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gloubiboulgar

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Tout ce qui a été posté par gloubiboulgar

  1. Il pourrait peut-être songer à s'auto-publier (par exemple sur Amazon ou sur Lulu). Je suggère le titre "Intuitions 'patascientifiques". La rédaction de son Grand Oeuvre devrait l'occuper quelques temps. D'ici là, ça vous fera des vacances. Arf arf arf!
  2. 1°) Personne ne parle ici de téléportation quantique et/ou de clonage quantique. 2°) Le no-cloning theorem interdit le clonage (= copie à l'identique) d'un état quantique inconnu et arbitraire (à des fins téléportatives). 3°) Tu radotes des inepties en cascade sans piger un pet de gallinacée vérolée unijambiste et hydrocéphale de quoi qu'tu causes, comme d'habitude. Toute une éducation à refaire, en supposant que celà soit humainement possible...
  3. Mis à part le fait qu'une cellule est une unité structurelle d'un être vivant sauf lorsqu'il s'agit d'un unicellulaire auquel cas être vivant = unicellulaire, c'est évident. Mais lorsqu'on utilise un terme - ici le vitalisme -, on essaie au moins d'en comprendre le sens et, si possible, l'histoire sous-jacente (sauf si t'as décidé de parler en novlangue, ce qui semble d'ailleurs plus que probable). C'est la moindre des choses. Ce n'est manifestement pas ton cas. Comme d'habitude. Un peu de lecture: Vitalisme (page de Wikipédia*). *: le Wikipédia francophone n'est pas toujours le nec plus ultra (cela dépend des sujets et des domaines), mais il propose en général de bons résumés, voire de bons points de départ. Eh ben, en voila une de belle définition bien nase et bien bancale. Note qu'il n'existe pas (encore) de définition satisfaisante. Ca te laisse encore un peu (juste un peu) de marge. Arf!
  4. Encore une fois, ces deux termes n'ont strictement rien en commun. Le vitalisme - qui a été abattu froidement par Wöhler au début du 19° siècle lorsque celui-ci synthétisa l'urée, un composé organique, et, un peu plus tard, par Pasteur qui brisa les jambes à la prétendue génération spontanée, socle d'une version faible du vitalisme - est une philosophie qui affirme que: 1) la vie n'est pas, même en principe, le fruit de processus physico-chimiques et que 2) il existe une mystérieuse force vitale qui insuffle la vie à la matière (cette force vitale, en vertu du point 1), s'immisce dans la matière sans qu'elle puisse être explicitable en termes scientifiques). L'émergence (qui, en soit, ne veut strictement rien dire: on lui préfère l'acception propriété émergente, moins "totipotente" car associée à la notion de phénomène global sur un ensemble de structures) est telle si i) il n'existe aucune "loi extérieure" aux structures en jeu qui dirige globalement leurs comportement, ii) il n'existe aucune structure qui contrôle explicitement l'ensemble des autres structures et iii) les comportements des structures ne sont gouvernés que par des "lois" locales qui régissent leurs intéractions avec les structures voisines. La notion de propriété émergente s'inscrit donc très clairement dans une démarche scientifique, et non dans une fanfaronnade mystico-à-la-mords-moi-l'noeud comme le feu vitalisme. Y'a, bien entendu, des définitions plus élégantes que celle que je viens de donner, mais elles sont un chouilla plus compliquées à appréhender au premier coup d'oeil. Or donc: saisis-tu la différence, NOUREDDINE2? Si oui, tant mieux. Si non, tant pis. Edité pour corriger une très vilaine faute de frappe.
