Zarathoustra2

Il existe une définition scientifique de l'homosexualité en psychiatrie. Il n'existe pas de définition scientifique du christianisme.

Le sujet, tel que je le comprends, est que le pauvre homme est harcelé par des bombes sexuelles qui veulent le mettre dans leur lit, alors que lui ne rêve que d'une histoire d'amour durable avec une fille au physique quelconque.

Je vous invite à méditer sur la signature de Casdenor, peut être réviserez vous votre position sur Active111 : Défendre une personne sur un point ne signifie pas partager toutes ses convictions. Défendre les musulmans n'est pas réservé aux musulmans. Défendre les catholiques n'est pas réservé aux catholiques. Quand une personne défend les chevaux, vous pensez que c'est un cheval ? Get out of this tree horse, you don't belong to it, you're a horse !

Je peux te faire un prix d'ami. :smile2:

Effarant :mef2: Les trois quarts du temps tu condamnes des stigmatisations et là tu proposes de stigmatiser .......... Vraiment effarant j'hallucine :mef2: :mef2:

Certes, mais ce n'est pas une raison pour en vouloir la dissolution. Nous pouvons d'ailleurs nous demander pourquoi tant d'acharnement contre la scientologie qui ne fut condamnée "que" pour escroquerie et pas pour pédophilie, si vous voyez ce que je veux dire.

Lisez mon message et vous saurez.C'est le b-a-ba de la dynamique des populations. Et ? A votre avis, combien d'ancêtre Brindorge avait-il à cette époque ? Uniquement un Gaulois ? Ou dix mille Gaulois, cinq mille Romains, six mille Grecs, etc. ? Ce que vous ne voulez pas voir, c'est que nos ancêtres sont extrêmement nombreux. Nous sommes issus d'un métissage qui fait que tous, nous avons un ancêtre Gaulois, un ancêtre Romain, etc.

L'amalgame entre syndicalisme et terrorisme est à mon sens dangereux. Il est cependant symptomatique de l'évolution du sens des mots. Aujourd'hui, "terroriste" est l'équivalent "d'hérétique" au Moyen Âge. L'adversaire politique est traité de terroriste car le terroriste est l'incarnation du mal absolu.

Personne le nie. Ce que vous ne comprenez pas, c'est que la plupart des notions que nous utilisons ne sont pas "scientifiques". Ce n'est pas parce que la race n'est pas un concept pertinent sur le plan scientifique que vous devez nier l'existence des races.

Et alors ? Qu'est-ce que ça change ? Vous n'avez visiblement pas lu mon message. Je vous explique que nous descendons tous, en France, d'ancêtres Gaulois.

C'est excatement ce que je dénonce ici. Certains prétendent que le mot race est d'ordre scientifique, c'est une erreur. Le mot race n'est pas scientifique, ni pour les bêtes, ni pour les hommes. Vouloir ratacher le mot race à la science c'est trahir le sens de ce mot. Lisez le message 175, juste au dessus du votre. Comment le comprenez-vous ?

Nous vous avons déjà expliqué que le concept de race n'est, ni pour les hommes ni pour les animaux un concept scientifique. La science n'a donc pas son mot à dire, tout comme elle n'a pas son mot à dire sur le bien et le mal. Relisez donc le message n°72. J'exemplifie le problème, en étudiant le cas particulier des races de chats. Nous remarquons que les races de chats ne reposent sur aucune base scientifique et ne sont même pas définies par des scientifiques. Pourquoi devrait-il en aller différemment des races humaines ? Deux poids deux mesures ? Pourquoi une classification qui est acceptable chez le Felis silvestris catus ne l'est pas chez homo sapiens ?

Comment vous faites pour savoir que vous descendez directement des Celtes ? Il dit avoir au moins un ancêtre gaulois. C'est extrêmement probable. Toute famille installée depuis suffisament longtemps en France va faire entrer en son sein du sang gaulois, à moins d'être d'un communautarisme à toute épreuve. J'imagine que la totalité -- ou presque -- des blancs Français ont du sang Gaulois dans les veines. Il a même probablement aussi du sang Romain et du sang Franc. C'est un principe de base de démographie des populations. Je ne comprends pas que vous puissiez remettre en cause des évidences de cet ordre. S'il dit que le ciel est bleu, allez vous lui demander une preuve ?

