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Immateriel

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Tout ce qui a été posté par Immateriel

  1. Je voudrais dire juste une dernière chose : je comprend bien que ces arguments, ou ces idées, sont plus "philosophiques" que scientifiques. Cependant, il me semble primordial de tenter systématiquement de faire le pont entre les théories scientifiques et les idées philosophiques, car l'un et l'autre sont forcément dépendants l'un de l'autre, et ce, quelque soit notre position idéologique, parce que même pour un athée matérialiste par exemple, étant donné que la philosophie est issue selon lui du mécanisme cérébral uniquement, et bien cela voudra dire que lorsque ce mécanisme sera parfaitement compris, il sera possible d'en extraire la philosophie parfaite et universelle, et inversement, d'une philosophie parfaite et universelle il serait possible d'en extraire toute la compréhension nécessaire des mécanismes du monde. Donc _même_ pour un athée matérialiste, philosophie et science sont nécessairement reliées. Alors l'argument qui consiste à rejeter certains propos parce que "non scientifiques" me parait légèrement absurde.
  2. Je sais quel est le problème fondamental, c'est que peut-être vous confondez intelligence et conscience. Vous ne faites pas de différences entre "votre intelligence" et "votre conscience". La première, c'est le fruit du cerveau, les idées qui en émergent, suite aux arrangements des neurones dans votre cerveau. La deuxième, c'est l'oeil de votre esprit qui capte ces idées, qui capte les informations du monde, et qui influe cet arrangement de neurones dans un sens plutôt qu'un autre. Les matérialistes tentent de réduire la conscience à un phénomène cérébral, mais je pense qu'ils se trompent. Ma théorie, c'est que la conscience n'est pas un phénomène cérébral, qu'elle est dissociée même si elle est, en état "d'éveil", liée au fonctionnement cérébral. C'est comme une sorte "d'enveloppe" qui vient se superposer à un mécanisme existant, celui du cerveau, qui en reçoit les informations (les idées) qui en émerge, mais qui n'est pas dépendant de ce "véhicule". L'intelligence est selon moi valable pour toute chose, et même pour tout être. Tout le monde EST intelligent. Mais tout le monde n'a pas la même expérience, et ne développe pas les mêmes connaissances, ni les mêmes idées, parce que cette intelligence ne s'est pas appliquée aux mêmes éléments, n'a pas construit les mêmes pensées, les mêmes réseaux de neurones, parce qu'elle n'avais pas les mêmes informations. Je rappelle ce principe du bouddhisme, la "nature du Bouddha" : toute chose contiendrait "la graine de Bouddha", y compris nous en tant que cerveau (égo/mental), mais aussi chaque cellule, chaque atome. Certaines "entités" sont "accomplies", et agissent en tant que "Bouddha", c'est à dire qu'elles sont en harmonie parfaite avec le reste du monde. Nos pensées ne le sont pas forcément, parce que nos pensées sont énormément plus complexes, et mènent à d'innombrables possibles. Mais il est tout de même possible de "comprendre" la "nature de Bouddha", et c'est pour cela qu'une première étape consiste à "stopper le flux des pensées" par la méditation, parce qu'alors on peut "constater", "observer" la nature de Bouddha dans le monde et en nous, au moment de cette fusion où nous cessons d'interpréter le monde, et où nous nous focalisons sur l'instant présent. Nous voyons alors cette intelligence clairement, distinctement, en toute chose, dans le vent, la pluie, le chant d'un oiseau, le calme d'un lac, le scintillement d'une étoile, c'est là, disponible, il suffit de l'observer, cette intelligence de la nature est là, constamment sous nos yeux. Donc oui, même le mécanisme d'évolution qui permet aux êtres vivants d'évoluer, est issu de cette intelligence, et c'est peut-être cela le plus important : si nous ne comprenons pas cette intelligence, nous aurons tendance à croire que cette évolution est "aléatoire", alors que c'est faux, nous voyons bien que cette évolution ne crée aucun artifice, aucun organe inutile, aucun déchet, d'ailleurs toutes les réactions qui existent se passent selon le principe de conservation énergétique, ce principe n'est-il pas "intelligent" selon-vous ? Auriez-vous pu décrire un principe "plus intelligent" que celui-là ? Alors cela va ennuyer ceux qui nient les concepts de Dieu, ou même ceux qui considèrent que toute chose non matérielle, non observable ou non représentable par un quelconque mécanisme, n'existe pas. Tant que ces personnes n'ouvriront pas les yeux sur la nature du monde, elles vivront dans une illusion, dans une idée fausse d'un monde qui n'a aucun sens, et elles seront malheureuses parce que cela impliquera que leur propre existence n'a également aucun sens, parce qu'ils se diront jusqu'à la fin de leur jour que le monde n'est pas intelligent, et donc qu'il n'a aucun sens. Mais ils ne sauront pas expliquer pourquoi EUX sont intelligents, ni même pourquoi ils sont capables de se poser des questions auxquelles supposément le monde lui-même est incapable de répondre, alors qu'ils font "partie" du monde, et que le monde existait bien avant eux.
