Feuille

C'est pas parce que ce sont des évènements qui peuvent avoir lieu en même temps qu'ils sont liés, namého ! Quand j'envoie chier mon amoureux, c'pas en fonction de mon cycle, c'est nettement moins prévisible. :D Et inversement, c'pas parce que j'ai mes règles que je suis d'une humeur de dogue... Je répète donc : cliché, un de plus. :D

Celui-là même, oui !

Hééééé, c'est quoi ce stupide cliché, Crabe Fantôme ? Sinon, je suis plutôt d'accord avec ta première intervention, et avec celle de Nephalion (oui, une graaaande phrase qu'on pourrait résumer d'un tout petit "+1" :D)

Uranie, t'as oublié d'enlever ta nuisette en t'habillant ! Bon bin pour moi, les tenues "de saison", ça va être les mêmes que l'an dernier. J'ai juste acheté un gilet bleu outremer histoire de changer un peu. Crap : les chemisiers col claudine avec un rebord en liberty, t'aimes pas ? Pffff... :p Bon, plus sérieusement, à part une chemise "classique" unie, j'sais pas trop quoi te conseiller.

Robe marron :)

In fine... après combien de temps d'évolution ? Et bon, qu'est-ce que ça veut dire "francisé" ? Qui se prononce sans difficulté dans la langue locale... ou qui corresponde à un prénom déjà existant localement ? Encore que pour Sylvie et Gaël, de l'évolution, y'en a pas vraiment eu... Myriam, c'est aussi un "prénom français". Donc bon, je ne vois pas trop en quoi un prénom d'origine étrangère aujourd'hui ne sera pas un prénom français dans 20, 30 70 ans... :)

Même pas une exception pour la pâte de speculoos ? Mais sinon, c'est quoi, un prénom "français" ? Parce que bon, euh, "Louis" c'est germanique à l'origine, Sylvie c'est latin, Gaël c'est celte... "français" = "d'origines diverses et variées", pour moi... :D Perso, tant que ce n'est pas trop compliqué à prononcer, ça me va... même si je trouve ça parfois étrange (qu'il s'agisse d'un prénom afghan sur une bretonne, ou d'un prénom inventé, ou encore d'un diminutif utilisé comme prénom). C'est pas le prénom qui fera - ou empêchera - l'intégration dans la société française.

Zut, on a (j'ai ?) traumatisé Bruit... :smile2: @L'ombre... bah... bonne journée à toi !

@Bruit : Alors... oui mais non. Le tire-lait, je connais. Il a été le grand ami de mon premier allaitement (bébé hospitalisé). Autonomie et facilité ? Alors, ne le prends pas mal, mais ça m'a fait sourire. Beaucoup. Un des avantages de l'allaitement, c'est justement que c'est simple... Tirer son lait en prévision d'une éventuelle faim à l'occasion d'une sortie, c'est : - prendre du temps chez soi avec l'engin, qu'on ne consacrera pas à son enfant (et, bon, un engin mécanique sera toujours moins efficace qu'un bébé). - envisager de jeter le liquide recueilli parce qu'il n'aura pas été utilisé - prier pour que le bébé accepte de boire au biberon alors qu'il est dans les bras de maman-qui-sent-le-lait est là, et que c'est quoi cette arnaque, non mais ho ? - si bébé a faim, je pense que ça prend plus de temps (et donc plus de hurlements) de sortir le biberon ainsi préparé que de simplement le mettre au sein. - et si on n'a pas tiré assez, on fait quoi ? - ça implique aussi de se balader avec un biberon (donc, potentiellement, un sac de plus, parce que si le sac à main contient déjà un tapis à langer, deux couches et un petit paquet de lingettes, y ajouter une poche isotherme commence à devenir compliqué) Comment transformer une petite balade avec bébé en expédition... :p Non, vraiment, le tire-lait a son utilité, oui, mais pas dans ce cadre. Il est utile pour une maman qui confie son enfant à un tiers (le temps d'une soirée, ou pendant qu'elle travaille). Quand on est avec son enfant, c'est beaucoup plus contraignant qu'autre chose...

Bah, fin de la discussion si tu veux, mais je ne comprends toujours pas en quoi un moment privilégié entre un parent et un enfant ne pourrait pas se savourer dans un lieu public. Tant pis si je n'ai pas de réponse, simplement, je voulais dire que je ne comprends vraiment pas ta position, en fait, je la trouve même plutôt triste, comme si l'on "devait" se montrer froid envers ceux qu'on aime à chaque fois que l'on se trouve en présence d'inconnus. Ce n'est peut-être pas ce que tu veux dire, mais c'est comme ça que je le comprends, que je le ressens. Alors que de mon point de vue, tant qu'on ne verse pas dans l'exhibitionnisme, je ne vois rien d'inconvenant à échanger de la tendresse en public (pour reprendre l'exemple des amoureux : le pelotage et les bisous à pleine bouche, non, mais des petits bisous, une caresse sur une joue, une tête sur une épaule... bin, c'est une marque d'affection qui, si elle est donnée en public, n'a rien d'indécent).