Relisez donc le message initial. La prise de position de la Miviludes est très claire. Leur but n'est pas que la scientologie respecte les lois, mais qu'elle disparaisse.

Continue, continue, comme je te l'ai dit, surtout ne change rien.. Tiens, il y a de l'écho ?

Ces communautées servent surtout à créer une nouvelle possibilité d'endettement.

L'Etat n'est pas censé décider de quelles religions sont bonnes ou mauvaises.

Certes, mais la colère reste un phénomène rare, ce qui compense.

Ce phénomène pourrait nécessiter des milliers d'années avant d'aboutir. Et en attendant ? Quid du racisme ?

Comme le disait Nietzsche, nous reconnaissons les moralisateurs par les conclusions auquelles ils veulent aboutir. Je vous l'ai expliqué plusieurs fois, ça ne vous a jamais intéressé jusqu'à présent. Vous pourrez retrouver mes explications soit dans les messages de ce sujet, soit dans le sujet Devrions nous être racistes envers les néanderthaliens ? Le principal danger de votre raisonnement est qu'il repose sur l'idée que nous ne devons pas être raciste parce que les races n'existent pas, ce qui sous-entend que si elles existaient nous devrions être raciste. C'est une vision du monde que je juge néfaste et dangereuse. Si ce point de vue vous permet de rejeter le racisme -- qui ne reposerait pas, selon vous, sur des différences objectives -- vous êtes resté bien silencieux sur les discriminations reposant sur des bases objectives. Exempli gratia, que dire des discriminations envers les malades génétiques ou simplement les hommes ayant des prédispositions pour telle ou telle maladie ? Que dire des discriminations contre les déficients mentaux ou les surdoués ? Lire à ce sujet l'article de libération : Julien, 13 ans, 146 de QI et sept ans de calvaire à l'école. Nier les différences pour dire que la discrimination n'est pas justifiée est un point de vue que je rejette. Pour moi, que les différences existent ou n'existent pas ne change absolument rien.

Ce film est magnifique et traite très bien cette problématique. En vérité, le problème n'est pas -- à mon avis -- la réalité de la différence, mais l'acceptation de cette différence. C'est pourquoi je pense que les antiracistes qui basent leurs discours sur la négation de différences entre blancs/noirs ou entre les cultures font fausse route. Un problème ne se résoud pas en niant la source du problème. Le vrai défi est d'accepter l'altérité de l'autre, d'acepter la différence, que cette différence soit génétique ou d'une autre nature. Le film Avatar traite aussi un peu cet aspect des choses.

Nous vous avons déjà expliqué que le concept de race n'est, ni pour les hommes ni pour les animaux un concept scientifique. La science n'a donc pas son mot à dire, tout comme elle n'a pas son mot à dire sur le bien et le mal. Relisez donc le message n°72. J'exemplifie le problème, en étudiant le cas particulier des races de chats. Nous remarquons que les races de chats ne reposent sur aucune base scientifique et ne sont même pas définies par des scientifiques. Pourquoi devrait-il en aller différemment des races humaines ? Deux poids deux mesures ? Pourquoi une classification qui est acceptable chez le Felis silvestris catus ne l'est pas chez homo sapiens ?

Je dirais que ça dépend des cas. Parfois, une colère peut secouer la fourmilère et arranger les choses.

C'est pas "la vraie question", et ce n'est pas la question du sujet. Bien sûr que si, c'est le fondement même du sujet. Pourquoi défendez-vous l'idée que les races humaines n'existent pas ? Dans quel but ? Je vous soupçonne de le faire non pas parce que vous pensez que c'est la vérité, mais uniquement dans un but moraliste. Nous le voyons très bien dans la suite de votre message "comme les races n'existent pas, le racisme n'est pas fondé". C'est une illusion.