-
Compteur de contenus
48 051 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Jedino
-
Les femelles sont agressives. Mais faut pas t'en étonner, hein! :D
-
Oui, c'est bon. Hm, si tu veux :D
-
Oh! Mais c'est dur. C'est pire qu'une drogue qu'on vient nous priver!
-
Ah, d'accord. Je ne le savais pas. Enfin, la dernière fois, j'étais seul, donc je pensais que le souci venait de chez moi. Merci!
-
J'ai à nouveau le même problème. En pire..
-
De la poésie. A tout moment. Dans chacun de tes battements. De la poésie. Dans chaque instant. Dans la couleur de ton sang. De la poésie, dans tous ces détails qui font que tu sois, aujourd'hui ou demain, celle dont je m'éprends. Si je n'avais su que mon cœur était de sang, je l'aurais pensé d'encens, dont la seule odeur me rappellerait tendrement ton corps chaleureux, accueillant. Je devrais surement te remercier alors de mettre autant de paix et de sérénité dans ma vie, de combler ce petit creux où manquait l'âme, la présence, d'un innocent enfant, plein de volonté et de bonne intention à l'égard des pauvres gens. Car oui, j'étais bien pauvre, malheureusement. Je n'avais pas un sous pour nourrir mon amour affamé, inlassablement grandissant avec les jours passants. J'ai besoin de ta poésie, de l'harmonie de tes sens, de la senteur de ta complaisance, afin de naitre enfin, de mourir tendrement. (pardon)
-
Ah! D'accord! Moi je pensais à une erreur en parlant de Chateaubriand, en faite. Je suis vraiment trop dans le premier degré de la chose! :smile2: Faut m'excuser, par contre, j'ai parfois (enfin souvent, mais bon, je m'essaie à l'optimisme) des périodes pseudo-délirantes où je me permets des libertés et des paroles que je ne devrais pas exprimer. D'ailleurs, cette idée là m'impose une réflexion un peu infantile : et si la folie trouvait son origine dans la provocation? Bien entendu, cela n'a pas le moindre sens, sinon cela n'aurait aucun intérêt pour moi. Mais, j'aime bien l'idée, même si j'en ai rarement des concrètes et fondées. M'enfin, vous me direz, cela n'a pas de réelle importance, le tout c'est de s'éclater, de dire ce que l'on pense, et de le dire en bon français!
-
Ne t'attaque pas à Cosette? Je ne suis pas sûr d'avoir compris, en faite, là. Tu ne t'es pas trompée? Sinon, c'était plus pour faire au contraire de OhByU que de m'attaquer à l'idole de Victor Hugo. Mais ça, fallait pas le dire. Et puis, je ne me base sur aucune personne, ni pour les détester, ni pour m'en inspirer. Je préfère prendre ici et là ce qui me plait, faire un tantinet chier le monde comme je le fais là avec la "provocation", et trouver finalement ce qui me va le mieux sans réfléchir à qui j'ai suivis par mégarde.
-
Cette part de doute et de rébellion fictionnelle est en passe de devenir une part de réalité. Mais je me sens indépendant de cette chose là : plus je m'approche d'un "mieux", plus je semble désirer m'en éloigner. Est-ce donc normal de s'attacher à sa misère? Le souci, tu sais, c'est que ce ne sont pas des moments, chez moi, mais presque l'intégralité de mes journées. Je finirai aliéné, emprisonné par moi-même ou... Homme. Tout dépendra. Je doute du fait, actuellement, de pouvoir réellement me défaire de cet état d'errance, de lassitude, de passivité. Néanmoins, tu as surement raison. En tout cas, je te le souhaite. L'idée ne me serait pas venue sans ton intervention :D
-
Je ne suis pas un Baudelaire, un Verlaine, Un Rimbaud, ou un de ses poètes immuables. Je ne suis pas non plus un de ses romanciers de talent que peuvent être Zola, Vian, ou King. Je ne suis qu'un misérable, un idiot qui cherche à donner un sens à ses mots. Je ne suis pas non plus vous, tous plus doués les uns que les autres, à chanter la vie, à l'espérer chaque jour, à jouir de ses petits cadeaux. Rien n'est suffisant. Rien ne me suffit. Oh! J'aurais surement aimé être un Chateaubriand plutôt que rien, mais je n'ai pas du apprendre comment briller. Et je n'ai pas eu le temps de me familiariser avec le beau, le correct, le lyrique. Non, je préfère de loin les monstres, la mort et le terrorisme, la torture, la souffrance et la folie. J'aurais pourtant pu me démerder pour pouvoir jouer avec les mots. Mais je n'ai pas eu le temps, ou la force, de faire en sorte que la vie devienne l'inspiration de quelques phrases éloquentes. Parfois, je peux me demander si je suis doté d'une logique, d'une conscience qui me rend plus consciencieux de mon devenir, et de celui de mon corps fébrile et non-énergique. Et puis, mon dieu (pardonnez moi pour ce blasphème, j'utilise un mot usé à présent), qu'importe ce que nous sommes, ce que je suis. Animal, machine, conscience, inconscience, mal, bien, démon, athée, tueur. Je suis tout à la fois, et rien en même temps. Je suis mes pulsions, mes désirs, mes rêves. Ou peut-être sont-elles moi? Je ne sais pas. J'en ai rien à faire. Je m'en fous tout autant de connaitre la vérité et la vie, l'amour et le bonheur, le pourquoi et le comment. La seule chose qui compte, c'est de mourir assez vite avant de rencontrer le sentiment d'avoir trop vécu, de crever dignement sans s'être humé de trop de ces conneries de ressentis. Alors, Chateaubriand, je t'aime et te respecte, mais sache que, à ce jour, tu n'es pour moi qu'un illusoire modèle dont je cherche au mieux à m'éloigner, et ceci, dans le but de ne pas être encore dans les mémoires après t'avoir rejoins chez les oubliés.
