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Tout ce qui a été posté par eklipse
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Si vous deviez qualifier l'amour par un mot...
eklipse a répondu à un(e) sujet de Zen dans Inclassables
d u e l -
Et bien perso je plussoie cette association Il faut aider les personnes moins évoluées à recevoir du savoir, les aider à atteindre notre niveau d'éducation et de connaissances. (ce que certaines élites surpuissantes, elles ne souhaitent pas du tout, certains possèdent de grandes connaissances sur la génétique humaine et autres sciences, et les gardent jalousement pour eux, car plus on laisse la masse dans l'ignorance, plus on peut la gouverner facilement et la manipuler)
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on ne peut pas plaire à tout le monde...
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je te signale que lui il bouge ses fesses, contrairement à certain(e)s, et propose des solutions et côtoie des personnes qui ont des idées pour faire évoluer les mentalités et le pays sans violence.
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Et alors, justement toutes ces personnes disent, qu'elles cotisent et payent des taxes, et en plus qu' elles ne sont pas reconnues et n'obtiennent pas de papiers. Et puis ça me fait sourire, quelques (suis nulle en chiffre) X personnes se partagent la plupart des richesses dans le monde, pendant que les 3/4 du reste des personnes sont dans la précarité et dans l'extrême pauvreté. Et faudrait qu'ils restent dans les pays où il n' y a rien, qu'ils acceptent leur sort, ben moi je trouve qu'ils ont bien raison de fuir leur misère et de chercher à trouver asile dans des pays où ils peuvent vivre plus correctement et aider leur famille. Maintenant je peux concevoir qu'on peut pas accueillir en France toute la misère du monde et que l'angélisme parfois exacerbé de la gauche a fait aussi du tort à notre beau pays. De plus l'assistanat excessif des français et françaises à une certaine époque, a infantilisé et déresponsabilisé certains et certaines, les a "embourgeoisé", et maintenant il est difficile de faire accepter à la population certaines réformes et changement quant à leurs acquis et sécurité de l'emploi (fonctionnaires par exemple). Il faut certes faire changer les mentalités, m'enfin là, avec le gouvernement actuel on tombe dans l'excès inverse, une gouvernance violente et non sociale. Il faudrait trouver un juste milieu, ni trop angélique, ni trop répressif, trouver un terrain d'entente entre les différents bords et idées.
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Ah tu n'as pas vu toutes les créations que je fais avec les enfants et mes messages positifs, tu n'as pas su me lire, qui puis je...je vais super Tu aimerais me mettre dans une case, mais pas de bol j'ai confiance en moi, en la solidarité et la nature. Sur ce bonne soirée :-))))))))))))))))))
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Ah, et tous les suicides et dépressions en France dans de nombreux différents corps de métiers, là aussi c'est du fantasme??? Ah oui j'oubliais ce n'est pas parce que la société actuelle est malade et violente, c'est juste par effet de mode, mais ouais c'est moi qui est psychotique morte de rire, pas de bol, je vais très bien et je suis lucide tout le contraire de toi!!
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Et alors, parce qu'il y a eu de la violence dans le passé, tu l'acceptes aujourd'hui, moi perso je trouve cela inacceptable!! et les gens qui ne sont pas choqués par cela m'inquiètent d'autant plus, cette société du 21 ème siècle est complètement anesthésiée et non empathique, c'est alarmant!
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ah donc les jeunes qui se sont pris des tirs de flash ball dans la face c'est du fantasme??? c'est la réalité coco, alors regarde la réalité en face au lieu de te la voiler et on reparlera peut être de voyages...lol
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ok ok...on a pas la même vision des choses, reste à la botte des "puissants"...ça te sied au teint lol Par contre renseignez vous ceux et celles qui sont pour la démocratie et l'égalité...il se trame de viles choses derrière votre dos...