Bin, deux choses encore - très différentes. Premièrement, ce n'est pas parce qu'on ne se met pas dans une pièce à part qu'on n'est pas disponible, à l'écoute, en phase avec son bébé. En quoi le fait d'être en dehors de chez soi empêche-t-il de témoigner de l'amour à son tout-petit ? Ou à son moins-petit, d'ailleurs. On n'aurait pas le droit de faire un câlin (en allaitant ou pas, d'ailleurs, je généralise) à son enfant dans un lieu public, parce que ce serait banaliser la relation d'amour entre la mère et l'enfant ? J'ai du mal à comprendre ton raisonnement sur ce point... Deuxièmement, j'ai quand même l'impression que tu idéalises beaucoup l'allaitement, que tu le vois d'abord comme une relation d'amour entre la maman et le bébé, alors que, bon, c'est avant tout un moyen de le nourrir. J'ai traversé une phase pendant laquelle, à chaque fois que je donnais mon lait à ma fille, c'était en serrant les dents parce que j'avais mal. Vraiment mal. Dans ces moments là, ce qui me motivait, ce n'était absolument pas l'amour de ma fille, mais bien le côté nutritionnel...

Et en même temps, autant sortir un sein, comme ça, pouf, et l'exposer, oui, c'est déplacé ; autant coller son bébé contre soi, remonter son T-shirt (ou, mieux, un T-shirt judicieusement découpé) pour qu'il ait accès au lait de sa mère... ça ne l'est pas. Allaiter, ce n'est pas donner dans l'exhibitionnisme - même s'il y en a qui font les deux. Et, bon, la banalisation du sein, selon moi, elle passe avant tout par les affiches de pub pour de la lingerie, les femmes à grand décolleté, et les couvertures de magazine...

J'aime mieux la paire "à petits talons", que tu as prise, à la paire de ballerines que tu n'as pas pu prendre. J'en ai une semblable dans les tons roses. Je trouve que cette hauteur de talons est pas mal : ça affine un peu la cheville et ça reste confortable pour trotter pendant la journée.

Lili, je pense qu'à la place de Bruit j'aurais aussi été gênée. Pas par l'allaitement en lui-même, mais par l'attitude de la maman, par son manque de délicatesse... Tout comme je trouverais incongru de voir une mère nourrir son enfant (au sein ou au biberon, d'ailleurs) avec un casque sur les oreilles et en pianotant un texto, comme quelqu'un ici l'a déjà vu... On n'a pas, à mon sens, à se cacher pour allaiter. Mais l'idée n'est pas non plus d'aller donner dans l'étalage de nichon, c'est une question de juste milieu... Allaiter, ce n'est pas, en soi, être impudique. Mais il y en a qui peuvent allier les deux... et mettre autrui mal à l'aise. Et, du coup, entraîner un "rejet" de celles qui essayaient d'être naturelles, de ne pas se cacher sans pour autant attirer l'attention sur elles.

Argh, Bruit. Charmant, en effet... Vous étiez "en famille", son précieux était tout petit ? Si j'puis m'permettre, c'est le seau que l'on remplit. Pour ma part, je suis dans le cas de Lili : je n'ai jamais vu ça... et du coup, je me dis que celles qui allaitent devant des gens de la même manière qu'elles allaiteraient seules doivent faire partie des exceptions.

Bin le truc, Bruit, c'est que l'allaitement se fait rarement "aux yeux de tous"... à moins d'aller coller son nez dessus. Du coup, je ne comprends pas trop en quoi cela, à savoir un allaitement qui ne dévoile pas grand chose, peut être indésirable dans un lieu public.

Sauf que l'allaitement n'implique pas de se dénuder. Il implique de dévoiler un peu de peau, certes, mais on peut tout à fait préserver la pudeur d'autrui (qui n'est pas autant offusqué par le décolleté de la voisine) avec une simple écharpe...

L'ombre, j'aimerais quand même une réponse concrète, s'il te plaît... @Bruit : l'intimité, elle ne peut pas être créée par une étole, selon toi ? Et, bon, euh... je ne me vois vraiment pas changer mon enfant dans les toilettes d'un train (petites, sales, et sans plan à langer), alors l'y nourrir... :D Le change de la couche pose, à mon sens, davantage de problèmes (trouver une surface plane et pas trop sale et à l'abri des regards) que l'allaitement (se créer une bulle sans besoin de poser le bébé quelque part)...

Là, si. Si ça peut te sembler bizarre, ça n'en reste pas moins affectueux de ma part... et ce n'est pas la question.

Soit. Mais ce n'est pas vraiment le sujet, là... Et je fais comment pour nourrir Bichette ou Loulou (autres petits noms employés), ou le suivant, sans me donner en spectacle s'ils ont faim à un horaire inhabituel ou pendant un long voyage ? Concrètement ?

Parce que je ne parle pas nécessairement de mon enfant. ... je fais comment pour "ne pas me donner en spectacle", concrètement, selon vos critères, si mon tout-petit a faim à un horaire inhabituel ou que j'entreprends un long voyage ?

Bin... tu n'as jamais appelé ton enfant par des petits mots bizarres ? :) Si ça vous dérange, je vais éviter de l'employer. Mais ça ne répond pas à ma question...

"Mon enfant si tu préfères"... Je l'utilise dans le sens "petit personnage", sans le reste de la définition. Bin écoute, dans le fait divers qui sert de base à cette discussion, le bébé était planqué dans une écharpe de portage, aucun "spectacle" n'était montré... Comprends que je m'interroge. :)

Certes, mais concrètement ? Je fais comment ? :) Edit : parce que bon, visiblement, qu'on soit discrète ou pas, y'aura toujours quelqu'un que ça dérangera, au vu des commentaires de ce sujet...