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alexandreW

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Tout ce qui a été posté par alexandreW

  1. Tartiflette, tu as raison, ce n'est pas à 0 degrés absolu que se créent les amas de Bose Einstein, c'était une simplification. Je ne suis pas spécialiste de ce phénomène. Je suis d'accord avec toi que je ne démontre bien, cette hypothèse théorique en est au stade d'intuition. Mon but est de faire un théorie Open source pour que cette théorie soit celle d'un forum ouvert. Je l'ai revendiqué pour que personne ne puisse la revendiquer. Si j'avais une théorie démontrée et si c'était mon métier, je ne la publierais pas sur un forum. Ceci étant dit, je pense que tu dois être très fort en math et en physique, alors je t'invite à nous parler en détail des amas des Bose Einstein. Dans l'hypothèse théorique d'unification de la physique à particule unique, l'idée principale est celle que la particule de base qui permet de construire la matière et les particules, est l'univers de la dimension du dessous. Il s'agit d'une théorie fractale basée sur des réseaux tensoriels (corde faits de Us comme notre univers mais de la dimension du dessous et dont la ficelle centrale serait faite de réseaux de quasars (univers compactés du superfluide de masse identique à notre univers hors incrustations). Je suis incapable de mathématiser tout seul un réseau tensoriel et je n'en ai pas le temps, j'essaie de donner l'intuition globale de fonctionnement de l'ensemble dans le cadre d'un forum et dans l'idée que c'est par cette voie qu'on trouvera la théorie de grande unification de la physique. Je ne la revendiquerai pas si c'était le cas (j'ai fait une enveloppe Soleau dans le cas ou quelqu'un chercherai à la revendiquer pour lui). Peut-être que ceci n'aboutira à rien, mais ça nous aura fait réfléchir ou rêver, comme l'Euréka d'Afarensis qui m'a fait rêver et m'a fait du bien. Tu as ton rôle dans ce forum, vive la liberté, s'il te plait éclaires nous de tes connaissances et viens rêver avec nous, ce n'est pas interdit dans un forum (concept qui a plus de 2000 ans!!!)
  2. alexandreW

    Dieu et la science

    Simple question: pourquoi chercher à nous convaincre que Dieu existe? Dans quel but? Libre à chacun de croire ou ne pas croire et le sujet est clos, qu'est ce que vous en pensez?
  3. Bonjour bruno Les amas de Bose Einstein avaient été prévus initialement pour les gaz d'atomes. On prévoyait qu'à 0° absolu les groupes d'atomes se comportaient comme une seule onde aux yeux de la mécanique quantique. Pour cette expérience sur le photons, ils ont utilisé un faisceau laser pour avoir une longueur d'onde unique qu'ils ont mis en rebond et concentration en 1 point par deux miroirs concaves le tout à 0 ° degré absolu et sous vide. Les accumulations de photons se comportent alors comme un seul gros photons (qui donc n'aura pas de problème de dispersion, on pourra être beaucoup plus fin pour graver au faire d'autres applications industrielles. Dans la théorie à particule unique: Les Us des cordes des masses sont des univers comme les nôtres, les cordes sont donc comme un collier de perle. Les Us du superfluide sont tout petits ce sont des quasars. Comme tu l'as mis en lien, je ne sais plus à quelle page de ce forum, les quasars sont dans notre univers et sont en réseau. Il est fort probable que les quasars soit la "ficelle de notre collier de perle", ça veut dire que dans la zone de recrutement gravitationnel de la masse une corde de superfluide est avalée en permanence et participe à la cohésion de la ligne gravitationnelle et à la masse. Quand un atome se retrouve seul, il est probable que brutalement le recrutement des prébigbang pour alimenter la corde deviennent impossible (gamma 3 trop faible, donc pas de mise en résonance du prébigbang et donc pas de bigbang), il ne reste alors de l'atome plus que la ficelle centrale de quasars pour faire cette atome, les U de la masse classique sont passés en big crunch par perte brutale de tension. C'est ce que je disais quand je parlais de l'effet photocopieuse du superfluide. Les masses trop petites sont "déshabitées" elles sont faites de cordes de superfluide donc de quasars. (c'est pour ça que le carbène se comporte aussi comme une onde...) A -273 degré, il n'y a aucune tension des cordes du superfluide (pas de photon pas d'apport d'énergie), les cordes des boucles des quarks et des électrons prennent du volume comme expliqué plus haut pour l'expérience des fentes, alors toutes les cordes sont entrelacées et les atomes ne forment plus qu'un amalgame unique, c'est comme ça qu'on pourrait expliquer les amas atomiques de Bose Einstein avec cette théorie. Pour les photons, c'est à peu près la même chose, les cordes du superfluide étant distendu à cette température, les vibrations transversales prennent de l'amplitude et s'entrelacent avec les vibrations des cordes voisines ne formant plus qu'une vibration unique, un superphoton....