  3. Je ne vois pas en quoi cette logique te semble difficile à comprendre. 1) Il y a un ordre dans ce monde qui régit tous les objets, du microscopique au macroscopique, cet ordre concerne donc toute chose matérielle, notre corps et notre cerveau y compris. 2) Nous constatons le monde grâce à notre intelligence et à nos perceptions issues de notre cerveau, qui nous permet de bâtir des théories pour le comprendre en constatant la façon dont il réagit. L'ordre du monde peut donc se comprendre lui-même, à travers nous. 3) Le premier point et le deuxième point impliquent que l'intelligence est issue de cet ordre. 4) Le troisième point, implique donc que, étant donné que l'intelligence du monde émerge de l'ordre du monde, et bien cela veut dire que l'ordre est intelligent, parce que s'il ne l'était pas, l'intelligence ne pourrait pas émerger. Ce qui m'épate, c'est que ce dernier point soit encore réfutable. Rien que le simple fait que nous constations des mécanismes intelligents dans la nature (par exemple chez les animaux, mais surtout en ce qui nous concerne, dans tout ce qui est issue de la pensée de l'homme) prouve que la nature est "elle-même" intelligente. Je ne vois pas ce qu'il y a de choquant, à part pour ceux qui pense que l'intelligence n'existe que dans leur cerveau, et qui du coup pense que le monde "n'est pas intelligent", qu'il est juste le fruit "d'un hasard miraculeux qui a permis qu'il existe comme il est" (je les trouverais plus croyants que ceux qui estiment que Dieu existe !)
  4. Ta façon de répondre ressemble à celle de Wipe, êtes-vous de la même confrérie ? :smile2: Ceci étant dit, tu as parfaitement compris le sens de mes propos, preuve que mon explication était intelligentes, parce que ton intelligence a réussi à en déduire les implications
  5. Vu que tu affirmes cela, montre moi en quoi cette logique est fallacieuse.
  6. Je vais ré-expliquer le concept que j'ai mentionné. L'ordre existe dans le monde, il n'est pas une simple vue de l'esprit : tous les électrons réagissent pareil, tous les photons aussi, etc. Cet ordre, c'est le déterminisme : une même cause aura le même effet dans deux situations équivalentes, sur des entités ayant une même nature. Ce déterminisme, nous le découvrons au travers de notre compréhension du monde. Nous ne l'inventons pas, nous le décryptons au travers des informations qui nous proviennent du monde. L'état de décryptage où nous nous situons est ce qu'on peut considérer comme nos théories scientifiques qui collent le mieux à l'observation du monde que nous avons. Si nous analysons bien cette situation, nous sommes en présence de plusieurs choses : 1) D'un ordre dans le monde 2) D'une intelligence la notre, qui constate le monde 3) Cette intelligence, est issue du monde, donc l'ordre du monde mène à l'intelligence. 4) Ces 3 constats mènent au constat final et logique, que l'ordre du monde est forcément intelligent. L'intelligence de la nature est d'ailleurs un concept qui existe depuis toujours. Nous avons depuis toujours considéré que le monde était "peuplé" de dieux, d'entités quelconques, mais cela c'est notre projection de cette intelligence, notre façon de la comprendre. Dans le bouddhisme par exemple, la notion de "la nature de Bouddha" qui est en chaque chose, existe : elle est équivalente à cette notion "d'intelligence de la nature", en allant même plus loin, parce qu'elle implique une harmonie liée à cette nature de Bouddha, qui fait que par exemple un arbre est Bouddha, une plante est Bouddha, un électron est Bouddha, tout ce qui est en harmonie avec l'intelligence de la nature, est Bouddha. Et nous-même, nous pouvons devenir Bouddha, à partir du moment où nous "fusionnons" avec le monde, et que nous entrons en harmonie et en résonance avec cette intelligence naturelle. Est-ce que cela répond à ton incompréhension ?
