nonobonobo
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Tout ce qui a été posté par nonobonobo
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Bonjour, premièrement je tiens à te féliciter pour ne pas avoir donné de lait au hérisson (en effet, c'est un produit toxique pour eux). ensuite, je suis allée me balader sur le net et j'ai trouvé ceci : mieux connaître et aider le hérisson à savoir avant d'avoir un hérisson bonne lecture, et longue vie à ton petit bestiau
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Un retraité meurt lors de son interpellation.
nonobonobo a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans Société
Monde absurde. -
Un retraité meurt lors de son interpellation.
nonobonobo a répondu à un(e) sujet de PASDEPARANOIA dans Société
Je suis d'accord paillette... Il y a un "concours de circonstances". Cependant, si cet homme n'avait pas été stressé (d'abord par les parents d'élèves le poursuivant, puis par les force de l'ordre l'interpelant) aurait il eu ce malaise cardiaque? Moi ce que je déplore ici, c'est cette paranoïa ambiante (un type s'assoit sur un banc et regarde les enfants, de suite on dit de lui qu'il est pervers sexuel). C'est lamentable. -
banque alimentaire : un bénévole raconte !
nonobonobo a répondu à un(e) sujet de grandfred dans Politique
Non, une association (type "restos du coeur") reste avant tout une entreprise. Et je ne connais aucune entreprise qui ne paye pas son patron :) Certes c'est indécent de se pointer à une distribution alimentaire vêtue en Chanel, cependant ce n'est pas plus honnête de se prétendre pauvre et profiter d'un système basé sur le volontariat. Je ne suis pas sûre d'être très claire dans mon propos, si besoin d'explication ma boîte MP est ouverte. :) -
banque alimentaire : un bénévole raconte !
nonobonobo a répondu à un(e) sujet de grandfred dans Politique
Que les bénéficiaires soient habillés de vêtements "de marque" n'en fait pas pour autant des "riches". On trouve de superbes fringues griffées dans les dépôts vente et autre associations caritatives. Qu'une directrice d'association puisse posséder une belle voiture très chère ne me choque pas non plus. Dans la mesure où elle est directrice, et que c'est son job, il faut qu'elle ait un salaire en rapport avec sa fonction. Que certains bénévoles fassent une "bonne action" en donnant 1 heure de temps, mais compensent en revendant les produits, là je m'insurge. Ceci dit, si l'Etat faisait son job correctement, il n'y aurait plus besoin de toutes associations. (Quand je pense que le week end qui arrive, ce sera le téléthon, je me demande encore pourquoi les gens doivent donner afin d'aider son prochain à se soigner, c'est un principe gerbant). -
Là, les services sociaux étaient au courant des violences. Il faut donc que l'Etat mettent en place de vrais moyens pour lutter contre ça. La famille et les voisins avaient prévenu que ça n'allait pas, dans ce cas précis, il aurait fallu prendre de vraies mesures. (perso, si mon gendre me dit qu'il ne veut pas du gosse, je ferais tout mon possible pour sortir ma fille de là, et l'aider à vivre bien, avec ses gamins).
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Si son alcoolisme présumé n'est pas important, pourquoi donc en parler? C'est pour cela que je reviens là dessus. Ce qu'il a fait est inexcusable et incompréhensible. (et pour avoir aussi fréquenter des adultes violents, je peux t'assurer que tous n'étaient pas alcooliques)
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A la base, de son propre aveu, ce gosse n'était pas désiré... Qu'il ait picolé, où joué au foot, ou encore assisté à un concert de sardou ce jour là ne me surprend pas. Ce n'est pas pour autant que c'est un poivrot. Je ne lui trouve aucune excuse, mais je ne souhaite pas lui ajouter un tort (qui de plus est n'est absolument pas démontré par l'article). :)
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Mais ce n'est que votre avis subjectif. Autant dire que Véronique Courjault était une employée des surgelés "picard" frustrée.... La comparaison est ignoble, mais elle se pose là. Un tas d'être humains commettent des actes abjectes et injustifiables, cependant ils les font, c'est comme ça.... Triste, malheureux, mais c'est ainsi. Je maintiens le fait que rien n'indique un alcoolisme du père, mais que bizarrement, à l'approche des présidentielles les faits divers aussi sordides que celui-ci font la une des médias.
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Si ça : n'est pas une très forte insinuation que le père était alcoolo, je me demande bien de quoi il retourne, alors.... Qu'est ce que "la dose", et surtout "son amour pour la dive bouteille"?????
