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Bien entendu, mais hélas, il y a longtemps que les auteurs de science fiction ont abandonné l' idée d'une possible vie éternelle, voire même prolongée de quelques heures, ou minutes par le fait de voyager à la vitesse de la lumière. Quand on veut inventer en la matière, il faut oser sortir des sentiers battus. Mais Répy, raisonne en scientifique, il accumule les objections avec des arguments qui pourraient d'empêcher de tenter de faire ce voyage et donc de disparaître de ce forum, En plus pour bonimenter le dimanche à vanter de la poterie en terre glaise sur les marchés publics, extra galactiques.

Hum ! tu as juste oublié de diviser par G comme tu l'avais écris. Sinon, j'approuve. Il nous embrouille tous ce Blaquière. Je me suis planté. Pardon, tu as raison.

Réfléchis : si ton métabolisme ralentissait avec le temps, alors les décisions que tu prendrais seraient-elles aussi ralenties, car les influx nerveux seraient eux aussi ralentis. Et puis de toutes façons, je ne voulais pas aborder la question parce que la réponse aurait coupé court au rêve. Alors la vérité toute crue est que si tu voyageais à 99.99999999 % de la vitesse de la lumière tu ne te rendrais compte de rien : une seconde pour toi, serait toujours une seconde et 10 années resteraient 10 années. Ta perception du temps local serait exactement le même que celle qu'en ont les autres pékins que tu as laissés sur Terre. J'espère que tu vas vivre et nous amuser encore longtemps, mais si tu étais dans ta fusée, tu ne vivrais pas une seconde de plus que le temps qui t'es imparti. La Loi est dure, mais c'est la Loi. Sauf si tu saute dans le monde des tachyons, là, je serais moins catégorique.

Ne perds pas ton temps avec ce zéro ! : il est nul.

Un peu plus vite que cela pourtant, ton calcul est parfaitement exact mais tu as mis G au dénominateur, alors que tu envisageais de mettre 1.5 G Donc 20373255,72 secondes soit 235 jours.

Ne pars pas, Il y a encore de l'espoir, mais c'est à toi d'inventer la solution pour que cet espoir soit rendu possible : il faut voyager à 100.000000000001 % de la vitesse de la lumière. Alors ton rêve s' accomplira : tu seras dans le monde mystérieux des tachyons. Comme je ne manque pas d' imagination, je pourrais te raconter les choses étranges qui se passent dans ce monde là. La règle fondamentale est très simple elle a été énoncée par l' Albert Einstein local : Rien ne peut aller moins vite que la lumière qui ici voyage à 300 000 km/s. Nul, ne peut s' arrêter ni aller plus vite qu'elle, ici . Conclusion qui a conduit l' Albert en question, directement à l' asile de fous. L' Univers est régit par une courbe de la forme E = Tangente (M.c.c) +kPI) C'est à dire vitesse limite inférieure 0, vitesse limite supérieure 300 000 km/s à k Pi près.

Hélas, c'est pas tout. J'ai oublié le pire. Cette histoire de temps qui s'écoule plus vite ... fais en ton deuil. C'est du pipeau. Et pas besoin d'avoir fait Maths Spe et Math Gene pour savoir cela, les Lois de la logique la plus pure t'imposent cela : tu vieilliras tout seul comme un grand, même si ton vaisseau c'est aplati dans le sens de la marche. Et c'est facile à prouver. Tu voyage à 99.99999999 % de la vitesse de la lumière. Disons, comme ça, au pif, que une seconde pour toi équivaut à 86400 secondes pour les malheureux que tu as abandonnés sur notre si belle petite planète. Soit une journée entière pour eux. A combien bat ton coeur ? Disons à peu près à un coup par seconde, c'est ce qu'il faut à ton organisme pour que le simple fait de respirer et d'oxygéner ton sang s'accomplisse normalement. Crois-tu que de simplement foncer tête baissée dans les étoiles va changer quelque chose sur la façon dont fonctionnent tes poumons ? Tu seras mort étouffé en moins d'une de tes secondes.... Et pire encore, une petite faim te titille les glandes salivaires, et ça tombe bien, avant de partir tu t'es fait une provision de boeuf bourguignon, de cassoulet, de morue au beurre noir et quelques barriques de Vin d'Entre Deux Mers ... Et bien, patiente un peu avant de te régaler. Il te faudra, disons une seconde pour te souvenir de l'endroit où se trouve le garde manger où tu as rangé toutes ces bonnes choses ... au bas mot, une journée. Le temps de mettre les couverts, une bonne quinzaine de jours, entre deux bouchées, au moins cinq jours. Et tout le reste à l'avenant, parce que même si le temps s'écoule moins vite là où tu es, ton organisme lui va fonctionner comme si tu étais resté sur Terre. Tes influx nerveux, le temps pour qu'une molécule traverse une de tes parois intestinale, tes facultés de raisonner et de prendre des décisions, rien n'ira plus vite pour toi, Non, mais t'imagine un peu cà ? Ton transit intestinal va durer plusieurs siècles, t'as intérêt à remplir une armoire des produits manufacturés par les Laboratoires Fuca avant ton départ .... avec de l'huile de Ricin et des pruneaux en plus....