  7. Le déterminisme se base tout de même sur l'existence du monde, le constat de l'ordre et des lois qui y règnent, et donc qu'étant donné qu'il y a un ordre plutôt qu'un désordre, que l'intelligence est primordiale, car la logique est nécessaire. Cela, le déterminisme permet de le déduire. Le principe de cause à effet est implicitement relié à cette intelligence, parce que sinon ça ne fonctionnerait pas : une cause a un effet PARCE QUE l'intelligence existe, sinon, une cause n'aurait pas toujours le même effet, un photon reçu par des capteurs ne produirait pas toujours le même effet, un électron se baladant dans un fil ne créerait pas toujours la même différence de potentiel, une force ne s'annulerait pas s'il n'existait pas une force contraire, et les exemples sont innombrables pour montrer qu'il existe forcément un ordre, une logique sous-jacente au monde, et donc une intelligence !
  8. Il me semble que cette notion d'aléatoire ou de hasard ne puisse pas être aussi rapidement traitée. Dans ton premier cas, ce n'est pas du hasard, c'est un manque d'informations ou de moyens d'observations, ou une impossibilité physique d'observation. Cela n'a rien à voir avec "le hasard". Ton deuxième cas n'est pas du "hasard" non plus. Ce n'est pas prévisible parce que nous n'avons pas toutes les informations, le post que j'ai mit plus haut montre qu'il y a des choses qui deviennent de mieux en mieux compris en terme de génétique, et que certaines mutations deviennent maintenant prévisibles. Le hasard n'a donc rien à voir avec tout ça...
  9. En dehors de tes jugements personnels, ma remarque est juste : ce qu'on pensait autrefois comme totalement aléatoire ne l'est pas. Il y a un ordre au monde, le désordre absolu ça n'existe pas, le désordre organisé oui. Vois-tu la nuance ?
  10. Loin de hasard, Evolution suit un schéma prévisible génétique ScienceDaily (25 octobre 2012) - Evolution, souvent perçue comme une série de changements aléatoires, pourrait en fait être entraîné par une solution simple et répétée génétique à un stress environnemental que d'un large éventail d'espèces arriver à partager, selon une nouvelle étude . L'Université de Princeton recherche publiée dans la revue Science suggère que la connaissance des gènes d'une espèce - et comment certaines conditions externes qui influent sur ​​les protéines codées par ces gènes - peut être utilisé pour déterminer un modèle prévisible de l'évolution entraînée par des facteurs extérieurs. Les scientifiques pourraient alors identifier comment la diversité des adaptations vus dans le monde naturel développé, même chez les animaux de loin liés. "L'évolution est-elle prévisible? Pour une mesure surprenante, la réponse est oui", a déclaré le principal chercheur Peter Andolfatto, professeur adjoint au Département de Princeton de l'écologie et de biologie évolutive et l'Institut Lewis-Sigler intégratif de génomique. Il a travaillé avec l'auteur principal et associé de recherche postdoctorale Ying Zhen et étudiants des cycles supérieurs Matthew AARDEMA et Molly Schumer, tous issus de l'écologie de Princeton et département de biologie de l'évolution, ainsi que Edgar Medina, un étudiant diplômé en sciences biologiques à l'Université des Andes en Colombie. Les chercheurs ont effectué une enquête sur les séquences d'ADN de 29 espèces d'insectes liés de loin, le plus grand échantillon d'organismes encore examinés par un seul trait de l'évolution. Quatorze de ces espèces ont développé une caractéristique presque identique dû à une influence extérieure - ils se nourrissent de plantes qui produisent des cardénolides, une classe de stéroïdes comme cardiotoxines qui sont une défense naturelle des plantes telles que l'asclépiade et l'apocyn. Bien que séparés par 300 millions d'années d'évolution, ces insectes divers - qui comprennent les coléoptères, les papillons et les pucerons - les changements expérimentés à une protéine clé appelée sodium-potassium adénosine triphosphatase ou la pompe sodium-potassium, qui réglemente cruciale d'une cellule de sodium- à-potassium rapport. Les protéines contenues dans ces insectes a finalement évolué une résistance aux cardénolides, qui habituellement paralyser la capacité de la protéine à "pomper" potassium dans les cellules et les excès de sodium extérieur. Andolfatto et ses co-auteurs ont d'abord séquencé et assemblé tous les gènes exprimés