Aller au contenu

Passiflore

Membre
  • Compteur de contenus

    22 856
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    15

Tout ce qui a été posté par Passiflore

  1. Je m'emploie et m'emploierai le temps qu'il faudra à ne jamais perdre ma joie de vivre, ma joie et ma reconnaissance d'être toujours en vie, m'accrochant aux instants de joie jalonnant ma route au quotidien de mes journées.
  2. Sans commentaire, ce serait apparemment peine perdue.
  3. Ah non, pas du tout ; ça le pourrait en effet si on utilisait systématiquement cette méthode plusieurs fois par jour et sans que ce soit réellement justifié, ce qui n'était pas le cas avec mes enfants. Non plus, la punition était reconnue comme telle et en effet, l'enfant puni finissait par se calmer avec ses jouets ou ses livres (il savait que s'il mettait le foutoir, il aurait tout à ranger et que s'il cassait quelque chose par colère, ça ne serait pas remplacé).
  4. Un peu bateau, tout cela et manquant d'originalité ; trop banal et insuffisant pour me séduire, en tout cas.
  5. Avec les miens, je pratiquais le "cabinet de pénitence" - tu as sûrement lu "les petites filles modèles" de la comtesse de Ségur - en l'occurrence, il s'agissait de leur chambre où ils étaient priés de rester jusqu'à ce qu'ils se soient calmés et qu'ils soient disposés à demander pardon. Ca marchait très bien et ils ne mettaient pas des plombes à descendre, la durée punitive était le plus souvent très courte. Ah oui c'est vrai j'oubliais, j'ai eu la chance d'avoir des enfants calmes (comme disaient les idi... les stupi... bon bref les agaçantes mères dépourvues de jugeote que je croisais à l'école de mes enfants) !
  6. Les caprices commencent bien avant 5 ans, aux alentours de 2 ans je dirai et même un peu avant ; le bébé devenant petit enfant, on apprend très vite à reconnaître qu'il s'agit bel et bien d'un caprice et on agit en conséquence, en opposant un "non" ferme et en commençant à poser des limites. Ce qui est primordial, c'est le fait que ce "non" soit ferme et définitif (et ça, l'enfant le comprend très vite) car si le petit enfant sait qu'en hurlant et en se roulant par terre, son papa ou sa maman finira par céder pour qu'il se calme et pour avoir la paix, l'enfant en jouera et continuera à faire ses caprices (puisqu'il sait que ses parents finiront par céder) ; c'est donc de la non-éducation.
  7. Et c'est justement parce qu'il ne peut pas encore s'exprimer avec des mots qu'il s'exprime avec des pleurs - de plus ou moins forte intensité, une maman finit par reconnaître les pleurs de son tout-petit - et... des gazouillis.
  8. Et s'il avait continué à pleurer, auriez-vous bu tranquillement votre café en le laissant pleurer, en vous disant : "il finira bien par se calmer !" ??
  9. Combien de fois ai-je entendu ce genre de propos ineptes !! Et pourtant, on les entend encore de nos jours. C'est ce que j'ai fait et bien m'en a pris. Le comble, c'est que les mères en question (le genre que l'on côtoie devant l'école de ses enfants), mères de gosses chouineurs et capricieux, me disaient : "oui mais toi, tu as la chance d'avoir des enfants calmes !" Que répondre à cela !? Rien... C'est ce que j'ai fait avec mes quatre enfants. Voilà, tout simplement.
  10. Ce n'est pas ce qu'a écrit January, elle a écrit : "ça fait deux ou trois ans que je vois se multiplier dans les journaux pro ou non des articles prônant le retour à des limites et des règles", ce qui ne sous-entend pas le recours aux gestes punitifs telle que la gifle.
  11. Surtout pas !! J'ai eu quatre enfants, je ne les ai jamais laissés pleurer et ça ne les a pas rendus capricieux pour autant, bien au contraire dirai-je même. Entièrement d'accord sur ce point-là. Mais pas le tout-petit, SURTOUT pas le tout-petit !! Ma propre expérience m'a démontré que j'avais eu raison de procéder comme je l'ai fait avec mes tout-petits. Le cadre éducatif, il s'est mis en place tout naturellement au fur et à mesure que mes enfants grandissaient.
