à @Anatole1949, plus haut. Elle vaut aussi pour vous, puisque vous tenez à quelques nuances près, le même discours. Entre vos réponses tonitruantes quant à la moindre délinquance et votre complaisance à l'endroit de Polanski, c'est un parfait grand écart. C'en est lunaire. Il était déjà assez répugnant de voir des cinéastes jouer du consentement tant il s'agit d'actrices, majeures, mais alors qu'il s'agit d'enfants, ici ou ailleurs, c'est complètement monstrueux. Il n'y a pas de relation sexuelle à avoir avec un enfant. Il est de l'éthique de l'adulte de s'y refuser. Au-delà de cela, la pédophilie, tout comme l'hébéphilie tient aussi à la psychiatrie. À 10, 13 ans, et après encore, les enfants ne sont pas "aptes à la relation sexuelle" comme vous l'écrivez. Qu'il y ait une découverte de la sexualité, entre enfants du même âge ou approchant, put arriver. Confondre une sexualité d'adolescent et une sexualité d'adulte est totalement aberrant. Un homme de 40 ans, n'a pas à sodomiser des enfants. C'est simple pourtant. Vous n'avez pas compris mon propos en ce qui concerne les années 70. Je m'en remettrai.
  7. Vous êtes très solennelle. Vous me rappelez ma grand-mère, par moments (pas la conteuse, l'autre). C'était une femme que j'ai su apprécier alors qu'elle arrivait à la toute fin de sa vie. Auparavant, nous ne nous comprenions pas. Non les victimes ne sont pas sacrées, elles sont malmenées. Toujours. Elles l'ont toujours été. Nous peinons à les laisser s'exprimer d'abord, puisque leur parole dérange. Nous peinons à écouter (je n'ai pas écrit "entendre"), pour comprendre ensuite. Nous peinons à compatir, enfin. Nous avons toujours peiné à faire tout ceci dans cette société décharnée, déshumanisée, qu'est la nôtre. Cette parole nous ramène alors à ce que nos pairs peuvent offrir de plus vil. L'état des lieux de l'Humain, n'est pas très joli. Alors que la procréation n'a de cesse d'être valorisée, sacralisée parfois, n'avons-nous pas tendance pourtant à négliger le rapport à la mère ? Le lien avec la mère est le plus étroit, il devrait en toute logique être considéré comme sacré, si non, décisif, plus raisonnablement. Il est désolant que vous ayez à souffrir auprès de votre mère. Ce lien à la mère, quand il est dégradé, peut faire des ravages, longtemps. Il peut être difficile de laisser mourir ce qui doit mourir, et une petite part de nous même s'y accroche puis meurt aussi à ce moment-là. Le cycle Mort/Vie/Mort, vous le retrouverez expliqué chez Clarissa Pinkola Estes, chez d'autres également, puisqu'il est l'origine de tout. Le point de départ pour l'éternel renouveau. Vous trouverez peut-être l'apaisement. Je vous le souhaite. Une tueuse ? J'ai le regard qui tue, il ressort à l'occasion, et cela s'arrêtera là en matière de tuerie. Il vous aura échappé que c'est la médiocrité qui me déplaît fortement, autant chez des hommes, que chez des femmes. Certains hommes sont si charmants, qu'ils en deviennent très fréquentables. Je tiens le goût de l'élitisme, de mon père. Le bureau des doléances, ce sera donc lui (NDLR c'est une plaisanterie). Vous vous êtes trompé. Je vous pardonne.
  8. C'est une vaste blague. Adèle Haenel s'exprimait en début de mois, quant à la loi du silence qui règne dans le milieu du cinéma (tout le monde sait), quant aux agressions sexuelles et au harcèlement qu'elle a subis pendant 3 ans, dès l'âge de 12 ans et initiés par un réalisateur dont tout le monde avait oublié le nom jusqu'à alors (Ruggia). Or aujourd'hui, c'est une femme plus reconnue, et plus influente socialement que son agresseur. Elle voulait aussi s'exprimer pour toutes ses "soeurs", plus anonymes. Elle a ému toute la toile. En effet, les anonymes ont plus de mal, encore, à faire entendre leur voix et d'autant quand "l'ogre" est un cinéaste reconnu, comme c'est le cas pour Polanski. Nous l'avons vu également pour Weinstein. La loi du silence est en effet la meilleure façon de maintenir en place un ordre lié à l'oppression. À la suite du témoignage d'Adèle Haenel, le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "agressions sexuelles sur mineure par personne ayant l'autorité" et "harcèlement". Les violences sexuelles, faites aux enfants de surcroît, sont des problèmes publics, qui concernent la société toute entière. Il est possible de le faire même quand la victime a tourné le dos à la justice (Adèle se confiait : "La justice nous ignore, nous ignorons la justice"). Polanski a fait 40 jours de prison, alors que condamné initialement à 90. C'est plutôt très light, dans les deux cas. Il a brisé 12 vies, 12 jeunes filles. Il n'a été jugé que dans le cadre d'une seule affaire, selon les lois américaines, particulièrement arrangeantes comme nous pouvons le voir. Il n'a pas payé non, loin de là. Aussi vieil homme puisse t-il être (je n'ai absolument pas pitié de lui, nous serons tous vieux), il peut encore nuire. Sa place est derrière les barreaux. Dutroux est en prison. Fourniret est un serial violeur, avant d'être un serial killer. Vous êtes en train de confondre, comme d'autres, comme le fait