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Frelser

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Tout ce qui a été posté par Frelser

  1. Les espaces probabilisables concernent des espaces tendant à l'infini. Tout univers d'événements ne suivant pas un algorithme peut être étudié selon le principe des probabilités. La loi des grands nombres est le fondement des probabilités. Elle stipule que pour un événement strictement aléatoire, plus les tentatives se répètent, et l'écchantillon étudié grandit, plus on a une représentation stable de la moyenne théorique. Ainsi, sur 6 milliards de lancers, la probabilité d'obtenir un 6 tendra à un milliard, tandis que si on répète 6 mille milliards de fois, elle tendra à mille milliards de fois... La variance globale tendant à 0. Mais au bout de mille milliards de lancers, il y aura eu des haut et des bas, proportionels à la longueur du nombre de lancers, des suites croissantes sans 6 et des suites croissantes de 6 consécutifs seront relevées. Dans le cas d'une infinité de lancers par tranches de 3 milliards, on aura bien un nombre infini de 6, de même qu'un nombre infini de chacune des autres valeurs (1,2,3,4,5), en conformité à la loi des grands nombres. Seulement, il y aura une infinité de suites finies de 3 milliards sans 6, et une infinité de suites de 3 milliards finies faits que de 6, de même pour toute suite envisageables géométriquement, et cela à toutes les échelles tendant vers l'infini. C'est la conclusion mathématique de ce qui se passerait dans un Univers infini. Donc, si notre Univers sensible était infini, il faudrait que les probabilités aient une chance sur l'infini de se vérifier à l'échelle de 13,7 milliards d'années, dans un espace éternel. C'est mathématique. Un espace qui tend à l'infini TEND à l'infini. L'infini EST infini. Je ne joue pas la vierge effarouchée. Si il existe un temps éternel, si il existe un seul Frelser, il doit forcément exister une infinité de Frelser, alors toute suite possible d'un nombre de lancer possible sur la durée de vie d'un seul Frelser a du être obtenu une infinité de fois. Si cela te dérange, c'est quand même comme ça, car c'est mathématique et vérifiable par une simple opération de multiplication. Si la réalité s'avère probabilisable, alors ce n'est pas cette conclusion mathématique qu'il faut essayer de réfuter. Mais l'idée d'un Univers sans commencement. Point. Le fait que tu sois ou ne sois pas d'accord n'influe pas sur la déduction mathématique qui est strictement indifférente à ton opinion. Et ma prétendue virginité effarouchée n'a rien à voir là dedans.
  2. Dans le subconscient de la plupart des athées, être croyant est une honte à éradiquer. C'est une erreur à corriger chez les élèves car c'est une honte de toujours croire en des choses que la science aurait démontrées être des inventions.
  3. On devrait obliger les musulmans à porter un croissant de lune visible accroché sur leurs habits et leur interdire des quartiers chics. Comme ça ils ne dérangeraient plus. Si à chaque fois que des gens se trouvent réunis devant une boite de nuit ou un cinéma, ou devant la fnac on les faisait dégager, cela aurait encore un sens... Où est-ce qu'on va ?
  4. Le mot shamaim est utilisé actuellement exactement comme tu le décris. A la base, le mot est dérivé d'une racine faisant allusion à tout ce qui se trouve en haut. Les étoiles sont incluses dedans, le mot sama est de la même racine en arabe. Moi, je me contente de donner les explications, car si on attend que certains contributeurs apprennent à discuter calmement, on est mal. Alors, je ne reviens pas sur des posts de forumistes qui n'ont aucun sens critique et sont pures provocations et insultes.
  5. Quand les religieux soulignent qu'une découverte confirme leurs croyances, on qualifie cela de concordisme. Si les découvertes ne se trouvent pas avoir été soutenues par des croyances on en fait un autre plat. Le mot shamaim signifie le ciel étoilé et ce qui se trouve en haut, au-dessus de nos têtes, depuis le ciel où volent les oiseaux jusqu'aux confins de l'espace étoilé. La réalité, c'est que nombre de croyances religieuses sont naturellement confortées par des découvertes scientifiques. Mais ces croyances n'ayant pas les caractéristiques d'une science dans le sens moderne du terme, les resemblances demeurent très superficielles, et le parrallèle relativement vague. Les grandes lignes des théories scientifiques sont souvent présentes dans les théogonies antiques à l'état de concepts.
