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  1. uno

    C'est quoi un nazi pour vous.

    Non ça ce n'est pas le nazisme, c'est une société, point. Toute société, et plus encore civilisation, a des standards, des normes et des valeurs communes auxquels les individus constituant cette société sont sensés adhérer et respecter. Et toute société à ses déviants c'est-à-dire ceux qui se tiennent en marge de ces normes communes et sont condamnés, voir parfois exclus et persécuter par la majorité de la société. Or toute société fonctionnelle doit avoir pareilles normes et valeurs communes, voir même sacraliser ces dernières, et exclure voir punir ceux qui les violent. Ce qui m'inquiète c'est au contraire le fait de diaboliser et démoraliser nos sociétés contemporaines, en accusant de fascisme, voir même de nazisme, toute tentative de défense de qu'il nous reste de normes et valeurs communes. Mais bon c'est là un vaste débat, pour le reste pour comprendre ce que fut le nazisme il y a le classique ci-dessous et il va de soit qu'en France il n'y a pas de relai politique se rapprochant un tant soit peu du nazisme il faut être un minimum sérieux.
  2. uno

    Wokisme: Sujet Général

    Rien n'est voulu mais tout est prévu. En effet. Mais justement qui ouvre les portes et favorise cette gangrène woke dans le pays? Et jusqu'où cela va-t-il aller?
  3. uno