  5. Le vitalisme n'a strictement rien à voir avec l'émergence, sauf chez les amoindris du bulbe qui sont, malheureusement, légion. En général, ce sont les mêmes qui se gargarisent avec les mots complexité, paradigme, énergie et autres objets-concepts mal digérés (souvent encore vagues et/ou trop techniquement de niche, d'où la foule de débiles profonds qui se les approprient pour dire à peu près n'importe quoi). L'exemple de propriété émergente le plus simple à décrire (en terme de nombres de mots à débiter) est sans doute la fluidité de l'eau. Une molécule d'eau est composée de deux atomes d'hydrogène et d'un atome d'oxygène: H2O. L'ensemble est agglutiné par l'intermédiare de deux liaisons covalentes. Bien qu'H2O soit globalement neutre, H2 forme une zone plutôt chargée positivement et O une zone plutôt chargée négativement. Cette dissymétrie induit une forte polarisation d'H2O qui est alors en mesure d'établir des liaisons électrostatiques avec trois autres H2O. Cette "coopération" entre H2O leur permet de réaliser un réseau tétraédrique dans l'espace. A basse température, les H2O s'écartent les unes des autres et se "plient" à cette structure régulière (tétraédrique) pour créer, justement, des réseaux réguliers: ce sont les cristaux de glace. Lorsque la température augmente, les liaisons électrostatiques ont tendance à disparaître. En conséquence, les H2O s'associent et se dissocient au gré des fluctuations. C'est là - attention, roulements de tambour! -, qu'émerge la propriété de fluidité de l'eau (PFA pour faire court). Aucun des H2O ne possède cette PFA, isn'it. Cette PFA est due au nombre gigantesque (au bas mot) d'intéractions dynamiques produites entre molécules d'H2O. Elle ne se manifeste qu'à une certaine échelle et que sous certaines conditions (échelle et conditions auxquelles nous sommes habitués et que nous trouvons donc d'une banalité déconcertante). Alors, NOUREDDINE2, il est où le vitalisme dans tout ça? Là où je ne peux pas te donner tort - bien que tu n'aies pas dit ce que je m'apprîête à écrire -, c'est dans le fait indéniable que l'idée d'émergence est souvent mise à toutes les sauces dès que les modèles explicatifs "transhiérarchiques" font défaut: on en abuse donc sans aucun doute un chouilla. Pour certains, c'est même fashion, qu'il y ait modèle "transhiérarchique" ou non. Pas grave: le temps finira par séparer le bon grain de l'ivraie. Comme toujours.
  6. Arf arf arf! Puisque tu sembles avoir accès, hélas!, à una connexion internet, je t'invite à te positionner devant ton moteur de recherche préféré et de chercher, justement, les définitions de: 1) nazi, 2) ergothérapie, 3) sel(s) de lithium et 4) loi de Godwin (dans laquelle, cela dit en passant, tu as sombré tout seul, comme un grand, sans l'aide de personne). Ensuite, tu pourrais utiliser tes petits doigts boudinés pour tenter d'expliciter dans un post non-sensique dont toi seul a le secret le rapport que tu sembles établir entre ces quattre termes/expressions. Cela permettra peut-être, dans un premier temps, de mieux cerner la pathologie cognitive qui t'afflige. Puis, dans un deuxième temps, de mieux évaluer la pathologie psychiatrique qui pèse sur ton état de connerie intrinsèque. Alea ejacula est et tutti frutti.
  7. Marrant, à chaque fois que tu poses tes petits doigts délicats sur un clavier pour pondre un post, le résultat ressemble à s'y méprendre à un exercice de pipotronique et/ou de GPCique. La combinatoire du graphe syntaxique utilisé est toutefois assez pauvre. Tout comme le lexique. En conséquence, tout cela est un chouilla trop répétitif. Donc ennuyeux. Une longue séance d'ergothérapie s'impose. Ou, le cas échéant, un petit traitement temporaire à base de sels de lithium.