dans les espèces étudiées. Ils ont utilisé ces séquences pour prédire comment la pompe sodium-potassium serait codé dans chacun des gènes de l'espèce sur la base de l'exposition cardénolide. Les scientifiques utilisent des techniques similaires pourraient suivre les changements de protéines dans l'ADN d'une espèce de comprendre comment de nombreux organismes différents ont évolué en raison de facteurs environnementaux, Andolfatto dit. «Pour appliquer cette approche plus générale un scientifique devez savoir quelque chose sur les fondements génétiques d'un trait et d'étudier comment ce trait évolue dans de grands groupes d'espèces faisant face à un problème commun évolutionnaire", a déclaré Andolfatto. «Par exemple, la pompe sodium-potassium est également un endroit gène candidat lié à tolérance à la salinité," at-il dit. «En regardant modifications apportées à cette protéine dans les organismes droit pourrait révéler comment les organismes ont ou peuvent répondre à la salinisation croissante des océans et des habitats d'eau douce." Jianzhi Zhang, Université du Michigan professeur d'écologie et de biologie évolutive, a déclaré que l'étude de Princeton à base montre que certains traits ont un nombre limité de mécanismes moléculaires, et que de nombreuses espèces distinctes peuvent partager les quelques mécanismes qui existent. En conséquence, il est probable qu'une section transversale de certains organismes peuvent fournir des indications sur le développement des autres créatures, at-il dit. "La découverte de l'évolution parallèle dans pas deux, mais de nombreux insectes herbivores augmente l'importance de l'étude parce qu'une telle parallélisme fréquent est extrêmement peu probable d'avoir passé tout simplement par hasard", a déclaré Zhang, qui est familier avec l'étude, mais n'a joué aucun rôle dans l' . "Cela montre que le mécanisme moléculaire commun est utilisé par beaucoup d'insectes différents pour se défendre contre les toxines dans leur nourriture, ce qui suggère que peut-être le nombre de mécanismes possibles pour atteindre cet objectif est très limité", at-il dit. "Que de nombreux insectes différents évolué indépendamment les mêmes trucs moléculaires pour se défendre contre la toxine même suggère que l'étude d'un petit nombre d'organismes modèles bien choisis peuvent nous apprendre beaucoup de choses sur les autres espèces. Oui, l'évolution est prévisible dans une certaine mesure." Andolfatto et ses co-auteurs ont examiné la protéine pompe sodium-potassium en raison de sa sensibilité bien connue de cardénolides. Afin de fonctionner correctement dans une grande variété de contextes physiologiques, les cellules doivent être en mesure de contrôler les niveaux de potassium et de sodium. Situé sur la membrane cellulaire, la protéine désirée de potassium génère un ratio de sodium en "pompant" trois atomes de sodium hors de la cellule pour deux atomes de potassium qu'il apporte po Cardénolides perturber les échanges de potassium et de sodium, essentiellement arrêter la protéine, ladite Andolfatto. Le génome humain contient quatre copies de la protéine de la pompe, et il est un gène candidat pour un certain nombre de maladies génétiques humaines, y compris l'hypertension sensible au sel et les migraines. En outre, les humains ont longtemps utilisé de faibles doses de cardénolides en médecine à des fins telles que le contrôle d'arythmie cardiaque et l'insuffisance cardiaque congestive. Les chercheurs de Princeton utilisé l'installation des puces à ADN à l'Université de Lewis-Sigler Institute intégratif de génomique pour séquencer l'expression de la protéine de la pompe sodium-potassium en espèces d'insectes couvrant trois ordres: les papillons et noctuelles (Lepidoptera); coléoptères et charançons (Coleoptera); et les pucerons, les punaises de lit, l'asclépiade bugs et autres insectes suceurs (Hemiptera). Les chercheurs ont découvert que les gènes de cardénolide résistant à des insectes incorporé diverses mutations qui lui ont permis de résister à la toxine. Au cours de la période examinée évolutive, la pompe sodium-potassium des insectes se nourrissant de apocyn et l'asclépiade a subi des mutations dans les sites 33 connus pour affecter la sensibilité aux cardénolides. Ces mutations souvent impliqués similaires ou identiques d'acides aminés changements qui ont réduit la sensibilité à la toxine. D'autre