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Je ne vois non plus pas pourquoi vous parlez de cela à Hussard Noir, celui-ci n'ayant pas défendu l'idée de race pure et de la nécessité de maintenir la race pure de tout mélange!
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Euh oui et alors? Comme je l'ai déjà dit dans ce précédent message la notion de «race», on ne sait simplement plus quoi en foutre au regards des divers mélanges qui ont ponctué notre histoire évolutive récente, et je ne parle pas que des mélanges avec les Néandertaliens ou la lignée de l'Homme de Denisova mais également des multiples mélanges bien plus récents qui ont suivit l'expansion de l'homme moderne à partir de l'Afrique et du Moyen-Orient. Concernant Flores rien de concluant à ce jour, sans pour autant l'exclure totalement, le problème étant également que l'on ignore la statut exact de l'homme de Flores. Sinon quelqu'un ici nie les très probables cas de métissages passé avec les Néandertaliens ou des représentant humains affilié à l'Homme de Denisova? Il ne me semble pas. Mais de quoi tu causes ici, oui l'humanité est unique et diversifié à la fois, ce n'est pas de la bienpensance c'est un fait! Même espèce, polymorphisme génétique dont une partie varie géographiquement mais répartie en mosaïque témoignant de flux de gènes conséquents entre les continents, c'est un fait! Et tout cela sans nier la diversité génétique humaine ou les variations géographiques donc il est où le problème?
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Si jamais je rappelle à tous ma précédente mis-au-point pour ceux que cela pourrait intéresser! Aller salutations à tous je m'en vais bosser!
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Techniquement nous sommes tous des bâtards! :D
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Va falloir qu'on m'explique ce qu'on entends par «grandes differences», ou mieux dit à partir de quand a-t-on de «grandes différences génétiques» entre populations, pour information les différentes populations de chimpanzés sont davantage différenciées que les différentes populations humaines, quand à la comparaison avec les races de chiens c'est vraiment sans commune mesure, comprenez par-là que les différentes races de chiens sont bien plus différentes entre-elles que ne sont les différentes populations humaines. Mais bon pour les chiens cela s'explique par leur origine via la sélection artificielle c'est-à-dire avec la pratique d'une forte endogamie. Bref c'est assez arbitraire de parler de «grandesdifferences» au sein de l'espèce humaine mais bon c'est également arbitraire de parler de «petites differences» je te l'accorde. Mais donc à ce que l'on sait aujourd'hui en terme de diversité génétique l'espèce humaine ne semble pas extraordinairement diversifiées tout en ayant un polymorphisme génétique appréciable. Ensuite concernant la question de classifications raciales que l'on pourrait effectué à partir de ce polymorphisme génétique, des différences de fréquences alléliques et des différences phénotypiques entre populations.....oui on peut s'amuser à le faire, on peut définir une multitude «races», comprenez de populations, le mot «populations» tel qu'on l'emploie en génétique des populations! Mais bon va falloir remettre en cause de sacrées préconceptions en matière de classifications raciales, la «race noire» même en se limitant aux seules noirs africains, va en prendre un sacrée coup et il apparaîtra vite que les classifications raciales sont vachement limitées voir même boiteuses et donc franchement inutiles tant les ascendances sont mixtes (y compris au sein de «groupes raciaux» que l'on croyait pourtant relativement «pures») tant ces classifications raciales masquent des pans importants de notre diversité génétique et donc de notre histoire évolutive récente. Bref la notion de «races» est vieux jeu, tout au plus les classifications «raciales» sont de représentations très inexacts et caricaturales de la diversité réelle de l'espèce humaine et de la répartition géographique de cette dernière! Dernier point il ne s'agit pas de 6% à 7 % de différences avec les personnes d'origine africaines, mais de 6% à 7% de contribution d'origine Néandertalienne, donc de 6% à 7% du génome d'origine Néandertalienne. Mais cela ne signifie pas qu'il y a 6% à 7% de différences génétique entre africains et européens, pourquoi? Parce que Neandertal était similaire à nous-même à plus de 99% (bon notons que pour les pourcentages cela dépends aussi si l'on prend on compte les différence dans le nombre de copies de séquences identiques). Idem pour l'ADN