  8. Non. Je suis Alambic Dieudonné Corydon Talon les jours pairs, et Athanagor Wurlitzer, obsédé sexuel non pratiquant, les jours impairs. Trop aimable. Merci. Si le style est clair, le contenu le devient en général également. Contrairement à ton macramé non-sensique, au mieux teilhard-de-chardien et au pire IDiste bêlant qui ne s'assume pas comme tel, inepte et fuyant. Tes glissements incessants dans l'épistémologie du dimanche - tu t'y vautres d'ailleurs sans aucun talent - ont comme finalité de noyer le poisson de ce (des)sein que l'on ne saurait voir, de faire de la surenchère dans la construction littéraire au détriment de la substantifique moëlle, d'exténuer tes éventuels interlocuteurs (pas tous, malheureusement pour toi) en les obligeant à recadrer cycliquement le débat puis à marteler de façon sisyphienne toujours les mêmes objections de fond et de forme, et, enfin, de dissimuler une méconnaissance abyssale de la biologie évolutive. Il est effectivement infiniment plus aisé de chier du byte sur du vent en masturbant les mots que de faire de la chirurgie de haute précision sur la TdE (ce dont tu es manifestement incapable). Bref, avant de délirer sur je ne sais quels critères épistémologiques abscons et dispersifs, il serait bon de pouvoir décortiquer dans le texte et dans la viande ce que tu prétends mettre en doute. En d'autres termes, si je suis là pour ne rien dire - l'inutilité est parfois une forme d'élégance, voire d'art - , sache que tu me bats à plate couture, à la manière d'un routier bulgare vérolé en coma éthylique.
  9. Au moins. Pas exactement. C'est seulement l'étiquette que l'on peut aisément coller aux manifestations de n'importequoitisme aigu à pistons hydrauliques inverses, comme l'ID ou les soldes à Noël. D'ailleurs, l'étiquette est autosuffisante, car il n'y a que les mous du bulbe pour tenter de mettre sur un pied d'égalité bouffées délirantes et modèles scientifiques. Que je sache, une tronçonneuse n'est pas un toupet, et vice et versa réciproquement. Tant que les IDistes et autres théocrates (qui s'ignorent ou non) ne m'empêchent pas de vivre, de travailler et de penser comme je l'entends - propos transitif -, la vache peut rire à gorge deployée, voire profonde. Simple, isn'it.
  10. Mouaif. Encore de l'astiquage de jonc dispersif. Par contre, la deuxième partie de mon post - la seule qui méritait une once d'attention - a été malencontreusement zapée. Symptomatique. J'insiste pas. Peine perdue. La citation correcte de Galilée dans "Il Saggiatore" (chap. VI) est : "La filosofia è scritta in questo grandissimo libro che continuamente ci sta aperto innanzi a gli occhi (io dico l'universo), ma non si può intendere se prima non s'impara a intender la lingua, e conoscer i caratteri, ne' quali è scritto. Egli è scritto in lingua matematica, e i caratteri son triangoli, cerchi, ed altre figure geometriche, senza i quali mezi è impossibile a intenderne umanamente parola;" c'est-à-dire en français : "La philosophie est écrite dans ce vaste livre constamment ouvert devant nos yeux (je veux dire l'univers), et on ne peut le comprendre si d'abord on n'apprend à connaître la langue et les caractères dans lesquels il est écrit. Or il est écrit en langue mathématique, et ses caractères sont le triangle et le cercle et autres figures géométriques, sans lesquelles il est humainement impossible d'en comprendre un mot;" Marrant, elle ne ressemble en rien à celle que tu lui attribues dans ta signature, ni syntaxiquement, ni sémantiquement. Bref.