part, la pompe sodium-potassium muté qu'une seule fois chez les insectes qui ne se nourrissent de ces plantes. De manière significative, les chercheurs ont constaté que les duplications des gènes multiples survenus dans les ancêtres de plusieurs des espèces résistantes. Ces insectes essentiellement retrouvés avec une protéine de la pompe sodium-potassium conventionnelle et une «expérimentale» version, Andolfatto dit. Dans ces insectes, les nouvelles versions, plus robustes de la pompe sodium-potassium sont principalement exprimés dans le tissu intestin où ils sont susceptibles le plus besoin. «Ces duplications géniques sont une solution élégante au problème de l'adaptation aux changements environnementaux», a déclaré Andolfatto. "Chez les espèces dont ces doublons, l'organisme est libre d'expérimenter avec une copie tout en gardant l'autre constante, en évitant le risque que la nouvelle version de la protéine ne remplira pas sa fonction première aussi." Les découvertes des chercheurs d'unifier les idées généralement séparés de ce qui motive essentiellement l'évolution génétique: évolution des protéines, de l'évolution des éléments qui contrôle l'expression des protéines ou duplication de gènes. Cette étude montre que les trois mécanismes peuvent être utilisés pour résoudre le même problème évolutif, Andolfatto dit. Au centre de l'œuvre, c'est l'étendue des espèces, les chercheurs ont pu examiner à l'aide d'équipements modernes séquençage des gènes, Andolfatto dit. «Historiquement, l'étude de l'évolution génétique à ce niveau a été menée sur une poignée de« modèles »des organismes tels que les mouches des fruits», a déclaré Andolfatto. "Méthodes de séquençage modernes nous a permis d'aborder les questions de l'évolution d'une manière différente et de trouver des réponses plus complètes que nous avons examiné avait un trait de n'importe quel organisme un. "La puissance de ce que nous avons fait est d'étudier divers organismes confrontés à un problème similaire et trouver des preuves frappantes pour un nombre limité de solutions possibles", at-il dit. "Le fait que beaucoup de ces solutions sont utilisées maintes et maintes fois par des espèces totalement étrangères suggère que le chemin de l'évolution est reproductible et prévisible." Source : http://www.sciencedaily.com/releases/2012/10/121025130922.htm Traduction Google Fr : http://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&js=n&prev=_t&hl=en&ie=UTF-8&layout=2&eotf=1&u=http%3A%2F%2Fwww.sciencedaily.com%2Freleases%2F2012%2F10%2F121025130922.htm&act=url Désolé pour la traduction automatique, je n'ai pas le temps de le traduire personnellement. Mais on dirait bien que le hasard a de moins en moins sa place ?
  11. Déjà, lorsque tu parles de "science", mentionne le fait que tu parles de sciences physiques, parce que les mathématiques par exemple, qui sont une science, s'intéressent à des concepts abstraits et également propice à correspondre à ce que tu appelles "de la métaphysique". Ensuite, je trouve cela étonnant de déplacer l'intelligence en dehors de l'électron, pour ensuite dire que c'est inintéressant d'en parler. Je dis que l'électron est potentiellement intelligent (conscient), et toi tu dis qu'il ne l'est pas mais qu'il existe une loi (une intelligence) qui l'oblige à agir comme il le fait. C'est juste un déplacement tout à fait injustifié d'une même hypothèse, à savoir une intelligence localisée en dehors de la matière. De plus, les atomes s'adaptent ! Prenons le cas de l'eau, lorsqu'elle bout, se crée de l'évaporation. En quoi est-ce différent d'une adaptation ? Je trouve que c'est un peu facile de reléguer des questions fondamentales sous un libellé comme celui que tu emploies ("métaphysique") tout en estimant pouvoir complètement décrire un processus aussi complexe que l'évolution. Pour moi, cela tient du dogmatisme, d'un manque d'ouverture d'esprit, et probablement d'une peur de se tromper, d'une peur de s'aventurer sur des terrains où les appareils de mesure ne pourront pas confirmer ou pas nos pensées :smile2:
  12. Ce qui t'ennuie profondément, c'est le jugement négatif que tu as des intentions des autres. C'est cela qui génère du négatif en toi, tu manques selon moi d'objectivité en proférant de telles généralités, mais cela me semble lié à un égo probablement surdimensionné en ce qui te concerne, mais je peux me tromper.