L'ennui dans ton histoire, c'est pas tant d'atteindre la vitesse de 99.99 % de celle de la lumière . Avec une accélération constante de 1 G on y arrive très vite ( t = V/G) mais le problème est que ce ne sont pas les étoiles que tu vises, mais les planètes. Et en voyageant tu vois les étoiles, mais pas leurs planètes ! Ce qui veut dire qu'il te faut un renifleur de planètes, car ce n'est pas facile à trouver. Songe au temps qu'il nous a fallu à nous qui étions sur place, pour trouver Uranus et Neptune, qui sont pourtant de sacrés gros morceaux ! Et puis aussi bien avant d'arriver à proximité d'une étoile, il faut songer à freiner. Et si tu n'aimes pas les accélérations trop rapides, dis toi bien que décélérer n'est pas plus agréable. En clair il te faudra commencer à freiner bien longtemps avant d'être arrivé dans une zone habitable autour d'une étoile. Et là rien ne prouve que tu seras dans le plan de l' écliptique (ce plan dans lequel se meuvent les planètes) Il va falloir que tu observes l'étoile, que tu décèles son axe de rotation et à partir de là trouver ce fameux plan. Bon passons, supposons que tu as une chance incroyable, tu trouves une planète où tu puisses vivre. Bien. Cela veut probablement dire qu'elle a des airs de famille avec la Terre. Tellement d'airs de famille qu'elle est habitée par des gens qui comme nous ont sans doute passé beaucoup de temps à dénicher ce que leur planète avait à leur offrir. Et il y a de bonnes chances que sur leurs marchés, tu trouves des lascars tourneurs d'argiles, qui ne vous verrons, ni toi, ni ta cargaison de poterie d'un très bon oeil. Et quand tu verras sur les murs fleurir des gentillesses du style Blaquière GO HOME ou Blaquière FORA, il sera peut-être trop tard pour réparer les pots cassés.

Ah bon. Parce qu'il y a un fond ? Mais vous vivez d'espoir, mon cher !

Je vois que cette méconnaissance du français qui vous entraîne à poser des questions particulièrement ineptes, n'a d'égal que votre incapacité à admettre que vous puissiez vous tromper dans vos conclusions. Finalement, vous êtes bien à plaindre, savez-vous ? Et ce n'est probablement pas la première fois que vous entendez cela. Pas vrai ?

Affirmation qui montre qu'à l' instart de Lucky Luke, vous réduisez plus vite que votre ombre. Dire qu'une particule n'a ni vitesse, ni position est un raccourci impardonnable, si c'était le cas, le mot même de particule serait banni par les scientifiques. On sait toujours si l'on insiste où se trouve une particule, au même titre que l'on sait exactement à quelle vitesse elle se meut à un instant donné. Si incertitude il y a c'est uniquement à cause des modèles d' Espace utilisés lors de leur études. Il apparaît en effet que l'on ne peut pas définir une position et une vitesse dans un seul et même espace. (en mécanique quantique j'entends) il s'ensuit que si l'on sait où est la particule alors on ne connaît rien de son énergie. Et si l'on peut mesurer cette énergie alors on ne peut plus lui assigner des coordonnées physiques. C'est cela le principe d' indétermination.

@JOSEPH DELETRE J’avoue que je suis un peu largué dans cette discussion qui est sans issue tant que celui qui l’a initiée continuera à vouloir répéter en boucle les termes qu’il a utilisés dans son message initial. Les termes vitesse, fréquence, période, sont supposés connus et admis de tous. Par exemple une roue roule sans glisser sur une route à vitesse constante. A un instant donné, elle roule sur une tache de peinture et à partir de cet instant, elle va laisser sur la route une trace de peinture. Prenons un exemple concret : notre roue a un diamètre de 1000 millimètres, elle fait 2 tours par seconde et roule en ligne droite. On va constater, l’évidence même : il y aura une trace de peinture le long de sa trajectoire, la distance entre deux taches sera de 3141 millimètres et une nouvelle tache apparaîtra toutes les 500 millisecondes. Si en outre la roue longeait un mur vertical, la tache de peinture dessinerait sur ce mur une courbe périodique de forme sinusoïdale, Sa fréquence (F) serait de 2 Hz, sa longueur d’onde (L) de 3141 mm et la vitesse de propagation (V) de 6282 mm/s. F et L sont liés par la relation F.L = V. Vient ensuite une autre définition : la période qui est un simple rapport égal au quotient de L par V , c’est à dire L / V soit l’inverse de V / L. Cette quantité a ce que l’on appelle la dimension d’ un temps. Elle s’exprime donc comme une durée. C’est le temps mis par la roue pour retrouver la même position qu’elle avait à la précédente Période. Dans le cas de notre roue, la Période vaut 500 ms C’est tout. Maintenant un petit effort : imaginez que nous décidions d’ appeler notre roue un photon. Pourquoi pas direz-vous, puisque vous êtes tout disposés à l’ appeler Firestone ou Kleber Colomb… La question que je pose à JOSEPH DELEBRE est celle ci : As-t-on le droit de dire qu’ une roue n’est qu’un certain multiple de périodes ondulatoire. Avoues tout de même que formulée ainsi, la question semble étrange. Et mieux même, est-ce que cette question a un sens si l’on suppose qu’elle a été formulée en Français. Comme tu es l'initiateur du post, je te prie de bien vouloir corriger son expression. Merci