affilié à la lignée de l'Homme de Denisova présent chez les Mélanésiens actuels. Il y a certainement une certaine homogénéité chez l'espèce humaine (homogénéité plus forte que chez les chimpanzés pourtant bien moins nombreux), il y a aussi une diversité au sein de l'espèce humaine, la première ne s'opposant pas à la seconde ! Mwouais ça il faut s'en méfier comme de la peste bubonique, car l'ethnicité, comprenez les classifications grossière des individus dans des regroupement appelées «races», à se sacrée limites pouvant induire en erreur en cas de traitement médicamenteux. Car certes il existe des différences de fréquences alléliques d'une population à l'autre mais donc ce n'est pas parce que tel allèle favorisant telle réaction pour telles médicament est présent au sein d'une population que cela est le cas pour tous les individus de la dite population, la médecine raciale préconisée par certains étant des plus boiteuse au regard du polymorphisme des différentes populations humaines! Individual Genomes Instead of Race for Personalized Medicine Disons plutôt des méthodes pour déterminer l'ascendance géographique ou leur affiliation avec des populations particulière, l'ethnicité n'étant pas inscrit à proprement parler dans le gène, on m'apprendrait que j'ai une grande affinité avec les juifs ashkénazes que je ne me sentirais pas pour autant appartenir à cette communauté! Mais certes déterminer nos ascendances, généralement mixtes, est possible à partir du moment que nous avons des différences de fréquences alléliques, même modestes, mais pour un nombre suffisamment important de séquences d'ADN alors nous pouvons retracer nos ascendances respectives. Mais de là à y voir une validation des classifications raciales il y a une sacrée marge!
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Eugene Terre'Blanche: 2 ans après...
uno a répondu à un(e) sujet de Mark-Beaubien dans International
Pas tant que ça puisque tu as mécaniquement pensé qu'il parlait des noirs dans leur ensemble! Et ne me fait pas croire que c'est à cause de la lettre «u» manquante (omission très commune qui plus est), une faute aussi commune n'explique pas comment tu n'a pas pu penser au coloured alors qu'il s'agit précisément d'un sujet sur l'Afrique du Sud! Il faut dire qu'on ne parlait pas depuis longtemps. Du temps de l'apartheid la violence était déjà présente dans les Townships et autres zones habitées par des non-blancs, la misère et l'anomie sociale de ces populations en Afrique du Sud avec donc une violence extrême qu'il s'agit de crimes crapuleux, racistes ou simplement gratuits, n'est pas apparue du jour au lendemain suite à la fin de l'apartheid! Celle-ci a construit cette anomie sociale au sein de ces populations, seulement à l'époque cette violence n'était pas recensée, le gouvernement Sud-Africain d'alors s'en fichait du moment que cela ne concernait pas les zones où vivaient les blancs. L'anomie sociale de l'Afrique du Sud s'enracine dans son histoire récente! Pour autant je ne soutiens pas le programme de discrimination positive mise en place par le gouvernement Sud-Africain, celui-ci aurait mieux fait de lancer un important programme de formation des populations noires, cela aurait été un bien meilleur moyen de corriger les affres de l'apartheid! -
Eugene Terre'Blanche: 2 ans après...
uno a répondu à un(e) sujet de Mark-Beaubien dans International
Renseigne-toi un minimum par «colored» je pense que Dinosaure Marin parlait des Coloured, terme désignant une populations aux ascendances plurielles (européennes, noire africaine, khoisan, indienne, etc, etc.....) et qui est souvent considéré comme une «ethnie» à part entière c'est-à-dire différentes des noirs et blancs! Famille de «coloured» -
Oui mais en ajoutant que nous avons plusieurs dizaines de nouvelles mutations à chaque génération (donc chez chaque individus), que la sélection naturelle est omniprésente et que tout changement environnementale (climatique, arrivée d'une espèce invasive, nouvelle maladie infectieuse, etc, etc.....) représente donc un changement en matière de sélection, et enfin que la simple dérive génétique, même si aléatoire, suffit à elle seule à faire diverger les populations! Donc oui l'évolution est aléatoire mais elle est également contrainte et cela de deux façon, d'une part par le déterminisme sélectif et d'autre part par ce que certains appellent les «contraintes structurales», voir aussi l'Épistasie et la Pléiotropie, celles-ci pouvant contraindre l'évolution tout comme d'avantage «ouvrir la voie» vers certaines innovations et/ou adaptations que vers d'autres! Donc si, l'evolution