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Donc tu es pour la privatisation de la sécu??? et faire passer les réformes (sans demander l'avis des Français en sus) coûte que coûte, même en tirant sur ses citoyens???le passé est le passé, la droite de Sarko est pourrie, point!! Pour protéger les citoyens, faut leur tirer dessus quand ils sont pas d'accord, et pas leur demander leur avis quant aux nouvelles réformes proposées (lol ça c'est pour la forme...pour le fond c'est l'imposer par la FORCE!!), oui très belle philosophie et démocratie courtoise...tu me fais rire Donc vive la dictature en somme, on voit ta belle vision de la gouvernance :p
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Ouais achète toi des lunettes...c'est toi le formolé et aveugle complet Efficace toutou de ses maitres du Caca-rente, Sarko et sa clique s'emploient en loucedé, par petites touches, en faisant précéder leurs forfaits par un plan de propagande rigoureux, à une privatisation rampante de la Sécurité sociale. (Voir la remarquable enquête Médiapart. ) http://www.mediapart.fr/club/blog/victoray...res-meme-combat Les v¿ux (sincères) de Sarkozy pour 2011 PAR LAURENT MAUDUIT L'agenda de travail du gouvernement suggère le contenu réel des v¿ux de Nicolas Sarkozy pour 2011: un plan d'austérité renforcé, une réforme très inquiétante de l'assurance maladie faisant le jeu des assureurs privés ou encore une très inéquitable réforme de la fiscalité du patrimoine au profit des plus grandes fortunes. http://www.mediapart.fr/journal/france/291...rkozy-pour-2011
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Mais répond au lieu de détourner le sujet tirer au flash ball c'est protéger ses citoyens???monsieur le roi de la mauvaise foi, c'est utiliser la violence pour faire taire ceux qui ne sont pas d'accord, c'est intolérable!! Et puis mdr renseigne toi, sont en train de préparer une réforme de la sécu tes tits copains ...lis La solidarité fondatrice de la nation, celle qui répond au troisième terme de sa devise « Fraternité », elle est là. C'est ce que les droites avides et cupides ont toujours brocardé en daubant sur « l'Etat providence ». C'est ce que Sarkozy, appliquant à la lettre les plans du Medef s'emploie à détricoter. Les appréciations de Denis Kessler (Challenges, le 4 octobre 2007 ) éclairent l'action du chef de l'Etat : « Les annonces successives des différentes réformes par le gouvernement peuvent donner une impression de patchwork, tant elles paraissent variées, d'importance inégale, et de portées diverses : statut de la fonction publique, régimes spéciaux de retraite, refonte de la Sécurité sociale, paritarisme... A y regarder de plus près, on constate qu'il y a une profonde unité à ce programme ambitieux. La liste des réformes ? C'est simple, prenez tout ce qui a été mis en place entre 1944 et 1952, sans exception. Elle est là. Il s'agit aujourd'hui de sortir de 1945, et de défaire méthodiquement le programme du Conseil national de la Résistance ! » Efficace toutou de ses maitres du Caca-rente, Sarko et sa clique s'emploient en loucedé, par petites touches, en faisant précéder leurs forfaits par un plan de propagande rigoureux, à une privatisation rampante de la Sécurité sociale. (Voir la remarquable enquête Médiapart. ) Il y a longtemps que le « pape » des capitalistes français, Claude Bébéar, fondateur du groupe d'assurances AXA, a lancé la première offensive pour amener dans les crocs avides des assureurs privés l'énorme gâteau de la Sécu. En 1996, il avait sommé sans complexe le gouvernement Juppé d'avancer vers des « sécurités sociales privées », en émettant la recommandation que ce système fonctionne au « premier franc ». Bébéar, Kessler, le Medef en ont rêvé, Sarko va le faire ! Enfin, veut le faire¿ Non pas en attaquant de front la Sécu. Pas idiot l'animal. Non. En prenant prétexte de prendre en main la question de la « dépendance » ; celle des vieux, des handicapés, des « inefficaces », des charges pour la radieuse société ultra libérale. Le 16 novembre, il s'en est ouvert à ses interlocuteurs obséquieux lors de son allocution télévisée. Pas directement mais mine de rien, sous forme d'interrogation après un discours d'apparence généreuse : « Je souhaite la création, pour la première fois depuis la Libération, d'un nouveau risque, d'une nouvelle branche de la Sécurité sociale : le Cinquième Risque » dit-il d'abord. Puis il s'interroge : « Faut-il faire un système assurantiel ? Obliger les gens à s'assurer ? Faut-il augmenter la CSG ? Faut-il avoir recours à la succession quand les enfants n'ont pas la volonté ou pas les moyens ? » Et voilà ! On y est. éa veut dire en clair : faut-il faire couvrir ce risque « dépendance » par les assureurs privés, donc sortir de la Sécurité sociale ? http://www.mediapart.fr/club/blog/victoray...res-meme-combat
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c'est sûr on protège les citoyens avec des tirs de flash ball...lol
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Ah c'est sûr tirer au flash ball sur des jeunes...ça permet de faire passer ses réformes avec démocratie et courtoisie...tu as un cerveau t'es sûr??