insidieusement Finkielkraut, le viol et la relation consentie entre deux individus et en cela oui, c'est crade, et d'autant qu'une enfant de 13 ans a été concernée, qu'une femme l'est toujours. Polanski a aussi violé une gamine de 10 ans, il fallait la "déniaiser" également ? Je vous rappelle que sodomiser une enfant n'est en rien un acte d'amour ou bien nos pédophiles les plus renommés, seraient de grands amoureux sinon. Des femmes, même mûres dans leur sexualité, refusent la sodomie. Violer, sodomiser une gosse est extrêmement violent. Samantha Geimer n'a pas supplié Caroline de Haas. Finkielkraut fait son cinoche et il devrait arrêter les plateaux télé sérieusement. Elle a indiqué avoir pardonné, afin d'avancer. Ficher la paix à Polanski ? Les crimes tels que le viol, commis sur des enfants qui plus est, restent de l'ordre de l'inexpiable, d'un point de vue moral. Si vous pouviez éviter de vous étaler sur l'anatomie des garçons de 16 ans. Les années 70, ainsi que les soixantuitards qui ont donné le ton, et le socialisme plus en général, peuvent être répugnants sous bien des aspects, et tant il s'agit de considérer les gosses, comme du consommable, d'autant plus encore. Et sans même parler du papier peint, des fringues et encore du disco.
  9. Le "type" sait aussi où sa femme travaille, qui est son entourage. Il sait également où les enfants vont à l'école. Où ils sortent etc... Le "type" a déjà pris une partie de la vie de sa femme, des enfants, il serait peut-être temps de l'empêcher de nuire maintenant. Nul ne peut agir impunément. La Justice a (avait déjà) des outils, il serait temps de s'en servir, de ne plus être timorée. Le "type" doit aussi être pris en charge. Des stages (pas un seul) de sensibilisation semblent être le minimum. S'il est sous substances, il y a un travail à faire là-dessus. S'il y a besoin d'une aide psychologique ou psychiatrique (ce qui n'est pas automatique) également. Ces femmes n'ont pas eu l'idée de se voiler spontanément. Le voile est prêché, comme le reste. Il n'est pas exceptionnel de croiser le regard torve de femmes musulmanes (ou non). Cela va au-delà de la religion même si la compétition entre femmes (et entre hommes) est aussi valorisée au travers la culture religieuse. Les femmes plus "spirituelles", que les hommes ? Ce n'est pas dénué d'intérêt. Pourtant les religions ne sont pas tendres avec celles-ci. L'astrologie et les médiums sont plus sympa, puisqu'il ont tendance à annoncer le retour de Jean-Maurice ou le dénouement d'une situation pénible. Nous comptons davantage d'extrémistes religieux au masculin. Quand nous avons appris, il y a quelques années, qu'une femme était également à l'origine, d'une tuerie de masse, et encore quand nous avons appris la place de femmes dans des attentats, nous avons été profondément choqués, comme nous le sommes également à la découverte d'une tueuse en série. Les femmes seraient moins disposées à la violence. Nous parlons d'homicide (du latin homo pour homme, et caedere pour tuer), tant il s'agit de tuer un être humain. L'universel, la norme de base, est masculin. Le terme féminicide nous alerte quant à une femme qui vient d'être tuée. En cela, il est intéressant, même si non conforme à la définition qu'en ont donné deux femmes dans les années 80. Je préfère aussi le terme "meutre" quoi qu'il en soit. Pas plus anti-romantique que la boucherie chevaline Tinder ? Gleeden concurrence pas mal. Les applications/sites de rencontre, très en général -sans vouloir vexer personne- qui permettent un choix sur catalogue, et de courir plusieurs lièvres à la fois, rapidement, sont tout sauf romantiques. Dans un monde, où l'humain est devenu un consommable, comme les autres, et dans la mesure où il y a de gros consommateurs, les moyens de contraception sont vitaux. S'en passer, c'est jouer à la roulette russe, et sans pour autant faire référence au sida, une MST est si vite arrivée. Un enfant doit être désiré, sa venue planifié. Désolée d'être terre à terre ou de l'évoquer tout de suite après la blennorragie. Mais... je n'ai pas indiqué être ceinture noire. D'ailleurs les grades obtenus lors de l'adolescence, sont à repasser, étant donné que je n'ai pas pratiqué pendant longtemps. Pour répondre très clairement à votre question : non, je ne me suis pas mise à la pratique des arts martiaux suite à une agression ou un viol. Bien je me sois déjà faite "chahutée" dans es transports en commun et dans la rue. Je côtoie des professeurs, des éducateurs (plus au krav maga), ce qui montre aussi qu'il y a un malaise, énorme dans notre société. Les arts martiaux sont, ce que j'ai trouvé pour le moment de plus complet (j'ai bien essayé le cross training, la running et la Slendertone (^.^). Ils permettent concentration maîtrise, souplesse et équilibre. Il peut m'arriver encore de mettre mes guêtres sur un circuit automobile (toujours avec le trait d'eye-liner). La compétition, il peut y en avoir au karaté également, quand on l'aime. Si cela peut leur permettre d'éviter la prison ou d''écourter la peine de prison, ils accepteront.