  11. Si le penser et l'écrire peut te soulager, no problem. Non. Premièrement tu es trop vague lorsque tu parles de {supériorité, infériorité}. Et quand on est trop vague, on ne dit rien. Deuxièmement, et indépendemment du premièrement, on peut facilement fournir un contre-exemple (qui saute aux yeux sans même qu'on y pense un seul instant) : l'espace (vectoriel) F des fonctions de ℝ dans ℝ. F est de dimension infinie et on peut le munir par exemple de la relation d'ordre < telle que f < g si ∀ x ∈ ℝ f(x) < g(x). (F, <) est ordonné infini. Mais il y a peut-être un malentendu lié au vocabulaire. Or donc, question : que signifie "espaces à une dimension" dans ton quote ? Laisse tomber : c'est une blague. On va pas y passer l'hiver (dans l'hémisphère nord), isn'it. Et alors ? Et alors ? Dimensions ? Bref. Rebelote. Et bref final. Marrant que tu essaies cycliquement de te référer à des objets mathématiques - manifestement non maîtrisés et, quoi qu'il en soit, très très mal digérés - en croyant ainsi donner un semblant de rigueur, de respectabilité et de profondeur à ton blabla prout-proutien, aka à tes idées & propos quelque peu confus, méchamment approximatifs, souvent à-coté-de-la-plaquistes et sans doute informes. C'en est aussi ridicule que grotesque. Pour ton bonheur et celui de quelques lecteurs, tu devrais peut-être soit cesser de t'astiquer le gland pinéal avec du papier de verre, soit potasser un peu plus avant de poser frénétiquement tes doigts sur un clavier. Et lire aussi, peut-être, le très beau livre "Prodiges et vertiges de l'analogie" de l'excellent Bouveresse. La classification du vivant étant à peu de choses près un des sujets de cette enfilade et de ton post en particulier, si tu veux te faire une petite idée d'une voie intéressante et assez récente en phylogénétique "mathématisée", tape "tropical algebraic geometry + phylogenetic trees" dans ton moteur de recherche préféré (note à benet : j'aime bien, par exemple, le résumé qu'en avait fait Bocci (pdf)). Lis ensuite toutes tes petites trouvailles internettiennes avec avidité mais sans précipitation. Ca nous fera des vacances. La TdE est un modèle (scientifique), comme n'importe quel autre modèle (scientifique). Et comme n'importe quel autre modèle (scientifique), la TdE a "substanciellement" des lacunes et des faiblesses. Le propre d'un modèle (scientifique) est d'être une construction collective (intersubjective) temporaire la plus factuelle possible, un work in progress constant et exigeant, qui vise à fournir un cadre explicatif - au sens large du terme - satisfaisant (= le plus en adéquation avec les faits et avec les parties "antérieures" les plus solides dudit modèle) au temps t. Banal, mais peut-être pas inutile de le redire. La TdE utilise en outre des méthodes et des outils qui vont de la paléontologie à la biologie moléculaire, en passant par la morphogenèse (biologique), la géologie, la biochimie ou la bioinformatique, j'en passe et des meilleures. Il en résulte un modèle cohérent et une grille de lecture très efficace. La TdE n'est pas la chromodynamique quantique. C'est un fait d'une trivialité déconcertante. Mais plutôt que de comparer (peut-être) la TdE et la chromomachin en laissant ainsi entendre que la TdE, dans son état actuel, serait comme un pet d'éléphant dans l'Océan Indien, il serait préférable d'établir une liste précise et circonstanciée de ses lacunes et faiblesses. Pas des discours creux sur le système des mondes du genre "l'univers n'est pas aléatoire", "la TdE souffre d'anémie" ou comme je l'ai fait ci-dessus "la TdE est un très bon modèle scientifique, nananèreheuu !" - blabla superfétatoire qui ne sert en général qu'à noyer le poisson, à brasser du byte de façon éolienne, à marquer son territoire pour se sentir exister et/ou à cacher une méconnaissance au mieux superficielle et au pire abyssale -, mais des points précis de la TdE qui sont/semblent inconsistants (histoire qu'uno - qui n'a apparemment rien d'autre à foutre , mais qui, gloire à lui, le fait pour l'honneur de l'esprit humain, comme aurait dit Jacobi - puisse en remettre une couche. Arf !). Je suis sans doute distrait et un peu (?) con, mais, à quelques détails près très vite partis en couille, je n'en ai point vu trace ici, poils au zizi. Edité pour corriger une très vilaine faute d'orthographe et corriger un lien (réussi seulement après la deuxième tentative, putains de liens Wikipedia français !). Errare humanum... Mais faudrait surtout que je me relise avant de publier.
