Noisettes

Et je lis la presse écrite .

Je n'ai ni la télé, ni la radio, alors je ne vois pourquoi payer la redevance audiovisuelle.

C'est une bénédiction de ne pas avoir la télé chez soi.

Cet été, on a proposé à mon mari un poste sur NANTES. J'étais prête à le suivre, j'ai donné ma démission et on avait trouvé une petite maison a acheter au nord de la ville. On a demandé un prêt à la banque pour l'achat (ou n'avait pas d'apport) et dans un premier temps, la banque nous garantissait son soutien. Fin août, la banque nous annonce qu'elle ne peut pas nous prêter la somme malgré nos possibilités de remboursement (mon mari est auto-entrepreneur dans l'informatique) car notre dossier n'était pas solide (revenus irréguliers pour mon mari alors qu'il gagne de gros salaires et CDI à temps partiel au SMIC pour moi). Cependant, la banque nous proposait une caution bancaire pour une location. Et là, ce sont les agences immobilières qui ont coincés car nous n'avons pas de garants. Résultats des courses, mon mari est revenu en région parisienne car on n'a pas réussi à trouvé un logement sur place et qu'on avait encore notre location en région parisienne mais cette histoire nous a coûté 20 000 euros (frais de notaire pour la proposition de vente et ces deux mois de nuits à l'hôtel). En attendant, j'ai mes indemnités chômage dans le baba car j'ai donné un démission pour cause de mutation professionnelle du conjoint...qui a du revenir au début du mois de septembre. Depuis, j'enchaîne les recherches d'emploi avec rien de probant. Si nous devons changer de région pour trouver un emploi, on pourrai le faire mais pas si on ne trouve pas de logement (ce qui est notre gros point noir) je ne vois pas trop l'intérêt.

Ce n'est pas la première fois qu'il méprise le monde ouvrier. Je me souviens de sa remarque sur les ouvrières de l'usine LEDOUX dont il disait qu'elles étaient des analphabètes. Voilà cette génération de la décennie 70 qui n'aurait pas à régler la dette, à la différence de celle de la décennie 80 qui se retrouve avec toutes les emmerdes et elle se permet de nous donner des leçons.

Parce qu'elle fait confiance à son médecin traitant qui la connait depuis sa naissance et qui a été le premier à déceler ses allergies. Parce qu'il a été capable, quand sa leucémie a été diagnostiqué, de se mettre en relation avec son médecin traitant en France pour avoir connaissance d’antécédents dont il n'aurait pas eu connaissance. Parce que si la leucémie en question était incurable, il lui aurait dit franchement. Mon médecin traitant en Suède, tout comme celui en France, en vue de son dossier, pensent que toutes les pistes n'ont pas été explorées et ne comprennent pas pourquoi les médecins hospitaliers refusent une transfusion.

Je ne sais de quel type de leucémie elle est atteinte mais elle sait qu'elle n'est pas en phase terminal. Ce qui la rend folle c'est de ne pas savoir pourquoi les médecins lui refusent l'option transfusion alors que c'est la seule alternative possible, ces mêmes médecins qui lui ont fait la morale car elle se soigne à l'homéopathie (ce qui est comique car ils n'ont pas voulu croire la liste des substances auxquelles elle est allergique). Même son médecin traitant ne comprend pas le refus de ses confrères hospitaliers car rien ne s'oppose à une éventuelle transfusion.

L'option transfusion est la seule qui puisse lui sauver la vie mais pour une raison obscure, les médecins refusent de la mettre en œuvre. Tout ce qui a été fait ces six derniers mois, ça été des analyses sanguines pour connaître l'étendue de ses allergies aux médicaments et ils n'ont pas été déçus du voyage : allergie à tous les composés se trouvant dans les différents traitements associés à une chimio... alors qu'elle les avait prévenu au début de la chimio. Pour elle, la transfusion est encore ce qui est le moins risqué à condition que ces messieurs l'écoutent, ce qui n'est pas gagné. Car là, elle a peur que sa leucémie se propage à d'autres organes ce qui pourrait à condamné à court terme. Elle ne tient pas à rejoindre ses parents aussi vite.

Le problème, c'est qu'elle n'a pas de traitement pour soigner sa leucémie. Elle a été mise sous cortisone et morphine suite à des chimios qu'elle a suivie qui ont faillit l'envoyer dans l'autre monde. Les médecins savent qu'elle répond négativement aux chimiothérapies et qu'ils n'ont pas d'autres solutions et qu'il reste la possibilité de la transfusion ou de la greffe. Mais la question qui n'a toujours pas de réponse est de savoir pourquoi ils n'envisagent pas l'une ou l'autre option car aux vue de ses allergies importants aux médicaments, ils vont avoir du mal à trouver un traitement médicamenteux qui puisse fonctionner.

Elle est soignée en Suède (elle y vit) et les médecins là-bas sont très réticents à faire des interventions chirurgicales si elles ne sont pas justifiés. De plus, elle pense savoir pourquoi les médecins lui refusent une transfusion : elle est donneuse de sang et si jamais elle subit une transfusion, elle ne pourra plus donner son sang. C'est son hypothèse mais ne sait pas si c'est la bonne ou pas mais ce qu'elle sait, c'est qu'elle s'enfile de grosse doses de morphine pour calmer la douleur et qu'elle ne vit plus, ce qui lui mine le moral en plus de faire fasse à des médecins qui s'en servent comme cobaye pour essayer de trouver un traitement qui pourrait marcher et qui refusent de l'écouter alors que la transfusion ou la greffe peuvent être la solution.