est due au hasard. De meme que gagner au lotto est due au hasard, meme si il existe un mechanisme logique qui n'est pas aleatoire qui choisi le gagnant. Exprime-toi mieux ce que tu dis est pour le moins décousue. Mais soit si je te présente ce crâne que voici, peux-tu me dire si il s'agit d'un de tes ancêtres? Oui, non? En revanche peux-tu me dire si tu es apparenté, donc partageant des ancêtres communs, avec l'individu auquel appartient ce crâne? Oui! Enfin sauf à remettre en cause l'apparentement des divers êtres humains malgré tout ce que nous savons de leur modes de reproduction, ainsi qu'en matière hérédité et de génétique! C'est pareil avec n'importe quel ossement fossilisé voir même «espèce fossile», qui même si stratigraphiquement et morphologiquement est un ancêtre potentiel ne peut-être considéré avec certitude comme étant un ancêtre véritable. Mais donc si l'on pose la théorie de l'évolution au fil du temps et que l'homme descend d'animaux que nous qualifierions de singes c'est-à-dire de primates n'ayant pas les caractéristiques propres à l'homme modernes, nous devrions retrouvé des fossiles d'espèces présentant des caractéristiques intermédiaires à ce que nous qualifierions d'une primate non-humains ou «singes» et des hommes véritables. Et mieux on ne devrait pas les trouver dans n'importe quel strate, si tu me trouve les restes humains dans les mêmes strates que celles de dinosaures non-aviens, mes félicitations là tu aurais réellement trouvé un os dans la théorie de l'évolution! Attends voir tu penses que la disparition de lignées humaines tels que Homo erectus avec en parallèle la survit de la lignée des Bonobos et des Chimpanzés, est un problème pour la théorie de l'évolution parce qu'une espèce plus intelligente comme Homo erectus aurait forcément du survivre si le chimpanzé pourtant moins intelligent y est parvenu? Quid du fait que Homo erectus occupait alors peut-être des milieux différents, étaient en compétition avec les représentants de notre lignée là où les ancêtres des chimpanzés s'étaient réfugiés dans d'autres milieux? Quid donc du fait que l'évolution n'est pas une ligne vers un progrès qui serait forcément synonyme d'une plus grande intelligence? Amusant! Pourquoi avons-nous de l'empathie pour nos semblables donc? Simplement parce que celle-ci découle de notre capacité à socialiser et à se mettre à la place de l'autre, cela amenant à des réflexions et cela allant de pair avec notre disposition à socialiser! Les mise en place de code moraux découlant à la fois de cette empathie et de cette disposition à socialiser + encore celle à tenir des raisonnement complexe et philosopher, nous entrons-là dans le domaine de la culture. Mais peut-être espères-tu une approche ultra-réductionniste c'est-à-dire quel avantage génétiquement aurions-nous d'aider les faibles? Hélas la question n'est donc pas pertinente en ces termes car si l'empathie et la capacité à socialiser ainsi que celle à raisonner ont toutes pu représenter des avantages adaptatifs, ce qui découlent de l'interaction complexe de celles-ci, notamment en terme de construction culturelles et donc de visions du monde, y compris en matière d'idéologie politique, n'est pas du ressort des gènes ni même directement lié à l'adaptation biologique. Par exemple éthiquement certains pourraient considéré comme souhaitables d'éliminer les faibles ou de lapider une femmes adultère, cela ne découlant non-plus pas de nos gènes mais de complexes construction sociales, culturelles et politiques qu'un individu incorpore donc via son éducation, sa socialisation et son donc son parcours de vie!
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Facile, je te présente le dinosaure à plumes Anchiornis huxleyi. Pas vraiment une aile mais plutôt une patte pouvant faire office d'aile. Pas d'étape intermédiaire une mutation est un changement dans les séquences de nucléotides de l'ADN apparaissant lors de la réplication de l'ADN. Lorsque pareils changement se produisent dans les cellules germinales (celles aboutissant aux ovules et aux spermatozoïdes) alors l'individus issus de la fécondation de ces cellules sera porteurs de mutations, c'est-à-dire de particularités génétiques que n'avaient pas ses parents. D'ailleurs nous sommes tous des mutants puisque chaque bébé humain naît avec plusieurs dizaines de nouvelles mutations génétiques. Compliqué à expliquer en quelques lignes. Commence par la page wikipédia consacrée à l'évolution de l'œil ensuite tu pourras approfondir via quelques sources. Mais je pense qu'il faudra également que tu te renseigne en matière de génétique des populations.