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Le détail, je m'en soucie, en effet. C'est un drame humain, un de plus. (et encore un contre lequel je m'insurge). Cependant, transformer une brindille (il buvait avec ses potes le jour de la naissance) en une meule de foin (c'était un alcoolo) n'est pas honnête. Ensuite, des "innocents", il y en a eu, et il y en aura encore, la nature humaine est ainsi faite. Mais que ces "innocents" soient sur un pied d'égalité, et qu'on arrête de nous les mettre en pâture parce qu'élection présidentielle dans 6 mois.
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Soit je ne sais pas lire, soit on a pas eu la même source..... Mais à aucun moment dans l'article, ici mentionné, il n'est fait question d'un quelconque alcoolisme du père. Oui c'est vrai ou très timidement : car sans preuve tu est vite attaqué pour diffamation <Bastien n’était pas un enfant désiré, témoigne Evelyne, la mère de Charlène. Jusqu’à son accouchement, ma fille m’assurait qu’elle n’était pas enceinte. Le jour de la naissance, quand j’ai appelé Christophe, il buvait avec des copains et m’a dit qu’il ne voulait pas de cet enfant. Bastien était un souffre-douleur. Ma fille a sept frères et sœurs, elle était gentille, une mère poule. »> Merci, mais je sais encore lire.... Le fait qu'il ne désire pas cet enfant peut à lui seul justifier qu'il ne soit pas présent le jour de la naissance. Qu'il "boive" avec ses copains, où qu'il soit au PMU à faire son quinté ne change rien. Si ça change que "ce jour là, il buvait avec ses potes" il en devient un poivrot. :gurp: Si ce jour là il avait été faire son quinté, il en aurait été un joueur invétéré????
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En quoi le fait de boire le jour de la naissance du gosse fait de lui un alcoolique? C'était un "enfant non désiré" selon l'article, ce qui pourrait expliquer que le père reste avec ses potes le jour de la naissance, mais ça n'en fait pas pour autant un poivrot. (si je dis que chacun de mes gosses a été "arrosé" comme il se doit, ça fait de moi un père indigne et alcoolo?)
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Pratiques dans un collège de la Roche sur Yon
nonobonobo a répondu à un(e) sujet de Plouj dans France
Pourtant je suis sure que ça ne te ferait pas de mal Certes, mais j'aime à me baffrer de dinde rôtie...... :blush: Mea culpa, mea maxima culpa. -
Pratiques dans un collège de la Roche sur Yon
nonobonobo a répondu à un(e) sujet de Plouj dans France
"S'imprégner" ne veut pas dire "se convertir". Après si c'est un problème de compréhension, je ne peux rien pour toi. Perso, j'aime à m'imprégner du calme offert par la nature, c'est pas pour autant que je suis devenue "écolo-végétalienne", hein... :D -
Soit je ne sais pas lire, soit on a pas eu la même source..... Mais à aucun moment dans l'article, ici mentionné, il n'est fait question d'un quelconque alcoolisme du père.
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Pratiques dans un collège de la Roche sur Yon
nonobonobo a répondu à un(e) sujet de Plouj dans France
Mais tous mon brave Plouj :D N'as tu jamais entendu parler qu'il existe des églises en Turquie, en Tunisie, au Maroc (pour les seuls pays que j'ai visité)??? Que la visite soit faite dans le cadre scolaire, ça change quoi au fait que les gosses soient initiés aux autres coutumes (et religions)? -
Pratiques dans un collège de la Roche sur Yon
nonobonobo a répondu à un(e) sujet de Plouj dans France
Pourquoi cracher sur une possible ouverture culturelle? Certes ces petites filles sont agenouillées dans un lieu de culte qui n'est pas forcément lié à la religion des parents... Mais elles respectent le lieu de culte, ainsi qu'on ne se présente pas en mini-jupe dans les églises en Italie. Rien de pire, rien de mieux. On s'indigne parce que c'est une mosquée qui est visitée? Hé ben je dis "bravo la laïcité". -
Déjà, j'aimerais que tu me donnes des chiffres, un lien, ou un truc plus concret que ton ressenti sur la violence en France. Parce qu'affirmer qu'elle augmente sans pouvoir appuyer son propos, j'appelle ça de la propagande. :) On peut aussi interdire aux chômeurs de faire des gosses (parce que pas de boulot = pas d'argent = pas de loisirs pour les gosses = manque d'épanouissement = délinquance juvénile = etc......) Non, la solution n'est pas là. Certes ce gosse a souffert de maltraitances, et il en est mort (malheureusement) mais combien chaque année meurent ainsi? Donne moi un chiffre qui me démontre que le nombre de victimes "familiales" augmentent, là je reverrais (peut être) ma position. Entre un Etat qui fait son job (à savoir la protection des enfants, au pays des droits de l'Homme, c'est un minimum, non?) et un état qui pratiquerait l'eugénisme, il y a une marge. Quand mes voisins sont morts, ils ne sont pas passés à la télé (c'est pas vendeur un couple qui divorce, avec le père qui tue ses gosses et se suicide), alors explique moi pourquoi on met en avant un drame familial, et pas un autre......