-
Il n'y a véritablement rien à dire à propos des dimanches. Cependant, j'attends avec impatience le mercredi qui m'attend dans trois semaines. Un événement musical, une bombe frappant avec euphorie. La musique va sonner, hurler. Elle va déchirer de sa voix stridente dans nos oreilles sans aucune pitié. Elle va nous massacrer une partie encore de nos tympans, nous faire risquer notre cœur qui se perdra au milieu des vibrations. Et puis, il fera chaud, trop chaud. On sera fatigué. Et pourtant, on ne sentira rien de tout cela. On n'y fera même pas attention. Pire, on aimera ça. On en demandera encore plus. On en voudrait presque en faire un arrêt cardiaque rien que pour quelques minutes en plus. Je crois que c'est ça, l'esprit que transmet la musique de fous.
-
-
Je me suis rendu compte hier que je lisais un livre rangé dans le même genre qu'Hannibal Lecter. C'est en tout cas ce qu'en disait les sites à son propos. Et il est vrai que le "fou" intelligent est d'une étonnante cruauté, d'une violence sans limite. Son seul souhait est d'éliminer la race démoniaque des femmes, toutes plus vilaines les unes que les autres à ces yeux. Pourtant, aucune ne semble voir en lui le "monstre", comme on aime à le surnommer, qui dort en lui, qui ne rêve que de déchiqueter. Comment peut-on cacher cette envie de lacérer au couteau à une femme aimante? Car il est vrai qu'il est aussi dangereux que charmant. Peut-être est-ce là la clef de l'histoire. Je l'ignore. Je n'ai pas encore terminé cette lecture qui m'entraine de plus en plus. Mais n'oublions pas que les anges sont aussi les plus grands démons, ne songeant qu'à vous prendre vos dernières jouissances dans votre malheur, n'attendant que le moment de vous voler la mince trace de fierté qu'il vous reste pour assurer le mouvement dans leur tableau de chasse.
-
http://www.youtube.com/watch?v=1OM21c01XEo&NR=1 v
-
Stéph_ou, je ne suis pas plus âgé que toi. Alors, prends confiance, et lance-toi! Nous avons tous notre place ici! Nous avons tous à dire, à exprimer, à extérioriser. Qu'on comprenne ou non le sens véritable, cela importe peur. Chaque texte, chaque phrase, chaque mot, pour peu qu'une émotion y soit déposée, donne du sens au tout. Ce sens sera différent pour ton lecteur ou ta lectrice, mais il aura tout son sens pour toi. Courage, alors. Montre nous donc ce que tu vaux. Pas la peine de disserter, ici. L'unique règle est de parler, ou plutôt d'écrire, mais je t'imagine prononcer chacun de tes mots au moment même où j'en prends connaissance, mot par mot, ligne par ligne.
-
Ah! Chat_ooo, nous sommes si différents! Chez toi, la plume va, ne s'arrête jamais, ne cesse de donner sens au papier. Et moi, je reste là, las de ne savoir que dire, ou de dire à tout va la même chose. Tu sais la faire danser quand je ne fais que la trainer. Tu lui donnes force et vitalité quand elle se morfonde et s'ennuie chez moi. Comment fais-tu? Partage-moi ton secret. Car, je ne sais comment la retrouver. Mais peut-être est-ce mieux ainsi. Je prends mon temps pour lire, pour apprendre, et pour faire mes devoirs. Ou plutôt, ceux qui m'intéressent. Peut-être que c'est mieux, oui, si je suis capable de passer mes journées, sans abandonner, à la rédaction de quelques réflexions philosophies ou passées.
-
Ou alors le titiller et être gentil avec pour qu'il arrête de nous embêter!
-
J'ai fait la mise à jour de firefox et les problèmes sont réglés. Par contre, la nouvelle version est bof. Merci tout de même!
-
Tout brûler? Là, par contre, j'ai pas compris.<br /><br /> En faite, je vois tout dans le mode de codage (j'ignore si on appelle ça ainsi). Mais en gros, c'est comme si j'avais choisi ce mode là sans pouvoir le changer.
-
Le navigateur règle le problème. J'ai essayé avec explorer, et c'est bon dessus.<br /><br />/>M'enfin, je préfère firefox. Donc, tu sais pourquoi c'est ainsi?