    Wokisme: Sujet Général

    Je remonte ce sujet au lieu d'en ouvrir un autre, mais notez bien que lorsqu'on dit que le Wokisme gangrène déjà diverses institutions et associations françaises, on n'est pas dans le phantasme, la gangrène est déjà bien avancée. Mesdames et Messieurs je vous présente le planning familial français. «Mâle/Femelle : Utilisés surtout pour étudier la reproduction sexuée chez diverses espèces, il convient de ne pas les employer pour caractériser nos congénères humains. Ces termes binaires ne reflètent pas la variété de nos corps et de nos vécus. Comme on l’a vu plus haut, le sexe est un construit social. Un pénis est un pénis, pas un organe sexuel mâle.» Le sexe est un construit sociale et un pénis n'est pas un organe sexuel mâle, les biologistes en position latérale de sécurité. On se rappellera tous des créationnistes qui refusait leur statut de primate, donc d'animaux, aux humains en raison de leurs croyances, nous avons ici exactement la même chose au nom de leur croyances à prétention sociologiques ou autres. Une volonté manifeste de se soustraire à une réalité biologique et anthropologique pourtant fondamentale à l'espèce humaine comme aux autres espèces de mammifères.
  4. C'est là où tu prouves ton inconséquences crasse et passe à côté du cœur de la problématique. L'euthanasie n'est pas une simple question de liberté individuelle. C'est un choix de société qui par définition est légitimé par les autorités. De fait les dépressifs euthanasier veulent une reconnaissance des autorités dans leur démarche, car ils ne se suicident pas, ils veulent qu'on les tue et que cela soit considérer comme légitime. C'est déjà différent d'une personne en fin de vie ou lourdement handicapé, incapable d'en finir elle-même soit dit en passant. Aussi tu ne peux pas invoquer la simple liberté individuel lorsque tu soutiens l'euthanasie pour les personnes en état de faiblesse psychiques, car ce dernier point implique deux choses. Un corpus de valeur soutenant que la vie d'une personne psychiquement fragile peut être est jetable. Une autorité qu'elle soit médical, judiciaire et/ou politique, déterminant les critères faisant d'une personne psychologiquement fragile, une personne jetable. Sans ces deux choses il n'y a pas de légalisation de l'euthanasie, car tuer était jusque là un crime, même si la personne demandait qu'on la tue. Et cela précisément en raison de la valeur fondamentale accordé à la vie humaine et appliqué par l'autorité des différentes institutions mentionné ci-dessus.
  5. En quoi ça ne tient pas parce que l'addiction implique une drogue? Allons donc pourquoi aider un junkie ou un alcoolique qui crève gentiment dans son coin? Tu réfutes la pertinence alors qu'il s'agit également d'une personne mentalement atteinte, d'ailleurs parmi les drogué certains sont également suicidaires. Mais bordel comment fais-tu pour ne même pas être informer du sujet dont tu prétends discuter, tu cherches à passer pour le plus gros boulets du forum? Il y a forcément une autorité qui amène son soutien à butter le suicidaire. Parce que figure-toi que jusqu'ici quand on surprend une personne en train d'essayer de se pendre, on ne la laisse pas faire en disant c'est son choix, laissons-là faire car tenter de l'arrêter serait fascisant! Légaliser la mise à mort de dépressif implique une autorités, qu'elle soit scientifique et médicale, politique et judiciaire. Car si tu nies qu'une autorité autre que le patient, est nécessaire pour décider de la mise à mort de ce dernier, alors à ce moment là plus la peine de légiférer sur l'euthanasie, il suffit simplement d'offrir les pastilles pour l'au-delà en pharmacie à toute personne qui le désir au nom de la liberté. Au mieux tu n'as pas les capacités pour comprendre que la problématique de l'euthanasie n'a jamais été une simple problématique de libertés individuels, au pire tu es volontairement malhonnête dans tes propos. Seul un hypocrite nie avoir des valeurs qu'il tient pour supérieur, et toutes sociétés doit avoir des valeurs qu'elle tient pour supérieures. De fait il existe d'autres sociétés pour qui butter une femme adultère est tout ce qu'il y a de plus légitime, tu essaie ici de me refaire découvrir l'eau tiède. La question de l'euthanasie n'est pas qu'une question de liberté individuel c'est une question sur la valeur qu'on accord aux humains en situations de souffrance et de faiblesse. Et de fait que nos société légitime à les tuer reviens à considérer leur vie comme aillant moins de valeur et étant davantage jetable que celles d'un pédophile, c'est un fait. Mais pourquoi ne pas respecter le choix de toute personne majeure et vaccinée prix en flagrant délit de tentative de suicide et ne pas intervenir? Par ailleurs j'ai bien préciser que mon élément de langage où je dis que tu souhaites t'en débarrasser n'est que la réponse du berger à la bergère où tu sembles affirmer que la souffrance d'une personne que je refuse de laisser mourir, m'est indifférente. Mais c'est un fait car si certains soutiennent l'euthanasie pour des raisons se voulant empathiques, nul doutes que les cyniques qui y voient une aubaine pour liquider des personnes fragiles existent aussi. De fait l'euthanasie des dépressif est simplement le rétablissement de la mise à mort de malades mentaux.
  6. Ben non dans les deux cas il s'agit de personnes qui sont atteintes mentalement et qui ont besoin d'aide pour s'en sortir quitte parfois à devoir aller à l'encontre des souhaits immédiats de ces personnes. Incroyable qu'il faille te rappeler ces choses. Tout comme il est incroyable qu'il faille te rappeler que justement un état dépressif n'est pas un état où l'on a une capacité de discernement éclairé, bref on parle bien d'une pathologie banane. À partir de quand et selon quel étalon détermine-t-on qu'on a tout essayé? À partir de quand décide-t-on que l'état psychique d'une personne la rend jetable? Il va falloir mieux qu'un argument d'autorité pour répondre à une question qui concerne non pas des faits objectifs et calculé mais qui retombe inévitablement sur la question de la valeur accordé à une personne en état de faiblesse. Tu te déballonnes, ça rend donc ce qu définit ce terme encore moins clair et concret que ce que définit la vie. C'est pour dire la débilité de ton sophisme précédent. Non mon grand ce n'est pas un appel à la nature, mais à celles de valeurs fondamentales. Et oui il y a des ordures qui méritent ni plus ni moins la mort, je ne suis pas sûr que tu juges la mise à mort de criminels de guerre nazie comme étant immorale mais bon va savoir. Car jugé que la vie d'une personne dépressive a de la valeur là où celle d'un violeur d'enfants n'en a pas, est une question de valeurs point à la ligne. Ceux qui font l'équation opposé trouvant légitime de butter la personne dépressive mais d'épargner celle du violeur d'enfant par humanisme, ont simplement d'autres valeurs c'est tout. Pas d'appel à la nature ou je ne sais quel connerie scientiste on parle bien de valeurs, celles-là même qui régissent les sociétés et permettent de faire société. Et toi tu préfères t'en débarrasser car comme ça cela fait selon toi des boulets en moins. Et ne vient pas chouiner sur ma présente formulation elle est aussi honnête que la tienne où tu m'attribue un supposé plaisir à la souffrance.
