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Un voyage dans un rêve avec Naéma


GuyB

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Cette nuit, j'ai fait un joli rêve rempli de soleil.

J’étais assis sur une grosse pierre noire bordant

un chemin de hautes herbes brulées par le soleil.

Le coin était ressemblait à une jungle clairsemée.

Je ne savais pas ce que je foutais dans endroit,

désert de toute présence humaine. Je voulus me lever,

mais une force intérieure m’empêchait de bouger.

Alors, j'ai entendu patiemment sous le bleu du ciel ensoleillé.

Il faisait une chaleur humide, d'agréables parfums de fleurs sauvages,

et d'humus séché, me ravissaient le pif.

Quand tout à coup, j'ai entendu les pas de plusieurs chevaux.

Là, par enchantement, j'ai réussi à me lever, et me suis mis

au milieu du chemin, avec les mains en pare-soleil.

J'ai vu une forme féminine sombre arriver sur un beau cheval blanc.

La cavalière inconnue se dirigeait droit devant moi, elle me fit un

léger coucou de la main. Quand il arriva à ma hauteur, je n'étais plus aveuglé

par la Lumière du soleil, je ne pus m’empêcher de faire " Wouoaah, wouaaahh !!.

Une jeune femme complètement nue, son sexe rasé offert à ma vue.

Ses longs cheveux blonds et ses grands yeux bleus, où des éclats d'Océan,

brillaient dans son regard, m'enivraient de contemplation.

Elle me sourit, et me dit « monte seigneur Guy, cet étalon noir est pour toi.

Tu dois venir avec moi combattre, Lugulu l'horrible monstre féroce qui décimes mon peuple.

Je la regardais, que dis-je, je la contemplais dans la sublime beauté de sa nudité.

Une chose était sure, à ce moment là, je l'aurai accompagné partout, je serais même allé combattre

le diable, dans les profondeurs du Hadès.

Juste pour un sourire et un regard d'admiration d'elle.

C'est ainsi que je montais peu rassuré sur ce canasson,

fougueux et fort nerveux à mon gout.

La jeune guerrière du joli nom de Naéma me remis,

l'épée du roi Arthur, obtenue à la braderie de Lille

contre une moule frites. À un vieux brocanteur bourré

(désolé, mais c'est dans le rêve) Pendant des semaines, nous avons franchi les plaines et montagnes.

Nous nous parlions peu, vu que j'étais toujours en train de lui rouler des pelles,

et mordillai ses délicieux tétons. Pendant ce périple épuisant, dû aux conditions

climatiques terribles, des terres brulées. Et à ces nuits folles où mon vieux

corps luttait corps à corps avec celui de Naéma, j'avais de plus en plus du mal à récupérer.

Véritable fraicheur printanière, je la butinais fébrilement, jusqu'au

Pystile de sa fleur intime. Nous ne dormions que deux à trois heures par nuit.

Le reste de la nuit, on s'envoyait en l'air, sans les ailes, juste avec le sexe.

Elle aimait cela la jeune bougresse aux petits seins fermes.

Nous étions un couple d’aventuriers silencieux, elle ne me parlait pas de sa vie, ni n'évoquait son peuple.

Et pis le moment tant redouté, se présenta à la Lumière crépusculaire d'un soir.

C'était après une longue journée fatigante, à traverser des cols d'altitude.

Il nous apparut au détour d'un tournant, bordé de parois rocheuses.

Je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment-là, je n'avais qu'une seule idée qui me trottait dans la tête.

Laisser tomber Naéma, et me barrer en la laissant se démerder avec cette répugnante, et puissante

créature visqueuse, qui foutrait la panique et la gastro à n'importe qui !

C'est à ce moment-là que Naéma fit un truc bizarre !

Suite...

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