  6. En effet, c'est un sujet loin d'être tranché. Donc, je n'insiste pas, d'autant que je ne souhaite pas salir ce grand penseur qu'était Nietzsche.
  7. Pas forcément, on peut certifier qu'une vie intelligente nécessitant du phosphore existe, mais pas qu'une forme de vie intelligente qui ne nécessite pas de phosphore n'existe pas. Logique de base.
  8. Réponse : La réponse se trouve ici... Et alors? Ton lien explique la loi des grands nombres, loi que j'ai mentionné bien avant toi dans cette discussion. Il y est fait mension de la variance par rapport à la moyenne quand les nombres tendent vers l'infini. Moi je parle de l'infini-même. Simplifions le problème pour en montrer l'inanité. Imagine si tu veux que ton dé aie 10 faces ou que tu comptes en base 6, et tu auras compris. Tu retires 1 à chaque face pour obtenir 0, 1, 2, 3, 4, 5 pour un dé à six faces voire 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 pour un dé à 10 faces. En gros ce que tu es en train de nous expliquer c'est qu'un individu qui jetterai un tel dé depuis l'éternité réussirait à former tous les nombres de 1 chiffres, 2 chiffres, 3 chiffres, ... , N chiffres. Imagine une fois de plus que cet individu aie vraiment une chance de cocu et tombe précisément sur les suites de chiffres qui forment la succession des entiers, c'est à dire 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 1, 0, 1, 1, 1, 2, 1, 3, etc... Alors même là, peu importe l'ensemble de nombres que tu obtiendrais, il en existerait toujours un autre qui ne lui appartiendrai pas (il suffirait d'ajouter 1). Ce que tu te bornes à nier c'est que toute suite courte de un seul lancé, jusqu'à des lancers tendant vers l'infini, toutes auraient très largement le temps de se répéter à l'infini : SANS EXCEPTION. Tous les segments envisageables, les suites plus longues ou plus courtes les unes que les autres. Ce que tu es en train de nous expliquer en gros c'est qu'un tel individu qui compterait depuis l'éternité aurait déjà énuméré tous les nombres possibles. C'est on ne peut plus absurde. Si tu n'es pas convaincu, on va jouer à cache-cache ; commence à compter, quand tu auras trouvé le dernier des nombres tu commenceras à me chercher, d'accord? Un humain ne peut pas compter jusqu'à l'infini car sa vie se terminera dans quelques 3.000.000.000 de secondes. Mais toutes les suites d'une longueur de 3.000.000.000 de lancers possibles seront obtenues une infinité de fois au bout d'une éternité. Et cela vaut pour toutes les lois physiques se fondant si peu soit-il sur les probabilités (mécanique quantique en tête)... Mis à part ces formules sans rapport immédiat au passage auquel elles sont sensées répondre (et dont la dernière, soit-dit en passant est fausse) qu'as-tu à proposer? Absolument pas, mais N peut être égal à n'importe quel Nombre, l' aussi. L'art de parler quand on a rien à dire.... Le nouveau livre de Frelser, bientôt chez votre libraire... Tu commence à exagérer. Tu me fais perdre de mon temps.
  9. Carbone, Hydrogène, Oxygène et Azote (C.H.O.N.) sont les molécules de base de la vie terrestre. Le phosphore joue un rôle très important dans la synthèse d'ADN et d'ARN en effet. Mais certains exobiologistes soutiennent la possibilité de l'existence de vie sans Carbone même (à base de silicium, en l'absence totale de carbone). Mais la vie terrestre en dépend de façon fondamentale pour sa structure tétraédrique très stable...
  10. Cher merle, je ne sais pas pour toi. Pour moi, seule l'intégrité intellectuelle importe dans toute discussion. Le reste, c'est du blabla.
  11. L'idée de race aryenne supérieure est le maitre mot de la politique nazie. Je n'ai pas dit que Nietzsche était le fondateur du nazisme, mais que sa philosophie a modulé la pensée hitlérienne.