  10. Il est regrettable en effet, que l'on s'attache à cette phrase lâchée sur le ton de l'exaspération (il faut qu'il prenne de la valériane, papy Finkel) puisqu'il y a fort à faire avec le reste, et c'est bien gratiné encore. "La grande confrontation", quel joli titre, pour une émission ! Il fallait s'étonner de se trouver face à un détracteur ? Papy n'est pas habitué aux plateaux télé ? Si la phrase en cause a été balancée, faute de maîtrise, la défense du pédophile Polanski, elle, n'a rien du second degré. Le chaland en ont eu pour sa redevance. Plutôt étonnante cette sortie en direction du communisme sur le fil et d'autant que nous savons que les quatre députés qui ont saisi le procureur de la République, sont tous estampillés La France Insoumise (Mathilde Panot, Ugo Bernalicis, Danièle Obono et Bénédicte Taurine). Douze victimes, une préférence pour les jeunes filles (la plus jeune avait 10 ans !!!). Usage de drogues, violence et sodomie. Il est nécessaire que les propos de Finkielkraut restent, ils nous renseignent et permettent ainsi d'identifier clairement des individus qui ont le fond "pas très propre", pour rester polie. Pas tous, mais une partie, qui se déclare en faveur de la pédophilie. Qu'est devenue la jacky qui préconisait la justice -ou la vengeance- privée ? D'abattre des hommes ? Polanski aurait donc droit à un traitement de faveur ?
  11. Catherine Millet, signataire de la tribune des Catherines ("le droit d'importuner"), aux côtés de Brigitte Lahaie, qui, elle déclarait "que l'on peut jouir lors d'un viol" et Catherine Deneuve qui défend aussi bien Polanski que Woody Allen, tout comme elle l'a fait aussi pour David Hamilton. Elle s'indignait aussi que l'on ne puisse tripoter le genou d'une inconnue tranquillement. Quand on disait que cette tribune abrite de ces espèces de vieilles touques complètement déficientes... Droguer, violer, sodomiser, une enfant de 13 ans...petite mère. C'est une abjection, un crime inexpiable. Polanski a également frappé et violé une femme (à peine 18 ans), qui lui était totalement inconnue, après une descente à ski, dans les années 70. Il y a des témoins. Finkielkraut nous débite tranquillement que cette enfant, qu'il tient absolument à vieillir - "13 ans et 9 mois", "pas impubère"- et à salir -"elle avait un petit ami" insinuant aussi qu'elle pourrait être "sexuellement éveillée"- a eu une petite historiette avec Polanski (un homme de la quarantaine). Comme s'il était évident, normal et attendu que les gamines de 13 ans fréquentent ainsi les hommes de la quarantaine. Nous ne sommes pas là dans la défense d'un homme qui aurait pu, à tort, être accusé de pédophilie mais bien dans la banalisation de la pédophilie. Les contradicteurs de Finkielkraut n'ont pas tiqué là-dessus sur le plateau ? Les téléspectateurs non plus ? Nous pouvons aussi lire que "le philosophe" vilipende des individus bien-pensants, qui selon lui, menaceraient la liberté d'expression au moyen de cette "invention", la culture du viol, précisément. Grand défenseur de la blague de beauf entre autres choses (il amalgame tout un tas de choses qui n'ont à voir), celui-ci, au final, n'oublie pas de refuser la parole aux victimes. La liberté d'expression pour les uns, mais pas pour les autres.