  4. La notion d'impulsion en mécanique quantique: Une onde particule est un train d'onde très court, ce qui rend son calcul de la fréquence quasi impossible sur une particule: pour pouvoir calculer la fréquence d'une onde, il faut observer plusieurs phases, ce qui est impossible sur une particule, pour pouvoir calculer sa fréquence il faut observer une multitude de particule et calculer la fréquence sur une accumulation de donnée. La dualité onde particule ne concerne que l' à priori et non le postériori. En gros il est impossible dans le même temps de connaître la position de la particule et sa fréquence en même temps et sur la même mesure. Une impulsion est une longueur d'onde de la particule étudiée soit une seule phase complète. Cette notion rejoint celle de masse de particule. Dans la théorie à particule unique, c'est la notion d'impaction, de pouvoir impactant. Je m'explique: pouvoir impactant veut dire capacité à avoir un impact sur un système. Par exemple: quand on se prend un poteau en courant, ça fait mal (je vous apprends quelque chose là), les boucles de la masse du poteau on un pouvoir d'interaction avec mes boucles (haïe...) Un électron a un pouvoir impactant puisqu'il peut interagir avec une masse en la déplaçant (expérience des fentes avec une paroi sur roulettes), en agissant chimiquement, en se transformant un rayonnement de Cherenkov dans le plexiglas (à des vitesses supraluminique et en créant un cône MACH....utilisé en médecine!) Il reste des tas de mystère en mécanique quantique, par exemple: comment fait une grosse molécule comme le carbène pour créer des interférence avec lui même? Les atomes se comportent ils comme un simple électron? La mécanique quantique s'applique t il aussi au macroscopique? Est ce que ça marche sur mon chat? ( pourrais je en faire un mort-vivant?) (il est déjà assez moche comme ça le mien)
  5. PAQUET D ONDES La longueur de ce train est delta x L'amplitude en mécanique quantique est la zone d'évènement possible comme la capture d'une particule L'amplitude pour trouver une particule en différents endroits et à différents temps peut s'écrire: e^(i(wt-k.r)) cette écriture est l'écriture complexe d'un fonction sinusoïdale w est la pulsation (2pi fréquence) k est le nombre d'onde et r le vecteur position par rapport à un référentiel. La probabilité de trouver la particule à un endroit donné à un temps donné est le carré du module de cette amplitude. E=h f (fréquence de la particule) énergie de cette particule P=h/2pi x k, k est le nombre d'onde Ceci veut simplement dire que plus le nombre d'onde est élevé sur une même distance delta x plus le "bomper" du flipper est puissant et vous renvoie la bille rapidement (c'est une image) P est la quantité de mouvement ou impulsion. Dans la théorie à particule unique, une particule est une boucle d'une corde de superfluide (ancien éther du siècle19) oscillant à très grande vitesse. La boucle a une certaine énergie cinétique rotatoireEc=1/2 w² somme(m ri²) Quand on détecte cette particule on transforme cette énergie en énergie lumineuse=hf On voit bien que quand la particule est libre elle a des ri² importants ce qui veut dire que la boucle balaye l'espace lentement mais avec un grand espace de présence, à l'inverse quand on tend la corde de superfluide, la boucle devient petite en oscille à fréquence élevée. Comme la patineuse qui ramène ses bras en tournant et qui se met à tourner plus vite. Je pense que la dualité onde-particule peut s'expliquer intuitivement comme ça. La lumière tend les cordes de superfluide entraînant une réduction quantique...
