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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Le coeur et ses blessures, L'amitié et ses cassures : Rien dans la vie n'est sûr, Rien dans la vie ne nous l'assure. On s'élance pour trébucher, On s'avance pour s'égarer, Inlassablement dans les calamités, Vers la porte de l'inexistante éternité. Pourquoi alors ce courage? Pourquoi ces excès de rage, Si tout ne mène qu'à la fin de la page Vers notre propre lynchage? Non, je ne comprends pas, Pourquoi tout ces sacrifices là, Pour une cause qui en partant déjà Est perdue depuis notre premier pas.
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J'aurais aimé que le temps s'arrête, que la roue tourne sans jamais laisser à l'eau le temps de tomber. J'aurais aimé que tout fonctionne sans aucune faille pour lentement m'assassiner. Et pourtant, qu'est-ce que le temps, si ce n'est une idée? Il est comme le vent : tout le monde le sent, tout le monde le mesure, et personne ne le voit. Alors, existe-t-il vraiment? Je sais qu'affirmer un "non" serait pour beaucoup une erreur de réflexion. Mais, ma logique veut que ce que je ne peux toucher n'existe pas. Si ce n'est dans nos têtes, sur le papier, dans nos convictions les plus infondées. Le temps ne régit pas l'univers et la vie. Le temps ne vient pas à bout des corps meurtris des êtres vivants. Il n'est qu'un appui favorable à l'idée d'évolution qui, sans lui, n'a pas le moindre sens. Il n'est pas un fait. Il est au mieux un outil. Un outil utile à l'application de la science et de ses principes dits logiques. Un outil pour se rassurer d'un monde qui échappe à notre contrôle. Il est une excuse à notre plus profonde frustration : celle de mourir, d'être finis. Bien sûr, je sens comme vous le temps qui passe. J'y suis sensible. Mais qu'est-ce? Seulement une connaissance incrustée en nous si tôt qu'on la tient pour vraie. Nous n'oublions pas avec le temps, nous oublions par l'accumulation et le tri de détails et d'expériences propres à notre vécu. Nous ne sommes pas victimes du temps, nous sommes victimes de nous-mêmes, des mécanismes qui nous ont faits et qui nous reprendrons. Nous ne sommes pas ponctués par le temps dans nos journées, mais uniquement par les phénomènes astrophysiques. Malheureusement, la tendance actuelle porte à transformer une conception de l'esprit de certains hommes comme un fait physique. Ce n'est pour autant qu'un outil, utile à la vie quotidienne, utile à la raison humaine qui ne demande qu'à se nourrir d'excuse pour se sauver d'un état qui fait peur, d'un état qui fait mal, de la folie et de la déroute. Abandonner une conviction est aussi difficile à accepter que la perte d'un membre : c'est au fond une partie de nous-même qui est perdue.
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Cela n'en fait aucun doute. Il doit seulement avoir des occupations plus importantes, qui nécessitent toute son attention. Et il exclut ainsi toute tentation de finir pêcher ici, parmi nous!
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Je ne sais pas s'il finira par le voir, mais c'est un joli hommage, en tout cas, une belle attention, à son égard.
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http://www.youtube.com/watch?v=zskw3mCQFL4&feature=related
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Sans volonté, temps et talent, rien se fera, rien ne viendra à moi comme ça. J'ai néanmoins la volonté de me comprendre. Comme si j'étais le plus grand des mystères et l'unique enquêteur. Mais comment le pourrait-on? On aimerait tous être ce qui nous arrange. Un coup dépressif, un coup précoce. Selon le jour, selon le besoin. Comment différencier le vrai du faux? Comment s'y retrouver, dans ce labyrinthe sans la moindre sortie? J'y ai un matin pénétré, cherchant où aller, parfois finissant face à un cul de sac. J'y passe toute mon existence, à chercher d'atteindre le centre du tout, la clef de ce tout que je suis. Seulement, la seule sortie est celle de la fin, de celui qui s'écrase au sol, usé par la fatigue, usé par la soif incessante, l'envie de savoir. Et si la solution était qu'il n'y en avait pas? Si tout ceci n'était qu'un abus de notre imagination pour combler un peu de ce vide que l'on doit à n'importe quel prix esquiver? Je suis la question sans réponse, le problème sans solution, le tout fait de rien. Je suis ici pour vivre bien quand tout ne cesse d'aller mal. Arrivé ici, qui saurait encore que faire? Celui qui a trouvé son chemin, et celui qui l'aurait tant aimé qu'il y croit.