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Pas raciste mais faisant simplement une comparaison non-pertinente (voir la partie de mon message précédent où je parle du cas des races d'animaux domestiques).
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Je pense qu’il est nécessaire de préciser certains points, car il ne suffit pas de dire que les «races» n’existent pas et qu’il n’y a qu’une seule espèce humaine pour contredire une personne croyant réellement que les «races» existent. Car cette personne, tout comme moi-même, te répliquera que bien sûr il n’y a qu’une seule espèce humaine mais au sein de l’espèce humaines il y a plusieurs races humaines parce que la notion de «race» décris une subdivision au sein d’une espèce. D’ailleurs le mot «race» est polysémique c’est-à-dire qu’il peut définir des subdivisions très différentes ainsi on parlait de «race» pour parler d’une lignée familiale. Dans un autre cas de figure le mot « race» est employé pour décrire les variétés d’animaux d’élevage obtenus par une intense sélection artificielle. Le cas des races de chiens est illustratif, très grande homogénéité génétique et morphologique des individus d’une même race, les races étant définit selon des standards très stricts via notamment l’usage du pédigrée. Cette dernière définition du mot «race» étant communément admise dans la langue de Molière et si on limitait le mot «race» à ce cas de figure on pourrait dire que les «races» n’existent pas au sein de l’espèce humaine car la distribution de la diversité génétique au sein de notre espèce est fort différente de ce qu’on observe chez des animaux d’élevage comme les chiens. Mais donc le mot «race» est généralement employer dans un sens plus trivial pour décrire des populations ayant des différences phénotypiques visibles, en général, on classe alors les individus dans des « boîtes» de type «race noire», «race blanche», «race jaune», etc, etc….. Ces classifications ne sont pas scientifiques mais avant tout sociales. Elles sont certes pour bases des variations phénotypiques réelles entre populations mais elles ne retranscrivent pas correctement la variabilité réelle de notre espèce et cela même si pendant longtemps ces classifications avaient des prétentions d’objectivité scientifiques. Cependant attention ces constructions sociales, donc ces «races» socialement définis existent réellement dans nos sociétés! C’est-à-dire qu’elles existent socialement, à partir du moment que l’on catégorise en fonction de la couleur de peau et que les individus catégorisés s’identifie en tant que communauté sociale et culturelle nous avons bel et bien des «races» au sens social du terme. Ainsi les noirs américains ont une identité sociale et culturelle, se définissent souvent eux-mêmes comme étant une communauté raciale à part entière. Ainsi les «races» ainsi définis faute d’être une réalité biologique représentent bel et bien une réalité psychosociale. Dernier point le mot «race» est parfois également utilisé comme simple synonyme du terme «population» tel qu’il est employé en génétique. Ainsi d’une région géographique à l’autre nous avons des différences en matière de fréquences allélique et de caractéristiques phénotypiques, nous avons donc différentes populations que nous pouvons définir selon ces derniers critères. Alors bien sûr si l’on fait l’équivalence entre race et population, les races existent puisque les populations existent. Mais alors on peut définir des milliers de races différentes dont les classifications ne correspondront pas au «races» communément définis. Vouloir faire du terme «race» l’équivalent du terme «population» n’amenant pas grand-chose et ne validant pas la notion de «race» tel qu’on l’entend généralement. Alors conclusion les «races humaines» existent socialement et/ou en fonction de ce qu’on entend par le mot «race». Mais biologiquement l’idée d’une classification pertinente sur le plan scientifique de l’humanité en trois ou cinq grandes races est pour le moins désuet et dans tous les cas nous pouvons oublier l’idée qu’il existe des «races d’hommes» comme il existe des races de chiens.