  12. Et justement, — Patrice Rouget, La Violence de l'humanisme, Calmann-Lévy, 2014, pp. 142-143 Je crois que tu fais dans la caricature...Les arguments de base chez les vegans sont : pour produire du lait il faut que la génisse ait eu un veau, veau qu'on lui enlève pour la production visée, veau qui part la plupart du temps à l'abattoir. Pour les oeufs en production industrielle on a besoin de poule donc les coqs (poussin) sont passés à la broyeuse (vivant) dès l'éclosion après tris. Invoquer une littérature moderne qui fait l'analogie entre les abattoirs et la shoah, c'est déjà là faire dans la caricature... sinon tenir des propos complètement déplacés, ne croyez-vous pas ? Bonjour, Sauf erreur de ma part, les laits dits maternels artificiels sont élaborés à partir de lait de vache : doit-on obliger les femmes à allaiter dans l'idée, afin de réduire le "calvaire" de ces vaches qui se font traire ? En souffrent-elles (les vaches) ? Si l'idée de se faire téter ou traire au moyen du tire-lait comme un animal, les répugne (les femmes, cette fois), comment faire ? Quel aliment peut ensuite pallier au lait de vache que l'on donne aux enfants, et aux grands enfants (chocolat au lait, fromage, yaourt) ? Nous parlons d'apport en calcium. Nous pourrons le tourner dans tous les sens : les vegans sont carencés. Pouvons-nous raisonnablement infliger cela aux enfants ? Je ne consomme le lait, qu'au travers la pâtisserie, tout comme la crème et le beurre en cuisine, n'aimant pas le goût à l'état brut. Je ne suis pas une grande amatrice de fromage, tout comme je consomme très peu de viande. Les oeufs sont achetés auprès de ma voisine. Il n'y a pas plus bio... et 1,20€ les 6, là où les gogos, bio sa race, se font dépouiller en achetant des aliments sans goût, en supermarchés bio. Les bouchers que l'on appelle éthiques -principalement aux States- se rapprochent de nos agriculteurs les plus consciencieux, passionnés par leur métier, tout simplement. Bien sûr que le consommateur fait le marché et pensez-vous sincèrement que c'est en accusant et en culpabilisant les Hommes, que vous arriverez (c'est un vous général, pour des vegans) à leur faire changer de régime alimentaire, un régime alimentaire installé depuis des millénaires ? Il y a de très bonnes et belles assiettes végétaliennes, très créatives. Ppourquoi vouloir des aliments qui imitent les produits laitiers, ou la viande ? J'ai été abasourdie, il y a quelques années, à l'émergence du "faux-gras". Du simili fromage, de la simili viande, c'est ce que nous proposent des vegan... et alors qu'il y a tellement de talent et d'idées, pour nous amener à ne pas vouloir toujours consommer de la viande. Les végétariens aussi. Les vegans sont plus radicaux. Et "mange tes morts" ! Les Lopez en force ! (S'cusez, c'était trop tentant).
  13. Bonjour Paul, Génial, romantique, émouvant... j'ai trouvé au contraire que ce film sent le graillon. Ce reboot n'entre pas vraiment dans le registre cucul la praloche, à mon sens. Je n'y vois pas un film pour midinettes et malgré le concours de Bradley Cooper (qui y incarne superbement le musicos sous substances). Pour répondre à votre question : En plus du reste, je ne supporte vraiment pas le grain de voix de Lady Gaga. La chanson la plus connue du film est celle qui passe le mieux, à mon goût... je ne l'écouterais pas spontanément. J'ai dit simplement à mon amie, ce que j'en pensais. Ça l'a surprise, un instant seulement.
  14. Les victimes de violence sont encouragées à déposer plainte. Certaines n'osent le faire par peur des représailles. Certaines plaintes ne sont pas communiquées au parquet. Quand les victimes de violences portent plainte, c'est souvent -pour ne pas écrire presque toujours- la victime que l'on éloigne. Quand les victimes de violence ne déposent pas plainte, alors que les violences sont avérées, les munir d'un téléphone d'urgence, ne semble déjà pas être une idée trop mauvaise. Cette procureure parle également d'investiguer. Il y a souvent une violence quotidienne. Quel est le pouvoir que l'on va donner aux autorités ensuite ? C'est l'auteur des violences qu'il faut extirper de force s'il le faut, et non sa victime. Faut-il avoir été meurtri(e) soi-même dans sa chair, pour éprouver de la compassion ? C'est très triste pour ces jeunes filles et leur famille. Les religions sont par essence misogynes, mais pas que (la liste de griefs pourrait être longue). Le voile n'est cependant pas sacré, il reste patriarcal. Des religieux, des prédicateurs haineux s'en sont ensuite emparés et l'imposent par la culpabilisation, la force et la terreur. Cela se voit en France dans des familles. Ces femmes sont contraintes et gouroutisés. Dans les années 90 et 2000, je ne me souviens pas avoir vu tant de voiles... et vous ? La remigration pour les binationaux, d'accord... mais est-ce que l'autre pays, voudra bien les accueillir ? Si non, ils risquent de rester sans papiers, mais bien en France, ou d'y revenir clandestinement. C'est tout de même un pays où il fait bon vivre, la France. Si nous acceptons de nouveaux migrants, c'est qu'il est sûrement prévu d'en faire quelque chose (main d'oeuvre peu coûteuse, électorat). Mes anciens ont eux-même migré et bien qu'ils aient parfaitement assimilé qu'il y a des droits et des devoirs aussi en France, que je sois moi-même française, et que nos casiers judiciaires soient tous vierges, j'éprouve un inconfort tant il s'agit de savoir quoi faire d'individus qui fuient un pays en guerre, par exemple. Je ne suis pas souchienne et ne me sens pas légitime de décider. Je suis moins pointilleuse que vous, vous l'aurez deviné, quant au féminicide. Crime conjugal me