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Ahhh, et l'affaire mediator, et l'harcelèment moral utilisé pour faire partir des employés de France telecom, sans que ça coûte un rond à l'entreprise...c'est sûr la France nous protège drôlement bien...besoin d'aller chez l'ophtalmo coco
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[quote name=williama' date='samedi 01 janvier 2011 à 23h17' post='601908 t'inquiète vous vous souviendrez d'elle, la France quand elle aura totalement disparue. Vous vous souviendrez alors qu'elle vous a protégé ... et vous lui vouerez le même culte posthume que pour le CNR et le Général de Gaulle ... Ha HA il est comique lui...et tirer aux Flash ball sur des manifestant et laisser sortir des trafiquants de drogue qui ont été interpellé avec une kalashnikov, plus 'affaire de Karachi et les ouvriers morts grâce aux sales affaires de celui dont on doit pas dire le nom, plus la censure des journalistes impartiaux, les vols d'ordinateurs, la manipulation de l'information, diviser pour mieux régner, l'expulsion des Roms et j'en passe, c'est sur c'est bisounours Land MOUAAAAARRRFFFFF http://www.lemonde.fr/societe/article/2010...26648_3224.html
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Ben quoi...c'est bien images de ponts sous toutes ses formes, oui ou :p
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Renseigne toi sur le nouvel ordre mondial (jdc jdr)
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Stéphane Hessel « Pas de liberté sans égalité des droits » é quatre-vingt-treize ans, le diplomate Stéphane Hessel, ancien résistant et corédacteur de la Déclaration des droits de l'homme, publie Indignez-vous ! Un appel à l'insurrection pacifique, notamment contre les oligarchies financières qui ont mené la planète au bord du gouffre. Comment recevez-vous le succès de ce livre ? Répondait-il à un besoin qui sied à la période ? Stéphane Hessel. J'ai été naturellement surpris et même émerveillé par le succès de ce petit pamphlet. Je l'explique par le fait que nous vivons un moment de relative angoisse, on ne voit pas bien où nous allons. Nous avons la claire conscience que nous sommes au milieu ¿ et non pas à la fin ¿ d'une grave crise de l'économie néolibérale sans régulation, il est donc normal de se poser des questions sur la raison des dysfonctionnements de nos sociétés. Lorsque l'on vit dans des sociétés qui fonctionnent mal, la première chose que nous avons envie de faire, c'est de nous indigner. On se souvient que, dans d'autres périodes de notre histoire, il fallait aussi s'indigner si l'on ne voulait pas subir l'occupation étrangère de la France, ou dans des situations de pénurie passive. La dette ou l'absence de financement sert souvent d'argument à la remise en cause des conquêtes sociales de la Libération. Comment le Conseil national de la Résistance (CNR) est-il parvenu à construire ces socles dans le contexte d'une Europe ruinée ? Stéphane Hessel. Il faut tout d'abord se souvenir que le programme du CNR a été élaboré dans la clandestinité par des gens qui n'avaient aucune capacité politique autre que la réflexion et la proposition. Grâce à cette relative liberté de réflexion, ils se sont posé le problème de savoir comment la France, une fois libérée, pourrait donner à notre pays un ensemble de valeurs et de politiques qui correspondraient à ce que les résistants souhaitaient. C'est vraiment la base d'une social-démocratie qui tienne le plus grand compte des libertés fondamentales, de la lutte contre les féodalités économiques excessives, contre une presse menée par un gouvernement de Vichy. Ces valeurs se sont-elles dégradées ? Manifestement. Et c'est la logique de l'indignation. Il n'y a pas de raison que la France de 2010 n'ait pas les moyens nécessaires car elle dispose de ressources considérables, de richesses bien plus grandes que celles de 1945. Malgré cela, les conquêtes sur lesquelles on pouvait compter n'ont pas été réalisées. Cela doit constituer les bases de la réflexion et susciter le sentiment qu'il y a à faire. Il faut d'abord s'indigner mais ne pas s'arrêter là. Il faut se poser une question : comment faire pour que les choses changent ? Nous avons besoin d'une nouvelle direction du pays, celle mise en place depuis 2007 n'est pas satisfaisante mais il faut savoir ce que l'on peut proposer d'autre. Cela vaut pour l'Europe et le monde entier. Et notamment pour les régions les plus frappées par la crise ou par des conflits¿ On pense naturellement aux Palestiniens, aux Sahraouis, à des peuples qui, contrairement à ce que réclame la charte des Nations unies, ne disposent pas encore d'un état et dont l'autodétermination n'est pas encore réalisée. Vous appelez à plus de justice et de liberté mais, dites-vous, « pas cette liberté incontrôlée du renard dans le poulailler ». Est-ce à dire que sans égalité, ni fraternité, la liberté n'est