  13. Un électron est donc intelligent, selon cette définition, non ?
  14. Je vois que certains semblent incapable de discuter calmement sans devenir agressifs. Ca ne vaut donc pas la peine de continuer cette discussion en ce qui me concerne.
  15. Pourquoi est-ce que tu conclues que les bacteries, insectes, plantes etc sont dépourvus de conscience ? Cela est une affirmation péremptoire. Ils n'ont pas forcément conscience d'eux-même, mais cela ne veut pas dire qu'ils n'ont pas de conscience. Selon moi il FAUT une conscience pour réagir à son environnement, et en partant de ce principe, même un électron ou un photon ont une conscience. Ensuite je n'ai pas dit que l'homme était "le but de l'évolution", j'ai dit que l'évolution s'accompagne d'une conscience de plus en plus élargie, c'est un fait. Tu conclues que je voulais dire que "c'était le but de l'évolution", mais en fait j'y vois plus un signe qui nous montre qu'il n'y a rien d'aléatoire ou de non directionnel là dedans. Les êtres vivants qui ont plus de conscience agissent plus fortement sur leur environnement, sur le plan de l'adaptation, ils sont donc bien plus évolués que ceux qui ont une conscience plus faible. L'être humain pourrait par exemple détruire la Terre s'il le voulait, donc quelque part aussi, une conscience qui s'agrandit implique une responsabilité de plus en plus grande. Mon argument est le suivant : au stade des micro-organismes, il n'y avait pas besoin de développer de nouvelles stratégies ou de nouvelles variations, car comme tu le dis, ils auraient largement pu s'adapter et survivre à leur niveau. Il me semble, mais je pense que tu ne seras pas d'accord, que l'évolution s'accompagne nécessairement d'un BESOIN de complexification, c'est à dire que la vie est faite pour ça, le code génétique est fait pour accueillir des messages de plus en plus grand, peut-être sans limite, et le fait que cette possibilité existe montre bien que l'évolution n'avait pas l'intention de s'arrêter à un code génétique limité. Selon moi il faut cesser de voir l'évolution comme un simple jeu de billes, et observer les intentions qui y sont cachées. Comme je l'ai dit, je ne suis ni évolutionniste ni créationniste, mais pourtant je ne suis pas d'accord avec la vision mécaniste des évolutionnistes, ni avec l'aspect mystique du créationnisme; Je pense qu'il existe un juste milieu entre science et mysticisme, entre renier tout ce qui est mystique et tout attribuer au mystique, il y a bien une part de mécanisme, mais aussi une part d'intelligence naturelle qui est indéniable. Le hasard, même après une infinité de temps, ne peut pas mener à l'élaboration d'un système comme le code génétique qui permette, selon un même principe, une diversité aussi gigantesque. Il y a forcément de l'intelligence préalable, qui a "conçu" cela, je ne dis pas que c'est un Dieu extérieur, ni que c'est par un coup de magique, mais je dis qu'il est probable que l'évolution ne concerne pas uniquement le plan matériel...
  16. Gneh ? Définis "existence". Le fait d'exister plutôt que de ne pas exister. Depuis quand on a décrété que la théorie de l'évolution devait répondre à ce genre de questions métaphysiques ? Pourtant le créationnisme lui, a un argument à cette question :smile2: Cette question concerne par contre très bien la théorie de l'évolution telle que tu la mentionnes. Car tu dis ceci : "Lesmutations sont aléatoires (ou spontanées) mais la sélection naturelle est unprocessus logique et la sélection sexuelle également. Après, si on parle dehasard dans le sens "pas de but", eh bien en effet. L'évolution n'apas de but à atteindre." Pourtant on voit bien que non seulement les espèces s'adaptent à leur environnement, mais qu'en plus elles deviennent de plus en plus conscientes (un poisson est moins conscient qu'un poulpe, moins conscient qu'un chien, moins conscient qu'un éléphant, moins conscient qu'un bonobo, moins conscient qu'un homme). Donc non, tu n'expliques pas pourquoi cette complexité s'accentue et pourquoi elle mène à plus de conscience, car au final si le but était "simplement" de s'adapter, des micro organismes auraient suffit, pas besoin de complexité. Et si tu réponds à cette question "c'est le hasard", et bien je dirais que tu crois aux coups de baguette magique :smile2: Même réponse que la deuxième question. La théorie de l'évolution se base sur plusieurs principes décrétés comme "universels" (adaptation, mutation, complexification, aléat, etc) et si elle ne répond pas à cette question, elle est incomplète car elle ne fait que faire une supposition. C'est pas ça un quantum. http://en.wikipedia.org/wiki/Quantum "A photon is a single quantum of light, and is referred to as a "light quantum". The energy of an electron bound to an atom (at rest) is said to be quantized, which results in the stability of atoms, and of matter in general." Mais si tu veux jouer sur les mots plutôt que de répondre aux problèmes de fonds évoqués, c'est ta crédibilité qui est en jeu et non la mienne :smile2: Okay, cette phrase prouve purement et simplement que tu n'as rien compris à la théorie de l'évolution. Merci. Et cette dernière phrase prouve purement et simplement que tu ne peux pas t'empêcher de juger autrui et que tu fuis le débat :smile2: Et ton petit "merci" dédaigneux, comme si tu avais "gagné" est tellement puérile que je ne pensais pas qu'à ton âge on puisse encore utiliser ce genre d'éléments rhétoriques !