  12. Faudra qu'un jour quelqu'un m'explique la différence entre comment et pourquoi en sciences¹, aka justifie la pertinence de cette distinction qui a toutes les caractéristiques de l'artificieux. Artificieux parce que cette pseudo-distinction est imbibée de blabla métaphysique à la mords-moi l'noeud (par définition), de bouffées délirantes saupoudrées de prout-IDisme idempotent, d'incantations pseudo-causales originelles, de malentendus plus ou moins supportables (lorsqu'il y a un minimum de bonne foi en jeu), de poinçonnage narrativo-littéraire de papier-cul et d'une quête romantico-téléologique que les aventuriers du vide neuronal brandissent comme un étendard érectile à chaque fois qu'ils sortent la tête de la cuvette des chiottes. Caractéristiques qui n'ont de cesse de pourrir toute discussion - y compris cette enfilade², comme d'ailleurs toutes les enfilades ayant trait à l'évolution et au Big Bang - qui se veut ne serait-ce qu'un tantinet sérieuse (oh le gros mot !). Bref, en quoi les mécanismes de X ou Y ne seraient-ils que des "comment", et non également des "pourquoi" (en supposant que cette distinction ait un sens, ce dont je doute très fortement (doux euphémisme)) ? ¹: je ne mets pas en doute le fait que cette différence puisse avoir un sens dans la polysémie des mondes possibles du langage courant et des processus cognitifs qui sculptent notre quotidien, poils aux martiens. ²: ce qui est, in fine, somme toute normal et prévisible puisque - banalement, en fait - ces caratéristiques constituent justement le socle du sujet de cette enfilade : les faux arguments du créationnisme, poils aux bidets volants et aux parasyllogismes.
  13. Le sujet ? Mais on est en plein dedans misteur zenalpha : des créationnistes hystrioniques, des zigotos à poils ras, des emplumés du bulbe et/ou des obsessionnels compulsifs de l'écriture automatique totipotente qui ne pigent pas un pet de moule vérolée à ce qu'ils prétendent déconstruire, qui usent de la tactique classique du noyage de bytes par étouffement gravitationnel - tactique qui les rend visibles et attrayants aux yeux des gogos à défaut de générer un semblant de sens - et qui font perdre du temps aux imbéciles heureux (uno, tu m'entends ? Wipe, tu m'entends ? Yardas qui s'y met aussi, tu m'entends ?Arf !) qui continuent de contrecarrer de façon sisyphienne les salades périmées qu'ils débitent au kilomètre cube en s'imaginant que celà aura une quelque influence sur leur réseau mono-neuronal désormais irréversiblement endommagé. Mes bien chers frères, s'adonner au jardinage procure souvent plus de satisfactions. Arf ! Au fait, à quelle catégorie penses-tu appartenir zenalpha ? Note que ces catégories n'ont pas une intersection vide. Aller, bons vents.
  14. Tu n'étais peut-être pas au courant, mais personne de sensé ne s'en satisfait aujourd'hui. Je me permets donc de te suggérer de lire la théorie synthétique de l'évolution et/ou les pages proposées par le CNRS afin de te mettre à jour. Arf ! Décidément, feu Gustave Choupin (cycliste invétéré et génie méconnu) avait raison lorsqu'il affirmait que la métaphysique est une lanterne accrochée dans le dos qui n'éclaire que le sphincter. {OT/HS begin} Je suis à la fois consterné et amusé de lire autant d'inepties et d'approximations foireuses pondues par Grenouille Verte et Zarathoustra2. Vous pigez pas grand chose aux maths, vous deux. En soi, ce n'est pas une maladie. Que non. Mais perseverare diabolicum, isn'it. Ca en devient pathologique. Et puis vous lire, ben ça fait mal aux yeux. Très. Je ne commenterai - très très brièvement - que certains points choisis (à mon sens représentatifs) parce qu'intervenir sur toutes vos âneries, l'une après l'autre, demanderait un effort colossal bien au-dessus de ma capacité énergétique mensuelle ainsi qu'une passion épistolaire que je n'ai point. Et une rétribution financière. Si possible. En plus d'une médaille en chocolat. Pour votre salut, je vous invite à ouvrir un bon bouquin de maths (remarque valable itou pour la biologie, la physique et l'évolution), à essayer d'en assimiler le contenu - si possible en vous salissant sérieusement les mains - et