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Oui, mais tu as cité un exemple récent et médiatisé. C'est ça qui m'dérange. En l'occurrence, c'est trop modéré. Donc, si tu veux, prends le comme une rectification. Si tu avais donné un exemple non-médiatisé, j'aurais pas ramené ma fraise, sans aucun doute (je suis un emmerdeur, donc bon). Mais ton exemple est triste aussi. Et je suis désolé pour ses personnes là. Je ne sais pas si tu comprends "l'erreur" que je te reproche dans ta dénonciation justifiée de la chose.
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Et ça empêche d'en parler? Et à côté des 80 personnes tuées par un attentat, tu en as des milliers mortes de faim depuis cinq minutes. En quoi ça empêche d'en discuter? Je comprends ce que tu entends par là, et je suis d'accord avec, mais ton argument n'est pas le bon.
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Il y a beaucoup de légendes qui n'en seraient peut être pas si on les avait vues vieillir, Marylin, James Dean, Kurt Cobain, et d'autres qui auraient une aura beaucoup plus importantes si elles avaient disparu en pleine gloire, comme par exemple Brigitte Bardot dont l'actualité de ces dernières années fait oublier le succés phénoménal qui était le sien. C'est le "destin". Difficile de dire si ou non. Mais c'est aujourd'hui le cas. Pour le bonheur de beaucoup, et le malheur, il faut se l'avouer, des principaux concernés : eux-mêmes.
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A mon avis, voir qu'on parie sur sa mort, ça doit pas aider
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Hum, t'as raison! J'avais pas fait le lien! Et sinon, dommage, en effet. Je connaissais pas vraiment, mais je l'avais vu en live, un matin, sur M6, et pouah... Elle avait vraiment pas l'air tout à fait elle-même.
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J'y irai pour jeter un oeil. Sinon, chat_ooo nous a quitté? :gurp:
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http://www.youtube.com/watch?v=5TqlOkh5eU4&feature=related
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En effet, nous avons tendances à vouloir guerroyer... Comme les grands, ceux d'avants. On a tendance aussi à s'insulter, se rentrer dedans, à en souhaiter parfois sortir le vieux sabre du grand-père ou le fusil d’antan. La paix peut-elle régner? J'en doute. Notre instinct a, je pense, quelque chose à voir là-dedans. Et ce n'est pas aujourd'hui qu'on arrivera à se séparer de notre envie de combats, de joutes, ou de sang. L'enfant qui vient de naitre est un futur combattant... Si ce n'est contre les autres, ce sera pour lui, pour sauver l'être qu'il est face aux éléments qui, parfois, montrent un certain acharnement sur nous, pauvre humain. La nature nous rappelle à l'ordre, et elle, elle ne fait pas semblant : si notre condition ne change pas, on finira par ne plus pouvoir décompter les mourants. N'est-ce pas là aussi un souvenir modeste des guerres qui ont fait les siècles précédents?
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Vous êtes vous déjà demandé d'où pouvait bien venir toutes ces pensées qui viennent et qui repartent sans aucune raison apparente? Certains vous diront qu'ils naissent d'une cause parfois consciente, comme un souvenir qui cherchait à vivre une seconde fois, et d'autres vous diraient que c'est le résultat de l'action de notre inconscient. Il y a les rationnels qui vous répéteront que c'est l'un des effets du travail de notre cerveau, de ces neurones qui ne cessent de fonctionner pour nous permettre d'être ce que nous sommes, et puis, il y a les irrationnels qui vous répéteraient tout autant que ce n'est qu'un don d'une force qu'on pourrait qualifier de supérieure. Et je ne doute aucunement qu'on trouverait de nombreuses autres idées à ce sujet. Mais comment départager le vrai du faux? Comment savoir ce qui, pour nous, fait qu'un humain est humain? Les censés, ceux qui arrivent à manier avec prouesse le sens de la logique, et puis ceux qui savent, ou en tout cas, qui permettent de faire avancer, voir le faire partager, vous diront que tout cela dépend beaucoup de chacun, de ses croyances les plus intimes, celles qui concordent le mieux avec soi. Chacun tiendra pour vrai, ou au moins pour plus probable, sa propre conviction, parce qu'elle parait censé en nous, bien plus que les autres. C'est ce qui entraine et motive les débats, surtout les interminables, les incessants, ceux comme la religion et le fondement véritable du savoir de la dite science. C'est un conflit où personne ne gagne, et où pourtant, tout le monde, un jour ou l'autre, finit par tenter à son tour de faire pencher le déroulement de la bataille. Bien sûr, on vous parlera de la tolérance, du respect actuellement, évitant les guerres arme à la main pour une guerre à coup de preuves et d'arguments. Tout ceci reste pour