  6. Il y a une grande énigme en mécanique quantique: Soit on peut savoir ou passe l'électron et par quel trou il passe, dans ce cas il n'y aura pas de figure d'interférence (on est puni pour avoir voulu regarder, certains diraient que c'est la preuve de l'existence de Dieu, je plaisante...) Soit on ne sait pas par quel trou, il est passé et alors l'électron se comporte comme une onde et il y a des figures d'interférence. D'abord qu'est qu'on entend par regarder? Par exemple dans l'expérience de l'électron, si on apporte de la lumière dans le deuxième compartiment, alors l'électron s'illumine en bleu et fait un éclair jusqu'au capteur, on sait ou il est passé et alors là, on est puni:pas de figure d'interférence. Si on utilise une longueur d'onde très longue plus longue que la distance entre la fente 1 et 2 alors nous sommes dans les ondes radio, l'écho de ces ondes ne nous permet pas d'avoir une précision plus fine que la distance 1-2, il devient alors impossible de savoir par quelle fente est passé l'électron et là on est récompensé, les franges d'interférences réapparaissent. En gros soit on sait ou est la bille mais on ne connait pas sa longueur d'onde soit on ne sait pas ou passe la bille mais là on connait sa longueur d'onde. delta x: la précision de la position en x de l'électron delta p: précision de l'impulsion de cette particule (longueur d'onde en gros) Heinsenberg a remarqué ceci:delta x x delta P=h (constante de Planck) En gros delta x est petit: vous savez ou est la particule mais dans ce cas delta P devient automatiquement grand rendant impossible l'appréciation de l'impulsion (longueur d'onde) En gros c'est soit l'un soit l'autre mais pas les deux en même temps. Ceci est un grand mystère de la physique, c'est très frustrant... Vite allez me chercher Dieu en urgence... (je plaisante, je n'ai pas dit que j'étais athée, mais si Dieu est quelque part , il n'est surement pas dans la physique) ps:En gros l'impulsion est une notion qui s'apparente à l'énergie vibratoire d'un ressort, quand un ressort vibre très vite et qu'il s'arrête brutalement, il transmet beaucoup d'énergie, on connait tous ça au flipper ( la bille arrive sur un vibreur et elle gagne brutalement de la vitesse...) on peut donc dire que p est une quantité de mouvement...
  7. alexandreW

    Dieu et la science

    Quand la religion se mêle de science, on a déjà donné, on t'expliquera bientôt ce que tu as le droit de penser ou non, ça me rappelle des choses...
  8. Le chat de Schroedinger tant qu'il est bien isolé du monde extérieur et qu'il ne peut interagir avec ,il peut être mort et vivant en même temps, c'est ce qu'on appelle la superposition d'états en mécanique quantique, honnêtement, vous trouvez pas qu'il avait un drôle de chat Schroedinger, le mien il attaque les canapés, je le préfèrerai mort...je plaisante. La pensée c'est quantique, tant qu'on ne vous a pas demandé votre avis vous avez les deux avis en même temps le positif et le négatif en même temps. Le monde politique est quantique, quand on sort de l'ENA on est de gauche et de droite en même temps, quand le parti qui vous donne le plus de chance de faire carrière se présente l'élève de l'ENA fait une réduction quantique, il choisit son parti politique... Tout est quantique finalement, tant que nous avons pas à choisir ou se départager tout existe dans notre tête...