à retourner 7 fois vos doigts dans les narines avant de les poser sur votre clavier. Il n'est peut-être pas trop tard. Détrompe-toi. La définition que tu donnes se réfère à que l'on a coutume d'appeler "géométrie élémentaire" dans le cursus scolaire. Elle ne sert pas à rien, espèce de chameau à pistons hydrauliques inverses ! Elle permet de fournir un cadre méthodologique aux élèves (et pas que), d'affiner leur sens de la déduction & de la rigueur ainsi que de développer leur intuition géométrique. Le fait qu'elle ait disparu des programmes scolaire français (mais pas que) est une aberration dont seuls les experts en pédagogie prout-éolienne ont le secret. C'était l'un des derniers remparts contre le "tout bachotage" et le "recettisme", du moins en mathématiques "élémentaires". Mais puisqu'on veut former des moutons aussi incultes que dociles, alors soit, formons des moutons aussi incultes que dociles. Et, en passant, aux chiottes la belle géométrie "d'antan". C'est effectivement ce passage aux coordonnées qui a permis l'algébrisation de la géométrie (en particulier de la géométrie euclidienne au sens de la définition que tu as donnée dans le quote précédent). Et il y a un fil conducteur qui va de la géométrie à la sauce postulats d'Euclide (4 + 1) à l'artillerie lourde qui a permis de démontrer la feue conjecture de Shimura-Taniyama-Weil (aujourd'hui "théorème de modularité"), j'en passe et des meilleures. T'étais pas au courant ? Question purement rhétorique. Si tu comprenais ce que tu écris, tu saurais que, à quelques détails près, ta phrase n'est qu'une lapalissade. Une remarque superfétatoire, en somme. Non. Pour te montrer que tu te fous le doigt dans l'oeil jusqu'à l'intestin grêle, l'exemple, en fait le contre-exemple, que t'as donné Wipe est amplement suffisant (triangle birectangle sphérique). Te gargariser avec des termes et des définitions que tu n'as manifestement pas assimilés, qui plus est dans un environnement bien plus subtil que tu ne sembles pouvoir le concevoir - et que tu ne maîtrises manifestement pas non plus -, est une preuve d'audace. Mais il est des fois où l'audace confine au ridicule. Et le dépasse. Don't act. QED. Not even wrong. Enfin si, quand même un peu. Toute une éducation à refaire, quoi. Bref. Mouaif... Faut faire gaffe lorsqu'on utilise des métaphores issues de l'intuition topologique que l'on peut avoir des phénomènes classiques sur l'ensemble des entiers naturels muni de l'ordre naturel. En général, la notion de "les uns à la suite des autres" n'a pas le sens de cette intuition-là. Non. Je passe sur tes paraphrases bancales et tes raccourcis implosifs - sinon on ne s'en sort plus - pour en arriver à la substantifique moële (c'est une image, bien sûr). Or donc : comprends-tu ce que tu écris ? J'en doute. Doux euphémisme. Ton TZ2 n'est pas une reformulation de ton TZ1. Ton TZ2 est simplement l'énoncé de => dans l'équivalence entre l'axiome du choix et le théorème de Zermelo. Bref, "si AC alors TZ" est un des deux sens de <=> que l'on est censé prouver. En d'autres termes, c'est l'énoncé du théorème {si AC alors TZ}, et non une reformulation de TZ. Pigé ? Non? Tant pis. Je résume très brièvement la situation puisque tu nages dans une incompréhension totale et mal assumée. TZ est équivalent à AC. Mieux : TZ, AC, L(emme de)Z(orn) et plus de 400 (sic !) autres énoncés du même tonneau sont equivalents. On peut donc prendre l'un de ces énoncés comme axiome pour deduire les autres comme théorèmes. Et papati et patata. Strictement rien à voir avec tes inepties et autres médiocres tours de passe-passe verbeux. Non. Bordel ! Je précise cependant, par souci d'honnêteté, qu'il existe une tendance relativement récente qui vise à remplacer certains axiomes (le plus possible, voire tous) par des calculs, par exemple grâce à certaines variantes de la théorie des types, à de puissants théorèmes d'élimination des coupures, à la déduction modulo (une extension de la logique des prédicats) ou encore à l'isomorphisme de Curry-Howard dans toute sa splendeur. Ajouter des règles de calcul - expression qu'il faudrait expliciter pour qu'elle prenne le sens qui est le sien - permet, dans certains cas, de se passer d'axiomes. Par exemple (un classique, c'est pourquoi je le cite ici sans recourir à des pinces chirurgicales), le fait que l'expression x + 0 se transforme en x par un calcul permet de se passer de l'axiome x + 0 = x (cf la règle de bêta-réduction permet de se passer de l'axiome de bêta-conversion). Extrêmement riche et puissant. Je m'arrête ici parce que tu as les idées déjà bien assez confuses et parce que celà n'a strictement rien à voir avec ton macramé nonsensique dans lequel un sytème formel aurait la propriété dite du Baron de Münchhausen : se prendre lui-même par les cheveux pour se maintenir suspendu au-dessus du sol. Désolant, mon cher Watson. Ce qui refuse de devenir caduc, c'est ton flot d'inepties. La notion (vague) de "contexte" est une bonne approximation du réel mathématique. Plusieurs approches techniques (aka mathématiques) cernent ce genre de questions. Mais il s'agit-là d'approximations de degré beaucoup trop élevé pour qu'elles puissent être accueillies dignement ici. Il faut savoir raison garder et s'adapter à son interlocuteur, isn'it. Disons seulement que ces approches ont trait à la notion de modèle (cf théorie des modèles). Tu chercheras ces bidules sur ton moteur de recherche préféré lorsque tu seras fatigué de pondre compulsivement des âneries. Quant au vocable "système", il se référait tout simplement à la notion de "système formel" (comme ZFC, c'est-à-dire Zermelo-Fraenkel + axiome du choix, dans lequel travaillent aujourd'hui une majorité de mathématiciens). Le fait que tu ne l'aies pas capté illico est assez symptomatique. Escompté, en fait. Bref. Note : pas l'intention de perdre plus de temps avec les zigotos Grenouille Verte & Zarathoustra2. Ni même avec cette prout-digression mathématico-perturbative entropiquement bien trop coûteuse à mon goût. On s'appelle pas tous uno ou Wipe, bordel ! {OT/HS end}
  15. Celà semble en très très grande partie exact, en effet. Du moins jusqu'à preuve du contraire. Reste une "dead zone" suscitée par une question qui n'a pas encore de réponse satisfaisante et une remarque qui nuance un peu le ton catégorique de tes affirmations quant à l'absence de composante "empirique" en mathématiques. La question : quels sont les liens entre mathématiques et nature (cf p.e. Dehaene, Dowek, etc., etc., etc.) ? La remarque : ne pas faire fi du quasi-empirisme en mathématiques d'un revers de la main (cf. p.e. "Sur le quasi-empirisme" de Peccatte). La question (bateau) et la remarque ne constituent pas qu'un jeu de tricotage verbal et verbeux pour philosophes en mal de notoriété mondaine. Les neurosciences, ce que j'appelle par abus de langage les "grammaires génératives de la physique", la pratique mathématique au quotidien (avec, il est vrai, son lot de subjectivité ainsi que la persistence d'une vision romantico-platonicienne des mathématiques (option très répandue)), etc., permettront un jour prochain, je l'espère, de rendre un peu plus clair ce qui l'est sans doute moins qu'on ne le pense ou qu'on ne pourrait peut-être le souhaiter. Si. Implicitement ou non. Tu l'écris d'ailleurs toi-même (Yardas l'a également souligné): ... qui n'a de sens que dans un espace euclidien (qui est le substrat de base de la géométrie euclienne), comme le montre justement la définition que tu en as donnée, isn'it. Dois-je en déduire que tu écris des choses sans les comprendre ? Don't worry, tu n'aurais alors pas le monopole de l'éolisme ostréicole. Ecrire des choses sans les comprendre est monnaie courante. Tellement courante que tenter de pratiquer le contraire relève aujourd'hui presque de l'exploit, voire de l'héroisme. C'est un théorème de la géométrie euclidienne. C'est donc une "vérité" dans ce contexte-là. Point. Si tu faisais l'effort de lire les propos de tes interlocuteurs, tu comprendrais (peut-être) que la "fausseté" évoquée par Wipe se réfère à la volonté d'appliquer le théorème de Pythagore hors de son contexte de validité (c'est à peu près textuel dans la remarque qu'il a faite). Ce qui, dans ce cas, n'en fait évidemment plus un théorème mais simplement une assertion fausse. Morituri thé salutant.