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Bon on va faire simple tout d'abord un dendrogramme illustrant la phylogénie des grands clades de mammifères. Source du dendogramme: Impacts of the Cretaceous Terrestrial Revolution and KPg Extinction on Mammal Diversification Dendrogramme susceptibles de quelques possibles corrections et/ou précisions mais demeurant globalement pertinent, notons le clade des Canidae c'est-à-dire des Canidés comprenant le Loup à savoir Canis lupus, notons le clade des Hominidae c'est-à-dire des Hominidés comprenant l'être humain à savoir Homo sapiens. Bien maintenant prenons un dendrogramme illustrant la phylogénie des Canidés: Source du dendogramme: Genome sequence, comparative analysis and haplotype structure of the domestic dog L'espèce Canis lupus réunissant le loup (ici «Grey wolf») et les chiens domestique (ici «Dog»). Et maintenant un dendrogramme illustrant la phylogénie des Hominidés au sein du clade des primates: Source du dendogramme: Comparative Primate Genomics. Les hominidés étant ici, le gorille, l'homme et le chimpanzés et l'Orang-outan. Le présent dondogramme comprenant d'autres espèces de primates n'appartenant pas au clade des hominidés notons que le clade des hominidés comprend les hominidés ainsi que les gibbons. Eh bien tout baigne! Même manière de classifier le loup que l'espèce humaine, c'est-y pas mignon? Alors qu'y a-t-il de si flagrant à part le fait que naturellement ces deux espèces n'appartiennent pas exactement aux même clades tout en appartenant cependant tous les deux au clades des mammifères placentaires? Mon égo pathologiquement surdimensionné se réjouit d'avance de ta réponse!
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Tu n'as rien donné du tout comme exemple tu n'a fais que me poser la question suivante: Prenons un exemple, comparez la classification de l'espèce Canis lupus (le loup) avec l'espèce Homo sapiens (notre espèce). Ne remarquez-vous pas une différence très flagrante? J'attends toujours que tu dis à tout le monde ce quelle est la chose flagrante qui devrait sauter aux yeux de tout le monde!
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Tu n'as donné aucun argument, tu te contentes d'affirmations gratuites reposant sur strictement que dalle. Quand à ta question sur Canis lupus comparé à Homo sapiens j'attends toujours que tu précise ta pensée avec si possible une référence à l'appuie. Bref j'attends toujours que tu sorte la tête de ton culs pour enfin te décider à amener de véritables arguments à la discussion et non pas des pleurnicheries sur comment on est agressifs avec ta petite personne.
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Qu'est-ce que tu baragouines encore? Soit gentil arrête ce genre de délire et tâche d'amener un peu de substance à tes prochaines interventions!
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Hein quoi? Tu as dis quelque chose? Ben voyons si tu le dis! Mais bon en parlant de débats sur la classifications d'Homo sapiens et de ces plus proches cousins voilà de quoi potasser sur la question! Insights into hominid evolution from the gorilla genome sequence Ben oui les deux espèces bien qu'appartenant à l'embranchement des mammifères placentaires ne sont pas les mêmes. Mais aller vas-y explique ce qui cloche selon toi dans les classifications respectives de ces deux espèces j'en salive d'avance!
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Bon Dieu ne pas avaler tes assertions clownesques et gratuites serait donc du pinaillage, on en apprend tous les jours! Et après tu pleurniches en affirmant que les autres caricatures tes propos! Bullshit! Si les biologie était épargné par la critique, n'était pas soumises aux remises en question qui incombe à tout discipline scientifique il n'y aurait pas eu d'aussi formidables avancées au sein de cette discipline. D'ailleurs prenons la théorie de l'évolution, la remise en question de l'approche exclusivement adaptationnistes, la théorie de l'évolution neutre, les critiques formulées par la cladistique et j'en passe, mais non aucune critique dans les sciences biologiques! Par conséquent, les biologistes se remettent peu en questions, leurs expériences sont parfoit très légères voire menées dans des circonstances plus ou moins douteuses -- je ne sais pas si vous avez suivi les affaires récurrentes de chiffres faux dans cette discipline. Non c'est vrai les pauvres psychologues reçoivent plein de critiques alors que les gentils biologistes peuvent débiter n'importe quoi sans être inquiété! Et après tu vas dire que je caricature! Sérieusement mon cher des conneries on en trouve aussi bien en biologie qu'en psychologie et les critiques fusent dans chacune de ces disciplines. Et crois-moi si tu veux de la merde issue de psychologues j'ai quelques exemples bien illustratifs en tête. Aussi je te laisse ravaler ta connerie selon laquelle la biologie serait une discipline épargnée par les critiques! Ce seul passage prouve que tu est à côté de la plaque! Cela fait déjà depuis longtemps que l'homme n'est pas placé au-dessus des autres espèces par les biologistes, tu as bientôt 100 ans de retard mon cher, la théorie synthétique de l'évolution puis la cladistique étant passé par-là. Voici un sympathique documentaire qui devrait t'éclairer sur la question! C'est trop long pour toi alors regarde cette vidéo pendant environ 5 minutes, cela devrait te faire comprendre le caractère pour le moins à côté de la plaque de tes propos! Tu viendras donner des leçons en matière de question de fonds quand tu auras acquis un minimum de connaissance sur les disciplines que tu prétends critiquer cr jusqu'ici ce n'est pas le cas tout ce que tu fais est de démontrer la validité de l'Effet Dunning-Kruger, comme quoi je reconnais moi aussi les apports de la psychologie!