convient pleinement, féminicide ne m'horripile pas ou je ne lève pas les bras au ciel. La première fois que le terme "féminicide" a été employé, au début du XX ème siècle, il l'a été sous forme d'un adjectif. Est-ce qu'à la fin du siècle, alors devenu nom, son emploi premier a été convenablement respecté ? Totalement ? Doit-on empêcher l'évolution du mot ? Que savons-nous aussi des mots qui ont été échangés entre cet homme et cette femme, qu'il a égorgée ? De ce que l'on sait, l'amour n'était plus, un divorce en cours et l'un et l'autre attendait de pouvoir jouir du bien immobilier seul. Marlène Schiappa a demandé à réduire les délais de justice (création de chambres d'urgence qui devront statuer dans un délai de quinze jours). Une première expérimentation a été lancée avec la ville de Créteil, avec ambition de généraliser à tout le territoire. Bien du monde déteste cette femme qui pourtant se démène. Vous trouvez qu'être transi de froid au profit d'autrui n'est pas rare ? Il m'est arrivé, bien des fois de devoir prêter un vêtement de rechange laissé dans mon coffre de voiture, comme je peux aussi prêter un second parapluie (oui je suis prévoyante et mon sac à main est une véritable trousse à pharmacie @DKKRR : notez greffier) à une autre femme ou un enfant et alors que son "chouchou des bois" ou "papa" avait l'air bien au chaud dans sa doudoune. Je ne pense pas être la seule. Des amies en font de même, déjà. En ce qui concerne l'amour, cela vous semble moins anodin. Personne n'aime être quittée -sans doute- tout comme personne n'aime les ruptures. Elles s'avèrent parfois nécessaires et il faut bien que l'un ou l'autre soit responsable (ou l'un et l'autre), se conduise en adulte responsable. Aimer amène aussi à vouloir le bonheur de l'autre, son bien-être, et parfois, cela passe avant les nôtres. Nous aurions tendance à le faire sans trop nous poser de questions, pour des enfants. J'aurais également détesté être un boulet pour cet homme ou qu'il regrette de ne pas avoir saisi l'opportunité de sa carrière professionnelle. Le romantisme a évolué. Des poètes se sont lamentés au sujet d'amours impossibles et aujourd'hui tout est possible grâce à Meetic, Tinder et les réseaux sociaux...n'est-ce pas merveilleux ? Un juste milieu ? Verlaine était accro à la "fée verte". Il aurait tenté plusieurs fois d'assassiner sa mère. Il a également battu avec récurrence et violé son épouse. Personnalité tumultueuse, disait-on. Un alcoolique notoire et un homme violent, violeur, dit-on aujourd'hui. Vous habituez mal votre chat (désolée). Quand j'ai fini de brosser et caresser les miens, en bons félins, ils prennent la tangente, trop heureux d'aller vers leurs croquettes préférés. Note : Yoga et taï-chi sont pratiqués devant Youtube (le reste en club). Êtes-vous sûr que le terme "frénésie" est employé ici à bon escient ? Adolescente, je pratiquais déjà le karaté-do. Deux ans de pratique assidue, les mercredis, ont suffi à me lasser des "shadows" (enchaînements contre un ennemi imaginaire). J'ai aussi pratiqué la danse classique, enfant (je détestais cela), ce qui me confère une certaine grâce, quand il s'agit de faire une clé à ma partenaire et ce qui émerveille mon senseï. À moins que ce ne soit le yoga, parce que je n'étais pas très douée pour la danse... ou encore ma coquetterie. Coquetterie qui m'oblige aussi à ne pas oublier le trait d'eye-liner tant il s'agit quand même de faire du sport. Et d'ailleurs je me sauve. Mon biographe préféré @DKKRRsera sûrement faire quelque chose de tout ceci. (Revenons-en au sujet, voulez-vous bien ?)
  15. Je vous prie de vouloir bien m'excuser pour cette réponse tardive. Votre message ne m'est pas parvenu. Que mon pseudonyme n'apparaisse pas dans votre citation, est sans doute un indicateur. Ce sujet, m'est venu, alors que je lisais l'interview d'une jeune femme, vegan d'abord pendant 5 ans, puis devenue manager pour la boucherie Meat Hook, à Brooklyn. Elle explique être devenue vegan suite à un premier choc, quand son protégé, un jeune agneau nommé Frederick a été vendu pour sa viande. Suite à un second choc, elle est revenue à un régime omnivore. En effet, elle venait de découvrir que les monocultures de soja et de maïs, sur lesquelles reposait son alimentation veggie, sont un désastre écologique. Possible, que suite à un troisième choc, elle revienne au gan. Vous évoquez des girouettes et des opportunistes. Nous pouvons voir que la sensibilisation à la cause animale par l'électrochoc, présente ses failles. Alors oui, il faut vraiment être convaincu(e) pour adhérer pleinement à une cause et ce n'est pas en martelant, culpabilisant la population, que cela va mieux fonctionner. L'homme est tout en haut de la chaîne alimentaire. Parler de camp d'extermination, de la shoah... Wouah ! Assimiler les omnivores à des nazis, est-ce vraiment sérieux ? Le régime végétarien n'est souvent pas suffisant pour les militants les plus extrémistes. Il m'a été reprochée notamment de causer de la souffrance au turbot, à la coque et à l'amande de mer. Et encore d'ôter le lait de la gueule du veau et du petit bufflon. D'être une criminelle parce que j'utilise des oeufs pour la pâtisserie. Ces gens pensent un peu trop tout ce qu'ils disent, et ça fait peur. Autant je peux me passer de viande aisément, qu'il m'est impossible de résister à un plateau de fruits de mer ou une pâtisserie de Cédric Grollet et je pense, que cela ne changera pas, puisque je suis aussi très convaincue par la gastronomie française. Note : et non les enfants de parents alcooliques et maltraitants ne deviennent pas "souvent" eux-même alcooliques et maltraitants. C'est un possible, parmi d'autres.