  12. Vous êtes vraiment trop drôles. Merci, j'avais besoin de rigoler un bon coup.
  13. Mon intelligence ? Elle m'impose comme évidence qu'il doit s'être passé quelque chose pour que cet Univers prenne naissance et sens. Comme je l'ai écrit, pour moi accepter les lois comme des entités autonomes sans cause sous-jascente est une absurdité... Pour ton intelligence, je te laisse la liberté d'en faire à ta guise. Chacun son intégrité intellectuelle.
  14. Il n'est pas exclu que les cellules vivantes soient arrivées sur Terre par des astéroides entièrement formées et fonctionelles. La vie cellulaire est apparue si vite sur Terre dès que l'eau y est apparue, qu'il n'est peut-être pas exclu que la vie terrestre soit venue d'une autre planète, et ne s'est pas formée sur Terre. Si la cellule minimale s'avère ne pas pouvoir se former en plusieurs centaines de millions d'années, il devient de plus en plus probable que la vie existait ailleurs avant son apparition sur Terre. Et si elle peut se former aussi vite, elle doit proliférer à travers tout l'Univers de toute façon...
  15. Moi je crois que la réalité sensible est très éloignée de la réalité extérieure. Et je refuse de croire en l'existence de lois physiques autonomes sans cause, comme les anciens croyaient aux anges. Expliquer des processus ne signifie pas qu'il n'y a pas une cause sous-jascente. Croire aux lois sans cause est à mes yeux comme croire aux mythes et aux superstitions. On n'a pas expliqué scientifiquement comment se forme l'équilibrage des lois qui permet leur stabilité et leur activation à ce que je sache. Alors, mon esprit exige qu'il y a forcément une cause originelle sous-jascente. L'existence d'une cause originelle s'impose logiquement à mon esprit. Et je ne vois aucun problème à nommer cette cause impérative originelle D.ieu. A condition de l'épurer de notions anthropomorphistes. Pour mon esprit, D.ieu se décrit exactement comme Rien, donc l'Athéisme n'est qu'une grille de lecture particulière de la réalité qui ne s'éloigne de la notion de d.ieu que sémiologiquement.
  16. Ce n'était pas un jugement moral. Mais la phislosophie de Nietzsche a modulée le nazisme de fait. C'était une philosophie très séduisante, qui collait bien avec la fierté aryenne. Puisqu'elle en était la fondatrice.
  17. Je me sens autant Athée, qu'agnostique, bouddhiste, hindouiste, musulman que Juif. Pour moi la Vérité n'existe pas, je suis donc un agnostique principalement. Et j'estime ne devoir de compte à personne. Toi, tu crois au fait qu'il y a des étoiles au-delà de 13,7 milliards d'années-lumières en sachant que tu ne pourras jamais vérifier, tu crois en l'existence de couleurs, d'odeurs, de sons, de saveurs, de craintes, ... Alors qu'ils n'existent pas dans la matière. Tu crois en l'existence des dimentions alors qu'il a été démontré avec une précision de l'ordre de 100 écarts types qu'elles n'existent pas... Mais alors que ton esprit te dit qu'il doit y avoir une raison à l'existence des lois comme les forces électro-magnétique, faible et forte, de la pesanteur, des constantes, tu les acceptes comme du bon pain, comme cela. Donc, tu accepte tout ce que ton intelligence t'impose comme des évidences, sauf l'existence d'une cause primordiale.
  18. Nietzsche n'était pas nazi. Nous ne saurons jamais si il l'aurait été. Mais la philosophie de Nietzsche a fortement influencé le nazisme.