C'est là que vous faites erreur. Fréquence et période sont liées par la relation Fréquence multipliée par Longueur d'onde = Vitesse de déplacement. Dans le cas d'une corde vibrante la vitesse de déplacement est une fonction de la masse du matériau constituant la corde, de sa densité, de son module de Young sans doute et température et de bien d'autres choses encore. Mais c'est modélisable. Ainsi un son à mille hertz dans l'air à une longueur d'onde liée à la densité de l'air dans lequel le son se propage. Disons par exemple V = 330 m/s Si F est la fréquence et P la période on a toujours V= F.P . Mais il faut préciser la nature du milieu.

Pourriez-vous préciser s'il vous plaît? S'il y a onde périodique, il y a fréquence, et si fréquence il y a alors, longueur d'onde il y a aussi . C'est purement élémentaire, et n'importe quel violoniste ou guitariste vous le dira. Une corde qui vibre n'a qu'un très lointain rapport avec un photon. Même si l'équation des cordes vibrantes à un air de famille avec certaines équations de Maxwell.

C'est une obsession chez vous ?

Et s'il rencontre et interagit avec par exemple un atome d' hydrogène, alors, il va perturber cet atome, l'électron de l'atome d' hydrogène va absorber l'énergie du photon et de ce fait changer d' orbite. L'atome d' hydrogène sera alors instable car l'électron aura été déplacé sur une orbite plus basse. Il ne peut y rester et revient à son orbite stable, et ce faisant perd de l' énergie ce qui se traduit par l'émission d'un nouveau photon qui va continuer son chemin ... avec sans doute une fréquence un peu plus basse que celle qui était associée au photon incident.

Bon, Le sujet semble s'éclaircir. Si c'est pour t' écouter, toi, ce serait une perte de temps. Par exemple tu mélanges tout, D'abord, un photon unique , c'est de la lumière et c'est envisageable. Et si tu veux bien admettre cela, alors je te pose une question et une seule. Ce photon isolé, qui voyage dans le vide absolu, sans rien rencontrer sur son chemin, restera toujours assimilable à une onde électro-magnétique et à rien de plus et cela éternellement si l'on ne s' arrête pas au phénomène dit "vieillissement" de la lumière.

Je n'y comprend plus rien, les post semblent répartis sur deux sujets différents . J'avais deux fenètres ouvertes et sur ce sujet et elles semblent indépendantes l'une de l'autre. D'où ce dialogue de sourds.

C'est bien ce que j'ai dit : par diffraction de l'onde associée, pas par la particule qu'on appelle photon.

Comment cela : pas du tout ? Un photon, qui n'interagit pas, est et reste une onde. L'effet Compton n'existe que quand le photon interagit avec quelque chose. Idem pour l' effet photo électrique. Par contre il peut , en tant qu'onde provoquer des diffractions.

Je dis plus simplement que la fréquence est une grandeur continue, et rien d'autre. En particulier dévier vers la mécanique quantique serait = prématuré à ce stade.

Pas du tout : dans e = h.f, on a f la fréquence et cette valeur est un scalaire continu qui donc peut prendre n'importe quelle valeur. Comme h est une constante, on en déduit que e est également continue.... Pas de valeurs discrètes dans cette relation, Ce qui est important c'est de se souvenir cette relation ne fait qu'exprimer l'énergie potentielle du photon quand il voyage sans interférer avec quoi que ce soit, il peut être assimilé à une onde électro-magnétique.. S'il inter-agit avec de la matière, alors il ne faut plus penser à lui comme une onde, mais comme une particule. Et alors, e devient l'énergie transportée par la particule, avec des effets sur la matière fonction de cette énergie.

@Blaquière : le virtuose en matière de carottes, et heureusement de bâtons

@Répy S'il te plaît, ne réponds pas à ce déchet. Ce serait lui faire trop d' honneur.

Mais lis moi de plus près. Je sais que les Johan Strauss sont passés de mode, mais aimer, boire et manger, tout de même, c'est un beau programme, pas vrai ?