  9. Merci Gallium, bon boulot (j'imagine que tu finis des travaux de recherche) A dans 1 mois Amitiés
  10. Tout le problème de la réduction d'un état quantique intriqué se concentre sur l'observation. Quand on observe on réduit un état intriqué (par exemple un électron prenant deux chemins en même temps, l'électron interfère avec lui même) en une physique de particule simple ou il n'y a pas d'interférence. Le photon casse cet état ou l'électron se comporte comme une onde. Il faudrait pouvoir observer les électrons sans les observer comme dans le mythe de Méduse pour pouvoir observer le comportement de l'électron sans qu'il soit réduit à une charge ponctuelle. Dans le Pour la science de Juillet, il y a un article qui parle d'un détecteur capable de détecter un objet sans interagir avec lui, on utilise un seul photon qui interagit avec lui même (c'est ça le miracle de la mécanique quantique), une particule peut occuper tout un espace de probabilité et n'occuper qu'un seul point quand on veut l'observer. Dans la théorie à particule unique,il faut définir ce qu'est une particule de la physique classique: Toutes les particules de la mécanique classique sont soit des boucles de ligne gravitationnelles,de lignes de champs électrique et plus à distance de la masse, de ligne du superfluide (qui sont des lignes de champs électrique une très faible tension mécanique) soit des vibrations transversales de corde à corde, soit une torsion axiale d'un corde. L'énergie de la particule est donc : -1)soit en rapport avec la fréquence de vibration de corde à corde E=hW/2pi (w pulsation =2pi freq) - 2)soit en rapport avec l'énergie contenue dans une torsion mécanique d'une corde dans le cas d'une torsion simple d'une corde qui a une raideur k, E= k x² ou x est l'angle maximal de rotation -3)soit en rapport avec une boucle, dont la formule de l'énergie potentielle est plus complexe, elle dépend de la raideur de la corde k, du diamètre de la boucle (plus la boucle est grande moins l'énergie potentielle est importante) et enfin et surtout la tension de la corde. Les particules libres dans l'espace sont des figures des cordes du superfluide. Dans le cas de l'expérience des électrons avec deux fentes , les électrons produits sont de diamètres variables en fonction de leur énergie initiale, en appliquant une différence de potentiel entre l'émetteur et le capteur, on tend les lignes de champs électrique du superfluide (qui est l'extension des lignes de champs électrique des masses). Les chocs entre les cordes sont considérées comme élastiques à cette échelle. La vitesse des U dans les cordes est relativement constante (V superfluide) qui est à peut près la même que dans les cordes de tous les champs électriques, ceci entraîne une fréquence gamma 3 constante dans la boucle de l'électron (la base de boucle de l'électron se comporte comme un générateur de fréquence) la boucle se comporte alors comme un oscillateur forcé. Je n'ai pas d'idée approximative de la vitesse V superfluide, mais intuitivement, il devrait être de plusieurs facteur de 10 fois c ainsi que la fréquence de balayage de la boucle d'électron dans l'espace doit être extrêmement élevée entraînant un "décrantage" de la base de boucle par la force centrifuge à l'origine d'une diamètre très important de l'électron. Quand cet électrons arrive dans les fentes de l'expérience, il faut imaginer que la vitesse de balayage de la boucle est beaucoup plus importante que la vitesse d'avancement de la boucle de l'émetteur vers le récepteur. La boucle se déforme déborde dans les deux fentes, les deux hémiboucles peuvent alors interférer entre elles de l'autre côté de la paroi (ce qui se réalise à une certaine distance de la paroi qui dépend de la distance entre les deux fentes) une des deux hémiboucles prend l'avantage et réaspire l'autre hémiboucle dans la fente, le trajet de l'ensemble de la boucle a ainsi été dévié. En présence de lumière dans le deuxième compartiment, les photons étant des vibrations transversales Les vibrations des corde d'éther transversales se comportent comme une onde de pression empêchant l'entrée dans les fentes d'une grande boucle distendue, ces onde de pression entraine une augmentation de la tension des cordes du superfluide qui réduit fortement le diamètre de la boucle , l'électron se comportera alors comme une particule et non comme une onde. A noter que si nous rapprochons les capteurs de la paroi aux deux fentes, la dualité onde particule disparaît. Ce qui montre bien qu'il faut une certaine distance pour que les interférences se réalisent (chapitre 2 du FEYNMAN) Tout ceci a pour but de parler plus tard de la téléportation quantique (je pense qu'une machine à téléporter est imaginable permettant des transports de masse à des vitesses très largement supraluminiques) Je pense que Gallium pourrait vous expliquer mieux que moi les paradoxes de la mécanique quantique (c'est son pain quotidien)
  11. Avec ça on pourrait clore définitivement ce débat stérile et foutre la paix une fois pour toute aux Bogdanov
  12. Je suis en totale admiration devant votre commentaire

  13. Il ne faut pas confondre maître de thèse et master qui est un diplôme. Les universitaires qui dirigent les thèses de science sont tous très diplômés. Il y a probablement une raison politique à cette polémique autours de Bogdanofs peut-être des histoires de remise en question de financement de certaines recherches publiques du CNRS INSERM... jugées non rentables par le gouvernement.
