En réponse à L'image de l'islam se dégrade fortement en France.
En ce qui me concerne, je dirais que les descendants de ces africains du nord doivent être fiers de se qu'ils sont , qu'ils vivent en france où ailleurs...
Qu'ils n'ont de leçon a recevoir de personne...
Que nos ailleuls ne se posaient pas ce genre de question, l'image des musulmans est celle que l'on veut bien leur donner...
Pour eux:
La mobilisation en Afrique du Nord permit, de septembre 1939 à juin 1940, de constituer pour le corps de bataille quatorze divisions regroupant 340 000 hommes, avec un encadrement composé essentiellement d’Européens et un troupier majoritairement indigène. Huit divisions étaient sur le front français le 10 mai 1940, au moment de l’offensive allemande. Sur les six divisions françaises qui tenaient entre la Dyle et la Meuse, trois étaient nord-africaines.
Mais le sort des combattants nord-africains ne fut pas différent de celui de tous les Français durant cette campagne. La débâcle de l’armée française en juin 1940 se solda par plus de 85 000 tués dont 5 400 Nord-Africains et 1 800 000 prisonniers dont, selon le gouverneur général de l’Algérie, Yves Chatel, 90 000 musulmans : 60 000 Algériens, 18 000 Marocains et 12 000 Tunisiens. Ils furent internés dans les Frontstalag (camps de prisonniers situés en France) éparpillés sur l’ensemble de la zone occupée avec quelques Français pour servir d’encadrement. Les soldats originaires des colonies françaises constituent la seule catégorie de prisonniers qui connut la captivité en France occupée. Tous les autres furent transférés au cours de l’été et de l’automne 1940 dans les camps du Reich situés outre-Rhin. Excepté une dizaine de milliers de libérations et autant d’évasions, le reste des prisonniers coloniaux connut la captivité jusqu’à la Libération, quand ils n’étaient pas décimés par les maladies notamment la tuberculose qui ravageaient les camps du Nord-Est.
Merci.