  12. Ce serait plutôt tout le contraire car lorsque l'on ne se préoccupe que de son apparence, on néglige l'essentiel étant ce que l'on sait pertinemment qu'il est, cet essentiel. Si l'enveloppe est creuse, vide, que reste-t-il en cas de gravissime accident abîmant ce que l'on s'est employé, sa vie durant, à entretenir en oubliant complètement les soins que l'on devrait apporter aux fleurs de son jardin intérieur ? Comme vous l'avez dit plus haut : "je préfère 1000 fois plus être un intellectuel laid qu'un idiot beau. Plutôt être Sartre que Nabila" Que restera-t-il de soi lorsque l'on passera de vie à trépas (si tant est que l'on croit en la survivance de l'âme, s'entend) et que son enveloppe charnelle deviendra poussière ou disparaîtra dans le feu de la crémation ?
  13. C'est ce que vous pensez de Dutroux et autres Fourniret ?? Hélas, je pense qu'il en existe de foncièrement mauvais... Il m'est impossible de penser comme vous et pourtant, j'aimerais tellement le pouvoir et y croire...
  14. Pas de réels soucis de santé, non mais mon organisme réagit assez mal aux vaccins classiques, habituels ; alors ces vaccins élaborés à la va-vite, j'avoue que ça me fiche la trouille...
  15. N'oubliez pas la troisième catégorie de citoyens ; ceux qui, méfiants et inquiets, attendent juste un vaccin fiable et non élaboré à la va-vite et n'étant pas les irresponsables égoïstes tels que vous vous plaisez à le penser.
  16. Plus souvent, peut-être mais sans doute pas longuement, pour de brèves relations je veux dire car plus basées sur la sensualité et donc au détriment du reste, non ? "Mieux vaut la qualité à la quantité" dit-on.
  17. Il y a du vrai dans ce que vous dites là ; un coeur mauvais fera apparaître des plis d'amertume et de dureté aux alentours de la bouche aux lèvres pincées d'une femme vieillissante. Ce que l'on appelle les rides d'expression seront plus flagrantes sur le visage d'une personne aimant sourire et rire et le rendra "vivant" par le fait qu'il sera plus expressif, justement.
  18. Vous n'avez pas de permission à demander, voyons !
  19. En tout cas on perçoit la qualité de leur âme dans leur regard et au travers de leurs paroles et de leurs actes, dans leur façon d'être. On ne laisse percevoir ou entr'apercevoir que ce que l'on veut bien que l'on sache de soi. et dans de mauvais choix existentiels. Quel dommage ! Pourquoi ne pas vouloir être soi, tout simplement.
  20. Parfois il y a cependant un lien, une certaine harmonie entre l'apparence physique et la qualité de l'âme mais pas toujours, c'est vrai. ... se comprennent, sont en symbiose, c'est merveilleux !
  21. Nous en avons tous croisés des comme ça, hommes et femmes ; le regard se fait alors moins approbateur, plus critique, lorsque l'on voit au-delà de la seule apparence physique et que l'on perçoit toute la laideur qu'elle recèle.
  22. Parfois elle se bonifie, s'embellit parfois elle s'enlaidit au fil du temps.
  23. A votre avis ? Mais le problème, selon le choix que vous me proposez, c'est que l'homme exclusivement spirituel (comme vous dites) ne me considérera que sous cet angle-là ; je serais donc frustrée charnellement. De même l'homme exclusivement sensuel (comme vous dites), ne me considérera que comme un corps à prendre ; je serais donc frustrée spirituellement, me sentant réduite à l'état de corps et uniquement à ça.
  24. Et pourtant vous n'êtes attiré, séduit, que par une femme étant dans la spiritualité (comme vous dites) ; vous pourriez donc être séduit et verser dans la sensualité (comme vous dites) sans savoir encore si cette femme correspond à vos critères ?
×