  14. Dans la théorie à particule unique, l'électron est une boucle de corde du superfluide sortant de la masse. Dans le cas de cette expérience,il existe une mise en tension des lignes du superfluide par une différence de potentiel. L'électron est une boucle de ces cordes produite par chauffage d'un fil de tungstène. La boucle est alimentée par des Us de la dimension du dessous (univers de la dimension du dessous) A la base de la boucle il y a un arrêt redémarrage du mouvement à la base de l'onde Gamma 3 longitudinale (voir les DOC du forum) Cette fréquence gamma 3 joue le rôle de générateur d'onde pour la boucle qui du coup vibre en permanence l'oscillateur concerné peut être considéré comme un oscillateur forcé avec une force Fo qui correspond à la force d'arrêt de la corde en base de boucle On peut écrire F=Fo cos wt ou w est la pulsation L'électron libre dans l'espace est de grand diamètre car il n'échange plus avec un nucléon. L'attache en base de boucle nécessite une énergie Ed pour être décrochée et raccrochée avec changement de diamètre de ma boucle. L'électron sans lumière se comporte alors comme une sorte gros BLUB si on la regarde avec une faible vitesse d'obturation avec une caméra virtuelle, celui suit le trajet d'une ligne de champs électrique (il prend le train, je plaisante). Quand il rencontre la première paroi par exemple entre le trou 1 et 2 plus près de 1 la boucle va déborder plus dans le trou 1 et aussi dans le trou 2 avec une boucle moins grande voir le fichier INTERF CORDE sans lumière. Il va alors interférer avec lui même déviant la plus grosse boucle vers la gauche, ensuite, la petite boucle est réaspirée par le mouvement dans le trou 1 et l'électron tape la paroi de détection avec un déviation vers la gauche à cause des échanges des cordes de la dimension du dessous entre la petite boucle et la grande boucle qui a créé une force transversale. Pour expliquer l'action de la lumière, on va faire appelle à l'énergie de décrochage Ed de la base de boucle de l'électron. Quand nous sommes avec de la lumière, l'énergie lumineuse apportée à la boucle est égale à hv (v fréquence de l'onde lumineuse ou h/l, l longueur d'onde) Cette onde lumineuse met en résonance les lignes de champs électriques qui donc se tendent (freq= 1/2pi sqr(k/m-h²/2m²))k est la raideur de la corde h le coefficient de frottement de la corde m la masse de la corde. Quand l'électron arrive à la paroi, il est dans un compartiment sans lumière et arrive dans un compartiment avec lumière. Le blob commence à rentrer soit dans le trou 1 soit dans le trou 2, l'énergie lumineuse hv si elle est supérieure à Ed va entraîner le lachage de la base de boucle et étant donné que les lignes de champs électriques sont tendues la boucle va brutalement se réduire de volume jusqu'à sa taille minimum d'équilibre, ce qui explique que l'électron ne peut interférer avec lui-même et ne peut pas faire de frange d'interférence. Si la longueur d'onde devient supérieure à la distance 1-2 , l'énergie de la lumière devient insuffisante pour tendre efficacement les lignes de champs électrique par la mise en résonance, et l'énergie apportée est inférieure à Ed ce qui explique pourquoi on observe à nouveau les interférences et de plus l'onde de pression lumineuse atteint la première boucle puis l'autre partie de boucle et non en même temps (ce qui fait ressortir les deux boucles dans le premier compartiment) VOIR le fichier interf corde lumière. Les boucles d'électrons vibrent à une fréquence qui dépend du diamètre de la boucle, de la fréquence gamma 3 qui elle même dépend de la distance à la masse émettrice et de la différence de potentiel qui empêche le ralentissement de Vu. L'énergie de cet électron va surtout dépendre de la différence de potentiel appliquée entre l'émetteur et la plaque de capture. Je sens qu'on va discuter...