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Non mon chéri je prends tes conneries au mot ni plus ni moins car tu as biens dit que «la théorie de l’évolution posent problèmes aux sociologues» avant de parler «d'antibiologistes»...Maintenant tu dis une «une grande partie» difficile de faire plus vague et donc au final parler pour ne rien dire! Quelle frange et de quoi parles-tu concrètement? Si tu veux des gogols qui parlent de l'être humain comme étant «à part» va voir du côté des créationnistes. Si tu parles du rejets de certaines théories ultra-biodéterministes, comme celles voulant expliquer la stratification sociale comme étant d'origine essentiellement génétique, sache que tu n'y trouveras pas que des sociologues mais également des biologistes. Si maintenant tu parles de sociologues qui pensent réellement que les comportements humain n'ont aucun rapport avec la biologie de notre espèce et bien amène des sources fiables confirmant qu'un frange très importante de sociologues ou mieux une majorité de sociologues adhèrent à pareilles choses. Sinon tes présentes interventions resteront ce qu'elles sont à savoir totalement creuses et totalement sans intérêt!
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Bullshit! Et encore je suis gentil vis-à-vis de cette affirmation parfaitement gratuite de ta part sachant que les sciences biologiques ont concrètement des échanges avec la chimie et même la physique. Le truc c'est que tu n'envisage pas que l'ultra-réductionnisme prêcher par certains et/ou les propos de certains physiciens sur les sciences biologiques puissent être de sacrées conneries, choses face auxquelles il est normal que les biologistes s'opposent. Bullshit! Tes délires imaginatifs valent ce qu'ils valent à savoir que dalle! Répéter les mêmes conneries en boucle ne rendront pas celles-ci plus vrai mon chéri! Apparemment tu confonds refus de toute échange interdisciplinaire avec refus de laisser des clowns d'autres disciplines venir dire n'importe quoi sur sa propre discipline! Bullshit! Dire que les sociologues rejettent tout déterministe biologiste c'est aussi débile et fallacieux que d'affirmer que tous les biologistes rejettent l'importance majeure des déterminismes culturels et sociaux. Bullshit! Les sociologues ne nient pas l'apport des sciences biologiques en matière de comportement humains. Comme avec la biologie et la physique, il existe un continuum, sociologie => psychologie sociale et anthropologie => biologie du comportement => biologie! Les sociologues n'adhèrent pas, sauf exceptions, à un structuralisme social tout puissant façonnant entièrement les individus, les théories actionnistes et interactionnistes donnant une place prépondérantes aux acteurs sociaux, individus compris, le démontre bien. Il y a aussi l'anthropologie culturelle et sociale qui dépasse les paradigmes sociologiques (généralement concentrées à comprendre la dynamiques des société modernes). Mais les sociologues ou anthropologues culturels et sociaux ne s'opposent pas à l'idée que les caractéristiques comportementales de l'être humain, allant de l'égo à satisfaire aux besoins sexuelles et j'en passe, trouvent leurs racines dans la biologie. Mais si bien sûr par «antibiologistes» tu entends dénoncer un réductionnisme biologique et génétique extrême pour expliquer des phénomènes culturels et sociaux complexes prôner par une minorité de biologistes alors autant dire que tu es à côté de la plaque, autant à côté de la plaque que le fait de penser que s'opposer à un réductionnisme extrême en biologie revient à être un méchant pas beau dogmaticien!