En attendant, ce n'est pas elle qui refuse de soigner sa leucémie, ce sont les médecins qui refusent l'option greffe ou transfusion. A la rigueur, les effets secondaires de la cortisone s'estompe une fois le traitement terminé, il en est tout autre de la morphine à forte dose que mon amie compare à la dépendance aux drogues dures. Si jamais elle en réchappe, elle sera plus embêtée de sa dépendance à la morphine que sa prise de granules homéopathiques pour soigner un rhume, un mal de tête ou une insomnie (chose qu'elle peut pas soigner avec des médicaments classiques).

Je te parle de quelqu'un allergique à 95% des médicaments sur le marché et qui n'a pas eu d'autres alternatives, pour des maladies bénignes, de passer par l'homéopathie pour atténuer les symptômes. En attendant, les deux seules alternatives qu'elle a pour pouvoir guérir de sa leucémie, les médecins se refusent à les mettre en œuvre pour X ou Y raisons et tout ce qu'ils ont pu faire, c'est la mettre sous morphine et cortisone pour soulager ses douleurs.

Très drôle.

Si tu veux savoir, cela fait trois ans qu'elle bataille contre une leucémie et les différentes chimios qu'elle a subi ont faillit lui être fatale car les différentes traitement contiennent des substances auxquels elle est allergique. Les médecins qu'ont pas eu le choix de la mettre sous cortisone et morphine car pour des raisons inconnus, ils ne veulent pas lui faire une greffe de moelle ou une transfusion. Résultat des courses, elle est accro à la morphine et attend que les médecins se décident à se prononcer positivement à la transfusion ou à la greffe.

J'ai une amie qui a la chance d'être allergique à plus de 95% des médicaments sur le marché et a du se soigner par l'homéopathie.

Ce n'est pas la ville de Paris qui la gestion de la Tour Eiffel, mais une société privée. C'est pour dire que la mode actuelle avec la Tour, c'est de l'éteindre quand il y a un attentat par "solidarité" (un concept que j'ai toujours du mal à comprendre).

Pour info, tout le monde n'a pas la télé ou la radio, voir les deux. Dont, une source est toujours pas bienvenue. Ce que je sais, pour rendre hommage aux victimes (ou à l'attentat) la Tour Eiffel n'est pas illuminé comme tous les jours (j'ai une vue imprenable de Paris depuis mon salon.

L'infirmière a eu le bon réflexe tout comme la bande d'abrutis d'un service hospitalier qui a fait un signalement inquiétant car je ne pouvais pas porter H24 mon fils (ne pas le porter signifiait à leurs yeux que c'était de la maltraitance). Et cette situation est véridique. Pour en revenir au sujet, cette infirmière, voyant la maman a bout, aurait pu lui dire d'aller se reposer quelques temps au lieu de lui mettre la justice aux fesses, quitte à ce que le traitement du petit soit donner avec du retard.

Faudrait peut être expliquer à ce cher Emmanuel Macron et à Stéphane Berne que l’édit de Villers-Cotterêts avait pour objectif que tous les actes officiels et de justice soit rédigés en langue française (avant, ces mêmes actes étaient rédigés en latin), et non pas imposer l'utilisation du français à toute la société française de l'époque.

Il y a chronologie et chronologie. Si c'est pour apprendre 1515 Marignan ou 1789 la Révolution française sans connaître le pourquoi du comment, je ne vois pas trop l'intérêt. Par contre, dire que Molière a vécu au siècle de Louis XV, c'est pour le moins problématique. A titre personnel, comme j'ai une bonne mémoire des dates et des règnes des différents rois, la chronologie ne m'a jamais poser de problème et je savais à quoi un événements était lié. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que cette histoire de chronologie peut faire de l'histoire (une fois de plus) un instrument idéologique.

Avec mon profil atypique et mon bulletin scolaire médiocre (médiocre car je n'ai jamais été capable de répéter ce que j'apprenais sans comprendre) on m'a toujours dit que je n'irai pas loin dans les études. Effectivement, j'ai le brevet des collèges (merci à mon 17 en histoire-géographie), un bac littéraire obtenu aux rattrapages, une li-licence en histoire-géographie et un niveau master 1 en géographie physique. Faudrait peut-être arrêter de vouloir coller des étiquettes pour un oui ou pour un non.

Le problème de ce taux d'échec vient du fait que les étudiants qui arrivent en fac n'ont jamais été autonome dans l'organisation de leur emploi du temps. Quand tu es au lycéen, c'est l'administration du lycée qui fait ton emploi du temps et le travail de recherche est limité. Quand tu débarque à la fac, tu fais ton emploi du temps et tu te retrouve avec une quinzaine d'heures de cours dans la semaine et tu ne sais pas comment combler les trous dans ton emploi du temps. C'est ici que ce joue le gros travail de recherche pour compléter et approfondir ses cours en allant à la bibliothèque pour limiter la case lors des partiels.De plus, à la fac, les enseignants ne sont pas derrière les étudiants pour leur mâcher le travail. La fac a de quoi stabilisé quand on n'a jamais travailler en autonomie complète. Au passage, avec le CV de môssieu Macro, je lui propose de bosser pendant un an dans un centre d'appel payer au SMIC avec toute la pression qui en découle.

Exactement.

Je ne comprendrais jamais l'intervention des autres dans la vie d'autrui. Chacun mène sa vie comme bon lui semble sans avoir à justifier de ses choix envers les autres. Si une femme ne veut pas avoir d'enfant pour X ou Y raison, on respect son choix.

Voilà ce qui arrive quand on réduit l'enseignement de l'Histoire à peau de chagrin et qu'on demande aux associations Y ou X leur avis sur le contenu de l'enseignement alors que leur connaissance de l'Histoire n'est qu'idéologique.