  15. La mécanique quantique est basée sur l'expérience des fentes comme l'a montrée Galium, j'ai repris le premier chapitre du FEYMAN, pour une onde dans l'eau, on observe ceci (voir le fichier interférence avec eau) On observe une intensité I au niveau du détecteur =|h1|² si le trou 2 est fermé et |h2|² si le trou 1 est fermé l'intensité au niveau du détecteur est une mesure d'énergie c'est la raison pour laquelle elle est proportionnelle au carré de la hauteur de la vague. Quand les deux trous sont ouverts, on a des interférences entre les vagues venant de 1 et de 2 ce qui explique que l'on observe une hauteur de vague maximale entre les deux trous avec des additions d'onde (vague haute) et des soustraction d'onde (addition destructive) ou il n'y a pas de vague. Ceci est valable pour des ondes pures, en observant les vagues on ne gène pas les interférences avec nos yeux, si je mettais des ballons pour mesurer leur variation de hauteur je pourrais gêner les vagues si mes ballons étaient trop lourds, bref... Pour les particules ça se corse, prenons le cas d'un canon à électron, il existe une différence de potentiel entre l'émetteur et la plaque ou s'écrase l'électron voir l'image "électron sans lumière" Même expérience que pour l'eau, mais cette fois-ci on envoie électron par électron. Le détecteur émet un clic à l'endroit de l'impact, phi est le nombre d'impacts par seconde à une coordonnée x donné de l'écran de réception. I qui est une mesure de l'énergie est proportionnelle à |phi²| (P probabilité d'impact) (chaque impact a la même vitesse et même quantité de mouvement) On peut voir que quand on n'ouvre que 1 ou 2 on observe une cloche d'aspect Gaussien. Mais là ou ça devient étrange, c'est quand on ouvre les deux trous en même temps on observe les vagues d'interférence comme pour l'expérience avec l'eau éa veut dire que l'électron interféré avec lui même pour créer ces images d'interférence, hors il est censé être une boule bref une particule, c'est comme si cette boule prenait plusieurs chemins en même temps dans ce cas P est différent de P1+P2 comme le montre le shéma de la figure, cette boule va se comporter à la fois comme une onde et une particule. On peut observer les électrons en les éclairant, on va voir un éclair passer dans le trou 1 ou le trou 2 Dans ce cas on observe un résultat très étrange (voir le fichier électron avec lumière) L'électron se comporte cette fois-ci comme un boule pure (P=P1+P2 sans interférence) Quand on augmente la longueur d'onde de la lumière pour ne pas déranger les électrons et continuer à la observer jusqu'à la lonngueur d'onde = distance trou 1 trou2 on ne peut plus savoir avec ce type de lumière si l'électron passe par le trou 1 ou 2 alors là accrochez vous... Les franges d'interférences réapparaissent. Tout se passe comme si le fait d'observer les électrons les perturbaient et ils ont honte de se comporter comme des ondes (ils sont timides). Vous avez là les principes fondamentaux de la mécanique quantique: P probabilité phi amplitude de probabilité (nombre d'impacts par seconde par exemple) P peut être considéré comme une mesure de l'énergie des sommes des impacts à la coordonnée x. Lorsqu'il est impossible de prévoir par ou va passer la particule: phi= phi1 +phi2 P=|phi1+phi2|² différent de phi 1²+phi 2 ² dans le cas de l'eau on rajoute 2 phi1 phi2 cos delta (différence de phase entre les deux ondes) mais l'eau n'est pas une particule... lorsqu'il est possible de prévoir la position de la particule dans cas l'égalité ci-dessus est vraie. Je vous parlerai dans quelques heures du principe d'incertitude et vous montrerai une explication intuitive du mécanisme de la mécanique quantique avec enfin une explication moins extravagante que le fait d'observer la particule la rend timide... MECANIQUE_QUANTIQUE1.zip MECANIQUE_QUANTIQUE2.zip
  16. Il dit que l'addition des amplitudes des ondes est maximale au milieu entre les deux fentes, la distance entre les rainures correspond à la longueur d'onde. Quand la longueur d'onde diminue, les interférences tendent vers le résultat obtenu avec des billes sans aspect oscillatoire avec un aspect en cloche (comme tu l'as montré dans le forum) Si on remplace les particules par des boucles de corde du superfluide dans cette théorie, la boucle vibre à une fréquence proportionnelle à son énergie (constante de planck), arrivée dans la fente, la boucle se transforme en oscillation transversale des cordes de superfluides correspondant cette fois-ci à une onde qui va interférer avec les ondes de la deuxième fente. On pourrait ainsi expliquer la dualité onde particule par les propriétés "photocopieuses" du superfluide ( une particule n'est qu'une boucle de corde du superfluide qui peut transmettre cette particule par oscillation transversale, axiale, rotatoire, avec ces trois modes, on pourrait expliquer par les réseaux tensoriels toute la mécanique quantique) Une boucle ou une oscillation transversale de corde de superfluide peut être transformée en torsion axiale bilatérale de direction opposée (physique de particules par exemple dans le cas du photon qui peut se transformer en