  16. En effet. Il existe cependant un théorème dit de Pythagore généralisé (qu'on appelle souvent théorème d'Al-Kashi en francophonie) qui, d'une certaine façon, étend le théorème de Pythagore "standard" (= de la géométrie euclidienne) aux géométries non-euclidiennes et à des objets différents d'un triangle. Mais c'est somme toute anecdotique, car il est un fait indéniable : aucun théorème n'est vrai en dehors de l'axiomatique dans laquelle il prend vie (= système(s) axiomatique(s) ou sous-système(s) axiomatique(s) qui le génère(nt)). Bref, dit en des termes ronflants et quelque peu ambigus mais statistiquement relativement intuitifs, aucun théorème n'est vrai "dans l'absolu" (je réplique par avance à une possible objection : des théorèmes comme ceux de Gödel se réfèrent à des théories récursivement axiomatisables... c'est beaucoup, mais ce n'est pas tout). Allez en pet, et aimez-vous les uns les autres. Rendons grâce à Orgasmon. Amen. Edité pour corriger une fote d'ortografe.
  17. Et si tu te renseignais un peu avant de pondre des couenneries - ainsi que leurs corollaires d'inepties - sur des choses dont tu ignores manifestement tout ? Ca en devient lassant, isn'it. J'admire d'ailleurs la constance donquichottesque avec laquel certains intervenants répondent à tes fadaises, ainsi qu'à celles d'autres adeptes du grand décervelage n'importequoitiste. Juste pour que tu ne meures pas complètement idiot (vain espoir) : "Le Big Bang ne se réfère pas à un instant « initial » de l’histoire de l’univers" (in "Quelques idées fausses sur le Big Bang"). Alea ejacula est !
  18. C'était ses oignons. Mais encore faudrait-il ne pas se méprendre sur ce qu'Einstein entendait par "dieu" (cf par exemple 'Einstein et la religion'), isn'it.
  19. En effet. Ma montre à quartz ne fonctionne que quand celà lui chante. Le système de navigation GPS de ma voiture, lui, a au moins la décence d'être relativement fiable.
  20. Je confirme. Ma machine temporelle - une Fujifilm FinePix - fonctionne comme tu le decris: il m'est impossible de voir des photos de Jean-François Xavier Junior, mon cochon vietnamien diabétique, datant d'avant le jour ou je les ai prises. Cela n'a de cesse de me surprendre.
  21. Les arguments de physique théorique thermonucléaire et subquantique, je laisse ça aux scientifiques émérites et aux chamans de ce forum.
  22. Ils sont peut-être déjà parmi nous. Qui sait. Moi, j'y crois. Cependant, je ne comprends pas ton "voir(e) plus... ". Qu'y a-t-il de plus ? Des univers parallèles ? Ne sont-ils pas faits eux-mêmes de galaxies, de planètes, de cordes et de bidets volants ? Sauf s'ils possèdent une technologie très avancée (genre Star Wreck) qui leur permettrait de choisir à leur guise le lieu et la date de leur surprise-partie. Lorsque tu réserves une chambre d'hôtel pour tes vacances, à moins d'un imprévu, tu tombes pile-poil devant la porte de ta chambre, pile-poil l'heure et le jour convenus. La chance n'y est pour rien.
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