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Jedino

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Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. Ou bien, agir. Pour de vrai.
  2. Le mérite, quelle jolie fable. Les adultes-enfants adorent l'entendre, cela leur donne le sentiment qu'elle est vraie.
  3. Je viens de terminer ce quiz. Mon score 50/100 Mon temps 59 secondes  
  4. Je viens de terminer ce quiz. Mon score 70/100 Mon temps 57 secondes  
  5. C'est mal de polluer le sujet de notre amie !
     

    Mais je te laisse imaginer ce que tu veux :)

  6. Jedino

    Votre série du moment

    L'intégralité de Gossip Girl. Parce que c'est comme Game Of Thrones, mais en mieux.
  7. J'ai tenté une sérénade ce soir, le résultat est peu concluant. Je pense qu'on peut la raturer sur les prérequis nécessaires pour parvenir à séduire. Si je me contente de regarder mon vécu récent, je note que les gens vivent mal la bienveillance que je peux avoir avec eux et qu'il n'est pas rare que la personne reste, par espoir, alors que la personne devient violente verbalement et/ou physiquement. Quand je lis "connard", je lis "séducteur un peu indifférent et plutôt mignon pouvant enchaîner les relations éphémères et se permettre un mépris et des attitudes totalement scandaleuses au nom de la superficialité de nos "sentiments"" (cela fonctionne évidemment au féminin, par souci d'égalité). Du coup, la question n'est pas de savoir pourquoi les femmes ou les hommes, spécifiquement, aiment les connards ou connasses, mais pourquoi on en est arrivés à idolâtrer et désirer la figure de l'abruti. Je ne vais pas m'avancer. Non je plaisante. C'est très clairement parce qu'on nous prêche l'individualité, le besoin de "profiter de la vie", bref, de vivre égoïstement et de privilégier mon plaisir. Or, mon plaisir n'est pas forcément en corrélation avec le plaisir de l'autre (après tout, c'est plus drôle et facile de se passer du compromis que nécessite une relation). Vous ajoutez à ça une dose de besoin d'aller vite, trop vite, parce que bon, construire une relation et apprendre à connaître la personne, c'est plus un truc qui peut et doit être fait, et vous en arrivez au résultat attendu. A moins de tomber sur un ou une spécialiste du mensonge, ça ne durera pas des années et ça se verra assez vite qu'un truc cloche. Et si vous avez du mal à le voir, il reste toujours les gens dans votre entourage pour vous indiquer clairement que ça déconne (je suppose ici que c'est une relation amicale honnête et franche, sinon on n'a pas fini de sortir du schmilblick). PS : spéciale dédicace aux sapiosexuels prétendus sur Tinder. On rigole.
  8. Je n'ai pas 6 minutes à perdre. Quelqu'un peut résumer ?
  9. Elle est donc chiante, de toute évidence. Inutile de poursuivre. CQFD.
  10. Deux ou trois verres et la question ne se pose plus. D'autres questions ?
  11. Tu as aussi toujours raison, voyons !
  12. Ah mais je n'ai pas dit que j'ai mis au hasard la référence pour autant ! Mais en effet, Tequila a toujours raison Bah allez c'est parti, développe sur le titre !
  13. Je ne te savais pas "Like" addict A vrai dire, je n'écris jamais un titre en lien avec le texte. Il ne serait donc pas bien utile je pense. Ensuite, je n'ai pas pour habitude d'expliciter car ce n'est là que le prétexte à l'écriture, pas la finalité à mes yeux. Si tu y lis ce que tu y lis, c'est donc ce qu'il te fallait lire.
  14. Tu n'es pas si éloigné de ce que je pouvais avoir en tête, tu me comprends que trop bien
  15. Jedino

    [QUIZ]Avatars et forumeurs

    Je viens de terminer ce quiz. Mon score 75/100 Mon temps 41 secondes  
  16. Je viens de terminer ce quiz. Mon score 70/100 Mon temps 58 secondes  
  17. Comme toute autre drogue, je n'en ai jamais consommé puisque, comme toute autre drogue, l'odeur est nauséabonde.
  18. Si j'écrivais quelque chose de sensé, cela se saurait !
  19. Douze juillet. L'année a été perdue. Un petit homme, mais pas piqué des hannetons, se promène. Un papillon ? Il s'en émerveille. Une brebis ? Il la remercie. Il n'en reste pas moins affamé. De son air simplet, il laisse entendre qu'il est en quête de quelque chose. S'il pouvait croiser qui que ce soit, sûrement, ils l'éviteraient par crainte d'une conversation gênante. De sa marche assurée, son intellect se persuade qu'il est davantage Narcisse que Goldmund. Il a pourtant tout : un toit sur son dos, déployable, une arme et une tête pour se nourrir, quelques substances rassurantes et la certitude que son devenir est dans le creux de ses mains. Ne croyez néanmoins pas que notre explorateur émérite divague naïvement au gré des sentiers. Je peux vous l'assurer, il cherche. Il cherche de ces sentiers qu'aucune carte n'a la sagesse d'indiquer ni la force de porter. En bon philosophe, son auto-persuasion est des plus efficaces et, grâce à cela, il sait qu'il est sur le bon chemin, qu'au bout de celui-ci se trouve l'or de tous ses espoirs. Mais ne serait-ce pas là une biche ? Son ventre n'en gargouille que plus fort. Le voilà presque en un instant à l'arrière d'une broussaille, fusil à l'épaule, en train d'ajuster sa cible. Le coup part, la proie aussi. Seul résonne le bruit d'un arbre écorché par la balle et l'audible déception d'un estomac vide. Cette situation, il la connaîtra encore maints et maints fois dans la journée. Tant d'échecs reste incompréhensible, lui qui était l'un des meilleurs tireurs de son régiment. Peut-être que sa quête n'aboutira pas, finalement. Peut-être que tout désir de dignité est aujourd'hui vain.
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