électron et positon. Les espaces probabilistiques de présence des particules de la mécanique quantique pourraient s'expliquer par la très grande vitesse de balayage des boucles, cet aspect de balayage s'explique par le fait que la vitesse interne des cordes est de plusieurs facteurs de 10 fois plus rapide que la lumière, les boucles elles même balayent l'espace à des vitesses très largement supraluminiques. Tu avais dit que dans cette théorie la constante de Planck n'est plus une constante, tu as raison. Avec la vitesse h varie. Il n'y a plus de temps de Planck. La réduction quantique pourrait s'expliquer par le fait que l'arrêt des oscillations par l'observation arrête le balayage des boucles (qui peuvent balayer faisant plusieurs figures dans l'espace successivement, intrication), ce qui devrait expliquer l'intrication à distance est en rapport avec les torsions dans l'axe des cordes du superfluide (une torsion horaire compensée par l'autre torsion antihoraire sur la même corde...
  17. Bonjour, on devrait pouvoir descendre au micron de précision donc voir avec précision les cellules dans une tumeur, le seul problème est la vitesse d'analyse des données qui peut donner une image flou lié au mouvement de l'individu. Reste à améliorer les capteurs, paradoxalement, plus l'anneau est grand plus l'image est fine dans cette imagerie, il n'y a pas de champs magnétique intense, tout est dans la capture de l'information...
  18. Qui a lu le livre de Feyman sur la mécanique quantique, c'est un génie ce type! Il arrive à expliquer simplement un domaine très complexe de la physique. Il explique à merveille dans son premier chapitre la dualité onde particule très bien illustré par GALLIUM dans ce forum La vision statistique avec ce capteur dans l'expérience des deux fentes... je vous le conseille
  19. Encore une fois Gallium j'approuve à 100 % ce que tu viens d'écrire. Les frères Bogdanoff méritent le respect en commençant par le fait qu'ils ont su rendre attirante la physique et la cosmologie, ce qui peut rapporter des fonds (tout investissement en recherche est politique). En plus ce sont de vrais chercheurs.
  20. allons-y plus qu'un milliard d'euros à trouver...
  21. Ce qu'il y a de paradoxal dans cette théorie c'est qu'en théorie l'énergie de toute masse est infinie, si on arrive à libérer l'énergie de cette masse dans toutes les sous-dimensions (dont la plus petite est infiniment petite), en pratique libérer l'énergie de la masse dans plus d'un étage dans cette théorie est possible mais surement nécessitant une sacrée technologie. On pourrait imaginer qu'un gramme de matière pourrait détruire tout un système solaire!!! c'est sans intérêt, mais ce qui est très bête l'homme est capable de le faire. On peut aussi imaginer le superfluide pour fabriquer une machine "à passer dans le futur" sans pour autant utiliser la relativité (pas de vitesse, pas de champs gravitationnel intense) On pourrait prendre un cylindre de polyéthilène massif (non conducteur très dense). Ce cylindre serait soumis à un champs magnétique intense grâce à un solénoïde supraconducteur. Ce champs permettrait de tendre dans l'axe du champs les lignes de champs électrique sortant de la masse. On fait baigner ce polyéthylène dans un bain de lumière correspondant à la fréquence de résonance de ces cordes ainsi tendues, cette fréquence de résonance va entraîner une rupture de ces cordes. Des fragments de ces lignes de champs électriques sont entraînés dans un anneau d'accélération, la concentration en fragments de cordes va s'accumuler dans l'accélérateur quand la concentration critique est atteinte, le débordement de ce "superfluide" par une ligne droite vers une cible qui est la chambre de passage dans le futur, les masses à l'intérieur de cette chambre vont avoir un effet d'augmentation inertiel comme prévu dans le DOC et le temps va ralentir dans cette chambre, les cordes de ce superfluide sont récupérés dans un anneau de récupération permettant de ramener toutes les cordes à la même vitesse pour les réinjecter par débordement dans l'anneau principal (on ne laisse par partir des corde du superflluide dans la nature) Si le temps ralentit dans la chambre ça veut dire que tout ce qui est dans cette chambre passe dans le futur. Il ne devrait pas y avoir de limite à la concentration en fragment de corde de champs électrique que l'on peut faire avaler à la masse (pour régler le coefficient de passage dans le futur on ouvre ou on ferme le générateur de superfluide. Si on arrête d'alimenter l'anneau en superfluide, il se vide spontanément par transformation spontanée des U des fragments de corde de champs électrique (quasars) en prébigbangs que rien ne perturbent et qui sortent spontanément de l'anneau) Imaginez par exemple une heure passée dans la chambre est égal à 1 mois à l'extérieur. On peut garder au frais un patient en attente de greffe plusieurs mois jusqu'à trouver le donneur idéal. L'engin devrait être un peu gros pour être embarqué dans un véhicule interplanétaire. On pourrait tranquillement voyager 1000 ans en 1 mois par exemple, le voyage serait aller simple vous vous en doutez....