  17. Le bien et le mal tel que tu les entends sont des concepts mentaux, issus des interactions dualistes du cerveau qui créent des concepts opposés les uns avec les autres. Donc tant qu'il y aura l'existence d'un tel mental issue des interactions dualistes, qu'il soit humain ou extra-terrestre, il y aura la possibilité de l'émergence de ces deux concepts. Ce qui existe indépendamment de tout mental c'est le Bien Absolu qui seul guide l'Intelligence et la Conscience de la nature au plus profond d'elle-même et lui permet de s'améliorer, d'évoluer, de donner naissance à des possibles de plus en plus vastes et riches, permettant aux Êtres de vivre de plus en plus d'expériences diversifiées. En soi, et objectivement parlant, le "mal" n'a pas de substance, il n'y a pas "une énergie noire", mais uniquement une énergie qui est une seule substance, qui vibre plus ou moins en résonance avec le Bien, qui est plus ou moins en harmonie avec le reste du monde, qui autorise plus ou moins la Créativité.
  18. Encore une fois, selon une pensée dualiste qui ne peut pas séparer les concepts de leurs contraires, ce que tu dis est correct. Mais pour une pensée "absolue", il n'y a pas de contradiction à considérer l'existence d'un concept absolu unique comme le Bien sans donner toutefois l'existence au concept mental inverse du "mal", car comme je le disais, le mal peut très bien être défini comme l'absence de Bien, ce qui fait qu'on peut tout à fait de passer du "mal" au sein d'une pensée "absolue", objective. Tu vas me demander, pourquoi "favoriser" le concept du Bien par rapport au "mal" ? Et bien déjà parce que logiquement, il faut du Bien pour que les choses puissent exister, se combiner en autant de multiples possibles sans s'auto-détruire ou s'entre-détruire, le principe même de "combinaison" n'est possible que si ce lien est accepté par les deux objets (donc que si les deux objets "estiment" que cette combinaison est "Bien" fondée). D'un autre côté, si le "mal" était absolu, il n'autoriserait rien de tel, empêcherait toute existence d'être, tout se serait auto détruit, les choses ne se seraient jamais combiné pour donner naissance à une "meilleure" combinaison, rien n'aurait subsisté, etc. Et si on prend ces éléments de logiques de côté, d'un point de vue théologique, Dieu est infiniment Bon, c'est la définition même de ce qu'il Est :smile2: Donc sa création ne peut pas contenir "de mal", elle ne contient que du Bien, même si certaines combinaisons permettent à se Bien de s'exprimer plus ou moins, et en ce qui concerne le mental de l'humain, son cerveau, certaines combinaisons donnent même naissance au concept du "mal" par ignorance du Bien.