autant discutable, car il est possible, si on en est capable, de tourner un énoncé faux comme juste, suffisamment pour le faire passer comme la vérité. C'est ce qu'on appelle le mensonge, et c'est ce qu'on a tendance, pour la plupart, à ne pas supporter. Car qui aimerait être "faux", croyant en quelque chose de "faux"? Personne. Cela signifierait que nous n'existons que dans un imaginaire très éloigné de la réalité. On se sentirait perdu. Dérouté. Mélancolique. Car, si la vérité est une quête pour beaucoup, un serment fait par quelques uns, elle n'est pas toujours bonne à prouver, au risque d'assassiner des millions de personnes. Un massacre qu'on aimerait sans nul doute ne pas voir arriver. Néanmoins, tout a évolué. Le rationnel a pas mal pris sur l'irrationnel. Ce qui n'est pas sans me rappeler un peu la place prise par les gauchers sur les droitiers. Quoi qu'il serait plus vrai de dire que les gauchers se sont affirmés par l'évolution progressive de l'idéologie dans la société. Comme les croyances et les convictions. Comme tout. Mais alors, en quoi puis-je m'accrocher? La réponse n'existe pas. Rien n'est mieux qu'autre chose. Le seul choix à faire est le notre. Malheureusement, là encore, qu'est-ce que notre choix? Celui qu'on prend consciemment, une décision qui peut aller contre le principe même de notre instinct, dans une certaine mesure. Notre choix est-il vraiment nôtre? Personnellement, je prends la liberté dans douter. Comment peut-on se dire apte à prendre une décision qui soit sans aucune influence extérieure? Lorsqu'on sait que notre éducation, le plus banal et invisible passant dans la rue, peut influer sur nous, sur notre réflexion, nos convictions, il m'est difficile de croire que je dis, en ce moment même, ce que j'aurais pensé si j'avais fait mon éducation seule et isolée du monde. C'est une triste nécessité, du moins, de nos jours, et chez nous, que de recevoir et d'atteindre le summum intellectuel, si on projette de vivre comme on devrait vivre, c'est-à-dire heureux, en paix avec les autres et avec soi. Ce n'est pas sans me rappeler le texte d'une fille que j'ai lu hier. Une inconnue. Ce qui permet tout de suite de garder une objectivité presque réelle. Elle nous disait tous différents, que la plupart était soumis à la mode, à toutes ces choses qui font une personne banale, une personne "normale". Moi, je ne pense pas que nous soyons différents. On est tous les mêmes, à chercher désespérément de quoi soigner nos blessures, de quoi nourrir notre bien être. On suit tous une mode. Si ce n'est d'être comme les autres en suivant un modèle, c'est en se disant différent, montrant qu'on s'éloigne de cette envie de ressembler à ceux qu'on pense comme mieux, plus proche du but à atteindre. Au fond, nous sommes tous pareils, oui. On l'exprime seulement différemment, selon nos capacités, notre vécu. Nous ne sommes pas différents. Nous sommes tous soumis à la mode, à cette mode, qui est de vouloir être heureux pour longtemps, qui est de profiter de la vie, qui est de trouver l'espoir qui suffira à donner un sens à notre existence. On dépend tous des autres, de la dite reconnaissance. Vous, elle et moi. Et malgré son envie, son besoin de se sentir en dehors de cette règle, elle n'y échappe pas, et ceci, justement en voulant s'en défaire. C'est une règle universelle, un fait inévitable, c'est ce qu'on nomme la vie.
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L'envie n'est pas là. L'envie ne veut pas. Que faire? J'en ai peur, mais je crois que rien ne peut vraiment faire que moi, je m'y mette comme j'aimerais le faire. Incapable. Je crois que c'est le mot. Avec faible, sans doute. Je suis d'une fébrilité incontestable. Mais je le vis bien, je fais ce que mon encéphale décide d'envisageable. Un jour, peut-être, ne sait-on jamais, je pourrais vaquer comme je le veux au sein de ce monde qu'on dit si incroyable. Malheureusement, mon coeur est ailleurs, tout comme mon esprit, et je crois que ce soir, ce que je préfère ne réside pas tant dans la création de ces quelques phrases, mais dans les pensées les plus fades, les plus détestables. Ainsi est fait le déroulement d'un tout semblant confortable.
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Malheureusement, mon envie dépend d'une période. Je me contente de lire. C'est tellement plus simple. D'ailleurs, je m'en vais continuer un Céline ou commencer un Teulé. Tout dépendra. Mon envie de lecture change pas mal aussi, mais cela ne reste que partie remis, dans le pire des cas. Je verrai pour écrire quelque chose ce soir, si l'envie me vient. Difficile de savoir si elle sera avec moi, et surtout, si elle suffira à motiver ma tête et mes mains. Car ce sont bien eux qui travaillent, tiens!
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Non, seulement j'en ai pas trop l'envie, en fait... Mais, faut pas t'en priver