  19. PS. Il est aussi possible de formuler le paradoxe absolu ainsi : Ncp = Ti x Ei x DTi = Ncp = Nombre de fois où un cas particulier aura lieu, Ti = Nombre de tentatives infinies pour obtenir Cp, Ei = Espace infini disponible pour tenter d'obtenir Cp, DTi = Temps disponible pour tenter d'obtenir Cp. L'expérience éternelle : Pour rendre la démonstration plus ludique, on peut imaginer une expérience éternelle. Une personne commence à lancer un dé toute sa vie durant, dès qu'il meurt un autre reprend et se met à lancer un dé... Et ainsi de suite. Le but sera d'obtenir une suite d'un milliard de "6" consécutifs. A mesure que les expériences se multiplient, on aura des suites de 6 consécutives de plus en plus longues. Après une éternité de lancers infinis, on aura obtenu notre milliard de "6" consécutifs une infinité de fois (voir la formule suppra). De même, pendant ces lancers éternels, en réalité, toute suite possible à l'échelle d'une vie humaine sera apparue une infinité de fois. Donc, comme il y aura une infinité de toutes les suites possibles, les suites respectant les lois des probabilités tendront asymptotiquement vers zéro, et les suites commençant en respectant les lois des probabilités tendront à s'éloigner des lois des probabilités à l'infini. Si donc il existe un Univers depuis l'éternité, alors il existe des lanceurs de dés depuis l'éternité. Le fait que les lanceurs aient ou non conscience de faire partie d'une infinité de lanceurs n'influant pas au niveau des résultats de lancers, il faudra que la probabilité dans le cas d'un Univers éternel et infini pour un lanceur particulier de se trouver dans un univers respectant scrupuleusement les lois des probabilités tende asymptotiquement à zéro, et la chance de s'en éloigner (tende) exponentiellement vers l'infini. Car il y aura strictement autant de suites probables que de suite possibles, toute suite se répétant à l'infini depuis l'éternité. CONCLUSION : La variance d'un échantillon d'événements strictement infini par rapport à la moyenne tend également vers l'infini. Comme dans toute opération de multiplication, d'élévation de puissances, etc., les résultats s'affaissent mathématiquement.
  20. Et bien, moi je le vois partout, absolument partout. Tout n'est qu'un fin voile qui le dévoile avec puissance.
  21. 1) La loi des grands nombres ne définit pas une "moyenne" sur un nombre infini d'essais ; ce terme est fallacieux. "Moyenne" n'est pas le terme exact puisqu'une moyenne suppose de pouvoir énumérer, dénombrer à l'aide des entiers naturels, l'ensemble des résultats obtenus. Exactement comme il n'y a pas de moyenne générale pour un élève possédant une infinité de notes. Réponse : La réponse se trouve ici... 2) Des probabilités d'obtenir une série finie particulière de taille T sur un nombre d'essais tendant vers l'infini n'auraient pas de sens puisqu'on ne saurait définir l'instant où on considère qu'une suite se termine et l'instant où une autre commence. La seule alternative serait de préciser un certain découpage. Prenons un exemple : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 1, 2, 3, 4, 5, 6, ... On peut considérer qu'il y a 12 séries finies composées d'un seul chiffre ([1], [2], [3], [4], [5], [6], [1], [2], [3], [4], [5], [6]) 6 séries finies de deux chiffres ([1, 2], [3, 4], [5, 6], [1, 2], [3, 4], [5, 6]), 4 séries finies de trois chiffres ([1, 2, 3], [4, 5, 6], [1, 2, 3], [4, 5, 6]), etc.. etc... Considérera-t-on que l'on a déjà obtenu la suite [2, 3, 4] selon le découpage opéré? Idem pour la suite [1, 2, 3]?... Multiplié à l'infini, toute séquence commençant par une seule valeur, et grandissant en taille en tendant à l'infini se reproduirait une infinité de fois. L'infini n'est pas mesurable. C'est la base même du paradoxe absolu. Quel est ton protocole dans ce cas? Imaginons que l'on souhaite obtenir une suite finie de trois termes : [6, 1, 2] Tu seras bien obligé de définir la taille des séries successivement considérées. En l'occurrence il serait indispensable que la somme des cardinaux des ensembles précédant la suite recherchée soit égale à 5, puisque [6, 1, 2] n'apparaît qu'à partir du sixième rang de la suite. Sur un nombre d'essais infini, il n'y aurait aucun découpage que l'on puisse définir clairement pour obtenir des suites de toutes les tailles. L'infini est précisément non mesurable, mais tu peux considérer la durée de lancer de dé par personne isolée par exemple, commençant