  16. Juste pour vérifier : je pense à quelle couleur là dans ma tête ? Quels sont les numéros gagnants du kéno ? Je ne suis pas censeur et n'aime pas les fatwas. Si vous voulez être signalé, arrangez-vous donc avec notre voisin du dessus.
  17. C'est une idée cela, je devrais aussi me créer deux ou trois autres comptes : l'un quand il n'y a plus de Paris Brest chez mon pâtissier préféré, l'autre quand je dois régler le RSI, et un autre encore quand je suis en mode "love-love". Ce qui est regrettable, c'est de n'avoir à faire qu'à des polémistes et autres gourous du XXI ème, apocalyptiques et non. Nous avons déjà des Moix et Soral, si je veux les lire alors je vais m'abreuver directement à la source.
  18. Ah si encore ! Encore des photos de Bradley Cooper #farandoledepetitscoeursfluorescents
  19. La solidarité ne s'exige pas, absolument. Elle est surtout visible au sein de communautés, des minorités. Il est dommage de se cantonner aux sous-groupes, nous pourrions faire tellement mieux. La compétition ne m'est personnellement pas dérangeante tant il s'agit de remporter un prix ou un contrat. Elle est aussi motivante, donne l'envie de se dépasser et tant il s'agit toujours d'objets. Il y a plusieurs années, j'entendais le champion Pascal Gaban répondre à un enfant qui lui demandait "Comment est-ce que l'on fait pour être toujours premier ?", que "Quand on se satisfait de la seconde place alors, rien ne sert plus de courir". L'ambition n'a rien de mauvais, en elle-même. Si vous écrasez les autres pour y parvenir, sans être fair-play, c'est encore là autre chose. Les hommes, tout comme les femmes, ne sont pas des trophées, des objets. Entrer en compétition pour l'un, l'autre, et entretenir ce climat, s'en sentir flatté(e), relève du non respect envers autrui, envers soi aussi. Dans le domaine de la séduction, on parle encore communément de "femme trophée". L'écrivaine et réalisatrice Virginie Despentes l'explique : "Les hommes se baisent entre eux, à travers le corps des femmes". Tout ceci fonctionne bien entendu également pour les femmes. Nous pouvons refuser de jouer ce jeu-là. Quand des femmes vous ramènent à un statut de subalterne, vous refusant d'être l'égale voire même meilleure, c'est aussi qu'elles vous récitent une leçon qu'elles ont fort bien apprise. Il y a toute une culture misogyne à démanteler, aussi bien relayée par des hommes que par des femmes. Je me réjouis tout autant de la promotion d'un homme, que d'une femme quand c'est le fruit d'un travail acharné, qu'ils sont compétents. Ils sont récompensés puisqu'ils le méritent. Cette "différence de condition", comme vous l'écrivez, n'entraîne une inégalité entre hommes et femmes, qu'à partir du moment où des hommes l'ont instaurée. Non seulement instaurée, mais aussi célébrée, à travers les siècles. La religion a aussi été l'outil pour affirmer encore davantage cette domination. Ce n'est pas de la coopération non, mais bien de la domination. Les rapports dominant/dominé sont observables quant au règne animal... des hommes, n'ayant toujours pas réussi à s'en extraire, y parviendront-ils un jour ? Vous me pressentez patiente. Je vous observe un brin préoccupé. En ce qui concerne la contraception, l'IVG, le droit des femmes à disposer de leur propre corps (alors que les hommes en disposent pleinement depuis des lustres), je vous laisse observer la montée en puissance des populistes, des religieux, en Europe, pour commencer. Montée en puissance entraînant la régression de la société. Et puis quand nous étendons aussi, des femmes encourent également la prison dans certains États américains quand elles sont accidentées, puisque soupçonnées d'avoir mis un terme volontairement à leur grossesse. Le droit d'avorter en Amérique Latine ? Est-il nécessaire d'évoquer les droits des femmes dans les États où la charia est reine ? Après ce tour d'horizon rapide, revenons en France et rappelons-nous, qu'il y a à peine un an, un président d'un syndicat obstétrique fut capable de prendre la parole pour associer avortement et "homicide", et d'informer qu'il ne le pratique plus. Objecteur de conscience et tutti quanti. Nombre de croyants -mais pas- en applaudissent encore (même avec les pieds). Je ne connais pas une seule femme qui ait eu recours à l'IVG, sans peine, d'autres ont été traumatisées et le sont encore quand elles entendent de telles ignominies. Tout va bien ? Vraiment ? Quand des femmes prennent la parole, pour leurs droits et leurs libertés, il est à observer, en retour, des réactions très hostiles : des contre-vérités, contre-positions, contre-courants. Tout contre, en réaction à des individus se mobilisent, deviennent parfois des masculinistes ou empruntent à ce mouvement (c'est effrayant). Des hommes et des femmes valorisent aussi à l'excès la masculinité, la maternité, l'altérité etc... comme les hystériques, qu'ils sont. S'affrontent alors les forces du Bien et les forces du Mal et nous pouvons assister à cela médusé(e)s que nous sommes. Il y a cependant la réalité des plateaux télé et des réseaux sociaux et... la réalité observable. Les hommes et les femmes semblent plutôt bien s'entendre en général. Pour ma part, je ne fréquente pas de pouilleux. D'où l'intérêt de ne pas s'en servir comme argument d'autorité, comme ont trop souvent tendance à le faire, des "religieux". Vous semblez bien belliqueux, pour une nouveauté dites donc, dark vador. Je choisis de vous reléguer au placard à balai, entre deux trois serpillères et un seau Curver.