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juste pour rebondir, sans HS sur ton dernier comm dans le topic "interdits alimentaires"....
la liberté dans le saucisson, je la pratique, fabriquant moi même mes saucissons :D
bref, on en fait aussi au boeuf, mais pas de 0% porc, sinon la viande devient trop sèche et c'est pas mangeable ^^
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Les meurtres, viols, et autres délits (crimes) ne sont pas en recrudescence.... C'est juste que les présidentielles sont dans 6 mois, et que les médias (sous influence quoiqu'ils en disent) jugent utiles de nous montrer l'être humain dans tout ce qu'il a de pire. Il est de notoriété publique qu'il faut montrer le "monstre", afin qu'un quidam soit élu en "défenseur" qui saura le dompter. (Quand ce ne sont pas les violences conjugales, avec promesse de protection des victimes et renforcement des peines, ce sont les immigrés et leur volonté d'islamiser la France, au pire on a encore droit aux "pauvres qui profitent", et au besoin, on fera appel au pouvoir d'achat, que l'on promet d'augmenter)
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Oui, mais Paillette, le monde des bisounours, c'est à la télé, pas ici, pas maintenant, pas en France en 2011..... Malgré toute sa bonne volonté, la femme battue ne sait pas vers qui se tourner, elle n'ose pas imaginer une vie sans les coups, sans les brimades, sans cette violence.... Elle a beau l'entendre à la télé, à la radio, par ses "copines", qu'une vie meilleure existe, elle ne sait pas faire. Là il faut un "plus", un truc qui lui permette d'envisager une vie différente.... Parfois le "plus" se trouve dans des associations qui font en sorte d'accompagner la femme (quite à prendre des mesures plus que radicales), mais ces associations sont aujourd'hui non reconnues par l'Etat. Comment expliquer à un mari (et père) violent que sa femme le quitte et qu'elle demande la garde des enfants? Si le femme n'est pas soutenue (voire même portée), jamais elle n'ose dire cela au père de ses enfants, sous peine de manger encore plus qu'à l'accoutumée. Pour en revenir au sujet, cette femme subissait. Mais les voisins qui ont constaté les violences sur les enfants (entre nous soi dit, c'est pas violent de poser son bébé sur le bord de la fenêtre, c'est juste inhumain), la soeur qui affirme avoir connu les difficultés de la maman ("la clé à mollette, elle a pas 5 doigts") et les "éducateurs" qui ont laissé cette famille dans la détresse, qu'ont ils fait?????????????? Rien (et c'est là où la société prend toute son importance)
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serait ce un des nombreux animaux microscopique qui fait partie du plancton? est ce un animal à taille adulte, ou une "larve" de quelque chose?
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Et bien j'ai envie de répondre : la société. En effet, une femme battue, une maman de surcroît devrait pouvoir s'en remettre à autrui pour trouver la force nécessaire à se sortir d'affaire. L'aide pour les femmes battues se résume aujourd'hui à un numéro de téléphone, un site web et une permanence mensuelle(si la commune en fait la demande). Il faut bien se rendre compte que lorsqu'une femme (une mère) subit des violences conjugales, il n'est jamais simple de s'en sortir, et ce, même si la vie des enfants est en jeu. En effet, bien aisé de dire "si elle veut, elle peut". Mais non, elle a beau le vouloir, elle ne peut pas toujours. Tout d'abord il faut accepter qu'on a fait une erreur (et laquelle, on a carrément raté sa vie). Ensuite, il faut avoir les moyens (hébergement d'urgence, écoute des services de police-gendarmerie, etc....) Et pour finir, il faut trouver un courage monstrueux pour se défaire de celui qu'on a aimé (et ben oui, parce qu'à la base, il y a eu de l'amour) [j'ajouterais même que pour une maman, c'est inimaginable de reconnaître devant ses enfants qu'on a fait une erreur, et que malgré qu'il soit pas si bien que ça, il reste leur papa, le type violent] :s Or une femme battue n'a rien de tout cela, aujourd'hui en France, parfois (comme le cas ici) ni les voisins, ni la famille ne viennent en aide à cette femme. C'est pourquoi je vous demande de ne pas la condamner trop vite. Pour avoir subit des violences conjugales, je peux aujourd'hui affirmer que sans ma famille et mon médecin, je serais peut être morte. Car lorsque j'ai voulu déposer plainte pour violence conjugale, le gendarme qui m'a reçue m'a recommandé de "faire juste une main courante, comme ça il ne sait rien, et puis si jamais il recommence, vous aurez une preuve supplémentaire".