rien ? Stéphane Hessel. La liberté est à la fois l'une des données les plus fondamentales et les plus précaires. Une liberté n'a de sens que si elle assure une égalité des droits et donc une solidarité. Cela renvoie à notre belle devise qui doit se concevoir comme un tout. La liberté qui régit de plus en plus l'économie financiarisée, mise à la disposition de quelques possédants et non pas rendue compatible avec l'égalité et la fraternité, a déjà causé des dégâts considérables. Vous évoquez le rôle de Sartre dans la formation de votre pensée et cette phrase : « Vous êtes responsables en tant qu'individus. » Quelle est, alors, la place du collectif ? Stéphane Hessel. Les structures politiques ou économiques, qui régissent actuellement les sociétés humaines, sont en grande difficulté. Elles ne sont pas équipées pour résoudre les nouveaux problèmes qui se posent : la protection de la planète et les écarts croissants de richesses. On ne peut plus s'en remettre aux pouvoirs existants, il faut que les citoyens se mobilisent dans des organisations non gouvernementales dont les manifestations sont de plus en plus internationales, c'est le cas des grands forums sociaux. Voilà la voie à suivre pour que, collectivement, ce soient les citoyens ¿ et non pas les structures en place ¿ qui ouvrent le chemin d'une rénovation nécessaire du fonctionnement de l'économie mondiale. Vous citez également Hegel, le sens de l'histoire et ses chocs successifs. Considérez-vous que la démocratie est actuellement sous le coup de régressions ? Stéphane Hessel. Il faut se dire que la démocratie est un programme qui n'est malheureusement pas encore accompli. La Déclaration universelle des droits de l'homme dit en toutes lettres que ces droits ne peuvent être réalisés que dans le cadre de d'un régime démocratique qui doit résister à toute forme de tyrannie, de totalitarisme ou d'oppression. Il ne faut pas sous-estimer les progrès auxquels nous faisons face notamment en Amérique latine ou en Europe. C'est néanmoins insuffisant car ces démocraties ne se défendent toujours pas suffisamment contre l'emprise du capitalisme financier. C'est là-dessus que doivent porter les efforts des individus. é propos de la rédaction de la Déclaration universelle des droits de l'homme, vous revenez sur l'hypocrisie de certains vainqueurs dans leur adhésion à ces valeurs. Comment cela a-t-il joué dans leur application, selon vous ? Stéphane Hessel. La notion d'hypocrisie est importante pour voir comment les gouvernements et peut-être aussi les grandes entreprises disent tendre vers les droits et l'égalité, vers un progrès de l'économie qui bénéficierait à tous et notamment aux plus pauvres. En réalité, ils s'arrangent pour garder le pouvoir même si ce pouvoir ne répond pas aux besoins des citoyens. Elles veulent également conserver l'emprise économique même si les résultats ne bénéficient qu'à une petite élite, celle que Susan George (présidente d'honneur d'Attac ¿ NDLR) appelle « la classe de Davos », c'est-à-dire les possédants. Nous vivons encore dans un monde où les possédants ont encore droit à tous les bénéfices et où les possédés ne savent pas suffisamment résister. Vous concluez sur la nécessité de dépasser la confrontation des idéologies. Face aux oligarchies financières, notamment, ne faut-il pas s'appuyer sur un socle idéologique solide ? Stéphane Hessel. Nous avons la chance d'avoir l'Organisation des Nations unies, fondée sur une charte qui affirme un certain nombre de libertés et de droits pour tous. Il faut lui donner d'avantage de force. Nous avons besoin d'une gouvernance mondiale, non pas d'un état mondial qui serait une absurdité, mais d'une coopération entre états qui se fonde sur un socle démocratique. En s'appuyant sur ses institutions, en leur donnant l'autorité nécessaire, on pourra enfin mettre un terme aux conflits et remplacer la violence par la non-violence. Face à la violence des affrontements entre états, voire entre cultures, entre religions ou civilisations différentes, entre idéologies qui se combattraient, il faut au contraire s'orienter vers la négociation pensée par des hommes comme Mandela, Martin Luther King, Gandhi ou d'autres. L'une des raisons majeures qui devraient nous amener vers la solidarité et l'interdépendance, c'est le risque que court la planète. Nous vivons une époque où si l'on ne fait pas tous ensemble un effort écologique, dans cinquante ou cent ans, la planète ne sera plus viable pour les sociétés humaines. Entretien réalisé par Lina Sankari http://www.humanite.fr/30_12_2010-stéphane...s%C2%A0»-461116
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http://www.dailymotion.com/video/xcds6l_st...porte-au-c_news Vive Hessel...je l'aime moi :p :D :D :D :D
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Perso ton côté condescendant me fait marrer...et me donne encore plus la niaque...pas de bol pour toi