  20. C'est bon une petite morue, bien dessalée, avec un trait d'huile d'olive de vierge.
  21. Ces pauvres portugaises qui se traînent une réputation de femmes velues depuis déjà... trop longtemps.
  22. Partout, ou presque, la masculinité est questionnée, décortiquée, réinventée. En effet, la barbe permet à des hommes de réaffirmer leur masculinité. C’est un moyen accessible, rapide... immédiatement visible. Nous pourrions aussi élargir au costume. Aujourd’hui des hommes qui n’en ont pas l’habitude le portent dans des moments de fragilité, pour mieux se réaffirmer : entretien d’embauche, devant un juge. Même chose avec des femmes qui n’ont pas pour habitude d’utiliser du maquillage, par exemple, ou porter des robes.
  23. À ma connaissance, le dernier homme qui a rétorqué à une femme que ce n’est pas une princesse, le regrette encore (quelle maladresse !). Oh la barbe ! Sinon *sourire* la barbe ne m’est pas dérangeante. Tous les hommes ne la portent pas bien il est vrai, question de morphologie et de goût. Elle peut encore durcir des traits déjà austères. Oui, tout comme les cheveux, le visage et le corps, elle demande aussi de l’entretien. C’est une évidence.
  24. Il s'agit de priver l'enfant de sa mère, de son foyer, de ses repères. Il s'agit de priver la mère de son enfant, de son foyer, de ses repères et en attendant monsieur est bien aise. La solution est d'écarter l'auteur des violences, pour commencer. Auriez-vous la gentillesse de développer la phrase mise en gras ? La prison... C'est une idée séduisante d'autant qu'elle force au sevrage, seulement, elle exige de construire davantage (ce qui ne va pas plaire à l'habitant) ou pousser des murs (ce qui ne va pas plaire au riverain) et l'une et l'autre solution demande des fonds (ce qui ne va pas plaire au contribuable). Les chiffres, les statistiques ont tendance à varier selon les études. Les chiffres déshumanisent aussi. Je ne dis pas qu'il n'en faut pas attention, ils donnent des tendances. Au sujet de cet homme qui aurait tenté de se suicider -la police une fois sur les lieux l'en aurait empêché-après avoir donné le dernier coup de couteau à sa conjointe ; aurait aussi crevé ses pneus, la violentait régulièrement et encore l’a menacée de mort (d'où la plainte). La haine envers le conjoint, entretenue au quotidien (en cause aussi le manque de ressources financières poussant à une colocation) a conduit ici encore jusqu'à l'issue fatale. Le terme "féminicide" interpelle. Avant cela, ceci passait habituellement inaperçu, quelque part dans les faits divers. Il n'y a jamais de vision assez romantique de l'amour et d'autant dans la société de clochards du coeur dans laquelle nous vivons. Niveler vers le bas, n'aide jamais vraiment. L'amour et la haine pourraient alterner chez les personnalités les plus changeantes et cohabiter chez les profils les plus "abîmés", pour ne pas écrire malades. L'amour n'est pas inclusif de la haine, et d'ailleurs, ce sont des contraires. La passion ne s'exprime pas par la haine. Parler d'amour toxique (entrant dans la palette des comportements amoureux négatif) pour l'exemple, est une erreur, tant il y a du calcul, de l'emprise et de la violence. Nous pouvons ne retenir que la toxicité... et l'égocentrisme, l'amour de soi, prioritairement, toujours :"c'est mon besoin à moi (te garder captif) qui prime sur le tien(partir)". "Carmen" m'a toujours mis mal à l'aise, même si je n'en changerais pas le contenu (ce qu'a fait il y a quelques temps un metteur en scène), puisqu'il nous renseigne, sur ce que l'être humain a en lui de plus sombre. Qu’est-ce que nous savons à propos de la locution crime passionnel ? Une sémantique décriée « “Crime passionnel”, “drame de la séparation”, “drame familial” ne sont pas des expressions journalistiques correctes pour qualifier des meurtres. Et pourtant, les médias en abusent et contribuent à minimiser d’emblée la responsabilité du meurtrier présumé, voire à l’effacer. » Ces mots sont ceux de femmes journalistes réunies au sein du collectif Prenons la Une, créé en janvier 2014, pour défendre « une juste représentation des femmes dans les médias et l’égalité professionnelle dans les rédactions ». Leur tribune intitulée « Le crime passionnel n’existe pas » a été publiée en novembre de la même année dans Libération. Elles rappellent que cette expression