  7. C'est vrai notre société est on ne peut pas plus bien portante. Et butter les dépressifs c'est le progrès.
  8. Oui c'est également par la contrainte qu'on empêche les gens de se suicider en général depuis toujours. Mais laisse-moi t'aider, parfois on impose à certaines personnes des sevrages sans que ces dernières ne soient consentantes, et un sevrage cela peut-être violent et il n'est pas garanti même après celui-ci qu'il n'y aura pas de rechute. Mais bon on peut également juger que c'est la liberté de chacun de se droguer jusqu'à la mort. À partir du moment qu'on soutient le point de vue du suicidaire on le conforte dans son suicide et tacitement on reconnait que sa vie n'a plus de valeur. Cite une société qui fonctionne sans valeurs fondamentales qu'on rigole un peu. Une société sans valeurs, sans limite, sans tabous et sans normes ça n'existe pas et pour cause sans ces choses il n'y a pas de société. La dignité n'impose rien, car la dignité n'est pas une entité. Incroyable non-sens de ta présente phrase. On parle de vies humaines, donc bien plus que d'entité de personnes. Personnes qu'on juge alors jetables, il suffit juste d'avoir le consentement, on devine aisément comme c'est difficile d'avoir le consentement au suicide d'une personne dépressive. Encore une fois autant simplifier le bousin et directement vendre des kits d'aide au suicide.
  9. Des kits à suicides prêts à l'emploi avec pilule magique, ou carte des meilleurs falaise de la région cela aiderait aussi. Et on économiserait en temps. C'est bien plus humain que de faire tout notre possible, s'acharner à vouloir redonner le goût de vivre à une personne. En fait on devrait généraliser la pratique. Gageons qu'avec la hausse c'est même nécessaire, plus le temps à s'acharner il faut liquider. C'est clair, si on butte les suicidaire, on règle le problème car le suicide n'est plus alors une anomalie contre laquelle il faut lutter mais un acte parfaitement normale et légitime qu'il faut accompagner. Dans le même ordre d'idée il faut légaliser les crimes comme ça il n'y a plus de crimes. Non mon grand c'est littéralement ce qui fait tenir une société debout et donne son sens à la vie pour nombre de personnes, mais bon pour toi c'est un point de détail.
  10. Disons que c'est une affaire de valeurs fondamentales avant tout.
  11. On pourrait presque penser qu tu commences à comprendre quelque chose.
  12. Je ne sais pas si c'est l'eugénisme ou autre chose mais l'idée de pouvoir se débarrasser des plus faibles ou coûteux, oui ça y ressemble et comme toujours au nom de la compassion, liberté, bons sentiments et autres conneries du genre faisant office de vaseline pour faire accepter l'idée qu'une vie humaine serait jetable.
  13. Désolé de te le dire mais tu lis mal, très mal même. Plus ça va plus je commence à me dire que le sophisme de la pente glissante n'est pas un sophisme du tout.
  14. Alors que toi tu t'en débarrasserais. C'est à se demander pourquoi en vient encore en aide au personne en train de se suicider, c'est leurs décisions. Putain quand je pense qu'il faut une période obscurantiste où l'on jugeais justement pas que toute décision concernant sa propre personne était légitime ou rationnel, particulièrement lorsque mentalement atteint. La fin de vie c'est un autre cas de figure que la dépression banane.
  15. Bien sûr car je suis un gros sadique, ou alors je n'abandonnerais jamais à la sortir de sa souffrance et je partagerais cette dernière tant que celle-ci ne sera pas partie. Je vais éviter d'être aussi cynique à ton encontre en te posant une question du type «Et toi tu aurai préféré t’en débarrasser?», parce que la présente question que tu adresses à ma petite personne est du même niveau.
  16. Une précaution. J'imagine si ma fille devenue majeure subissait un traumatisme de ce genre voulait se suicider, que les autorités donnent le feu vert tout en sachant que son violeur sera bientôt en liberté. Cette dystopie est des plus réussit.
  17. Effectivement je n'avais jamais entendu parler du suicide. Enfin si un peu, j'ai même eu vent d'une époque sombre et obscurantiste où l'on empêchait les suicidaires de passer à l'acte, qu'on leur portait secours quand ils passaient à l'acte et plus ignoble encore où on s'opposait à leur libre choix en cherchant par tous les moyens à contrer leurs envies et pulsions suicidaires. C'est claire, empêcher des personnes en détresse de se suicider c'est immonde. On va bien finir par les fabriquer ces kits d'aides au suicide à prix discounts en vente chez Aldi et Lidl. C'est clair, aujourd'hui on a même des gens qui envisagent que le coupable assiste à l'exécution l'euthanasie de sa victime. Et ne serait-ce qu'y voir une inversion des valeurs les plus fondamentales c'est d'extrême-droite. On ne doit jamais arrêter de dissuader un innocent à vouloir mettre fin à ses jours. À la base l'euthanasie était présenté comme étant une solution de dernier recours pour des gens en fin de vie vivant de terribles souffrances physiques, ou des handicapes physiques extrêmement lourds. Il n'était jamais envisagé de butter des gens simplement parce que dépressifs sur une longue durée. Reconnait au moins que je ne suis donc pas raciste!
  18. Butter les suicidaires c'est le progrès, et si vous êtes contre vous êtes d'extrême-droite.
  19. J'ai lu, et c'est sûr c'est moins cher de la butter plutôt que d'en prendre soin de manière approprié. C'est le progrès, et encore une fois si vous êtes contre le fait de butter les dépressifs et autres victimes, vous êtes d'extrême droite. Et si vous êtes pour butter les coupables de crimes graves vous êtes encore plus d'extrême droite.
  20. Le violeur assistant à la mise-à-mort de sa victime. J'espère qu'on lui proposera du popcorn pour qu'il profite un maximum du spectacle.
  21. L'auteur ne fera ou n'a fait que quelques années de taule. En revanche on va butter la victime. Heureusement qu'on a aboli la peine de mort. C'est beau le progrès.
  22. Refuser d'euthanasier les dépressifs c'est d'extrême-droite.
  23. Je résume Pierre Palmade détruit la vie de toute une famille en agissant comme une merde débauchée et irresponsable et il y a encore d'immondes abrutis finis à la pisse pour venir dire que c'est lui la victime parcqu'il est riche? Mais putain mes amis Français il va vraiment falloir penser à la ressortir cette guillotine.
  24. Libye, vente d'Alstom, commandement intégré de l'OTAN, McKinsey, etc, etc... on va pas tout développer tellement c'est long.
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