Californication

L'un des plus grands bonheurs est déjà d'avoir la santé et d'être (et de demeurer) en pleine possession de ses moyens Être entouré par des êtres aimés et qui nous aiment Réaliser à l'occasion l'un ou l'autre de ses rêves Vivre en demeurant en adéquation avec soi-même (avec ses passions, sa conception des choses et de la vie, etc.) Être à l'abri du besoin et de la peine Etc.

Interdire à foison en revient à infantiliser la société ... Ce qui invite, tôt ou tard, cette dernière à se rendre marginale de sa " dictature ".

:D

Pourquoi ne pas proposer des photos de manière à illustrer un peu ce Topic ? Je trouve cela très sexy pour une jeune femme qui a une jolie poitrine :blush:

Pas de soucis :) En fait, je suis plus du style à responsabiliser les gens plutôt qu'à leur " vomir " une série d'interdictions :D Je suis de l'avis de " guitariste25 " en fait

ça tombe bien je voulais justement faire passer ce genre de message

Désolé je ne tiens pas un journal des comptes sur ma consommation d'alcool ... Je peux juste te confier qu'elle est très faible ... Je n'ai pas besoin de boire pour m'amuser ou pour m'extirper d'une timidité voir d'une quelconque angoisse ... Boire un verre (avec modération) demeure dans mon cas un petit plaisir que je m'offre.

C'est, évidemment, bien plus facile de toujours mettre la faute sur les autres C'est comme je disais, certains ont besoin d'être infantiliser par le biais d'une panoplie d'interdits à l'instar de gamins dans une cours de récré ... Le truc, c'est qu'arrivé à un moment de sa vie, il faut savoir un minimum se prendre en mains.

Je pense également que c'est la meilleure des solutions ... Au lieu de constamment " infantiliser " avec des interdits, optons pour une responsabilisation qui ne ressemble pas à de la censure.

Je ne comprends pas, tu es d'accord ou pas d'accord avec ça ? J'avoue ne pas toujours comprendre le sens de tes posts ...

La plupart des choses peuvent se tranformer en addiction. Si je bois de l'alcool occasionnellement, cela ne fait pas de moi un drogué pour autant. Tu deviens " alcoolique " et donc dépendant à l'alcool au moment où tu es mal de ne pas en consommer et ce, de manière régulière. Par exemple, un homme qui a besoin de boire son verre tous les jours sous peine de crier sur sa femme si cette dernière a oublié de lui acheter une bouteille a, selon moi, un véritable problème d'alcoolisme (même si l'homme en question n'a besoin que de son verre quotidien). Par contre, si je bois un peu plus à l'occasion d'un repas entre amis, je suis juste quelqu'un qui fait la fête. Il y a une nuance bien tangible.

Je ne banalise rien du tout. C'est juste que la simple énonciation du terme " interdiction " va pousser beaucoup de personnes à se marginaliser de la Loi. Je crois davantage aux campagnes de responsabilisations qui vont, peut-être, pousser une partie des gens qui ont une véritable dépendance à l'alcool ou à la drogue à se poser les bonnes questions. Sauver tout le monde est une utopie il ne faut pas se le cacher.

Pas plus " alcoolique " qu'un autre ... T'es déjà venu en Belgique (les fêtes estudiantines, par exemple à Liège, sont loins d'être sobres ; je te l'accorde le constat est assez malheureux) ?

Je pense que vous devriez relire mon message Je ne suis pas du tout une personne qui voit dans les " interdictions " des solutions viables et durables (et ce, d'une manière générale). L'infantilisation d'une société via des " interdictions " à tout-va est le meilleur moyen de la rendre marginale. Celui qui veut boire ou se droguer trouvera toujours un moyen de le faire ... Mais selon mon humble conception des choses, nous pourrions sauver une partie de ces victimes en leur offrant un encadrement et des solutions lié à leurs dépendances. Je parle par exemple de la légalisation du cannabis ...

Et pourquoi pas légaliser certaines catégories de drogues de manière à éviter aux victimes de prendre des substances plus dures (d'origines non contrôlées) ?

Le mot " interdiction " sera la porte ouverte (voir une motivation) à toutes les dérives clandestines. On ne responsabilise pas les gens en leur imposant des règles de " cours d'école " ; ça c'est de l'infantilisation.

Ce n'est pas interdire l'alcool qu'il faut faire, c'est davantage responsabiliser les gens qui en consomment.

Où est le rapport ? :gurp:

Le mot " interdiction " sera la porte ouverte (voir une motivation) à toutes les dérives clandestines.

Pas besoin de fleurs :D

Il est bien possible que tous ces individus soient de grands philosophes, porteurs de messages ou de réflexions qui ne devraient pas rester dans l'ombre ... Les meilleurs des philosophes sont parfois ceux qui s'ignorent.

Pour moi cela peut être considéré comme un métier ... Certains philosophes ont probablement poussé l'Humanité à faire des pas de géants dans sa façon de regarder et de comprendre le monde ...

Il ne faudrait pas grand chose pour que pas mal de nos certitudes mathématiques ou physiques s'évaporent au rang des idées surannées voir saugrenues ... La philosophie d'une personne est en adéquation avec elle-même et je ne vois pas pourquoi celle-ci devrait être " jaugée " ou " jugée " par une autre personne qui ne pense pas la même chose (oui la philosophie est subjective). Du moins c'est ma vision somme toute assez personnelle des choses.