ne fait pas partie du code pénal. De fait, si ce terme ne trouve pas de résonance juridique littérale, il est néanmoins balisé depuis le nouveau code pénal de 1994. Celui-ci intègre la qualité de conjoint comme circonstance aggravante pour le meurtrier. Il en va désormais de même pour les conjoints et ex-conjoints mariés, pacsés, concubins. Si bien que le crime passionnel qui renvoie généralement au crime commis sur son (ex-)partenaire de vie ne peut, devant un tribunal, constituer d’emblée un critère minimisant pour son auteur. Mais cela n’a pas toujours été le cas. L’article 324 du code pénal de 1810 prévoyait certaines « excuses » pour le meurtre commis « par l’époux sur l’épouse, ou par celle-ci sur son époux ». En particulier, « dans le cas d’adultère, prévu par l’article 336, le meurtre commis par l’époux sur son épouse, ainsi que sur le complice, à l’instant où il les surprend en flagrant délit dans la maison conjugale, est excusable ». Sensibles aux arguments des criminels ainsi « bafoués », « trahis », les jurés allaient jusqu’à acquitter certains d’entre eux. Plus loin : Le crime passionnel, un crime d’amour-propre « Tout allait si bien », « je l’aimais tellement », « j’ai tout fait pour elle ». Ces phrases, les experts-psychiatres et avocats les entendent de la bouche des conjoints meurtriers, presque à chaque fois qu’ils ont à les rencontrer. Ils évoquent généralement une rupture ou une dispute qui a conduit au passage à l’acte. Dans son livre La barbarie des hommes ordinaires, Daniel Zagury explique : « ils sont incapables de se regarder de l’extérieur en se décentrant de leur posture narcissique. […] Ils se voient essentiellement comme des victimes, sans autocritique, sans capacité à comprendre l’autre, au moins un peu ». Selon l’expert psychiatre, cet écart entre leur vision du couple (déni de l’érosion, de l’éloignement, des difficultés) et celle du conjoint, « est la caractéristique majeure de ces personnalités ». En introduction, il prévenait : « ils présentent une vulnérabilité. Quelque chose d’essentiel leur fait défaut, que les aléas de la vie amoureuse vont dramatiquement révéler en les conduisant pas à pas jusqu’au seuil de l’effondrement, du suicide, de l’homicide ». Car bien souvent, suicide et homicide sont liés, l’enjeu étant de tuer l’objet de la douleur ou la douleur elle-même. Avec pour résultat direct, dans le cas du crime, « un lien figé pour l’éternité » comme l’évoque Daniel Zagury qui reconnaît avoir été parfois glacé par ce constat d’un « obscur triomphe sur la menace de la perte ». Morte, la victime semble appartenir pour toujours à celui qui l’a tuée. Le lien : https://www.dalloz-actualite.fr/dossier/crime-passionnel-au-xxie-siecle-existe-t-il-encore#.Xc2CyS17Rjc Et pour qui cela intéresse, la tribune du collectif Prenons la une : https://www.liberation.fr/societe/2014/11/24/le-crime-passionnel-n-existe-pas_1149842 Les mots qui n'ont jamais traduit la vérité, sont comme les animaux empaillés et la France est devenue un centre de taxidermie... NB : Une générosité rare ? Mais l'abnégation se voit tous les jours. Chez l'amoureux qui va offrir sa veste et alors qu'il a lui-même très froid. Chez des individus qui vont renoncer à manger parfois au profit de leurs enfants ou d'un frère, d’une soeur, d'un parent, d’un animal de compagnie qu'ils estiment en avoir plus besoin. Il suffit d'ouvrir grand ses yeux. Karatéka, puis kraviste. Yoga et taï chi, en sus. Pour le moment. 1- Non (cf au-dessus). 2- Mais quelle horreur ! Vous êtes grave. Si vous tenez tant à spéculer sur ma vie amoureuse, ayez au moins l'obligeance de me mentionner (@suivi du pseudonyme). On ne compte plus les personnes non éduquées sur ce forum/qui versent dans la conciergerie (quelle pitié !). Sur un autre sujet, où vous nous vantiez le voile et la "abaya", vous m'invitiez à l'introspection quant à mes tenues vestimentaires -à la mode occidentale- qui pourraient selon vous pousser des hommes à mal m'envisager et se conduire mal en ma présence. Je vous invite à revoir vos poncifs préhistoriques et non seulement en ce qui concerne l'amour. La tonalité ambiante n'est pas de donner toutes les excuses à des hommes et tous les torts aux femmes. C'est bien dommage pour vous. Ce que vous écrivez là est très alarmant.
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