  22. La notion d'énergie libérée dans cette théorie est très simple: l'énergie est toujours en rapport avec le mouvement que ce soit au niveau macroscopique ou microscopique: Pour la lumière, l'énergie lumineuse est rapport avec le mouvement de corde en corde du superfluide, les deux composantes (amplitude et fréquence) déterminent la puissance lumineuse contrairement à la théorie classique ou la lumière n'est qu'une déflexion de la trame de l'espace temps (théorie relativiste), dans ce modèle on pourrait se demander de quoi est constitué cette trame espace temps. L'énergie calorifique, le travail de la pression et le travail de la pression s'expliquent comme en physique classique par des impacts de molécules sur des paroi avec des probabilités de transfert de quantité de mouvement de molécules. L'énergie nucléaire et de la masse s'expliquent par les tensions de ressort des boucles à quarks et des énergies d'accrochage et de décrochage entre cordes (échanges des U de la dimension du dessous) Il y a toujours une explication palpable pour expliquer la notion d'énergie dans cette théorie: soit des ressorts lachent foutant l'espace et transmettant un impact, soit il y a des ondes de pression pour la lumière comme dans la physique acoustique, ce qui est assez nouveau. L'énergie est une notion bien concrète...
  23. Ether n'avait pas le même sens au siècle dix neuf, dans cette théorie, l'espace vide et non vide est rempli de cordes de lignes de champs électrique de tension nulle fabriquée par les masses. Ce sont ces cordes que j'appelle éther, et que je vais appeler maintenant superfluide les lignes de champs gravitationnels et les particules antigravitationnelles U centrifuges y participent également. Les quasars en réseau observés dans le lien de la page précédente pourrait être une corde de champs électrique de ce superfluide traversant notre univers. Chaque quasar aurait une masse équivalente à notre univers hors incrustation de quasars et de prébigbang. Ces cordes interagissent avec notre univers en la traversant, c'est ce qui explique en partie les phénomènes relativiste avec la vitesse. Le superfluide ayant une vitesse locale nulle, avec la vitesse de notre univers ces cordes nous traversent de plus en plus vite et gêne les mouvements de notre univers. Cette augmentation de l'inertie de la masse avec la vitesse explique les phénomènes relativistes comme expliqués dans le dernier DOC (La vitesse de rotation d'une sphère tournant à 1 tour par seconde pour servir d'horloge ralentirait avec la vitesse de traversée de ces cordes du superfluide), c'est ainsi que j'explique la relativité restreinte. Les lignes de champs gravitationnels et les Us antigravitationnel expliquent par le même mécanisme la relativité générale (avec les lignes de champs électriques du superfluide). Ceci ouvre la porte à une nouvelle forme de voyage dans le futur: Imaginez qu'artificiellement, nous arrivions à créer un vent de superfluide très rapide, la matière serait comme figée dans ses mouvements réalisant comme un ralentissement du temps.
  24. hyperfluide ça me plait, adopté c'est mieux qu'éther, mais il n'est pas totalement hyperfluide parcequ'il existe une fatigue de la lumière sur des distance de l'ordre du milliard d'année lumière de distance. Merci pour cette suggestion.
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