Chapitre 10
Le lendemain matin, elle était déjà partie. Je ne savais pas où, mais elle était partie. Je me remémorais les évènements de la veille. Il ne me restait plus que un jour avant la date fatidique du rendez-vous. Pendant cette journée, je devais faire le vide. J'allumais la radio et commença à écouter la radio. Il était en train de passer un vieux jazzman américain sans grand talent, mais la musique arrivait quand même à me soulager. Après cette musique, ce fut l'heure du journal. On y annonçait les titres. "Au dernière nouvelle, certains habitants lorrains auraient entrevus certains soldats allemands passaient la frontière. D'autres indiquent même que des chars blindés était arrivé en repérage dans la forêt allemande et étaient repartis. Rien d'alarmant indiquent cependant le premier ministre, qui indiquent que les relations avec l'Allemagne étaient "plutôt bonnes" et que rien ne semblait engager une guerre. Cependant, on annonçait par ailleurs que certains hommes de la nouvelle résistante craignait le pire. Dans la deuxième partie de ce journal, nous recevrons nos invités, censé parlé de la nouvelle vague culturelle qui va envahir Paris, et nous parlons d'un sujet beaucoup plus léger, à savoir la danse...". Ça me semblait mauvais tout ça. Très mauvais. Ils y a quelques jours, le vieux homme à qui je distribuais le courrier m'avait annoncé que la Pologne allait être envahie. Mais je tentais toutefois de me rassurer. Il ne s'agissait là que d'invasions secondaires, seulement quelques allemands étaient entrés sur le territoire polonais. Dans quelques jours, j'allais reprendre mon service de postier. Sauf que aujourd'hui, je n'avais pas envie d'y aller. Pas maintenant, je ne me sentais pas d'humeur. Je restais là, impuissant, à siroter ma vodka et à écouter la radio. Je me sentais tellement impuissant. Et si...
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