par un seul lancer et tendant jusqu'à sa mort. Alors, comme il y aurait une finfinité de lanceurs, toute suite paraitra avec une fréquence infinie, indéfiniment. Car le temps ne commencerait nulle part. La seule chose que l'on peut faire c'est de tenter de repérer la suite des chiffres souhaitée à postériori, ce qui suppose un nombre fini d'essais bien déterminés, et non une infinité. Je répète : Quel est ton découpage? Sans pouvoir définir ce dernier, il est totalement absurde de prétendre que toutes les suites finies seraient équiprobables J'ai répondu. L'infini est justement non mesurable, mais tu peux découper par nombre de lancer par une seule personne en une seule fois. Et quelle que soit la série obtenue, elle se produira une infinité de fois chez d'autres lanceurs depuis l'éternité, car il existera des lanceurs depuis l'éternité. A moins de reconnaître que le passé n'est pas éternel et réellement infini, sans commencement... 3) Concernant la loi des grands nombres : Sur un nombre de 50 essais, nous sommes d'accord pour dire qu'il y aurait plus de chances d'obtenir 25 piles et 25 faces que 50 piles ou 50 faces. Mais admettons que l'on aie une irrégularité sur les 50 premiers lancers, à savoir 10 piles et 40 faces. La loi des grands nombres prévoit que sur les 50 prochains essais, à savoir quand on aura obtenu 100 lancers, il n'y aura plus de différence aussi forte entre les deux résultats possibles. Encore moins de différence pour 500 lancers. Encore moins pour 1000 lancers... etc...C'est à dire que les irrégularités dans les fréquences disparaissent plus le temps passe. Alors, sache que : x = X N = - = N Donc, si l'Univers est infini (nuance, je ne dis pas si il TEND à l'infini), alors il faut appliquer les mathématiques comme suppra. 4) Ton raisonnement conclut que l'univers est fini dans le temps et l'espace tout en admettant une origine. Mais ton univers de probabilités est infini ce qui est contradictoire. Démonstration : A chaque instant, le nombre de phénomènes qui se sont produits étant fini, il serait possible d'attribuer un numéro (un entier naturel) à chaque phénomène s'étant produit. Le nombre d'interactions possibles étant lui-même fini dans un espace-temps fini et admettant un début, ce serait même l'ensemble des phénomènes possibles dans l'univers réel qui serait fini. Il y a donc une contradiction entre ton univers de probabilités qui est infini et l'univers des réels possibles qui est fini. Ta démonstration ne peut donc pas être vraie puisque ta conclusion réfute tes prémisses. Non, il existe des masse de choses en mathématiques qui n'ont de réalité qu'en mathématiques. Or, si l'Univers est infini () alors il faut calculer en fonction de l'infini.
  22. L'athée croit que quand il ferme les yeux, le soleil disparait. Et décidant de maintenir les yeux fermés, il veut convaincre les autres de faire de même. Il croit en tout ce que son esprit peut concevoir, absolument tout, sauf d.ieu.
  23. Non Elhyareno. C'est beaucoup plus simple. Imagine que tu lance 600 dés en une fois. Ou que vous soyez 600 personnes à lancer chacun un dé. Point de vue mathématique ce sont les lancers qui comptent. Les probabilités sont aveugles sur la localisation des lanceurs, leur âge, sexe, ... C'est la masse des tentatives infinie qui fait s'effondrer les probabilités. Que ce soit une personne immortelle, ou une infinité de lanceurs lançant chacun 2 milliards de fois, le résultat mathématique est le même. Il faut, pour que les probabilités demeurent cohérentes, un commencement. Une fois qu'il y a un commencement, peu importe la durée qui sépare le présent du premier instant, les probabilités sont cohérentes indéfiniment vers le futur, car on tend vers l'infini sans jamais l'atteindre. Mais si il n'y a pas de commencement, le temps est inépuisable et toute suite envisageable est strictement équipotentielle à toute autre suite envisageable.
  24. Nietzsche était un très grand penseur, et les nazis ont instrumentalisé sa philosophie. Comme celle de Darwin et de nos origines simiesques... Les notions de bien et de mal n'ont rien d'absolu. Nous admettons comme bien ou mal tout acte en fonction de l'adéquation socio-anthropologique du moment et du milieu. La réalité de ces notions est entièrement pragmatique et ergonomique. Quand un geste s'avère avantageux on le sollicite, dès qu'il s'avère préjudiciable on le condamne.
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