  19. Tu parles du monde de la dualité là. Celui du mental, ou s'opposent les concepts Dire que l'on va "supprimer" le mal, c'est lui donner une consistance, alors qu'en fait, le mal n'existe pas objectivement, ce n'est qu'un concept mental : il y a le Bien, et la présence plus ou moins forte de ce Bien, ce n'est pas "le bien d'un côté et le mal de l'autre", mais le Bien et l'absence plus ou moins prononcée de ce Bien. Faire "disparaitre" le Bien n'a aucun sens ceci dit :smile2:
  20. Ayant moi-même perdu des êtres chers, je sais ce que c'est : il faut se dire une chose très simple : qu'aurais souhaité cette personne pour nous à part notre bonheur, qu'on trouve le chemin de l'éveil, et non pas qu'on plonge dans la tristesse sans fin ? C'est selon moi, car je crois à la vie après la mort (de nombreux indices existent par rapport à ça), la tristesse qu'on éprouve égoïstement est difficile à supporter SURTOUT pour ceux qui sont partis et qui ne peuvent rien faire que constater notre manque de foi en la vie, notre manque d'ouverture d'esprit qui alors nous rend aveugle sur tous les bienfaits que la vie nous réserve encore et toujours. Dans la vie on a toujours le choix : être heureux, sans se mentir à soi-même, parce que la vie est belle, et que l'on peut toujours rayonner le positif pour les autres, ou alors être malheureux, s'enfermer dans le passé, regretter de ne pas avoir ci ou ça ou de ne plus avoir la personne à ses côtés, mais ce malheur est forcément égoïste, et il nous fait rayonner "du négatif", nous empêche d'être constructifs.
  21. Ca en fait un paquet de choses qui conditionnent ton bonheur ! Et ce n'est pas exhaustif en plus... Est-ce que tu crois que c'est raisonnable ? Le jour où tu n'auras plus la santé, tu deviendras malheureux ? Et le jour où tu ne seras plus en possession complète de tes moyens, aussi ? Et le jour où tu ne seras plus entourés des personnes qui t'entourent ? Et le jour où tu te rendras compte que tu n'as pas réalisé tel ou tel rêve ? Et le jour où tu cesseras d'être passionné, que ta vision de la vie aura changée, tu deviendras malheureux ? Et la peine, qu'est-ce sinon une invention personnelle ? Je pense que le bonheur ne se calcule pas, il n'est pas équivalent à la somme des choses positives qui nous arrivent, ni à la soustraction des choses négatives à ces choses positives. Le bonheur Est, à l'intérieur, une source intarissable d'Amour, un rayonnement que rien ne peut obstruer, sauf bien sûr toutes ces conditions qui comme des voiles viennent l'occulter.
  22. Ah bon ? En es-tu certain ?
  23. Le bonheur n'est pas conditionné. Il Est, eau potable ou pas :smile2:
  24. Tu expliques un mécanisme basique là, celui de la survie et de l'adaptation, mais : - tu n'expliques pas d'où vient l'Existence même - ni pourquoi les lois de la nature existent (ces mêmes lois qui mènent à ce mécanisme dont tu parles) - ni comment il est possible qu'elles mènent à une telle complexité et diversité (serait-ce un mécanisme parfait au point de permettre tous les possibles?) - tu ne mentionnes pas non plus "où se trouvent ces lois" et donc, par exemple, qu'est-ce qui fait que tous les électrons réagissent de manière identique alors qu'ils sont tous séparés Mais sache que je ne suis pas créationniste. Ni évolutionniste non plus d'ailleurs :smile2: Pour moi, il y a une "intelligence naturelle" qui existe au sein de tous les éléments de la nature, composés ou non, et c'est cette intelligence qui guide soit les quantas (électrons, photons), mais aussi qui guide les principes évolutifs qui font que les animaux développent leur corps afin de s'adapter. Cette intelligence naturelle existe selon moi au sein de ce que j'appelle "la conscience", pour moi un électron est "conscient" de son environnement, et c'est pour cela qu'il réagit comme il le fait, selon cette intelligence naturelle qu'il partage avec toutes les entités. Bien entendu, il y a de fortes chances pour que cette "intelligence naturelle" ait été insufflée par "Dieu", même si ma vision de Dieu n'est pas la vision classique d'un bonhomme barbu assis sur un nuage !
  25. Le Bonheur c'est un état d'esprit et non une quelconque quête. Tant qu'on recherche le bonheur, on ne le trouvera pas, parce qu'au final cela veut dire qu'on a pas compris que c'est en nous qu'il Est, et qu'il a toujours été. C'est notre mental/égo qui nous empêche de le réaliser, ce sont les évènements extérieures que nous interprétons négativement qui mettent un voile sur ce Bonheur, la simple sensation d'Être se perd parce que l'égo prend le dessus, et y ajoute tout un tas de conditions et de lois qui au final conditionne notre réalisation personnelle.
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