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Le problème n'est pas que la physique quantique ait des applications et/ou fournit des modèles pour comprendre certaines caractéristiques du vivants, les principes de la physique pouvant se manifester au niveau biologique. Le problème est de s'imaginer que ces pont interdisciplinaires, constituant certes en eux-mêmes de nouvelles branches, permettront au final de synthétiser des phénomènes aussi vastes, multifactoriels et complexes, tels que la biologie de l'évolution en un seul algorithme. Bref le problème c'est de déduire que l'on va vers des modèles ultra-réductionnistes. À ce titre lorsque l'on se renseigne sur la biologie quantique il n'est pas question de pareille chose! Bon Dieu les biologistes tenteraient de «purifier» leur discipline de la physique carrément! Il ne faut pas confondre refus d'intrusions et ponts interdisciplinaires. Il est claire que la bouffon physicien qui déblatère n'importe quoi en disant que la théorie de l'évolution c'est caca alors qu'il ne maitrise pas le sujet on le rejette à juste titre. Il va de soit que la bouffon biologiste qui va dire au sociologue que leur discipline c'est n'importe quoi parce que la stratification sociale ou les inégalités ethniques c'est du aux gènes, on va aussi l'envoyer chier!
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Comme déjà dit l'ultra-réductionnisme que tu préconise-là est hors-propos pour des raisons que j'ai déjà précisé plus haut. L'idée d'un ultra-réductionnisme qui permettrait de découvrir un algorithme qui expliquerait l'évolution est un fantasme ignorant le caractère multifactoriel avec de multiples propriété émergentes, caractérisant l'évolution du vivant. Il n'évite pas ce n'est simplement pas son domaine d'étude, de la même manière je m'attends pas à voir un physicien spécialisé dans la physique quantique parler de génétique des populations car souvent quand ils le font c'est pour dire n'importe quoi!
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Il est clair qu'avant de se référer à de simples arguments d'autorité il faudrait au moins connaître un minimum la thématique abordée!
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On a déjà des «règles simples» tu peux à ce titre te renseigner sur les modèles mathéamtiques utilisés en génétique des populations. Mais bien évidemment l'évolution ne peut pas être un simple, l'évolution des être vivants ne peut pas se réduire à un algorithme informatique car l'évolution est tributaire de multiples facteurs indépendant les uns des autres et contingents, si bien que l'évolution est donc contingente. Cela ne veut pas dire que l'on ne peut pas mettre en avant des contraintes structurales, mais cela veut simplement dire ici que l'on ne pourra pas comprendre l'évolution via une approche exclusivement réductionniste dans l'espoir de trouver un algorithme informatique modélisant la dite évolution. L'évolution n'étant en réalité que la conséquence de multiples facteurs sur les organismes et populations d'organismes vivant!
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Il a le cerveau calcifié oui! C'est amusant de lire «l'évolution biologique par sélection naturelle conçue par Darwin» encore et toujours comme si la théorie de l'évolution était resté figée depuis Charles Robert Darwin!
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Bullshit! Il n'y a pas besoin d'être un spécialiste de l'atome ou de la physique quantique pour être un spécialiste en génétique des populations, les relations génotype => phénotype et en biologie de l'évolution. Il n'y a non plus pas besoin d'être un spécialiste de l'atome pour être un bon météorologue, l'ultra-réductionnisme que tu professes-là est totalement hors de propos. Pour le reste les biologistes ont certes réussit à rendre compréhensible bon nombre de «mystères» concernant la vie, aujourd'hui notre connaissance du vivant et énormément plus grande qu'il y a un sicèe, pour autant je ne connais aucun biologiste qui prétends que l'on a tout découvert et qu'il n'y a pas encore d'autres «mystères» à élucider. Les collaborations interdisciplinaires ont lieux il existe des collaborations entre biologiste et chimistes (avec une discipline nommée biochimie) et entre chimistes et physiciens. Il n'y pas de liens simples entre physique de l'atome et biologie de l'évolution, la deuxième discipline travaille certes avec des «objects» (ADN, protéines, acide aminés, cellules, virus, organismes) composés d'atomes qui interagissent, mais qui ne peuvent se comprendre via un réductionnisme extrême. les physiciens puis chimistes établissent les principes et les lois régissant ces composant les objects étudiés par les biologistes, le biologiste étudie les interactions entre ces objets à un niveau au-dessus, avec là aussi des principes et lois. À ce titre les présents propos ci-dessous devraient t'aider à comprendre la chose: «En effet, si l'on constate que les chats sont vivement attirés par les souris, il semble absurde d'en inférer que ce sont les molécules des chats qui sont directement attirées par les molécules des souris. La cause de cet attrait doit donc être cherchée dans l'organisation interne de celles-ci, ou de structures plus complexes encore comme, ici, celles des systèmes nerveux et hormonaux.» Le réductionnisme est un passage obligé en science mais il a également ses limites bienvenue dans le monde merveilleux des propriétés émergentes!
